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Votre avis sur Vesper Chronicles ?
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En lançant ce Vesper chronicles, je ne savais pas trop à quoi m'attendre. J'avais été plutôt intrigué par la bande annonce et les retours paraissaient assez positifs.
On est face à un film qui se rapproche de la noirceur de Les fils de l'homme dans son propos, avec une vision du futur vraiment sombre et misérable. Tout dans ce monde nous rappelle la pauvreté de ses habitants, la dureté de la survie, le manque de ressources.
On y suit alors une fille qui lutte tant bien que mal pour maintenir en vie son père blessé. Dans ce monde lugubre, il y a un côté assez organique avec des végétaux étranges animés et tout semble très humain au niveau de son organisme.
Le film peut être assez rebutant pour ça, même si on est loin d'un body horror. Côté histoire, durant ces deux heures il y a assez peu d'actions et de péripéties. On est livré à ce monde austère en rencontrant quelques rares autres protagonistes que Vesper. Il y a quelques séquences assez touchantes avec Camélia et elle, mais on sonde surtout la noirceur de l'homme dans des temps de manque de ressources.
L'intrigue n'est pas inintéressante à suivre mais le rythme ne m'a pas vraiment accroché, bien que je puisse apprécie un film qui prend son temps et les moments plus contemplatifs. J'ai malheureusement trouvé ça un peu long par moment et pas toujours captivant à suivre. C'est bien dommage car son univers, même s'il peut dégoûter, est assez original et plutôt réaliste dans son traitement. Je conseillerais quand même de le tester pour se faire son propre avis dessus.
On est face à un film qui se rapproche de la noirceur de Les fils de l'homme dans son propos, avec une vision du futur vraiment sombre et misérable. Tout dans ce monde nous rappelle la pauvreté de ses habitants, la dureté de la survie, le manque de ressources.
On y suit alors une fille qui lutte tant bien que mal pour maintenir en vie son père blessé. Dans ce monde lugubre, il y a un côté assez organique avec des végétaux étranges animés et tout semble très humain au niveau de son organisme.
Le film peut être assez rebutant pour ça, même si on est loin d'un body horror. Côté histoire, durant ces deux heures il y a assez peu d'actions et de péripéties. On est livré à ce monde austère en rencontrant quelques rares autres protagonistes que Vesper. Il y a quelques séquences assez touchantes avec Camélia et elle, mais on sonde surtout la noirceur de l'homme dans des temps de manque de ressources.
L'intrigue n'est pas inintéressante à suivre mais le rythme ne m'a pas vraiment accroché, bien que je puisse apprécie un film qui prend son temps et les moments plus contemplatifs. J'ai malheureusement trouvé ça un peu long par moment et pas toujours captivant à suivre. C'est bien dommage car son univers, même s'il peut dégoûter, est assez original et plutôt réaliste dans son traitement. Je conseillerais quand même de le tester pour se faire son propre avis dessus.
Jerem69tt
Un film de SF loin des grosses productions hollywoodienne qui plaira probablement à certain par son coté intimiste mais qui est beaucoup trop mou et contemplatif pour être apprécié. Le film est littéralement sans enjeu, on ne fait que suivre ces personnages dans leur survie. De la citadelle, on ne verra rien, pourtant on ne parle que d’elle pendant 2h… Bref c'est dommage le film ne dure que 1h50 et donne l'impression qu'il en a duré 3h... sans que ce soit une question d’action ou de rythme, il faut développer un minimum l'univers et le propos sinon ça n'a aucun sens et aucun intérêt.
Alors là, grosse surprise sur je viens de voir . Avec pas mal d'a-priori concernant le côté ÉCOLO que je voyais sur l'affiche, et pourtant , le message pas bien en interligne, le casting est vraiment sympa, le scénario, l'ambiance sonore ET la B.O n'ont rien à envier aux grosses productions. Je ne me suis pas ennuyé mais je peux comprendre que le rythme puisse faire décrocher certains . Très beau film, comme quoi, avec peu de moyen mais une utilisation intelligente des fonds, il en sort un film avec un scénario bien construit et des effets spéciaux bluffants.
Excellents actrices et acteurs, bon scénario, de la bonne SF: à quand une suite?
Relation père/fille et même mère adoptive magnifique et le motto ne pas abandonner quand les choses deviennent difficiles m'ont marqué.
Relation père/fille et même mère adoptive magnifique et le motto ne pas abandonner quand les choses deviennent difficiles m'ont marqué.
Concept intéressant et contexte passionnant mais l'histoire manque de rythme et les décors austères ne donnent pas envie de s'y attarder. Frustrant également, même si c'est sans doute le but, de ne pas voir ces Citadelles inaccessibles. La performance des acteurs n'est pas incroyable, d'autant plus que l'héroïne a trop de cordes à son arc pour être crédible. On m'a un peu survendu le film donc j'ai été déçu mais je n'ai pas passé un mauvais moment non plus. On dirait globalement le premier épisode d'une série, plein de promesses et de potentiel, posant des bases solides mais sans les exploiter vraiment ni trop révéler de l'univers.
J'ai été déçu par ce film, les images sont belles mais le scénario ne vole pas haut et c'est mou du début jusqu'à la fin
Ce n'est pas le film de l'année mais proposer une autre science-fiction que les pif paf pouf c'est déjà pas mal.
On sens que ce film est un film de passionné avec du coeur. Les effet spéciaux sont de qualités et très poétique.
C'est un peu lent mais, a part une ou deux scènes inutilement longues ce n'est pas soporifique.
Une bonne surprise.
Je conseille
On sens que ce film est un film de passionné avec du coeur. Les effet spéciaux sont de qualités et très poétique.
C'est un peu lent mais, a part une ou deux scènes inutilement longues ce n'est pas soporifique.
Une bonne surprise.
Je conseille
Excellent film, il prend son temps et c'est très bien, ça nous change des films US qui enchaînent scène d'action sur scène d'action dans un rythme effreiné et pour lesquels il ne faut surtout pas réfléchir.
J'aurais voulu que ça continue, j'aurais voulu en savoir plus et que le voyage continue un peu plus longtemps
J'aurais voulu que ça continue, j'aurais voulu en savoir plus et que le voyage continue un peu plus longtemps
Vesper Chronicles," sorti en 2022, offre une exploration décevante du thème crucial de l'extinction de la biodiversité. Malgré un sujet qui aurait pu être captivant, le film tombe à plat à plusieurs égards. Les performances d'ensemble sont médiocres, avec des acteurs peu convaincants, et l'actrice principale, dans un choix de casting discutable, suscite plus de confusion que de clarté quant à son genre.
Visuellement, le film souffre d'un manque évident de décors, contribuant à une expérience visuelle terne et peu engageante. De plus, la pauvreté de l'écriture des personnages se manifeste dans une narration maladroite et une exposition lacunaire des enjeux. La situation et les enjeux liés à l'extinction de la biodiversité sont mal expliqués, ce qui ne m'implique pas dans le film.
La lenteur du film devient un véritable obstacle, rendant l'expérience cinématographique ennuyeuse et frustrante. Les moments importants, rares et difficiles à repérer, ne parviennent pas à compenser les longueurs inutiles du récit. Globalement, "Vesper Chronicles" se révèle être une déception, ne parvenant pas à livrer une exploration convaincante et engageante du thème central. J'étais vraiment déçu.
Visuellement, le film souffre d'un manque évident de décors, contribuant à une expérience visuelle terne et peu engageante. De plus, la pauvreté de l'écriture des personnages se manifeste dans une narration maladroite et une exposition lacunaire des enjeux. La situation et les enjeux liés à l'extinction de la biodiversité sont mal expliqués, ce qui ne m'implique pas dans le film.
La lenteur du film devient un véritable obstacle, rendant l'expérience cinématographique ennuyeuse et frustrante. Les moments importants, rares et difficiles à repérer, ne parviennent pas à compenser les longueurs inutiles du récit. Globalement, "Vesper Chronicles" se révèle être une déception, ne parvenant pas à livrer une exploration convaincante et engageante du thème central. J'étais vraiment déçu.
Un énième film Post - Apocalyptique, légèrement différent des autres, mais qui n'a rien d'exceptionnel ...
Je n'aime pas la science fiction et je suis très sensible au gore. Partant de là, il y avait peu de chances que je passe un bon moment devant ce film dur, crasseux et qui nous transpose dans un futur post-catastrophe climatique. Eh bien vous savez quoi ? J'ai été fascinée tout du long et il reste collé à ma rétine.
On est bien loin des gros tournages hollywoodiens. Voici une petite production aux accents lithuaniens, acteurs inconnus au bataillon mais avec une aura mystérieuse et une direction convaincante.
C'est contemplatif : on passe du temps à installer ce monde décharné, organique et pouilleux où les survivants habitent et à regarder, mi étonnés mi envieux, de l'autre côté du miroir, la ville futuriste où les riches se sont emmurés.
On évoque aussi, avec pudeur et poésie, la problématique immense et si actuelle de la privatisation des graines (et donc de la nourriture), au travers de l'activité de botaniste de l'héroïne, qui crée une serre clandestine pour faire pousser des choses. Le végétal devient la chose la plus précieuse qu'on ait quand il n'y a plus rien, il est poétisé d'une si belle façon.
Ajoutez à cela des questions éthiques bien posées autour de l'humain vs les robots ou de la conscience des machines ainsi que celle de la responsabilité écologique (qui paie pour les dommages collatéraux sur le climat ? Que deviennent les plus pauvres dans un contexte climatique dramatique ?) et vous avez les ingrédients qui font de ce film un objet hybride qui invite à de profondes réflexions hyper actuelles.
Attention : si l'on est sensible comme moi à la représentation de la douleur, c'est raide. Il faudra fermer les yeux à plusieurs reprises. Mais c'est un bijou que je vous conseille vivement de découvrir, si un cinéma d'auteur la re-programme près de chez-vous.
On est bien loin des gros tournages hollywoodiens. Voici une petite production aux accents lithuaniens, acteurs inconnus au bataillon mais avec une aura mystérieuse et une direction convaincante.
C'est contemplatif : on passe du temps à installer ce monde décharné, organique et pouilleux où les survivants habitent et à regarder, mi étonnés mi envieux, de l'autre côté du miroir, la ville futuriste où les riches se sont emmurés.
On évoque aussi, avec pudeur et poésie, la problématique immense et si actuelle de la privatisation des graines (et donc de la nourriture), au travers de l'activité de botaniste de l'héroïne, qui crée une serre clandestine pour faire pousser des choses. Le végétal devient la chose la plus précieuse qu'on ait quand il n'y a plus rien, il est poétisé d'une si belle façon.
Ajoutez à cela des questions éthiques bien posées autour de l'humain vs les robots ou de la conscience des machines ainsi que celle de la responsabilité écologique (qui paie pour les dommages collatéraux sur le climat ? Que deviennent les plus pauvres dans un contexte climatique dramatique ?) et vous avez les ingrédients qui font de ce film un objet hybride qui invite à de profondes réflexions hyper actuelles.
Attention : si l'on est sensible comme moi à la représentation de la douleur, c'est raide. Il faudra fermer les yeux à plusieurs reprises. Mais c'est un bijou que je vous conseille vivement de découvrir, si un cinéma d'auteur la re-programme près de chez-vous.
Je trouve que ce film n'est pas apprécié à sa juste valeur. Mais si vous êtes amateurs de gros blockbusters qui font "boum", vous pouvez en effet passer votre chemin !
Une poésie gothique dans un monde post apocalyptique. Imagesc un peu sombre, musique de qualité, nature sauvage... Très bon dépaysement... Une réussite,
Vesper Chronicles est une perle rare au sein du paysage cinématographique, offrant une expérience captivante et visuellement époustouflante. C'est un conte de fée moderne, de la poésie visuelle. C'est aussi un film qui donne envie de protéger la nature.
Le réalisateur Bruno Samper réussi à surmonter des défis techniques majeurs lors du tournage en Lituanie dans un contexte de pandémie, démontrant une coordination exceptionnelle entre les équipes lituaniennes et françaises. Les éléments post-apocalyptiques ajoutés en post-production se fondent parfaitement dans le paysage, créant une atmosphère immersive.
La musique souligne parfaitement l'essence du film. La profondeur et l'âme de la musique de Levy ajoutent une dimension émotionnelle qui reste bien après la fin du film.
Vesper Chronicles se positionne avec brio en tant que film de science-fiction indépendant, démontrant que la créativité peut transcender les frontières du genre.
Pour ce qui ne l'ont pas vu, voici un pitch qui vous donnera peut être envie :
Vesper ce passe dans le futur après l'effondrement de notre civilisation, on imagine que l'humanité a parié sur les technologies génétiques pour pallier au changement climatique et à l'effondrement des écosystèmes et donc, la génétique est devenue un petit peu comme l'informatique personnelle dans les dans les années 80 est devenue vraiment banale et tout le monde était capable de faire de la génétique dans ses cuisines. Et donc on imagine qu'à partir de là des bio-hacker ont relâché dans la nature des virus, des organismes génétiquement créés, des parasites ou de nouveaux organismes qui ont petit à petit remplacé les écosystèmes existants et la faune et la flore existantes, accélérant plutôt que de résoudre l'effondrement écologique. Le film débute en dressant ce tableau dystopique, suivant l'histoire d'une jeune fille et de son père paralysé qui luttent pour survivre dans ce monde transformé. Dotée de compétences en manipulation génétique acquises de manière autodidacte, la jeune fille aspire à échapper à sa condition précaire et à atteindre la citadelle.. La citadelle est un lieu un peu mythique où des oligarques vivent en autarcie, coupé du reste du monde et ont continué à développer les technologies génétiques, les bénéfices aussi des dernières technologies et donc Vesper va essayer d'atteindre cette citadelle.
Le réalisateur Bruno Samper réussi à surmonter des défis techniques majeurs lors du tournage en Lituanie dans un contexte de pandémie, démontrant une coordination exceptionnelle entre les équipes lituaniennes et françaises. Les éléments post-apocalyptiques ajoutés en post-production se fondent parfaitement dans le paysage, créant une atmosphère immersive.
La musique souligne parfaitement l'essence du film. La profondeur et l'âme de la musique de Levy ajoutent une dimension émotionnelle qui reste bien après la fin du film.
Vesper Chronicles se positionne avec brio en tant que film de science-fiction indépendant, démontrant que la créativité peut transcender les frontières du genre.
Pour ce qui ne l'ont pas vu, voici un pitch qui vous donnera peut être envie :
Vesper ce passe dans le futur après l'effondrement de notre civilisation, on imagine que l'humanité a parié sur les technologies génétiques pour pallier au changement climatique et à l'effondrement des écosystèmes et donc, la génétique est devenue un petit peu comme l'informatique personnelle dans les dans les années 80 est devenue vraiment banale et tout le monde était capable de faire de la génétique dans ses cuisines. Et donc on imagine qu'à partir de là des bio-hacker ont relâché dans la nature des virus, des organismes génétiquement créés, des parasites ou de nouveaux organismes qui ont petit à petit remplacé les écosystèmes existants et la faune et la flore existantes, accélérant plutôt que de résoudre l'effondrement écologique. Le film débute en dressant ce tableau dystopique, suivant l'histoire d'une jeune fille et de son père paralysé qui luttent pour survivre dans ce monde transformé. Dotée de compétences en manipulation génétique acquises de manière autodidacte, la jeune fille aspire à échapper à sa condition précaire et à atteindre la citadelle.. La citadelle est un lieu un peu mythique où des oligarques vivent en autarcie, coupé du reste du monde et ont continué à développer les technologies génétiques, les bénéfices aussi des dernières technologies et donc Vesper va essayer d'atteindre cette citadelle.
Yetcha
Quelle déception. Il ne se passe rien durant tout le film, on ne comprend pas bien cette histoire de citadelle, même si des explications très sommaires sont données, il aurait fallu creuser la question. Mais non, on reste dans la forêt et on s'ennuie ferme malgré une très belle esthétique de l'ensemble.
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