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    Inside Llewyn Davis
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    3,8
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    606 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 avril 2014
    Très bon nouveau film des Frères Coen n'ayant pas assez fait parler de lui je trouve car moi j'ai adoré .
    Il y a 3 choses que j'ai beaucoup aimé dans ce film :
    -La photographie que j'ai trouvé exceptionel avec cette teinte qui fait ressentir les années 70
    -Les chansons qui étaient excellentes , le folk ( Please y)
    -Oscar Isaac qui était vraiment excellent
    J'ai beaucoup aimé le personnage principal qui je trouvais était très drôle nottament pour la scène avec les scènes avec le chat .
    Amaury F
    Amaury F

    27 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 avril 2014
    C'est très ennuyeux, on se lasse rapidement de la musique, seul le chat capte notre attention. Oscar Isaac est un bon acteur, mais pas très bon chanteur.
    Cela dit, visuellement, c'est quand même réussi, la mise en scène des frères Cohen est correcte et Bruno Delbonnel signe encore une fois une photographie impeccable.
    joevebulle
    joevebulle

    4 abonnés 515 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 avril 2014
    La sortie d'un film des frères Coen est toujours un évènement. Cette fois, ils ont mis leur décalage au service de la musique, de la tendresse, de l'errance. Certainement leur meilleur film avec the Big Lebowski.
    On se laisse porter par cette ambiance des années 60 et la performance aussi en tant qu'acteur que musicale d' Oscar Isaac est magnifique. Un film d'ambiance comme peu de réalisateurs savent faire et un grand prix au festival de Cannes largement mérité.
    Hobsta
    Hobsta

    103 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2014
    La patte Coen nous surprend une fois de plus, avec un style nouveau mais toujours autant de talent. Inside Llewyn Davis est un petit chef d’œuvre dans le genre dramatique, à la fois simple et saisissant. Les frères Coen nous plongent dans l'univers d'un pauvre homme à qui rien ne réussit, pour qui la vie n'est qu'une succession d'échecs, sur un fond déprimant mais auquel on est accrochés, comme hypnotisés. On n'a pas le côté burlesque de O'Brother, on a là un univers maussade, dont l'ambiance est à l'image du style grisâtre du film. Et pourtant de nombreuses scènes prêtent harmonieusement à sourire. Et c'est avec sa vie accablante qu'on s'attache au personnage, dont Oscar Isaac nous offre une prestation excellente. C'est par sa simplicité que son histoire nous touche, et c'est par son malheur qu'on ressent toute la détresse de ce genre de vie. Une touche originale et intelligente, c'est ce fameux chat qui nous fait sourire tout au long du film, qui n'est sans doute au final qu'une représentation de ses échecs, de ses opportunités, de ses péripéties en général. Énorme plus également, les prestations musicales qui sont envoûtantes et touchantes. C'est d'autant plus avec cet aspect musical talentueux qu'on est affligé qu'un tel musicien ne sorte jamais de sa misère, que la seule chose qu'il possède soit son talent et ses convictions, qu'il n'ait aucune reconnaissance pour ces dernières, alors qu'il mériterait tellement plus. Et pourtant, c'est une réalité dont on parle peu.
    Inside Llewyn Davis réussit à tous les niveaux dans le genre dramatique, avec cette saveur particulière qu'apportent de grands cinéastes comme les Coen.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    139 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2014
    D'une intelligence rare, ciselé comme un joyau, Inside Llewyn Davis a quelque chose à la fois de divin et de presque trop léger. C'est d'ailleurs peut-être là sa limite. Bien sûr il y a cette finesse d'écriture si appréciable : le retour de flamme d'un deuil mal digéré entre réapparition d'un chat et vraies naissances, fausses morts et renaissance alors que dans la nuit un panneau indique où retrouver les fantômes de son passé... J'adore aussi ces références ultra fines à Detour (Edgar G Ulmer), Angel Heart (Allan Parker) Un jour sans fin (Harold Ramis) ou Le Privé (Robert Altman) qui donnent au film sa densité de film noir quasiment à la lisière du fantastique. Mais on peut légitimement reprocher à l'ensemble de manquer de hauteur ou de profondeur ou d'enjeux plus fondamentaux. Reste un bien beau film. ,
    Raphaël O
    Raphaël O

    150 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 octobre 2014
    Les frères Cohen signent une œuvre magnifiquement filmée, superbement écrite, avec une éblouissante mise en scène, une B.O. devenu le mythe des années 1960 et interprétée avec brio par le très peu connu Oscar Isaac.
    L'un des meilleurs films des frères Cohen !
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    112 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2014
    Le dernier né de l’écurie Joel et Ethan Coen ne déçoit personne, entraînant dans sa course mélancolique et comique un public depuis longtemps conquis par le tandem de réalisateurs. S’il n’est pas le plus rythmé de leurs films, s’il n’est pas non plus le plus culte, le plus charismatique, il n’en reste pas moins qu’Inside Llewyn Davis est très habilement mis en scène, tout portrait intimiste et glaçant qu’il est d’un exemplaire unique de looser. Alors que la thématique était pour le moins casse-gueule, la musique Folk de Greenwich Village, l’Amérique de petits traînes savates, les frères Coen livre un film exemplaire qui répond d’une propension chez eux à dresser les portraits de marginaux, tantôt désespérés tantôt complaisants face à leurs modes de vies toujours bancals. Voici donc le portrait d’un artiste qui n’arrive pas à percer, qui erre de bars en bars, de canapé en canapé en traînant avec lui toute sa malchance, toute sa mauvaise volonté.

    Si Llewyn Davis ne parvient pas à vendre de disque, en solo, il ne parvient pas non plus à subvenir à ses besoins, à être un père acceptable, quelqu’un en somme. La force du film des frères Coen tient ici au fait que malgré cette déchéance sociale, le ton est toujours soit ironique soit comique. Les dialogues sont une fois encore aussi bien écrits que la qualité des plans est clairement au dessus de la moyenne. Lauréat du prix de la mise en scène au Festival de Cannes 2013, Inside Llewyn Davis marque une nouvelle démonstration technique et narrative de la part des deux réalisateurs, sans doute parmi les plus doués, inspirés, de leur génération. Si le duo n’aura, au long de leurs carrières, pas fait tout juste, d’où quelques ratés, l’ensemble de leur filmographie est un immense bonheur auquel l’on peut dès lors créditer un film semi-musical aussi puissant, voir plus encore, que l’excellente Crazy Heart de Scott Cooper.

    Alors que l’on retrouve quelques vieux acolytes des cinéaste, l’excellent John Goodman ou encore le plus discret Murray Abraham, les frères Coen font cette fois-ci confiance à un casting plus jeunes, plus hétéroclite. Outre les petits rôles de Justin Timberlake et Carey Mulligan, c’est bel et bien une consécration pour Oscar Isaac, acteur entre-aperçu dans Drive. L’acteur d’origine guatémaltèque livre une prestation phénoménale tant il parvient à jouer aussi bien la tristesse, le désespoir que la joie et l’entrain. Plus fort encore, le personnage de Davis est absolument imprévisible, tant et si bien qu’à la sortie d’un sourire, Oscar Isaac parvient d’emblée à faire vivre dans les traits de son personnages la colère ou l’amertume. Le jeune comédien prend dès lors une place considérable dans le succès du film des deux cinéastes.

    Coté mise en scène, celle tant récompensée à Cannes, la photographie, les plans, tout est excellent. Qu’il s’agisse des quelques séquences large sur le décor naturel d’une Amérique passée ou qu’il s’agisse des plans fixes sur le chat, notamment, les frères Coen offrent un travail prestigieux à leur public. Il convient toutefois d’y apporter quelques bémols. Aussi bon soit-il, Inside Llewyn Davis peine à dépasser sa condition de simple comédie noire. Qu’en de très rares occasions un film n’aura été si bon sans pour autant transcender son simple pitch. Si musicalement, le film est un pépite, soyons clair, ceci n’est pas le cas d’un strict point de vue divertissement. Alors que No Country for Old Men, Fargo ou encore True Grit sont devenus des films de légendes, Inside Llewyn Davis, lui, s’inscrira plutôt dans la veine d’un A Serious Man. Dès lors, aussi bon soit-il, le dernier film des frangins ne pourra rivaliser avec leurs meilleures livraisons. Celui qui en profitent pleinement, c’est bien Oscar Isaac, et soyons certain que c’est mérité. 15/20
    klap2fin
    klap2fin

    17 abonnés 376 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2014
    Je me régalais par avance et il est possible que quelque chose m’ait échappé dans ce film, mais j’avoue que l’histoire des pérégrinations de ce sympatrique loser, artiste maladroit et poissard essayant de se faire une petite place durant le début des années 60, ne m’a pas vraiment captivé. J’imagine qu’il faut être très partial et fan inconditionnel des œuvres des frères Cohen, pour s’extasier devant celle-là, au point de la qualifier, pour certains, de Chef d’œuvre, ce qui me parait totalement aberrant. Même si la réalisation est maitrisée, désolé, mais on est quand même très très loin de ce qu’ils ont fait de mieux, loin s’en faut. C’est lent, très peu captivant, même si la description de cette ambiance grise, glauque et déprimante est magnifiquement rendue. Mais j'ai toujours du mal à comprendre la démarche artistique qui consiste à ennuyer le spectateur afin de le mettre dans l'ambiance. En ce qui me concerne ça n’a pas bien fonctionné, je n’ai pas accroché et pour moi qui d’habitude apprécie beaucoup le cinéma des deux frères, c’est une énorme déception.
    defleppard
    defleppard

    389 abonnés 3 386 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 mars 2014
    Je n'ai pas réussi à plonger dans l'univers du film. Ennuyeux, j'ai arrêté rapidement. 1 étoile.
    ned123
    ned123

    161 abonnés 1 702 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2014
    J'ai vu un film... qui respire la sincérité et l'émotion à chaque image... Les frères Coen réussissent l'exploit de nous rendre attachant un personnage qui n'est pas toujours si sympathique que cela... C'est un film sur un looser qui ne cède jamais dans son mode de vie, et ce malgré les obstacles qui le percutent au quotidien... Ce n'est pas une victoire ou une défaite à laquelle on assiste, mais à une tranche de vie pas simple... Et la réalisation fine des frères Coen est un véritable exploit. C'est une comédie douce-amère qui nous emmène sur les chemins de traverses d'Oscar Isaac qui est une belle découverte. Les dialogues sont fins, subtils, et forts... On rentre dans cette comédie dépressive où les personnages qui entourent Llewin Davis sont également attachants (Carey Mulligan, F. Murray Abraham,...) sont des contre-poids importants dans l'équilibre précaire du héros. Certaines musiques Folks sont de vraies découvertes et habillent ce très bon film...
    brunocinoche
    brunocinoche

    96 abonnés 1 107 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2014
    Cette chronique d'un chanteur de folk à la dérive est extrêmement attachante. La mise en scène de Joël Coen d'une sobriété inattendue rend hommage à ses artistes de l'ombre qui galèrent. Frôlant l'absurde, cher à l'univers des frères Coen (l'aventure avec les chats, la rencontre avec le personnage incarné par John Goddman), le film, souvent émouvant, tient aussi grâce à un scénario solide, un acteur d'une grande justesse et une bande son remarquable.
    laurent r.
    laurent r.

    8 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 mars 2014
    Lamentable. Inexistence du scénario alors on meuble. Un chat s'enfuit de l'appart et malchance la porte se referme et notre héros ne peut pas réouvrir la porte de l'exterieur, grosse coïncidence, un quart d'heure de gagné pour les réalisateurs et ce chat réapparait souvent pour combler ce scénario absent. Une copine passe son temps a l'insulter car il l'a mise enceinte et lui conseille le port de deux préservatifs l'un sur l'autre avec du scotch. Pauvres frère Coen décidément vous ne savez pas faire rire et donner de l'émotion, si seulement vous aviez l' intelligence de choisir une bonne histoire mais meme pas. Adieu frère Coen on me reprendra plus a regarder l'un de vos film.
    FaRem
    FaRem

    8 792 abonnés 9 636 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mars 2014
    Les frères Coen aiment les losers ici on découvre un musicien qui n'arrive pas à vivre de sa musique, qui est fauché, qui squatte à droite à gauche et qui est vu comme un boulet par la plupart de son entourage. Le film est bien réalisé, les acteurs sont bons, la BO est géniale mais c'est tout l'histoire ne m'a pas jamais emporté je n'ai pas ressenti d’émotion ni même aucune empathie pour ce personnage. Le film est un peu ennuyeux l'histoire tourne en rond on revoit toujours les mêmes lieux comme un éternel recommencement.
    tony-76
    tony-76

    1 082 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2014
    Inside Llewyn Davis est un film correct. Vous faut-il savoir qu'il est l'un des plus accessibles des frères Joel et Ethan Coen ? Qu'on y découvre progressivement une humanité touchante et crédible à travers une galerie de personnages finement écrits et interprétés ? Ce personnage de loser attachant - incarné magistralement par Oscar Isaac qui squatte un sofa après l'autre dans un hiver new-yorkais d'une époque qui semble attendre quelque chose pour se transformer est notre compagnon dans ce « road movie » où la route est aussi un cheminement artistique. Les dialogues y sont d'une délicatesse, d'une maturité qui est aussi le signe de grands scénaristes. On ne s'étonne pas au contraire, on se plaît à découvrir une galerie de personnages secondaires évocateurs et truculents, incarnés par des acteurs déstabilisants, en particulier un John Goodman plus grand que nature. Même Carey Mulligan y trouve un rôle plus mature et plus marquant qu'à l'habitude. Malgré la musique folk d'une mélancolie infinie, Inside Llewyn Davis est souvent une comédie telle que les Coen en font, humour de situations subtil, ironie et références au cinéma forment un humour unique et déstabilisan. Llewyn est l'artiste de son propre malheur, ce qui donne lieu à une suite de situations cocasses, souvent quasi-grotesques, qui se mélange avec la douceur des guitares et des accords pour rendre ce film vibrant et engageant. Un film qui sait prendre des pauses, qui traduit en poésie cinématographique la poésie de sa musique. Cette histoire laisse son empreinte sur nous pour sa cohérence globale, la force de ses personnages et la délicatesse de son récit, une exploration philosophique et artistique de l'être humain.
    elriad
    elriad

    440 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2014
    pas mon préféré des frangins Cohen, à voir sous Prozac car c'est sacrément une atmosphère dépressive, lol. la dramaturgie plafonne, on reste à l'image du personnage principal, détaché...
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