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Jerome Crevel
1 critique
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1,0
Publiée le 17 novembre 2024
Bonne idée de départ mais en deuxième partie du film, l'ambiance tourne franchement et inutilement au. gore jusqu'à la nausée. Ça devient difficilement regardable ! Dommage...
Le sujet du vieillissement a été deja été traité mais jamais comme ça! C’est surprenant de créativité, de puissance, de vice, c’est très dérangeant souvent mais la bande son, le jeu des actrices et surtout de Demi Moore est impressionnant dans un rôle qui semble lui coller à la peau. Les 10 dernières minutes sont du délire qui viennent presque gâcher le spectacle, dommage !
C'est un des pires films que j'ai vu de ma vie. A part le gore et les gros plans sur les fesses, le film n'a rien pour lui. Les deux heures passent très lentement et on se retrouve avec une impression de vide à la sortie du film (le message se résume à dire que c'est triste de vieillir voilà).
film intense, surprenant avec des actrices excellentes, toutefois les 30 dernières minutes sont glauques, gore et inutiles, nulles même et dérangeantes et dommageable
Alors là je n'ai pas du tout aimé, j'ai mes deux étoiles car j'aime beaucoup l'actrice Margarette Qualley et aussi j'ai aimé la référence à shining avec la moquette et peinture rouge des murs mais sinon c'est tout il y a beaucoup trop de scènes nues dans ce film, on ne peut même plus appeler ça un film.
J’aurais pu aimer et mettre une meilleure note si il n’y avait pas eu autant de longueurs. Trop de scènes inutiles sous prétexte de faire du gore… cela dessert le scénario pourtant surprenant ! On aurait tout autant compris le message féministe , le final est pénible à regarder… après, les friands du genre apprécieront certainement. Dommage. Tout de même, mention spéciale à Demi Moore qui se met littéralement à nue!
C’est un film brutal et fémininiste, très impressionnant d’un point de vue technique et scenaristique ! Il y a des prises de vue originale; les plans rapprochés mettent en lumière l’absurdité des diktats imposés aux femmes et mènent en dérision les hommes, qu’ils soient puissants et tyranniques ou bien simplement le monsieur tout le monde sexiste, misogyne, prêt à tout pour tirer son coup. Le film est inclassable car il rentre dans toutes les catégories à la fois : horreur, drame, comédie, thriller, sf…. Les décors nous mettent dans une ambiance intemporelle et agréable, contrastée par le gore qui survient assez vite. Le gore est bien utilisé, et la tension et le body horror augmentent au fur et à mesure de l’histoire jusqu’à l’apothéose de la scène finale. Ce film est dérangeant mais devient hilarant quand le gore est à son comble. Ce film iconoclaste est un sans faute et se doit d’être vu pour toutes les raisons listées ici : c’est un film fait par une femme qui s’inscrit dans une lutte féministe. Il dénonce les inégalités des chances, et le choix judicieux des tenues dénonce lui la sexualisation et l’objectivation des femmes dans le monde du cinéma. L’imagination n’a aucune limite : c’est un devoir d’en profiter.
C'est un de plus MAUVAIS film que j'ai regardé cette dernière année. C'est une grande déception. Le scenario qui pouvait être intéressant devient très rapidement en un n'importe quoi auquel on n'accroche pas plus de 5 minutes. Ça m’étonne que des figures de grand renomme comme Denis Moore puissent accepter de jouer dans un film pareil qui devient tellement grotesque qu'on éclate de rire tout au long des derniers minutes de projection où des litres de hémoglobine arrosent de centaines de figurants !
âme sensible s'abstenir. Les actrices sont seules et nues la plupart du temps, il y a des scènes de chirurgie difficile à supporter. Je suis parti après une heure et j'étais loin d'être le premier. Il faut avoir le coeur bien accroché et ne pas être dérangé par les femmes de + 60 ans nues.
Beaucoup, beaucoup trop long, "The substance" fait penser à un épisode d'une bonne série fantastique à la "Black mirror" qu'on aurait rallongé bien au delà du nécessaire et des possibilités d'un scénario pas si touffu que ça. Autant dire que j'ai trouvé le temps long pendant pas mal de scènes, dont celles de fitness avec sa répétition de gros plans sur la - très belle - plastique de la jeune actrice. Et c'est là pour moi le principal problème de "The substance" : nous asséner son message sans aucune subtilité et en usant de la carricature la plus simpliste pour le faire - il n'y a qu'à voir la représentation de tous les personnages masculins -. C'est avec lassitude que je suis arrivé au dernier segment qui tient beaucoup plus du film comique que du film d'horreur. J'attendais quelque chose de franchement dérangeant, et en dehors des scènes efficaces du début qui introduisent le processus, il n'y a pas de quoi frémir de stupéfaction. Je n'ai néanmoins pas passé un mauvais moment, la réalisation très référencée propose quelque chose d'intéressant, le film est bon par moments, mais je l'ai trouvé bien trop imparfait pour être convaincant.
Coralie Fargeat traite parfaitement, avec The Substance, le thème de l’impératif esthétique qui touche les femmes dans nos sociétés de l’image et de l’apparence, doublé de l’importance du regard des hommes dans cette condition féminine (ici tous plus ridicules les uns que les autres). Le tout traité via un filtre pop-gore (ultra gore) parfaitement maîtrisé. On est scotchés par le réalisme et l’extravagance perverse de l’image. Une vraie belle réussite visuelle. Peut-être le film aurait pu vivre 15 minutes de moins sur la fin, mais ils faut reconnaître que Coralie Fargeat va ainsi au bout du bout de son sujet, ne sacrifiant pas son propos sur l’autel du raisonnable. Pour cela : respect et bravo. On peut se poser une question enfin : est-il indispensable d’être dans la sexualisation outrancière à l’écran du corps de la femme pour dénoncer ce travers de nos sociétés modernes ? Vous avez deux heures… mais avant, courrez voir The Substance (si vous avez le cœur bien accroché toutefois) !