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    Antiviral
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    149 critiques spectateurs

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    Mia Wallace
    Mia Wallace

    13 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2023
    Encore plus à l'heure actuelle où certaines personnes font des choses ahurissantes vis-à-vis de leur idole, ce film met le doigt sur une absurdité affligeante !
    Une idée originale, bien écrite et cohérente, le tout dans une ambiance glauque, pesante et malaisante !
    Un des films les plus accessibles du films Cronenberg.
    Vador Mir
    Vador Mir

    253 abonnés 766 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 février 2023
    Il semblerait que David Cronenberg ait dans ses tiroirs des scénarios intéressants qu'il refile à son fils. Hélas, l'exécution est maladroite et parfois puérile.
    Sosa
    Sosa

    9 abonnés 368 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 octobre 2022
    Cronenbergien; Facinant, hypnotysant, malsain
    Parmi les métrages étrange, celui ci est l'un de mes favoris.
    Caleb Landry jones est excellent.
    Jefferson A.
    Jefferson A.

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2022
    Très bon premier film pour Cronenberg fils. On reconnaît évidemment l'influence du père. Pour ce qui est de l'histoire, c'est plutot surprenant et glauque. Certes il y a des maladresses scénaristiques, mais formellement on sent le potentiel.
    Et "Possessor" est un grand film.
    Steve Le Pogam
    Steve Le Pogam

    2 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 décembre 2021
    Les amateurs de plausibilité devraient passer leur chemin.
    On est ici en pleine science-fiction hypnotique et c'est un voyage graphique et lunaire qui attend ici chacun de ceux qui oseront l'aventure.
    Du véritable septième art !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    664 abonnés 2 948 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 janvier 2021
    La première réalisation de Brandon Cronenberg, rejeton de David, délivre un long sentiment de malaise non en raison du cauchemar qu’il propose mais parce qu’il s’avère incapable de s’affranchir de l’ombre paternelle pour creuser son propre sillon esthétique. C’est un film sur rien qui ne vaut rien, convaincu depuis son premier plan jusqu’à sa clausule du génie de son geste radical ; le souci, c’est que sa radicalité ne dispose d’aucune personnalité, d’aucune vision du thème investi, en l’occurrence la fétichisation maladive des stars. À la place, le fiston se complaît dans un formalisme stérile et figé qui échoue à tenir un propos sur l’humanité. Rien, sinon des caricatures de caricatures, des prototypes humains qu’il s’amuse à disséquer et à piéger comme des rongeurs dans un labyrinthe. Nous louvoyons entre Cronenberg père, Darren Aronofsky et Lars von Trier, pour une mixture informe, incolore et inodore dont l’imagerie gore agace sans jamais choquer. Le cinéma est oublié. Nul doute qu’Antiviral le sera lui aussi.
    Cinememories
    Cinememories

    471 abonnés 1 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2021
    Un premier envol attendu pour Brandon Cronenberg, qui ne feint même pas la comparaison avec son paternel David. C’est avec une grande curiosité et une continuité saisissante qu’on finit par se jette dans les bras étouffants d’un nouveau cinéaste pour le grand écran. Tous deux cultivent ce style paranoïaque, qui ne brise pas toujours les esprits, mais qui reste dans les mémoires. Les exemples sont bien nombreux, mais c’est à une nouvelle palette dont nous avons à faire ici. Brandon opte ainsi pour une science-fiction, imbibée dans un univers viral, où la question d’idole est creusée à l’échelle de l’infiniment petit. Si les cellules définissent biologiquement un individu, on les détourne dans un récit qui appelle inévitablement la chair et le sang. Et de cette recette vitale et identitaire, on sent un réel désir de rupture avec la souche de l’obsession. L’idole n’est donc plus qu’une viande froide, dans un contexte où sa souffrance fait l’objet d’un commerce douteux.

    Nous pouvons, à raison, croiser ce portrait dystopique contemporain avec l’ombre d’un David qui plane. Tout comme les sujets de son récit, Brandon tente également la communion avec le cinéma de son père. Il est donc intéressant de ne pas prétendre immédiatement un détachement avec sa souche familiale et d’accepter cette œuvre comme une passerelle ou une forme d’approbation. Retrouvons alors Syd March (Caleb Landry Jones), figure symbolique de l’employé libéraliste, qui évolue dans une clinique, où l’herpès et autres virus des célébrités font l’objet d’une convoitise. Cette demande dépasse le constat spirituel du genre, car on n’impose plus de limites à l’incubation de maladies mortelles. Il s’agit d’une relation intime où la technologie se mêle au cannibalisme et vice-versa. Le corps n’a plus qu’à être partagé et assaisonné pour le plaisir d’un nouveau fan system, qui détériore à la fois l’identité et la légitimité même des consommateurs.

    On n’hésite donc plus à dévitaliser les personnages de leur éthique, mais c’est également dans ce type de développement que Cronenberg perd sans doute le contrôle. En laissant ses marionnettes humaines vagabondées dans un décor, qui a tout pour évoquer la fièvre dans une boîte de pétri, il en oublierait presque qu’il y a davantage de caractérisations qui les attends au-delà d’une fonction cellulaire. L’intrigue relâche un peu trop souvent la tension et se repose trop sur un concept qui s’essouffle à son premier tier. Ce qu’il nous reste à croquer vient de cette manière de présenter l’absurdité des idoles culturelles. On fantasme et on extrait de ces personnes l’empreinte même d’une existence qui n’a pas de sens dans un contexte de partage. Il s’agit d’une hallucination collective qui mène ainsi la majorité d’entre nous à hériter de cette obsession, vue alors comme la maladie la plus virale, où il n’y a que les idées reçues qui gagnent au jeu de l’excès. Mais une fois encore, cela manque d’être généreusement développé, à défaut de nous avoir fait germer cette piqûre de rappel.

    Bien qu’il ne s’agisse pas du même étalon que celui du paternel, « Antiviral » espère s’en approcher avec enthousiasme. En poinçonnant son parcours de dégoût corporelle, Brandon ne s’attend pas à restaurer « La Mouche » à travers sa gastronomie, non loin d’être incompatible, mais qui ne demande qu’à être perfectionné, en prenant la température avec ses aiguilles les plus stériles. Là où cela sonne creux par moment n’est qu’un teasing pour ce qu’il reste à venir, espérons-le fortement.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 364 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 décembre 2020
    Je ne vais pas écrire un essai sur Antiviral ça ne vaut pas la peine car l'idée derrière le film est bien trop tordue pour être plausible. Des célébrités malades vendues par milliers aux fans, de la viande clonée de célébrités (oui la viande) vendue pour un restaurant chic et dégoûtant ou autre vraiment. Donc au milieu de ce genre d'idées foireuses ce type a l'air aussi dérangé que l'histoire dans laquelle il est coincé parlant toujours comme s'il était sous sédatif chuchotant horriblement qu'il est difficile de saisir tout ce qu'il dit. Peu importe ce qui lui arrive vous ne pouvez éprouver aucune sympathie pour lui ni pour aucun autre acteur du film d'ailleurs. Vous les regardez simplement et espérez que le film se termine bientôt. Car il n'y a pas de rebondissement dans l'intrigue ou quoi que ce soit d'autre au niveau technique. Le film n'est pas si mauvais que ça même s'il a l'air bon marché c'est probablement un budget bon marché de toute façon et ça n'a pas vraiment d'importance car ce n'est pas le problème ici. Gagnez vraiment du temps sautez ce film et pendant que j'y suis la fin est terrible n'a pas beaucoup de sens la façon dont le héros se rétablit comme par magie et tout le reste car il n'y a pas de fin à cette méchanceté...
    mx13
    mx13

    236 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 novembre 2018
    C’est original mais les dialogues et la mise en scène sont ignobles. Le fils Cronenberg imite son père mais sort un film sans personnalité qui ne pense qu’à imiter. Imitation qui est d’autant plus ratée. Un scénario moyen. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 2/5
    Cyril J.
    Cyril J.

    24 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2018
    Dans un monde encore plus décadent, où le bon sens a disparu au profit des adorations, la commercialisation du fanatisme atteint un tel paroxysme qu’il existe des cliniques qui vendent les tares et les infections des idoles à leurs fans dégénérés. L’appât du gain et l’exploitation de ce nouvel opium sur les marchés noirs des infections poussent l’employé d’une de ces cliniques à se transformer en bouillon de culture ambulant afin de vendre au plus offrant son catalogue interne. Mais dans un monde sans vertu, dont il se revendique, il va falloir se heurter aux requins de la presse, de la maffia et des seigneuries médicales.
    Science-fiction psychédélique, critiques sociales et sociétales d’une humanité perdue, thriller maffio-commercial, vampirisme physiologique, on a surtout dans ce film insolite le survival d’un original héros, saisissant Caleb Landry Jones, fiévreux, nauséeux et agonisant du début à la fin. A partir d’un sujet tout de même bien improbable, dans un style surréaliste qui peut ennuyer passée la première demi-heure, le film appuie à fond sur l’accélérateur d’une hallucinante décadence, et propose des perversions affolantes, inspirées de nos sociétés contemporaines de droit, de consommation, de pouvoirs commerciaux, légaux, médiatiques et médicaux.
    morn
    morn

    16 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2017
    Le fils de David Cronenberg suit les traces de son père et il s'en tire plutôt bien. L’épuration des décors donnent une ambiance glaçante au film. L'acteur principal interprète à la perfection son personnage de drogué à la maladie des stars. Le film pose pas mal de question sur le fansystème et sur l'emprise des stars sur les fans. Il y a quelques longueurs mais l'ensemble est cohérent. note 7.4/10
    Vinz1
    Vinz1

    168 abonnés 2 402 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2017
    "Antiviral" est un film visuellement très soigné réalisé par Brandon Cronenberg qui même s'il semble ressasser les influences de papa avec son amour pour les chairs, leurs mutations ou bien leur dégénérescence, arrive tout de même à nous trouver des idées incroyables comme celle de la viande fabriquée avec l'aide des cellules des stars : l'anthropophagie n'est donc pas loin ! "Antiviral" s'apparente donc comme un voyage plus expérimental que cinématographique, assez glacial et dérangeant risquant vraiment de faire fuir la plupart des spectateurs non préparés psychologiquement. Ce premier long-métrage est certes imparfait avec certaines longueurs qui ne font pas avancer l'histoire, mais Brandon prouve tout de même qu'il est le digne héritier de son père, David, tout du moins le Cronenberg séminal. Un jeune cinéaste à suivre donc même si cette première oeuvre est réservée à un public restreint et averti !
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 104 abonnés 5 053 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2017
    Glauque morbide et malsain pour le thème. Mais il est vrai que le traitement démontre avec précision et efficacité les excès d'un monde effrayant où les manipulations génétiques sont une arme aux effets quasiment infinis et dévastateurs.
    "La vie après la mort, ça devient vraiment pervers" dit un personnage et c'est dérangeant au plus haut point; témoin cette dernière scène immonde qui met un point final à ce film qui s'apparente parfois à un vrai film d'horreur.
    kibruk
    kibruk

    138 abonnés 2 517 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 août 2016
    Le postula de départ est bien improbable et c'est finalement ce qui plombe l'intégralité du film car le scénario n'arrive jamais à rendre la chose crédible. Si "Antiviral" est très soigné visuellement et sait 'séduire' par son ambiance malsaine digne de papa Cronenberg, l'histoire se perd aussi dans des longueurs pénibles, des incohérences, et même dans une certaine confusion.
    David S
    David S

    24 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 août 2016
    j'aime bien les films un peu spécial mais làdésolé as accroché... trop spécial et pas vraiment de raison d'accrocher, j'ai eu du mal à le finir tellement cela tourne en rond avec musique et atmosphère glauque mais ça ne suffit pas à faire un bon film. Encore faut-il un "vrai" scénario et là... ça pêche. on finit par se lasser et c'est dommage la base était bonne.
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