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Votre avis sur La Loi du marché ?
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Bonjour tout le monde,
Magistral film politique, social et humaniste !
Amicalement.
Gérard Michel
Magistral film politique, social et humaniste !
Amicalement.
Gérard Michel
En tant que lycéen, ce film m'a bouleversé. D'une part avec le rapport de la vie au sein d'une société déshumanisée, mais qui reste à la fois réaliste. D'autre part grâce à la tonalité tragique, ainsi les effets utilisés (peu voir pas de musique, la caméra épaule, des). On est comme plongé avec le personnage principal dans cet infernal cercle vicieux. Thierry, chômeur, essayant de faire tout son possible pour combler sa vie de famille, sacrifiant sa santé mental et son honneur en tant qu'Humain. En restant d'une approche personnel du film, ce qui m'a bouleversé c'est le fait que se rôle qu'incarne Vincent Lindon peut arriver à n'importe qui, et inspire à la jeunesse dont j'en fait parti (même si cela peut s'interpréter comme irréaliste à la faute d'un manque d'optimisme) que même si notre acharnement, notre assiduité, notre rigueur à l'Ecole. Une part d'incertitude est toujours présente avec notamment l'insécurité de l'emplois, la valeur de notre statut social, etc. Nous ne pouvons pas vaincre la société, car nous somme la société, et même d'une vision humaniste, cela ne sera qu'une utopie.
L’archétype de ce qu’il ne faut pas faire en matière de cinéma « social » : partir d’un postulat, ce monde est pourri, et ne pas aller plus loin. Scénario indigent, intrigue inexistante, personnages transparents… Ce truc prétentieux qui passe son temps à enfoncer des portes ouvertes, encensé par la critique pour des raisons pas cinématographiques du tout, ne mérite pas d’être vu. Courrez plutôt chez Robert Guédiguian ou, évidemment, Ken Loach.
Assez déçu par ce film de Brizé. il m'avait habitué à plus d'intensité sociale. Dommage mais pas mal tout de même.
"La Loi du marché", dirigé par Stéphane Brizé, est une œuvre remarquable qui aborde avec une justesse rare les réalités brutes du monde du travail contemporain. Vincent Lindon, dans le rôle de Thierry, livre une interprétation d'une authenticité saisissante, incarnant avec une sobriété exemplaire un homme confronté à la précarité et aux dilemmes moraux du marché de l'emploi.
Ce qui rend ce film particulièrement poignant, c'est son approche presque documentaire. Brizé, avec une mise en scène épurée et des dialogues qui sonnent incroyablement vrais, parvient à capturer l'essence de la lutte quotidienne de nombreux travailleurs. Il évite tout dramatisme superflu, préférant laisser les situations parler d'elles-mêmes, ce qui amplifie l'impact émotionnel de l'histoire.
La façon dont "La Loi du marché" traite des thèmes comme la dignité, le sacrifice et les choix difficiles auxquels sont confrontés ceux qui se battent pour garder un emploi est à la fois édifiante et déchirante. Ce n'est pas seulement un film, c'est un miroir tendu à notre société, un appel à la réflexion sur les valeurs et les compromis dans le monde du travail moderne. Un film mature, réfléchi, et absolument essentiel.
Ce qui rend ce film particulièrement poignant, c'est son approche presque documentaire. Brizé, avec une mise en scène épurée et des dialogues qui sonnent incroyablement vrais, parvient à capturer l'essence de la lutte quotidienne de nombreux travailleurs. Il évite tout dramatisme superflu, préférant laisser les situations parler d'elles-mêmes, ce qui amplifie l'impact émotionnel de l'histoire.
La façon dont "La Loi du marché" traite des thèmes comme la dignité, le sacrifice et les choix difficiles auxquels sont confrontés ceux qui se battent pour garder un emploi est à la fois édifiante et déchirante. Ce n'est pas seulement un film, c'est un miroir tendu à notre société, un appel à la réflexion sur les valeurs et les compromis dans le monde du travail moderne. Un film mature, réfléchi, et absolument essentiel.
J'ai bien aimé ce film de Stéphane Brizé, avec un Vincent Lindon qui joue le rôle de Thierry, ce chômeur de 51 ans, voulant absolument trouver du travail mais ce confrontant au monde actuel, du refus. Vincent Lindon est vraiment bon dans ce film.
les 45 premières minutes m'ont vite fait regrétés d'avoir démarré le film, c'est mou...
Passé cela, on arrive enfin dans le vrai film ou Vincent Lindon devient vigile.
Et c'est à ce moment que le film devient réellement intéressant, car nous sommes à sa place de vigile.
Scrutant les moindres détails, ce film nous montre à quel point les dirigeants peuvent être peu scrupuleux à licencier du salarié pour ... 3x rien.
La BO on repassera mais est ce un point faible ici ? Non, au final on se concentre sur le propos et c'est pas plus mal.
A revoir ? Non plus, un film divertissant qui fait réfléchir mais j'ai vu bien mieux pour ça.
V.Lindon est tout de même bon quand même dans son rôle, pas simple à jouer.
Passé cela, on arrive enfin dans le vrai film ou Vincent Lindon devient vigile.
Et c'est à ce moment que le film devient réellement intéressant, car nous sommes à sa place de vigile.
Scrutant les moindres détails, ce film nous montre à quel point les dirigeants peuvent être peu scrupuleux à licencier du salarié pour ... 3x rien.
La BO on repassera mais est ce un point faible ici ? Non, au final on se concentre sur le propos et c'est pas plus mal.
A revoir ? Non plus, un film divertissant qui fait réfléchir mais j'ai vu bien mieux pour ça.
V.Lindon est tout de même bon quand même dans son rôle, pas simple à jouer.
le cinéma a été inventé pour s'évader, rêver, imaginer, distraire - bref tout ce que ce reportage qui aurait pu s'intituler : ne vous plaignez pas, on a trouvé un type en pire position ! quel ennui, quelle vision narcissique de Lindon, quel manque de la plus petite étincelle d'intérêt !
un film de débutant... pas de scénario écrit mais uniquement des improvisations (et si je me trompe c'est encore plus grave), un cameraman à qui on n'a pas pu acheter un trépied, un son pourri, pas de musique, des plans séquences interminables qui s'enchaînent sans trop de lien entre eux, des scènes inutiles, une fin bâclée...
Avec La Loi du Marché, Stéphane Brizé tente de recréer le réel pour servir un propos plus que jamais ancré dans notre époque.
Et c'est ce qu'il arrive à faire très souvent. Tout d'abord grâce à des comédiens, Vincent Lindon en tête, d'une authenticité et d'une justesse rare. Ça c'est à mettre au crédit de Brizé. Il y a aussi toutes ces (parfois trop) longues séquences malaisante, des affrontements parfois verbaux comme l'entretien en introduction chez Pôle Emploi, ou la négociation interminable avec l'acheteur du mobil home de Thierry, ou parfois muet comme quand Titi se fait terminer en stage de communication, il est obligé d'encaisser et de se taire. Ça rejoint tout ce fil rouge sur la déshumanisation, la délation, aucune entraide entre confrères, entre collègues, et même le rôle du numérique et des machines. Sur ce point c'est une grande réussite.
En plus de cela, au début on retrouve une impression de neutralité, que le spectateur peut développer son opinion tout seul, et dans ce genre de film social je pense que c'est la bonne voie à suivre (j'y reviendrai plus tard).
Malgré un rythme et un montage qui me convienne, le film s'enferme un toujours dans le même prisme, et ça devient un peu lourd par moment. C'est la qu'on voit aussi toute les limites technique du dispositif utilisé.
Mais ma vraie limite avec le film est tout simplement qu'il dépeint un avis biaisé du réalisateur. Les personnages (chômeurs ou employés) sont toujours montrés en victime, les dirigeants en bourreaux, c'est trop facile et pas honnête. [SPOILER : Le parallèle avec le discours du DRH sur le suicide de la caissiere quelque temps après s'être fait virer à cause des vidéos que Thierry à fait remonter à la direction, trouvant d'autres excuses (fils drogué, situation financière déplorable) est intéressant avec la vision qui nous est montrée, tourner une réalité dans notre sens].
Après on peut aussi trouver plusieurs éléments sans intérêt, comme l'ajout d'un fils handicapé ou les cours de danses, mais ce n'est pas tant gênant.
Donc voilà, un film qui réussit à donner une impression de réel, qui peut compter sur des comédiens bluffant, servant un fond très intéressant mais biaisé malheureusement. Ce film reste tout de même bien moins énervant que la plupart des films sociaux français.
Et c'est ce qu'il arrive à faire très souvent. Tout d'abord grâce à des comédiens, Vincent Lindon en tête, d'une authenticité et d'une justesse rare. Ça c'est à mettre au crédit de Brizé. Il y a aussi toutes ces (parfois trop) longues séquences malaisante, des affrontements parfois verbaux comme l'entretien en introduction chez Pôle Emploi, ou la négociation interminable avec l'acheteur du mobil home de Thierry, ou parfois muet comme quand Titi se fait terminer en stage de communication, il est obligé d'encaisser et de se taire. Ça rejoint tout ce fil rouge sur la déshumanisation, la délation, aucune entraide entre confrères, entre collègues, et même le rôle du numérique et des machines. Sur ce point c'est une grande réussite.
En plus de cela, au début on retrouve une impression de neutralité, que le spectateur peut développer son opinion tout seul, et dans ce genre de film social je pense que c'est la bonne voie à suivre (j'y reviendrai plus tard).
Malgré un rythme et un montage qui me convienne, le film s'enferme un toujours dans le même prisme, et ça devient un peu lourd par moment. C'est la qu'on voit aussi toute les limites technique du dispositif utilisé.
Mais ma vraie limite avec le film est tout simplement qu'il dépeint un avis biaisé du réalisateur. Les personnages (chômeurs ou employés) sont toujours montrés en victime, les dirigeants en bourreaux, c'est trop facile et pas honnête. [SPOILER : Le parallèle avec le discours du DRH sur le suicide de la caissiere quelque temps après s'être fait virer à cause des vidéos que Thierry à fait remonter à la direction, trouvant d'autres excuses (fils drogué, situation financière déplorable) est intéressant avec la vision qui nous est montrée, tourner une réalité dans notre sens].
Après on peut aussi trouver plusieurs éléments sans intérêt, comme l'ajout d'un fils handicapé ou les cours de danses, mais ce n'est pas tant gênant.
Donc voilà, un film qui réussit à donner une impression de réel, qui peut compter sur des comédiens bluffant, servant un fond très intéressant mais biaisé malheureusement. Ce film reste tout de même bien moins énervant que la plupart des films sociaux français.
La loi du cinéma français , faire des films ennuyeux ou débile , mal filmé ,mal joué ?
Ici, dès le début, on s'ennuie ferme et les acteurs ne sont pas foutus de prononcer une phrase en entier
sans la couper de heu ou de euh; chers à de nombreux politiciens et journalistes.
Le film ne rend pas débile comme les séries françaises, HPi, Candice renoir ou autres Magellan...il rend ennuyé et pressé d'éteindre sa télé ou de changer de chaîne ou de sortir regarder les oiseaux.
Pas de paysage, pas de scénario, pas d'acteurs sachant parler, pas de montage ?,
On peut faire un film militant pour dénoncer le capitalisme et son inhumanité, ses travers, ses perversions, ses inégalités, sa cruauté, ses guerres, sa croissance destructrice mais ce n'est pas la peine d'en faire un film d'un ennui mortel.
Je mets une demie étoile mais ça mérite 0.
Ici, dès le début, on s'ennuie ferme et les acteurs ne sont pas foutus de prononcer une phrase en entier
sans la couper de heu ou de euh; chers à de nombreux politiciens et journalistes.
Le film ne rend pas débile comme les séries françaises, HPi, Candice renoir ou autres Magellan...il rend ennuyé et pressé d'éteindre sa télé ou de changer de chaîne ou de sortir regarder les oiseaux.
Pas de paysage, pas de scénario, pas d'acteurs sachant parler, pas de montage ?,
On peut faire un film militant pour dénoncer le capitalisme et son inhumanité, ses travers, ses perversions, ses inégalités, sa cruauté, ses guerres, sa croissance destructrice mais ce n'est pas la peine d'en faire un film d'un ennui mortel.
Je mets une demie étoile mais ça mérite 0.
Un très bon film,superbement interprété.le thème est bien analysé que ce soit les difficultés pour trouver un emploi et le cynisme des recruteurs, la vie des parents d’un enfant handicapé avec ses difficultés financières et essentiellement le quotidien d’un hypermarché,des caissières et des clients.La triste loi du marché!Très émouvant avec Vincent Landon excellent acteur plus vrai que nature.
Cinéma naturaliste. On se dit qu'être dans la situation de ce personnage pourrait nous arriver à tous. On n'en ressort pas avec la pêche. Les scènes sont allongées pour marquer le malaise. 3,5/5 pour le côté documentaire
Je trouve ce film chiant ennuyeux Longué pourquoi le réalisateur a-t-il trouvé la nécessité de mettre chez un chômeur de plus de 50 ans en plus un fils handicapé faut vraiment faire pleurer dans les chaumières c'est du n'importe quoi
Un scénario convenu, mal filmé, mal joué... une vraie bouse quoi !
Prix d'interprétation pour Lindon ! On se fout de nous. Il "traverse" le film avec toujours la même expression, que ce soit à Pôle emploi, en entretien, avec sa femme, son fils handicapé...
Aucune révolte, pas la moindre manifestation, en fait, l'art de ne pas jouer.
Pauvre cinéma français. Et on se sert de nos impôts pour subventionner cette daube.
A fuir !
Prix d'interprétation pour Lindon ! On se fout de nous. Il "traverse" le film avec toujours la même expression, que ce soit à Pôle emploi, en entretien, avec sa femme, son fils handicapé...
Aucune révolte, pas la moindre manifestation, en fait, l'art de ne pas jouer.
Pauvre cinéma français. Et on se sert de nos impôts pour subventionner cette daube.
A fuir !
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