Dans les temps anciens, un savoir martial,
Un joyau du passé, son histoire, sans égal.
Son périple débuta au dix-neuvième siècle,
Un héritage transmis, une entrée en cercle.
Mouvements circulaires, une grâce sans pareille,
Spirales et fluidité, dans l'éclat du combat vermeil.
Défense et attaque, enchevêtrées de main de maître,
Une danse de puissance, à la fois douce et fière.
Force interne, une croyance fondamentale,
Cultiver le Qi, soulagement du guerrier central.
Avec Tai Chi et Xingyi, il s'harmonise,
Canalisant l'énergie, dans les limites de la mise.
Sagesse taoïste, son essence émane,
Cœur de Bagua, avec le Tao, la flamme.
Le symbole du Bagua, une carte qui guide,
Imprégnant ses mouvements, une danse fluide.
Changements de paume vifs, jeu mystique,
Ouvrant la voie, dans la gamme du tactique.
Contrôle et maîtrise, en chaque main,
Une danse de pouvoir, une position stratégique soudain.
Équilibre, souplesse, il prodigue,
Un voyage sain, à mesure que la vie fluctue.
Le flux du Qi, un courant vital,
Dans le Baguazhang, un rêve de guérison, un récital.
Armes en suspens, leur éclat persistant,
Sabres larges, bâtons, le thème du combattant.
Couteaux en forme de cornes et savoir ancestral,
Enrichissent son essence, à jamais monumental.
Lignées et styles, une diversité d'art,
Avec des techniques uniques, chacun joue sa part.
Dans le royaume du Baguazhang, ils s'expriment de concert,
Une tapisserie de compétence, un cœur martial ouvert.