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Hugo Poisson
2 abonnés
65 critiques
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3,5
Publiée le 10 juillet 2024
Un concept un peu tiré par les cheveux mais qui permet de relayer des sujets de société peu abordés. En effet, jusqu’où est-on prêt à aller pour de l’argent ? Peut-on régner sa dignité au profit d’une somme importante ? Est-ce que tout s’achète ? Les riches et puissants ont-ils une limite à leur mégalomanie ? Il y a certaines choses que l’argent ne compensera jamais. Jamel dans le rôle d’un « jouet » qui est au final plus un père en devenir en opposition avec Daniel Auteuil qui ressemble plus à un robot au service de son fils. Un bon film pour se détendre avec une jolie morale.
Ce remake d’un film des années 70 est une agréable surprise. Elle reprend les situations comiques de l’original en y intégrant des thèmes plus contemporains. Certaines situations sociales n’évitent pas les clichés mais le face à face Djamel / Auteuil tient toutes ses promesses. Les bons sentiments naïfs font parfois du bien
J'aimais beaucoup LE JOUET avec Pierre Richard et je pensais qu'il serait impossible de rivaliser. Et finalement c'est réussi, j'ai beaucoup ri. Bravo à Jamel Debbouze qui dans tous ses films est hilarant
5 Étoiles, histoire de remonter un peu la note. C'est loin d'être si nul que certaines critiques le disent même si ce n'est pas un chef d'oeuvre non plus. C'est dingue le nombre de gens aigris ici je trouve.
Ce film d'apparence anodin et même simpliste, regorge de superbes jeux de mots ainsi que d'une philosophie de vie magnifique (((-: qui — pas par hasard — est presque identique à la mienne :-))). Toutes les scènes sont très humain, avec des petits mimiques ou attitudes subtils… tout simplement gé-ni-al :-) Il est fort probable que la plupart des critiques de ce film ont une vie merdique ne sachant pas jouir des plaisirs simples, ni de voir le bon côté des choses… car est-ce qu'une critique ne révèle-t-elle pas toujours sur son auteur que sur le support décrit ? CQFD.
Le jeu des acteurs n'est pas mauvais, au contraire. Surtout Daniel Auteuil. Les dialogues ne sont pas terribles en revanche. L'humour du film et jamel debbouzze sont un peu lourd, avec un style qui faisait peut-être fait rire il y a 20 ans, mais aujourd'hui c'est du réchauffé. On a la triste impression que personne n'ose dire à jamel debbouzze, qu'il n'est plus drôle et surf sur une vague trop ancienne. En bref le sujet est certes malheureusement encore d'actualité, mais la manière de le traiter paraît à côté de la plaque.
Je suis entrain de le regarder sur ciné + premier et comment je me force pour continuer ! La version de Pierre Richard est culte car il touche le décalage sociale des individus, permettant aux plus riches de comprendre les plus pauvres et vice versa ! La version que je regarde avec Debouzze est d'un nullissime. J'hallucine en direct là !!! J'écris le commentaire et je le regarde à côté !!! C'est nuuuuuulllllllll !
Au bout de 30mn, j'ai envie de penser que cette version est faite pour les rebeus qui veulent avoir une idée de ce que peut être la gauche caviar avec ...comme par magie...la solution aux problémes d'un p'tit gosse qui a perdu sa maman et qui en fait le drame de sa vie refoulant tout ce qui vient de son pére. Pierre Richard avait donner un sens au petit garçon, le travail de journaliste, la débrouillardise et le respect ! La c'est de la bouffonerie dont rien ne sort, le gosse fait des vidéos youtube, recadre debouzze quand il fait le neuneu !
Beurrrrk le film mais beuuurk, pourtant j'adore debouzze , mais il n'est pas fait pour faire de l'humour qui inculque des fondements aux futurs générations !!!
Un remake modernisé avec humour. Les acteurs sont plutôt agréables dans le film mais il faut être honnête, en soi... c'est un nanar. Le scénario est assez débile et prévisible. Les bons sentiments surpassent les luttes de classe et les intérêts économiques. Alors le cgtiste crie "vive le patron" et le patron rouvre une usine parce qu'il a un cœur. Bref... ça ne va pas bien loin mais c'est une comédie légère. Pour la nuance et la subtilité, on repassera.
"Le nouveau jouet" est le remake du film de Francis Veber de 1979. Jamel Debbouze remplace Pierre Richard dans le rôle principal du Jouet et Daniel Auteuil remplace Michel Bouquet. L'histoire est modernisée et se veut plus sociale. Au début, on se dit que Jamel va faire du Jamel et on se retrouver devant un one man show. Et ben non au fil des minutes, ils rentrent bien dans le rôle et les interactions avec l'enfant sont réussis. Un bon moment au final malgré un scénario limité.
Désormais, le cinéma français pioche dans son riche patrimoine ancien pour dénicher de “nouvelles” idées de comédie. Retravailler celle-ci n’est pas forcément une mauvaise idée dans le contexte actuel même si le côté surprenant et distopique que pouvait avoir l’original en 1976 a disparu dans la foulée. Ramené (un peu plus) à hauteur d’enfant, ‘Le nouveau jouet’ n’est pas un échec, même s’il n’est pas non plus une grande réussite : le personnage de Daniel Auteuil est moins infect que ne l’était celui de Michel Bouquet, le gamin est toujours aussi insupportable et Jamel Debouzze a la bonne idée de ne pas chercher à émuler Pierre Richard et préfère trouver son propre style. Hormis quelques réseaux sociaux en plus et un côté plus bling-bling, la nouvelle version s’avère donc relativement fidèle à son modèle : elle se voit également adoucie ici et là, sûrement parce que le monde capitaliste est devenu beaucoup moins brutal depuis les années 70 (ahem). Sans doute était-ce le prix à payer pour qu’il conserve son statut de comédie familiale dans les années 2020.
Une comédie qui, d'une manière un peu gros sabots, pose quelques questions de société. D'un côté le monde du capitalisme foisonnant et la vie des ultra-riches (l'argent rend t-il si heureux ?), et de l'autre les classes très populaires vivant dans les cités. Que se passe t-il lorsque ces deux mondes se rencontrent ? C'est Jamel Debbouze qui s'y colle. Malgré tous ses efforts, et sur une tonalité humoristique, parviendra t-il à concilier ces deux mondes que tout oppose ? Cette version revisitée prête à sourire de temps à autre, sans être transcendantale.