AlloCiné
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Votre avis sur Vesper Chronicles ?
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Les images et l'ambiance rappellent les films de Jeunet, avec un côté steampunk qui m'a vraiment plu. Mais alors l'histoire... A part les fervents défenseurs de cinéma européen qui vont s'extasier devant un scénario complètement décousu sous couvert de "c'est pour les initiés, tu peux pas comprendre", c'est mou, décousu, on a des incohérences de partout, plein d'éléments d'histoire qui tombent sans avoir été annoncés sur fond de réflexion bio, et au final ce qui aurait pu être intéressant est traité en 3mn dans le film. Mention spéciale à la fin complètement bâclée qui est d'habitude la marque de fabrique des films Netflix.
Excellent, beau avec un scénario original le jeux d'acteurs est superbe.
Un film de science fiction comme on aimerait en voir plus souvent
Un film de science fiction comme on aimerait en voir plus souvent
Un film de science-fiction français aux visuels prometteur, dans un futur post apocalyptique où l'agriculture est contrôlé par le trust du pouvoir. Un scénario qu'on aurait voulut être de la science-fiction, mais Monsanto en a déjà fait une réalité depuis quelques années avec ses graines génétiquement modifiées sous licence exclusive. Un scandale humanitaire toujours en cours. Un film qui croise de nombreuses influences du genre : "Silent running" pour son aspect écolo, "Dark Crystal" et "Avatar" pour sa flore exotique, "The road" et "Mad Max" pour l'aspect post apocalyptique, voir même "Matrix" pour son exploitation humaine.
L'ennui de "Vesper" est justement qu'on s'y ennui beaucoup... Un scénario et une mise en scène beaucoup trop lente avec de trop nombreux ventres mous, fait de scènes totalement inutiles qui ne font que ralentir encore l'histoire. Un film au final trop long d'une bonne demi-heure. Dans un univers convainquant, mais terriblement sous-exploité.
Le monde des "Citadelles" qu'on ne verra jamais; le monde des pèlerins très mal développé; quid de cet ancien laboratoire ?...
L'ennui de "Vesper" est justement qu'on s'y ennui beaucoup... Un scénario et une mise en scène beaucoup trop lente avec de trop nombreux ventres mous, fait de scènes totalement inutiles qui ne font que ralentir encore l'histoire. Un film au final trop long d'une bonne demi-heure. Dans un univers convainquant, mais terriblement sous-exploité.
Le monde des "Citadelles" qu'on ne verra jamais; le monde des pèlerins très mal développé; quid de cet ancien laboratoire ?...
Jorik V
En premier lieu, il faut féliciter le travail incroyable qu’on fait les deux cinéastes sur ce film de science-fiction nanti d’un budget riquiqui pour le genre, c’est-à-dire environ 5 millions d’euros. A titre de comparaison, c’est ce que coûte un film d’auteur moyen français sans aucun effet spécial. Et pour avoir un ordre d’idées, dans ce genre plutôt coûteux si on ne veut pas faire série Z fauchée, « Dune » a coûté plus de 200 M$. D’ailleurs, toutes proportions gardées, on pense parfois à ce dernier par la grâce de certains décors (notamment ces immenses machines à récolte) mais aussi à un autre film de Villeneuve pour la tonalité mélancolique choisie ici : « Premier contact ». C’est pour dire qu’à l’instar des productions de Jason Blum à petit budget et maxi profits, ce « Vesper Chronicles » nous impressionne par son univers sublime, maîtrisé et plein d’idées et la manière dont il optimise son budget minuscule en le multipliant par dix à l’image. On est loin d’un autre essai français de science-fiction récent, sincère mais plutôt raté et qui faisait très cheap : « Le dernier voyage de Paul W.R. ».
Cette coproduction entre la Lituanie (oui, vous lisez bien) et la France est donc un régal pour les yeux et prouve que, sans moyens mais avec beaucoup d’imagination, on peut encore faire rêver le spectateur et offrir du grand cinéma de genre. Ce petit pays balte dont est originaire la cinéaste (qui réalise en duo avec le français Bruno Samper) a financé ce film et offert ses décors naturels de petits villages reculés et de nature nordique. Cela donne un cachet rare à ce long-métrage ambitieux qui nous émerveille par toutes ses trouvailles visuelles. Que ce soit dans les décors, les personnages non humains, cette faune et cette flore inédite (ou cette fusion des deux), on est subjugués par tant de surprises inédites sur un fond postapocalyptique et dystopique pourtant rebattu. Les effets spéciaux sont incroyables et permettent de croire à cette végétation qui fusionne avec l’homme ou l’animal (la scène de la serre ou celle du champignon jaune qui se propage sont sublimes) et lorgne légèrement du côté de « Annihilation » et certains films de Cronenberg pour el côté body horror (« eXistenZ » en premier lieu).
On apprécie également que « Vesper Chronicles » ait un propos écologique qui alerte avec doigté sans marteler sa morale de manière agressive ou triviale. On écorche des sujets sérieux (le brevetage des récoltes par Monsanto par exemple est épinglé ici) ou plus folkloriques (l’adénochromie ou le fait de s’injecter du sang infantile pour ne pas vieillir). On nous offre ici un univers au potentiel incroyable (des pèlerins aux créatures créées en laboratoire, les Jug) mais parfois frustrant tout de même. En effet, on se languit de ne jamais pénétrer la Citadelle par exemple, faute de budget. Il manque aussi un peu d’action, le rythme est un peu plat mais pas au point de s’ennuyer. Il n’empêche, la quête de Vesper et ses aventures fascinantes vont nous happer durant près de deux heures. En outre, les personnages sont ien écrits et on se ravit à chaque instant des trouvailles de ses deux réalisateurs et scénaristes. C’est le genre de projet à encourager pour sa créativité et qui interpelle et devrait donner des idées à beaucoup. De la science-fiction minimaliste, intelligente, nécessaire, cohérente, belle et réussie qui fait que l’on pardonne aisément ses petits défauts.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Cette coproduction entre la Lituanie (oui, vous lisez bien) et la France est donc un régal pour les yeux et prouve que, sans moyens mais avec beaucoup d’imagination, on peut encore faire rêver le spectateur et offrir du grand cinéma de genre. Ce petit pays balte dont est originaire la cinéaste (qui réalise en duo avec le français Bruno Samper) a financé ce film et offert ses décors naturels de petits villages reculés et de nature nordique. Cela donne un cachet rare à ce long-métrage ambitieux qui nous émerveille par toutes ses trouvailles visuelles. Que ce soit dans les décors, les personnages non humains, cette faune et cette flore inédite (ou cette fusion des deux), on est subjugués par tant de surprises inédites sur un fond postapocalyptique et dystopique pourtant rebattu. Les effets spéciaux sont incroyables et permettent de croire à cette végétation qui fusionne avec l’homme ou l’animal (la scène de la serre ou celle du champignon jaune qui se propage sont sublimes) et lorgne légèrement du côté de « Annihilation » et certains films de Cronenberg pour el côté body horror (« eXistenZ » en premier lieu).
On apprécie également que « Vesper Chronicles » ait un propos écologique qui alerte avec doigté sans marteler sa morale de manière agressive ou triviale. On écorche des sujets sérieux (le brevetage des récoltes par Monsanto par exemple est épinglé ici) ou plus folkloriques (l’adénochromie ou le fait de s’injecter du sang infantile pour ne pas vieillir). On nous offre ici un univers au potentiel incroyable (des pèlerins aux créatures créées en laboratoire, les Jug) mais parfois frustrant tout de même. En effet, on se languit de ne jamais pénétrer la Citadelle par exemple, faute de budget. Il manque aussi un peu d’action, le rythme est un peu plat mais pas au point de s’ennuyer. Il n’empêche, la quête de Vesper et ses aventures fascinantes vont nous happer durant près de deux heures. En outre, les personnages sont ien écrits et on se ravit à chaque instant des trouvailles de ses deux réalisateurs et scénaristes. C’est le genre de projet à encourager pour sa créativité et qui interpelle et devrait donner des idées à beaucoup. De la science-fiction minimaliste, intelligente, nécessaire, cohérente, belle et réussie qui fait que l’on pardonne aisément ses petits défauts.
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Film au budget limité qui réussi, par sa technicité, à donner le sentiment de voir un blockbuster. Je dois signaler la prouesse. Le son et l'image sont très bons, le scénario est un peu classique mais fonctionne bien avec le casting. Je recommande fortement pour les bons clients de SF.
Film très surprenant en perspective, un univers très beau et des moments très dérangent mais sans être péjoratif. Les personnages sont bien écrit et réalisés, le seul point négatif ces les moments de flottement et de discussion qui n'apporte pas grand-chose au cours du film. La fin aussi aurait pu être mieux orchestrée, on s'en doute déjà au début quand on voit la problématique. Malgré les conditions de tournage qui n'était pas en faveur du film (tournage en 2020), le film s'en sort bien.
MediaShow
L'article disponible ici : https://mediashowbydk.com/2022/08/24/critique-film-vesper-chronicles/
Derrière chaque réalisation de science-fiction (ou fantastique) se cache très souvent une adaptation d’un roman. Quelle fut ma surprise lorsque j’ai découvert que le film « Vesper Chronicles » était une création originale ! En sortant de la salle, on ne peut que saluer la créativité et l’imaginaire sans limites des deux réalisateurs. Cette dystopie nous plonge au cœur d’un monde post-apocalyptique où des manipulations génétiques ont dévasté l’humanité. Seuls les individus riches ont réussi à se réfugier dans des citadelles. Ce contexte est expliqué de manière efficace en quelques phrases dès l’introduction. Par la suite, le scénario suivra les péripéties de Vesper à travers ce monde dévasté, une jeune fille qui rêve de s’offrir un autre avenir. Au-delà de l’aspect science-fiction visuellement extraordinaire, le scénario se démarque également par son côté humain. En effet, le personnage principal est bien développé et bien exploré : son passé douloureux, la relation avec son père très émouvante, son caractère et ses talents. Une jeune fille attachante, talentueuse et experte du bio-hacking qui amène à de superbes scènes et aussi d’offrir au film une dimension écologique et technologique.
D’autre part, le scénario repose sur une histoire relativement simple basée sur une quête initiatique (assez étonnant d’ailleurs au vu de l’univers complexe, faute de budget sûrement) mais bien ficelée avec des enjeux bien exposés. L’ensemble est très poétique. Cependant, face à ces aspects positifs, trois problèmes se posent. Le premier, c’est le rythme du film. En effet, l’histoire peut paraître longue par moment en raison d’un grand nombre de scènes de paysages / décors ou bien du manque de dialogues. Le second, c’est le manque de contexte sur les raisons de cette catastrophe qui a tout de même provoqué la quasi-extinction de l’espère humaine et sur les rouages de ce monde futuriste, notamment sur la biogénétique (visuellement beau, mais difficile d’y comprendre quelque chose) et sur la citadelle. Le dernier, c’est le dénouement. Plutôt que de proposer une ouverture sur un second volet (avec tant de pistes à développer sur la citadelle et sur la biogénétique), l’histoire se conclut brusquement et tous les efforts qu’avaient accompli l’héroïne ces dernières années disparait en une scène. C’est vraiment décevant !
L’univers du long-métrage « Vesper Chronicles » est sa véritable force. A chaque scène, nos yeux sont constamment sollicités par la richesse visuelle des décors et des paysages. Le plus étonnant, c’est que cette réalisation ne contient que très peu d’effets numériques. Finalement, la quasi-totalité du film a été tournée en décor naturel (notamment en Lituanie) et les créatures complexes ainsi que les plantes ont été ajoutés grâce au numérique. Les réalisateurs ont donc fait preuve d’inventivité pour imaginer et mettre en scène ce monde futuriste ‘horriblement’ merveilleux à explorer. Comme quoi le cinéma européen peut très bien égaler un « Avatar » en terme de créativité visuelle ! Enfin, la bande originale composée par Dan Levy est magnifique et s’accorde parfaitement avec l’univers du film.
La distribution de « Vesper Chronicles » est portée par la jeune Raffiella Chapman (découverte dans « Une merveilleuse histoire du temps » et « Miss Peregrine et les enfants particuliers »). L’actrice nous offre une belle et touchante interprétation de Vesper. Face à elle, Eddie Marsan est très convaincant dans le rôle du méchant. Parmi les rôles secondaires, Rosy McEwen fait preuve de justesse dans son interprétation de Camélia.
Derrière chaque réalisation de science-fiction (ou fantastique) se cache très souvent une adaptation d’un roman. Quelle fut ma surprise lorsque j’ai découvert que le film « Vesper Chronicles » était une création originale ! En sortant de la salle, on ne peut que saluer la créativité et l’imaginaire sans limites des deux réalisateurs. Cette dystopie nous plonge au cœur d’un monde post-apocalyptique où des manipulations génétiques ont dévasté l’humanité. Seuls les individus riches ont réussi à se réfugier dans des citadelles. Ce contexte est expliqué de manière efficace en quelques phrases dès l’introduction. Par la suite, le scénario suivra les péripéties de Vesper à travers ce monde dévasté, une jeune fille qui rêve de s’offrir un autre avenir. Au-delà de l’aspect science-fiction visuellement extraordinaire, le scénario se démarque également par son côté humain. En effet, le personnage principal est bien développé et bien exploré : son passé douloureux, la relation avec son père très émouvante, son caractère et ses talents. Une jeune fille attachante, talentueuse et experte du bio-hacking qui amène à de superbes scènes et aussi d’offrir au film une dimension écologique et technologique.
D’autre part, le scénario repose sur une histoire relativement simple basée sur une quête initiatique (assez étonnant d’ailleurs au vu de l’univers complexe, faute de budget sûrement) mais bien ficelée avec des enjeux bien exposés. L’ensemble est très poétique. Cependant, face à ces aspects positifs, trois problèmes se posent. Le premier, c’est le rythme du film. En effet, l’histoire peut paraître longue par moment en raison d’un grand nombre de scènes de paysages / décors ou bien du manque de dialogues. Le second, c’est le manque de contexte sur les raisons de cette catastrophe qui a tout de même provoqué la quasi-extinction de l’espère humaine et sur les rouages de ce monde futuriste, notamment sur la biogénétique (visuellement beau, mais difficile d’y comprendre quelque chose) et sur la citadelle. Le dernier, c’est le dénouement. Plutôt que de proposer une ouverture sur un second volet (avec tant de pistes à développer sur la citadelle et sur la biogénétique), l’histoire se conclut brusquement et tous les efforts qu’avaient accompli l’héroïne ces dernières années disparait en une scène. C’est vraiment décevant !
L’univers du long-métrage « Vesper Chronicles » est sa véritable force. A chaque scène, nos yeux sont constamment sollicités par la richesse visuelle des décors et des paysages. Le plus étonnant, c’est que cette réalisation ne contient que très peu d’effets numériques. Finalement, la quasi-totalité du film a été tournée en décor naturel (notamment en Lituanie) et les créatures complexes ainsi que les plantes ont été ajoutés grâce au numérique. Les réalisateurs ont donc fait preuve d’inventivité pour imaginer et mettre en scène ce monde futuriste ‘horriblement’ merveilleux à explorer. Comme quoi le cinéma européen peut très bien égaler un « Avatar » en terme de créativité visuelle ! Enfin, la bande originale composée par Dan Levy est magnifique et s’accorde parfaitement avec l’univers du film.
La distribution de « Vesper Chronicles » est portée par la jeune Raffiella Chapman (découverte dans « Une merveilleuse histoire du temps » et « Miss Peregrine et les enfants particuliers »). L’actrice nous offre une belle et touchante interprétation de Vesper. Face à elle, Eddie Marsan est très convaincant dans le rôle du méchant. Parmi les rôles secondaires, Rosy McEwen fait preuve de justesse dans son interprétation de Camélia.
Film futuriste assez sympa. Parfois un peu lent, ça m'a rappelé (je sais rien à voir mais par ses moments calmes et les petites escapades de l'héroïne) "je suis une légende" avec Will Smith. Seul bémol, le "chronicles" dans le titre car j'ai assez de mal à me dire qu'il y aura une suite.
Les acteurs ont vraiment des tronches particulières, les plantes ont un côté Avatar et Les garçons sauvages, d'ailleurs des Les premières minutes ont voit des vers glands qui lorsque nos héroïnes seront à quatre pattes il n'y aura plus ces bestioles.
Le corps du père m'a beaucoup fait penser à Antiviral de Brondon Cronenberg.
Assez Lent, aucun enjeux, un conte post apocalyptique pour enfants.
Je salue l'initiative mais si suite est produite et réalisé je n'irai sans doute pas la voir.
Le corps du père m'a beaucoup fait penser à Antiviral de Brondon Cronenberg.
Assez Lent, aucun enjeux, un conte post apocalyptique pour enfants.
Je salue l'initiative mais si suite est produite et réalisé je n'irai sans doute pas la voir.
Une chose est sûr concernant ce film, il est magnifique tant sur son esthétique, ses décors, ses costumes, son ambiance, son atmosphère poisseuse et dystopique. Les FX sont aussi de superbes factures
spoiler:
(les plantes sont magnifiques, plus vrai que nature)
.
J'ai été aussi bouche bé sur le talent de la jeune actrice de 15 ans qui tient en grande partie le film à elle-seule.
Cependant, son plus gros problème pour moi est son scénario et son rythme trop lent pour faire mouche.
Concernant le scénario, le film essaye d'être poétique mais n'y arrive pas car il essaye toujours de tout expliquer rationnellement spoiler: (le changement de couleur des plantes...).
Sur la mise en scène, je trouve qu'il y a un problème concernant l'introduction des éléments du film. Certains sont trop introduit pour ne servir à rien spoiler: (Pourquoi autant de temps dans le labo secret alors qu'il ne s'y passe quasi rien)
, alors que d'autres auraient dû être beaucoup mieux introduit spoiler: (son ordinateur pour débloquer les graines, les citadelles et leurs fonctionnements car j'ai découvert tardivement dans le film qu'il y avait plusieurs citadelles et qu'elles étaient toutes indépendantes...)
.
Pour finir, une scène a été très décevante pour moi spoiler: (alors que les personnes de la citadelle envoie une sorte de champignon dangereux, on sent de la tension, on se dit qu'il y aura une scène d'action ou autre. Mais non, dès que le champignon touche la veste d'un personnage, il disparait puis l'intervention des "méchants" intervient longtemps après... J'espère que la police n'a pas le même temps d'intervention ...)
.
L'univers n'a pas le film qu'il mérite, car le film promet beaucoup sans tenir ses promesses.
Mais au vu du faible budget, et grâce à la beauté du film, je ne peux pas être si méchant. C'est un plutôt bon film.
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J'ai été aussi bouche bé sur le talent de la jeune actrice de 15 ans qui tient en grande partie le film à elle-seule.
Cependant, son plus gros problème pour moi est son scénario et son rythme trop lent pour faire mouche.
Concernant le scénario, le film essaye d'être poétique mais n'y arrive pas car il essaye toujours de tout expliquer rationnellement spoiler: (le changement de couleur des plantes...).
Sur la mise en scène, je trouve qu'il y a un problème concernant l'introduction des éléments du film. Certains sont trop introduit pour ne servir à rien spoiler: (Pourquoi autant de temps dans le labo secret alors qu'il ne s'y passe quasi rien)
, alors que d'autres auraient dû être beaucoup mieux introduit spoiler: (son ordinateur pour débloquer les graines, les citadelles et leurs fonctionnements car j'ai découvert tardivement dans le film qu'il y avait plusieurs citadelles et qu'elles étaient toutes indépendantes...)
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Pour finir, une scène a été très décevante pour moi spoiler: (alors que les personnes de la citadelle envoie une sorte de champignon dangereux, on sent de la tension, on se dit qu'il y aura une scène d'action ou autre. Mais non, dès que le champignon touche la veste d'un personnage, il disparait puis l'intervention des "méchants" intervient longtemps après... J'espère que la police n'a pas le même temps d'intervention ...)
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L'univers n'a pas le film qu'il mérite, car le film promet beaucoup sans tenir ses promesses.
Mais au vu du faible budget, et grâce à la beauté du film, je ne peux pas être si méchant. C'est un plutôt bon film.
j'ai tenu à voir ce film et bien a pris ! En effet on est loin des blockbuster qu'on a l'habitude de nous servir.
Un bon casting : l'héroïne principale en particulier
Un scénario malin, une image glauque et belle bande son omniprésente et nous avons un film malin qui se laisse regarder avec plaisir
Un bon casting : l'héroïne principale en particulier
Un scénario malin, une image glauque et belle bande son omniprésente et nous avons un film malin qui se laisse regarder avec plaisir
Ca n'est pas un mauvais film, mais la déception est clairement présente du fait d'une bande-annonce qui vend des promesses et d'un film qui n'en tient aucune.
C'est beau, mais absolument tout le mysticisme de ce monde alternatif/futuriste est dévoilé dans la bande-annonce. Il n'y a rien de plus dans le film(sans rire).
Il en est de même pour l'intrigue. Suite à la bande-annonce, on se dit qu'on va découvrir plusieurs sociétés, leurs origines, leurs fonctionnements (les habitants de la citadelle, les habitants vivant en dehors, "les pélerins, les vagabonds, les bandits" tels qu'annoncés). Que nenni.
spoiler: On ne verra pas la citadelle (pas davantage que la vue de loin dans la bande-annonce...), on croisera des pélerins mais il n'y aura jamais une seule intéraction avec. Les protagonistes disent ne pas savoir qui ils sont, d'où ils viennent, pourquoi ils ont le corps et le visage camouflés, pourquoi ils récoltent des déchets métalliques. A la fin du film, il s'avère que ces déchets servaient à la construction d'une tour qui surpasse les arbres de la forêt. Pourquoi l'avoir construite ? Aucune réponse ne sera jamais apportée. Les vagabonds, les bandits ? Il n'y en a pas (sans rire, encore une fois...).
C'est pourquoi je trouve la bande-annonce mensongère. Je m'attendais à être transporté, stupéfait, charmé, surpris, comme beaucoup de films de science-fiction savent le faire. Pas ici.
Le film se résume à un amoncellement de dialogues de personnages auxquels on n'arrive pas à s'attacher, les lenteurs sont innombrables, les questions en suspens incommensurables.
C'était une expérience réellement étrange. J'ai rarement connu un tel différentiel entre une bande-annonce et son film.
C'est beau, mais absolument tout le mysticisme de ce monde alternatif/futuriste est dévoilé dans la bande-annonce. Il n'y a rien de plus dans le film(sans rire).
Il en est de même pour l'intrigue. Suite à la bande-annonce, on se dit qu'on va découvrir plusieurs sociétés, leurs origines, leurs fonctionnements (les habitants de la citadelle, les habitants vivant en dehors, "les pélerins, les vagabonds, les bandits" tels qu'annoncés). Que nenni.
spoiler: On ne verra pas la citadelle (pas davantage que la vue de loin dans la bande-annonce...), on croisera des pélerins mais il n'y aura jamais une seule intéraction avec. Les protagonistes disent ne pas savoir qui ils sont, d'où ils viennent, pourquoi ils ont le corps et le visage camouflés, pourquoi ils récoltent des déchets métalliques. A la fin du film, il s'avère que ces déchets servaient à la construction d'une tour qui surpasse les arbres de la forêt. Pourquoi l'avoir construite ? Aucune réponse ne sera jamais apportée. Les vagabonds, les bandits ? Il n'y en a pas (sans rire, encore une fois...).
C'est pourquoi je trouve la bande-annonce mensongère. Je m'attendais à être transporté, stupéfait, charmé, surpris, comme beaucoup de films de science-fiction savent le faire. Pas ici.
Le film se résume à un amoncellement de dialogues de personnages auxquels on n'arrive pas à s'attacher, les lenteurs sont innombrables, les questions en suspens incommensurables.
C'était une expérience réellement étrange. J'ai rarement connu un tel différentiel entre une bande-annonce et son film.
Commençons par les qualités : Direction artistique aux petits oignons, bons acteurs et scénario original.
Et poursuivons avec les défauts : Ennuyant par instant, pas toujours clair, et très gore pour qui ne serait pas habitué.
En conclusion ce film est oubliable. Dommage.
Et poursuivons avec les défauts : Ennuyant par instant, pas toujours clair, et très gore pour qui ne serait pas habitué.
En conclusion ce film est oubliable. Dommage.
Une ambiance très particulière se dégage de ce film. C'est une histoire captivante, mystérieuse et apocalyptique. Il ne faut pas s'attendre à de grosses scènes d'action. Il y en a, mais l'essentiel se passe dans la tête. De la bonne science fiction en somme.
Ce film de science-fiction, qui est sorti cet été au milieu d’un été plutôt calme, est une parenthèse rafraichissante au milieu de journées très chaudes. Petit budget avec de grandes ambitions, c’est un film avec une grande sensibilité écologique mais qui est limité dans ses capacités visuelles.
Ce film est, d’un point de vue imaginaire et contexte, totalement super : on plonge facilement dans l’ambiance mise d’entée, on a plaisir à découvrir l’environnement de l’héroïne et on n’a aucun mal à vivre ce qu’elle vit et ressent. La sensibilité passe très bien, et quelque part tant mieux car c’est le point le plus mis en avant dans ce film.
Concernant le contenu, le déroulement, là par contre ça coince un peu : le manque de budget a imposé de faire des choix de scénographie plutôt sombres, de nuit, et on ne profite pas assez de cet univers de jour, avec possiblement des visuels ou des effets encore plus impressionnants. Ce film ne veut pas s’inscrire dans les films de science-fiction classiques, notamment par son manque de « grandes scènes d’actions », mais j’avoue regretter ce manque : certes l’intrigue est plaisante, une bonne partie des visuels superbes, le message véhiculé important, mais un peu plus d’action ne m’aurait pas déplu.
Faisons un point maintenant sur les trois acteurs principaux.
- Raffiella Chapman, qui interprète Vesper, tient parfaitement son rôle. C’est le personnage principal, on la suit tout au long du film, et c’est un excellent choix. Une très bonne actrice, aucune fausse note, une futur grande !
- Eddie Marsan, qui interprète Jonas, tient relativement bien son rôle. J’aime son personnage mais je ne l’aurais pas vu le tenir, manque de charisme à mon goût pour le personnage et j’aurais bien vu Richard Brake à sa place, qui a une meilleure présence à l’écran (mais le rôle de Darius est cependant super bien tenu).
- Rosy McEwen, qui tient le rôle de Camélia, joue bien mais son personnage mais manque de travail, d’approfondissement. On aimerait en savoir plus sur les citadelles, à travers ce personnage, et je trouve que c’est trop limité hélas.
Je mets à ce film une note de 3,5/5 à ce film : un univers magnifique, une imagination très forte, et un potentiel très visible (hâte de voir un développement futur au niveau des citadelles notamment). De plus le message véhiculé dans ce film est important, l’écologie et la lutte entre les classes sociales, est quelque chose qui est de plus en plus d’actualité. Cependant le scénario est trop plat, manque cruel d’action, et le budget limité se ressent dans les choix visuels réalisés. Vivement la suite, avec un budget plus conséquent, une série de 2 ou 3 films peut devenir une référence pour une génération (remettre la créativité et l’imagination en avant pour construire, donner envie de construire) !
Ce film est, d’un point de vue imaginaire et contexte, totalement super : on plonge facilement dans l’ambiance mise d’entée, on a plaisir à découvrir l’environnement de l’héroïne et on n’a aucun mal à vivre ce qu’elle vit et ressent. La sensibilité passe très bien, et quelque part tant mieux car c’est le point le plus mis en avant dans ce film.
Concernant le contenu, le déroulement, là par contre ça coince un peu : le manque de budget a imposé de faire des choix de scénographie plutôt sombres, de nuit, et on ne profite pas assez de cet univers de jour, avec possiblement des visuels ou des effets encore plus impressionnants. Ce film ne veut pas s’inscrire dans les films de science-fiction classiques, notamment par son manque de « grandes scènes d’actions », mais j’avoue regretter ce manque : certes l’intrigue est plaisante, une bonne partie des visuels superbes, le message véhiculé important, mais un peu plus d’action ne m’aurait pas déplu.
Faisons un point maintenant sur les trois acteurs principaux.
- Raffiella Chapman, qui interprète Vesper, tient parfaitement son rôle. C’est le personnage principal, on la suit tout au long du film, et c’est un excellent choix. Une très bonne actrice, aucune fausse note, une futur grande !
- Eddie Marsan, qui interprète Jonas, tient relativement bien son rôle. J’aime son personnage mais je ne l’aurais pas vu le tenir, manque de charisme à mon goût pour le personnage et j’aurais bien vu Richard Brake à sa place, qui a une meilleure présence à l’écran (mais le rôle de Darius est cependant super bien tenu).
- Rosy McEwen, qui tient le rôle de Camélia, joue bien mais son personnage mais manque de travail, d’approfondissement. On aimerait en savoir plus sur les citadelles, à travers ce personnage, et je trouve que c’est trop limité hélas.
Je mets à ce film une note de 3,5/5 à ce film : un univers magnifique, une imagination très forte, et un potentiel très visible (hâte de voir un développement futur au niveau des citadelles notamment). De plus le message véhiculé dans ce film est important, l’écologie et la lutte entre les classes sociales, est quelque chose qui est de plus en plus d’actualité. Cependant le scénario est trop plat, manque cruel d’action, et le budget limité se ressent dans les choix visuels réalisés. Vivement la suite, avec un budget plus conséquent, une série de 2 ou 3 films peut devenir une référence pour une génération (remettre la créativité et l’imagination en avant pour construire, donner envie de construire) !
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