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    À bout de souffle
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    gerard stevenson
    gerard stevenson

    20 abonnés 836 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 janvier 2025
    Oui, je suis plus cinéma d'action, plus comédie et peu cinéma "intellectuel". Alors parfois je me force à aller dans ce créneau. Là c'est chez Jean-Luc Godard. Pour mon premier film de la filmographie de ce réalisateur, j'ai choisi sans doute son film le plus connu : "A bout de souffle".
    Et bien, cela me réconcilie pas vraiment avec ce genre de cinéma.
    Si c'est le style Godard, c'est pompeux, c'est beaucoup de bla bla, Cela donne l'impression qu'il n'y a aucune direction des acteurs. C'est récite ton texte (si tu as du talent comme ici Jean-Paul Belmondo et un degré moindre Jean Seberg, cela passe), je filme, peu importe qu'il y ait un scénario ou pas.
    Enfin, j'aurai vu ce film "culte".
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 400 abonnés 4 246 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 décembre 2024
    Avec "À bout de souffle", Jean-Luc Godard pose les jalons de la Nouvelle Vague. Ce récit fragmenté et audacieux, centré sur un voyou en fuite interprété avec désinvolture par Jean-Paul Belmondo, mêle romantisme désabusé et modernité cinématographique. La mise en scène, marquée par l’usage innovant du montage et des plans séquences improvisés, respire une liberté qui a redéfini le langage du cinéma. Si cette approche révolutionnaire est fascinante, elle peut également laisser une impression d’arbitraire, parfois au détriment de l’émotion et de l’engagement narratif. Un film qui brille par son audace et son style, plus que par sa profondeur, mais dont l’impact historique reste indéniable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 décembre 2024
    Découvrir les images qui ont inspirées tant de cinéma que j'aime et pourtant rester en dehors d'un film que j'ai trouvé cependant, plus aimable que Pierrot le fou.
    AdriBrody
    AdriBrody

    11 abonnés 628 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 novembre 2024
    Ce qui est assez fort avec Godard, c'est qu'en moins de 5 minutes, je sais que ça va me gonfler. Début de film risible donc et un Belmondo à côté de ses pompes, une introduction à la fois trop rapide et trop lente, c'est assez fort. Les dialogues sont comme toujours écrits juste pour sonner intelligents mais qui n'ont aucun sens ou aucun intérêt.
    Franck J P
    Franck J P

    4 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 août 2024
    absolument incontournable pour l'histoire du cinéma français moderne, cet A bout de souffle dévoile aujourd'hui la faiblesse de sa construction largement compensée par ses audaces et la liberté des acteurs. Plutôt une histoire d'amour avortée et même pas un film de gangster, ce parcours dans un Paris grisaille continue à nous tenir en haleine grâce à la bande son décalée.
    mickael l.
    mickael l.

    43 abonnés 92 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2024
    Quel ennuie , c'est lent mou..... La nouvelle vague était vraiment pas mon délire sauf Chabrol. . Mais là c'est ennuyeux,...
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 458 abonnés 4 467 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mars 2024
    Godard n’est pas vraiment un réalisateur classique, c’est le moins de le dire, et j’ai même envie de dire, il fait dans l’expérimental, aussi, il faut être prêt ! Pour ma part, je trouve qu’un peu comme la pissotière de Duchamp, ça passe à petite dose, mais faut pas trop pousser ! Ici, le film profite clairement de ses acteurs. Jean Seberg est superbe, elle est d’un naturel désarmant, elle étincelle et forme un duo mémorable avec un Belmondo que j’ai trouvé, pour une fois, excellent dans son style décontracté, viril et volontiers macho ! Il n’a pas encore cédé à la caricature dont il va malheureusement se revêtir dans les années suivante. Leur duo fonctionne à merveille et j’ai envie de dire, c’est l’atout majeur du film. En effet, sans eux, le film aurait été peu entousiasmant. Le film n’a pas vraiment d’histoire. Le meurtre est un vague prétexte à justifier la conclusion, mais sinon, il ne sert à rien. Imaginez votre journée classique. Ben le film représente ça. En gros, le quotidien basique d’un couple à l’amour chaotique. C’est souvent répétitif, l’obsession de Belmondo à coucher avec Seberg devient limite grotesque, les dialogues sont artificiels et parfois ridicules, et pourtant, d’autres fois, ils sont plus poétiques et presque touchants, voire drôles. On sent que Godard parvient quand même à toucher à une certaine dimension atemporelle et universelle avec son approche déconcertante et réellement nouvelle du cinéma, et faut avouer que même si l’exercice est parfois balourd et maladroit, et aurait pu être vraiment ennuyant s’il avait duré plus qu’une heure 30, il s’avère globalement plutôt réussi, et en tout cas, plus réussi que beaucoup d’autres Godard plus tardifs. Il y a encore une sorte de candeur touchante dans l’exercice, qu’accentue peut-être le cadre années 60, que va perdre Godard dans la plupart de ses films ensuite, en se répétant et en surjouant ses effets.
    Visuellement, le film n’est pas exceptionnel. Le noir et blanc est un peu gris, le cadre du métrage c’est un appartement pour l’essentiel, et je ne peux pas dire que le film saisisse très bien l’ambiance du Paris des années 60. La mise en scène se veut assez expérimentale également, avec des coupes brutales, un montage abrupt, parfois à la limite du compréhensible. On notera aussi cette propension du réalisateur a esquivé ce qui fait d’ordinaire le nœud d’un film, en particulier toutes les scènes clés du scénario qui sont elliptiques (comme le meurtre, mais aussi, les scènes d’amour entre les deux amants). Malgré tout, le film atteint un certain rythme grâce à cette réalisation, et ça reste lisible avec de l’attention. Pour ma part, je dois dire que si Godard essaye de casser son jouet cinématographique, il conserve assez de rigueur classique pour ne pas faire un gloubi-boulga insupportable.
    Très sincèrement, A bout de souffle n’est pas pour moi un chef-d’œuvre. Si on considère que ce qui est neuf est chef-d’oeuvresque, alors peut-être l’est-il à ce titre. Sinon, ça reste un film original, mais assez vain, parfois servi par des dialogues ridicules et des seconds rôles qui laissent pantois. Très clairement, son duo principal, mémorable et excellent relève principalement l’intérêt de ce film, à mon sens surtout entrer dans la légende pour ça, comme un célèbre film de Vadim. Ca reste un des Godard les plus regardables, et les amateurs d’ambiance singulière trouveront assez d’excentricité dans ce métrage pour se laisser embarquer dans le film sans souci. 3
    Rafael Simonneau
    Rafael Simonneau

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mars 2024
    Tout simplement le meilleur film de tout les temps qui révolutionne le cinéma pour toujours. Bravo au meilleur de tous Godard
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    43 abonnés 2 534 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2024
    S'inspirant de la série noire policière, Godard réalise un film, comme on le sait, hors norme et novateur, premier film qui est l'aboutissement de l'oeuvre critique du cinéaste. En dépit que le sujet et le scénario, relatant la cavale -ou plutôt les déambulations- dans Paris du petit truand Michel Poiccard, tiennent à peu de choses.
    Tant dans la forme que dans l'esprit, Godard se détourne du "classicisme" et des conventions, et en particulier il réinvente le cinéma policier. Tournage en extérieurs (en l'occurence dans les rues de Paris), mobilité de la caméra et, surtout, montage déjouant les raccords usuels ou traditionnels, sont autant de façons qui donnent une vitalité nouvelle au récit filmique. Et n'oublions pas que Godard a toujours dit qu'il voulait faire tout ce qui ne se faisait pas à l'époque. De fait, la mise en scène, même à revoir le film après quelques décennies, séduit toujours par sa légèreté, sa dynamique, ses coq-à-l'âne surprenants.

    La réalisation n'est pas tout. "A bout de souffle", c'est aussi la fantaisie sur fond de références au film noir (voiture américaine, chapeau mou, hommage à Bogart..). Parfois improvisés, souvent saugrenus, les dialogues vont dans le sens d'une comédie policière, ainsi que l'interprétation par Belmondo d'un Michel Poiccard désinvolte et insouciant.
    Belmondo et Jean Seberg forment un couple étonnant. Dans le rôle de la charmante et candide Patricia, Jean Seberg sera amenée à jouer les femmes fatales comme au temps du polar américain que révère Godard. Iconoclaste, tout en respectant et admirant un genre, Godard réalise d'une certaine manière une parodie de film noir, un film ludique sans glamour ni aucune dramatisation.
    Spider cineman
    Spider cineman

    162 abonnés 2 067 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 octobre 2023
    Pas seulement un film français de référence, c est également un film charnière qui fait basculer le genre vers plus de liberté de réalisation, une réalisation sur la liberté... un nouveau souffle pour le cinéma
    Booboot89
    Booboot89

    26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mai 2023
    Évidemment, on ne peut pas voir ce film 60 ans après sa sortie comme il a été découvert par les spectateurs des années 60. La forme est à la fois radicale (plans séquences remarquables, cuts brutaux, alternance de voix off et de son ambiants) et très classique (photo superbe, BO de Solal magnifique). Mais du fond, que dire ? Dialogues à l'oralité littéraire, histoire d'un homme et d'une femme qui se cherchent, fable absurde et nihiliste servie par un duo d'acteurs d'une élégante beauté,, humour désabusé... A bout de souffle est un film fondateur, un classique et une oeuvre phare du cinéma mondial
    Ça tourne
    Ça tourne

    29 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2023
    « Quelle est votre plus grande ambition dans la vie ? Devenir immortel et puis mourir. » Telle est la question posée par Jean Seberg à Jean-Pierre Melville. Quelle phrase pourrait davantage représenter ce magnifique film de Godard ? Ecrire, filmer, faire de l’art tout simplement, c’est bien évidemment devenir immortel. Mais l’on finit toujours par mourir quoiqu’on fasse, même si l’on parvient à laisser des œuvres, tracées d’un geste sublime, comme a su si bien le faire JLG. Mais l’amour, n’est-ce pas aussi devenir immortel ? Assurément. Mais là aussi, on conclut toujours son histoire en y laissant sa peau dans une chute symbolique ou réelle parce que l’amour est dangereux et que l’amour fait peur. Et l’amour, c’est bien ce que les deux personnages fuient et cherchent pendant tout le film en répétant à tours de bras les « je t’aime, moi non plus ». Pourtant, c’est ce qui poussera Belmondo à poursuivre Seberg et Seberg à balancer Belmondo. Absurde ? Je ne panse pas. Qu’est-ce que la passion amoureuse si ce n’est d’agir en totale déraison en brûlant tout autour de soi ? Pour y échapper, on finit tous par, à bout de souffle, livrer notre amant qui nous dira « c’est vraiment dégueulasse ! » et que nous prendrons pour un un « vous être vraiment un·e dégueulasse ! » Et cela, JLG le dresse parfaitement.
    Philippe V50
    Philippe V50

    12 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2023
    Le film culte de la Nouvelle Vague, Belmondo est épatant et Godard affirme son sens de la mise en scène. Si il y a un film a voir de Godard c'est celui la.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 décembre 2022
    Pas de scénario, aucun sens, aucune esthétique, des dialogues semblant être improvisés, des gros plans tombant comme un cheveu sur la soupe... A croire que Godard a écrit le film à partir d'un brouillon, qu'il a fait jouer ses acteurs en une seule prise et qu'il a fait le montage complètement alcoolisé.
    Toute l'oeuvre de Godard comme toute la Nouvelle Vague est à jeter dans la même poubelle que "l'art contemporain".
    Thomas Milorini
    Thomas Milorini

    10 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2022
    Film visionnaire, relation touchante, un Jean-Paul Belmondo qui crève l'écran.. Non ce film n'est pas parfait, mais bon dieu ce qu'il est essentiel dans cette période qu'est la Nouvelle Vague
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