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    Antiviral
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    149 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 février 2013
    J'ai vu Antiviral la semaine dernière. On peut avoir deux réactions par rapport à ce film. Soit un rejet complet (j'ai vu une vingtaine de personnes sortir de la salle au milieu de la séance), soit ce film rentre en nous, nous retourne les tripes, et ressort. Jusqu'au moment où l'on se rend compte qu'il en a laissé un bout. J'ai adoré. C'est extrêmement dérangeant, et malsain, mais absolument incroyable. On reconnait la patte Cronenberg, et c'est la première fois que je vois un scénario aussi dingue depuis Inception. Brandon Cronenberg signe un film déjà culte, dont on ne ressort pas indemne. La BA montre très bien l'ambiance, et ce n'est pas si "gore" que ça (enfin, moi j'ai pas trouvé). Une dernière chose. Antiviral ne serait rien sans son acteur principal, le merveilleux Calb Landry Jones (je dis merveilleux, quand vous aurez vu le film, vous penserez la même chose!). Je ne comprends même pas pourquoi il n'a pas été nommé quelque part, sa performance est incroyable! Je l'avais déjà repéré dans le dernier X-Men, mais là, ça surpasse tout ce que j'ai vu depuis longtemps. Ça fait une semaine que j'ai vu ce film, et je ne peux toujours pas me le sortir de la tête. Alors si vous avez les tripes pour, courrez-y!
    Aleks1618
    Aleks1618

    9 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 janvier 2022
    Vu en avant première avec la présence du réalisateur, ce film lui ressemble; jeune, timide, décousu mais avec pleins d'idées. Un réalisateur prometteur malgré un film avec quelques défaut comme lui même le reconnait. Si vous aimez le sang et les aiguilles allez y sans tarder!!! Beaucoup de personnes ont quitté la salle avant la fin, perso je ne regrette d'être resté.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 février 2013
    J ai pas pu noter plus bas .... J ai hésité comme de nombreux spectateurs a l avant première a quitter la salle ou dormir... J ai attendu que quelque chose de sensé apparaisse mais je ne retiens que du gore et du sang. Choisissez un autre film.
    Shaka666
    Shaka666

    57 abonnés 504 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 février 2013
    Le pitch est très prometteur et au final, à la fin du film, on est déçu. En effet, le pitch raconte presque totalement l'histoire, tout est filmé de manière très froide, il faut s'accrocher pour suivre car il y a pas mal de longueurs. Par contre, l'acteur principal tire vraiment son épingle du jeu. A noter que lors de l'avant-première parisienne, l'accueil a été plutôt mauvais : pas mal de personnes ont quitté la salle pendant la projection et il y a eu très peu d'applaudissements à la fin, voire même quelques huées.
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    146 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2014
    Dérangeant comme film. Le réalisateur nous fait mettre mal à l'aise. Brandon Cronnenberg , fils du grand réalisateur David Cronnenberg réalise un film qui peut déranger et dégoûter par certains spectateurs. L'ambiance est glaciale et sanglante. Un excellent film de science-fiction sur la contamination d'un virus sur notre planète. Jusqu'où serez-vous contaminés ?
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 août 2013
    J'avais hâte de voir ce film, et j'ai été bien déçue. J'en ai vu des mauvais films, mais la, j'ai du arreter au bout de 40min, le film ne commence pas, et pourtant je vais toujours au bout d'un film (on ne sait jamais) mais la ! quelle déception, c'est plat, ennuyeux, long.
    je déconseille, ce n'est pas mon genre de ne pas aller au bout d'un film mais la c'etait trop pour moi.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 décembre 2012
    Sans intérêt à part vouloir choquer, faire vomir, retourner l'estomac et le cerveau. L'image à la limite du noir et blanc et l'ambiance soporifique m'ont achevé. A éviter sauf si vous êtes en recherche d'expériences cinématographiques transcendantales...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 octobre 2012
    Source : Plog Magazine, les critiques des ours
    => http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/05/antiviral.html

    S'il y a une chose qui est sûre, c'est que Brandon est bien le fils de son père. C'est d'ailleurs l'éventuel défaut principal de son premier film : peut-être a-t-il trop essayé de livrer un produit Made in Cronenbergland. Personellement, Brandon Cronenberg a réuni dans un film un grand nombre de mes phobies : aiguilles, prises de sang, maladie, hôpitaux, sang, etc. Même pour les non phobique, le résultat est très dérangeant. C'est simple, ce film a plutôt mis mal à l'aise les festivaliers : les applaudissement à la fin de la projection d'après-midi étaient gênés et penauds. Antiviral n'est pas un mauvais film mais il est difficile de savoir si l'on a apprécié ou non. Esthétiquement, le résultat est convainquant : Cronenberg fils présente une vraie maîtrise de son sujet qui est quant à lui superbe. Ce contexte de civilisation complètement dépendante aux stars est très bien traité, et mis à part quelques "égarements" narratifs, le film finit par devenir un thriller haletant. Certes, le personnage est de plus en plus diminué et l'action avance difficilement, mais c'est de très bonne facture. Si vous en avez l'occasion, allez voir cet ovni dérangeant qui ne vous laissera pas indifférents.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 octobre 2012
    La science-fiction n’est pas morte ! Et le fils de David Cronenberg, pour son premier film, l’a bien compris. Il plante, dans un décor futuriste, une intrigue basée sur les relations entre célébrités et fans. Alors que de nos jours de jeunes ados s’habillent et adoptent les manières de stars du show-business, Brandon Cronenberg va encore plus loin dans ses idées. Le pitch paraît même à la lecture invraisemblable. L’agence Lucas exploite l’adoration de ces fans en leur proposant de leur inoculer les maladies des stars. Mais lorsqu’une personnalité en vient à décéder, l’inquiétude surgit : il faut maintenant trouver une solution au problème !

    Brandon Cronenberg ne fait pas de la science-fiction bas de gamme et légère. Il pousse sa mise en scène dans un glauque oppressant, mais pour autant accrocheur. Pas un moment d’ennui dans cette descente aux enfers morbide. La photographie, mêlée parfaitement aux idées ingénieuses du petit Cronenberg, apportent à cette horreur une pointe de poésie, certes macabre pour la plupart du temps, mais équilibrant à merveille les émotions planant alors dans la tête du spectateur. La musique parfois assourdissante accentue cet état d’oppression, et tient alors par les tripes le spectateur qui ne sait désormais plus sur quel pied danser. Troublant, dérangeant, parfois même malsain, mais tellement bien ficelé. Chez les Cronenberg père et fils il y a du talent, c’est indéniable. J’annonce donc ici la venue d’un grand artiste. Accrochez-vous !

    D'autres articles cinéma sur http://lestempscritiques.wordpress.com
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 025 abonnés 7 450 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 février 2013
    Premier long-métrage pour Brandon Cronenberg (fils de David), qui réalise ici un drame horrifico/sociétal dans lequel une clinique privée commercialise des virus prélevés sur de stars afin de les commercialiser et les inoculer à leurs fans. Un scénario brillant et original où Antiviral (2012) fut présenté dans la section Un Certain Regard lors du 65ème Festival de Cannes 2012. Une première réalisation qui ne passe pas inaperçue (fils de, oblige), avec ce thriller d’anticipation au combien glaçant (en grande partie grâce aux comédiens, dont Caleb Landry Jones). Traiter d’un sujet tel que le "commerce de virus" ou "les dérives de la science" est une idée formidable en soit, utiliser à des fins politiques, terroristes ou tout simplement comme substitue aux habituels autographes auxquels les groupies se ruent. Brandon Cronenberg fascine mais déstabilise par la même occasion, parfois choquant ou dérangeant, le jeune réalisateur persiste à réaliser une œuvre aseptisée et glaciale auquel on reste imperméable malgré une certaine ambiance électrisante.
    ► http://qr.net/ivn ◄
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 septembre 2012
    Afficher l’article original sur le MAINSTREAM CLUB

    Profitons du fait que vous ayez (normalement) lu le synopsis avant de lire cette critique pour commencer par le point le plus effarant d'Antiviral : son scénario. A une époque où on se plaint devant un film sur deux de la pauvreté ou du sentiment de déjà-vu des scripts, c'est un petit bonheur de se trouver face à une œuvre aussi originale dans ses thèmes et la façon dont elle les aborde. Partant du concept chtarbé que le moyen le plus direct pour un fan de se mettre dans la peau d'une star est de partager une maladie qu'elle a contracté, Cronenberg va petit à petit dessiner toutes les façons d'exploiter un star-system poussé à l'extrême et construit sur un vide psychologique vertigineux voilé par une surexpression des corps. Des corps qui sont au centre du métrage. A la fois objets de désir et vecteurs de répulsion, ils sont filmés par le réalisateur avec une proximité perverse, à tel point que la répétition des piqûres d'aiguille finit par ne plus nous toucher.

    Ces corps, Cronenberg les maltraite, les bouscule et les décompose (le glaçant plan de fin) avec un savoir-faire effronté, leur infligeant les douleurs de l'esprit sans concession. Ici, la maladie devient une norme acceptable et les symptomes intenses que ressent Syd pendant la moitié du temps deviennent secondaires pour le spectateur. Parce que si Cronenberg développe son intrigue dans un univers froid, clinique et minimaliste parfaitement maîtrisé, celui-ci est habité par des hommes et des femmes dont les sentiments s'affichent fortement. Caleb Landry Jones, dans la peau traumatisée de Syd, est tout bonnement incroyable. Extrêmement pâle et calme au départ, il finit par être infecté par les sentiments comme par la maladie et il se retrouve acculé par tous ceux qui l'entourent. Une raison largement suffisante de laisser exploser une rage intense née dans l'instinct de survie, dernière parcelle d'humanité qu'il lui reste avant qu'il plonge définitivement. "Dans la santé comme dans la maladie", Jones s'impose comme un des jeunes espoirs déjà incontournables du cinéma US.

    Il y aurait tant à dire sur Antiviral, le film ayant lui-même beaucoup à partager. Mais ce serait rompre bêtement l'aura de mystère qui l'entoure avant, pendant et toujours après la projection, tant il manie des idées dérangées et impromptues. Renversant.
    stebbins
    stebbins

    490 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 juin 2012
    D'un ennui mortel. On prend toutes les obsessions de papa, on secoue et on sert froid : Antiviral, premier film de Brandon Cronenberg n'apporte rien dans ce qu'il cherche à raconter. Il s'apparente à un lourd salmigondis certes très bien emballé - photographie magnifique, acteur fort en gueule, au sens propre du terme, bande-son sophistiquée - mais cruellement plat dans son contenu. Ca pose dans tous les sens avec quota de giclure en prime, comme si Brandon voulait ne pas décevoir les fans de David Cronenberg : très systématique, Antiviral renvoie pêle-mêle à Vidéodrome, ExistenZ, Le Festin Nu, Faux-Semblants... et même Cosmopolis ( si, si pour le côté contre-utopique ) ! Malheureusement ce fourre-tout manque énormément de personnalité, malgré une stylisation élaborée certainement aidée par le budget mis à disposition. On peut toujours attendre le prochain pour mieux laisser le bénéifice du doute opérer... Ca reste tout de même chiant comme la mort, cet objet chic ! Dernière heure interminable. Bof.
    Jahro
    Jahro

    49 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2013
    Antiviral souffre avant tout de son postulat de départ plus que curieux, la revente à leurs fans des virus contractés par les stars. Pour le sceptique, de longues minutes seront nécessaires avant d’entrevoir l’intérêt de la chose : mettre du piment dans sa vie. C’est mince, mais il faudra faire avec. A ce stade trois personnes ont déjà quitté la salle ; les autres, plus malsains dans l’âme ou simplement plus ouverts, n’ont toutefois pas à s’en vouloir. Brandon Cronenberg, en digne héritier de son père, manie l’atmosphère avec brio, par ses décors cliniques, ses points d’orgues sonores, ses acteurs gravures de mode symboliques de l’aliénation contemporaine. Il nous délivre une curieuse réflexion sur le rapport à la célébrité, le besoin d’exister, la manipulation médiatique et commerciale. Son travail évoque une sorte de Chromosome 3 modernisé, avec les mêmes fulgurances et les mêmes maladresses, avec aussi cette même impression qu’une seconde vision sera sans doute inévitable à qui en veut assimiler toute les implications. A moins de ne voir là que le vide qui y est traité, ou bien d’avoir une phobie pour les seringues et le sang. Le digne héritier de son père, vous dis-je.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 mai 2012
    Brandon Cronenberg est bien le fils de son père... Il reprend absolument tous les thèmes qui font le cinéma du papa : la chair mutilé, les corps déformés, le ton glacial, les situations kafkaïenne... Cronenberg fils offre un film malade, chirurgical, suresthétique... ce qui peux agacer. Exercice intéressant mais j'aimerais en voir plus et surtout qu'il se démarque plus de son père.
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