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    Antiviral
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    149 critiques spectateurs

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    danna2509
    danna2509

    23 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2013
    Une oeuvre très intéressante pour un premier long métrage. Cronenberg fils n'invente rien et s'inscrit même dans une certaine tradition, en fin de compte, mais donne à voir une vision de la société plutôt plaisante. Il interroge l'individualité d'une manière assez traditionnelle utilisant la maladie comme métaphore du rapport à l'autre. Encore une fois ce n'est pas nouveau mais il faut reconnaître qu'il va assez loin esthétiquement et dans son propos. C.L. Jones est excellent. J'ai beaucoup aimé mais 3.5/5 malgré tout car le film s'essouffle sur la fin.
    pitch22
    pitch22

    160 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2013
    Brandon ne semble en rien l'héritier de son père avec ce film qui, eh bien, laisse de marbre. Très soporifique, répétitif, vain, trop léché, un design minimaliste excessif et un bien fade festival de tronches, lisses ou tordues, échouent à faire vibrer une histoire de techno-cannibalisme fashion bien improbable. Contrairement aux posts qui invoquent Chromosome 3, je n'ai retrouvé en ce film aucune des dérangeantes vibrations que parvenait à engendrer le style David C. La réalisation, certes, sent la maîtrise technique, mais au-delà il n'y a rien d'autre que d'absurdes crétineries. Au terme d'une attente désintéressée, dénuée de rythme, quelques tentatives médicalo-sanguinolentes ne réussissent pas même à nous inspirer répugnance, et débouchent sur la réalisation plus que saugrenue d'un fantasme hétéro-mâle frustré. Tout ça pour un léchage (métaphorique) de vulve sur bras artificiel, encastré dans une machine servant à récréer les muscles d'une poupée sans intérêt dont on a soi-disant pleuré le sort lorsqu'elle a succombé à un mystérieux virus, que notre personnage principal s'était également inoculé par désir fusionnel biologique. Si, sur le papier, l'idée était peut-être intéressante, malheureusement le résultat c'est une litanie d'angoisses autistes qui accouche d'une souris. Bref, un film tellement abscons qu'on ne peut que vite l'oublier.
    Ricco92
    Ricco92

    210 abonnés 2 136 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 février 2013
    Dans Le Petit livre de Paul Verhoeven (SpartOrange, 1994), le réalisateur néerlandais déclarait à propos de David Cronenberg : "Pour bien appréhender son univers, il faut avoir le même genre de sensibilité, ce qui est peu banal".
    Ces propos tenus sur David pourraient également s'appliquer à Brandon, en tout cas à la vue de ce premier film. Effectivement, le traitement de ce film, notamment sa froideur, fait que l'on peut très facilement décrocher complètement de l'histoire et s'ennuyer, ce qui a été mon cas. Toutefois, Cronenberg junior laisse deviner un réel sens plastique. Celui-ci semble très influencé par le style de son père. A noter également, une séquence devant un rideau rouge qui rappelle beaucoup la Red room de Twin Peaks, la série d'un autre réalisateur de l'étrange : David Lynch.
    On peut donc regretter que le scénario n'aie pas développé de manière un peu plus classique son idée de départ très excitante, ce qui éviterait peut-être au réalisateur de se couper du public.
    Thierry M
    Thierry M

    152 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 février 2013
    il a encore du temps devant lui le fils Croneneberg , film franchement raté et on ne rentre jamais dans cette histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 février 2013
    Je comprends difficilement toutes ces critiques négatives, ces départs de salle, ces bâillements, ces soupirs.
    Je trouve le film innovant, encourageant, osé et différent, ce dont le milieu cinématographique actuel a cruellement besoin.
    Un ovni, mais un ovni vivifiant et absolument lucide.
    Julien D
    Julien D

    1 183 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2013
    Cet exercice de style particulièrement macabre au style léché démontre que le fils Cronenberg partage la fascination techno-organique de son géniteur tout en utilisant une mise en scène qui rappelle davantage des œuvres de David Lynch. Le concept de pousser jusqu’au paroxysme le plus morbide les excès du star-system s’étire à travers une narration lente et décousue qui transforme son ton dérangeant en une réelle gêne, voire une sensation d’illisibilité, chez le spectateur. La photographie glaçante ainsi que le look littéralement cadavérique de Caleb Landry Jones ne sont finalement que ce qui restera dans les mémoires du public.
    Jérôme E.
    Jérôme E.

    29 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 février 2013
    Ai-je aimé le film ? C'est la première question que l'on se pose et je n'ai toujours pas la réponse... D'un coté on se trouve devant un film authentique, original et stérilisé, de l'autre on se trouve devant un film qui traine un peu et qui est répétitif. Rien à dire concernant la bande sonore, bien que je trouve que celle ci est sous développée. Caleb Landry Jones est vraiment impeccable, ultra dérangeant, un rôle qui lui va vraiment bien, malheureusement voir la même expression de visage pendant pratiquement tout le film ça gène un peu. Le plus grand défaut du film reste l'inégalité, le scenario est plutôt intelligent et parle de l'obsession sur les stars, on se trouve dans un monde où chaque humain cherche sa personnalité par rapport à une star, ce qui évoque un coté robotique dans leur vie bien évoqué par l'acteur principal qui semble faire tout le temps les mêmes choses, mais beaucoup de longueurs et de répétitions, mais peut-on vraiment parler de défaut puisque c'est un des buts du film ? Malheureusement la piqure ne passe pas très bien...
    On reste devant un film inquiétant et dérangeant avec une apothéose sur la scène finale, cela reste une experience cinématographique unique, parfaitement mis en scène par moment, et en manque profond d'inspiration dans d'autres comme l'évoque les dialogues pauvres et mous. Mais le potentiel est là, et on apprend de ses erreurs ! J'espere que Brandon Cronenberg les comprendra.
    Fabien D
    Fabien D

    177 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2013
    Brandon Cronenberg est bien le digne héritier de son père tant ce premier film organique, hybride et dérangeant rappelle des oeuvres comme Chromosome 3 et Vidéodrome. Même goût pour les scénarios tortueux, même obsession pour la chair frémissante, ce film a un côté si copier-coller qu'il en perd un peu sa personnalité (enfin celle de l'auteur). La mise en scène froide et sophistiquée évoque le récent Cosmopolis de son père même si visuellement le film vaut le détour. En effet, certains plans sont d'une beauté sidérante et la composition des plans évoque des installations d'art contemporain. Cette beauté glaciale est au service d'une intrigue dérangeante (transplation de virus de stars, oui curieux mais intéressante interrogation sur la fascination pour le star system) même si Croneberg fils abuse d'effets de style pompiers (ralentis un peu lourdingues, côté cyberpunk mal assumé). On peut regretter aussi une idée de base intéressante mais pas assez développée (trop d'ellipses narratives nuisent au film). Enfn, malgré le manque de personnalité de Brandon Cronenberg, ce premier film mérite d'être découvert car il regorge d'idées et de trouvailles visuelles comme scénaristiques et révèle un acteur très prometteur, Caleb Landry Jones qui livre une prestation assez hallucinante, au bord de la folie.
    Lechamoniard
    Lechamoniard

    2 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 février 2013
    Un film très bizarre. Je n’ai pas accroché à ce film. Le scénario est beaucoup trop lent pour des actions trop répétitives. Il n’y a presque pas d’actions et cela se répète beaucoup. Il y a un bon travail sur la réalisation mais cela ne rattrape pas l’ennui et la gêne créée par l’histoire. Le scénario est assez dérangeant et le scénario n’arrive pas à justifier cela, le film est juste bizarre. Les acteurs on bien travaillé leur rôle mais ne font pas des merveilles non plus.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 décembre 2013
    En plus d’un scénario improbable et stupide, Brandon Cronenberg bourre son film d’images crades qui n’apportent rien à part un profond sentiment de dégoût. Un raccourci facile qui montre son incapacité de faire face à ce qu’il a lui-même imaginé. De toute façon tout cela était voué à l’échec vu l’arnaque scénaristique mise en place par B. Cronenberg , qui prouve, si nécessaire, que dystopie ne rime pas toujours avec fantaisie.
    Cinematraque
    Cinematraque

    82 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 février 2013
    Avec Antiviral, Brandon Cronenberg s’attaque à la science fiction horrifique. Dans la forme, c’est très prometteur, le jeune réalisateur ayant su développer un style personnel, froid et clinique. Mais la déclinaison de motifs qui lorgnent sur les obsessions de son père (sans atteindre la même puissance visionnaire) laisse le spectateur sur sa faim.

    Dans une société où le culte des célébrités ne connait plus de limites, le commerce des virus est en plein essor et les clients se font injecter les maladies contractées par les stars pour atteindre un état de symbiose avec l’être adulé. Syd March (Caleb Landry Jones) est employé dans une clinique spécialisée du secteur. S’étant lui-même injecté un virus mortel, il va se retrouver mêlé à une sombre affaire de trafic.


    la suite ici http://www.cinematraque.com/2013/02/antiviral-de-la-necessite-de-couper-le-cordon/
    islander29
    islander29

    838 abonnés 2 337 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2013
    On va dire que Brandon est bien le fils de son père David.....
    il trouve ici un sujet original , voire déjanté et l'agrémente de scènes médicales assez nombreuses (il s'agit d'ingérer les virus de ses idoles, nombreuses injections)....
    Si vous n'aimez pas les prises de sang ou y êtes sensibles, méfiez vous.....Il y a aussi des scènes plutot immondes qui m'ont semblé être du cannibalisme (je n'ai peut être pas tout compris au film)....
    Mon conseil ne mangez pas avant le film.... Et lisez le synopsis...
    Le style du film est dans un univers aseptisé, beaucoup de blanc (aspect médical) et fait penser par une certaine rigidité froide au cinéma de David Cronenberg (son père)....
    C'est un film de science fiction avec un propos dissonant voire glauque, à réserver à un public averti et dans le genre ammateur de Cronenberg....A vous de voir.....
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    87 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 février 2013
    Bon (ou mauvais, peut-être) sang ne saurait mentir. Autrement dit, on attendait, l’œil aux aguets et la langue déjà vipérine, le premier long-métrage de Brandon Cronenberg, le fils de David, le réalisateur canadien sulfureux, observateur acéré des névroses et phobies en tous genres de la société occidentale. Loin de nous l’idée d’étayer ici une comparaison hasardeuse entre le père et le fils, mais plutôt l’envie de voir l’influence évidente du premier envers le second, mais aussi comment ce dernier parvient à s’en extraire et à faire œuvre personnelle. S’il y a une continuité entre les deux hommes, elle est d’abord à chercher autour des thématiques abordées.
    Dans Antiviral, elles concernent d’une part notre rapport de fascination, confinant à l’obsessionnel et au morbide, que les célébrités exercent sur nous et d’autre part la menace sérieuse et terrifiante, représentée par la mise au point et la propagation de virus, instruments redoutables et efficaces parce qu’invisibles et mutants d’une guerre bactériologique dont on s’étonne qu’elle n’ait pas encore eu lieu. Le scénario, en charge de mettre en jeu les marottes de Brandon Cronenberg : quel aspect revêt une maladie et comment vit-on avec un organisme extérieur qui envahit, puis détruit, le corps, s’avère complexe et tortueux, ne parvenant pas à explorer les pistes ébauchées jusqu’au bout. La communion avec les stars, qui repose donc sur l’injection de virus les ayant infectées par leurs fans vampiriques (et, somme toute, particulièrement stupides) ne sert que de long préambule à l’ensemble. Antiviral devient ensuite un thriller glacial et effrayant dans lequel entrent en scène des laboratoires tout-puissants, employant des hommes de main cruels et cyniques.
    Formellement accompli et rigoureux, le film travaille pour l’essentiel sur les contrastes : certaines parties offrent une image très blanche et clinique, reflétant la déshumanisation de la société, tandis qu’à d’autres moments, il épouse des tons nettement plus sombres et organiques. Cependant, il n’évite pas toujours la complaisance, sinon la délectation, à répéter des scènes choc, provoquant le malaise chez le spectateur qui va ainsi assister à une dizaine de piqûres, prises de sang ou injections filmées en plan rapproché. Même s’il semble se situer à l’époque actuelle, Antiviral possède une dimension d’anticipation, dessinant un monde toujours plus technologique et barbare, dans lequel le retour du cannibalisme témoigne de la fascination ultime. L’objet final a quelque chose de fascinant et répulsif, à l’aune de son acteur principal, le jeune Caleb Landry Jones, diaphane et éthéré, à la fois innocent et pervers, emprisonné dans les rets de manœuvres machiavéliques. Par ailleurs, il se révèle aussi quelque peu ennuyeux et vain, n’offrant après tout guère de neuf dans la vision d’un monde sans repères, où l’apparence et le physique auront définitivement supplanté l’intériorité et le mental. En fait, le côté scientifique de cette affaire échappera en grande partie au néophyte, davantage pétrifié par l’horreur qu’il découvre que chahuté dans ses propres convictions. En clair, le film aurait gagné à épaissir le fond et à ne pas se limiter uniquement à une stylisation qui joue un peu trop de l’effet et de l’esbroufe. Brandon Cronenberg a de toute évidence du potentiel et des idées qu’on espère honnêtement le voir développer et affirmer dans la suite de sa carrière.
    velocio
    velocio

    1 283 abonnés 3 108 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 février 2013
    L'année dernière, la famille Cronenberg avait décidé de nous gâcher le Festival de Cannes : David, le père, en compète officielle avec le catastrophique "Cosmopolis", Brandon, le fils, dans la sélection Un Certain Regard avec le désastreux "Antiviral". Tous les spectateurs qui, comme moi, ont vu ces 2 films le même jour devraient réclamer une décoration à ceux qui les ont sélectionnés pour le Festival. Pas mal de points communs entre ces 2 films : la qualité indéniable quant à l'art de filmer ne peut pas être niée; dans les 2 cas, ce sont le scénario et les dialogues qui font capoter l'entreprise. Dans les 2 films, il y a la volonté évidente de faire passer un message, mais, chaque fois, c'est tellement lourd, prétentieux, abscons, en résumé, d'une totale crétinerie, que rien ne passe sauf un profond ennui et l'envie de fuir. Espérons que le fils Cronenberg qui, manifestement, sait filmer, fasse mieux dans son 2ème long métrage : c'est quand même dommage de gâcher un vrai talent en filmant des idioties sans queue ni tête.
    Christoblog
    Christoblog

    809 abonnés 1 660 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 février 2013
    Antiviral est d'une beauté confondante. L'univers visuel qu'il propose est bluffant, enthousiasmant. Antiviral est un magnifique tableau, dont on regrette vite qu'il dure plus de 5 minutes.



    Parce que malheureusement, Antiviral n'est pas un film. Il est l'idée d'un film.



    Il est permis de penser que le rejeton Cronenberg (trop visiblement élevé au lait de son père) se soit follement amusé à .... la suite ici : http://0z.fr/KZpdT
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