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    Inside Llewyn Davis
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    3,8
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    606 critiques spectateurs

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    eldarkstone
    eldarkstone

    229 abonnés 2 093 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2014
    Entre le drame et la comédie, le tout assez froid, avec quelques longueurs, mais étrangement, assez intéressant et séduisant, avec un acteur principal avec un charme fou !
    landofshit0
    landofshit0

    278 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2014
    Llewyn Davis est un incapable,ou le drôle et épuisant parcours d'un musicien talentueux à la recherche du succès. Cet homme se trouve dans l’incapacité de faire la moindre concession quand à sa musique ou son attitude souvent détestable envers les autres. Sa musique à une âme et un véritable caractère mais tout comme lui elle n'est pas vendeuse. Souvent drôle(please mr Kenny est hilarante)ce chemin est tout aussi épuisant. L’esthétique du film et des plans rajoute à l'ambiance du film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 mars 2014
    ça s'essouffle ,des dialogues actuels ramenés dans les années 60 qui ont un look d'années 50 .On se lasse vite de la pop folk ,ou il faut aimer çé être simple et prenant mais là , on décroche vite .Les frères Cohen nous on habitué à bien au fanatisme , on ne peu pas forcément être bon à chaque fois.
    blacktide
    blacktide

    60 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2014
    Dernier film des frères Coen, "Inside Llewyn Davis" est, en quelque sorte, un "O'Brother" version folk. Se déroulant dans un Greenwich Village du début des années 60, dans une époque Bob Dylan, le film s'inspire du personnage de Dave Van Ronk, un chanteur des sixties. Ici, il est renommé en Llewyn Davis et interprété avec talent par Oscar Isaac, une des révélations de cette année. On est rapidement captivé par ce personnage, un homme comme tous les autres mais pas chanceux (il dort de maison en maison, de canapé en canapé et personne ne veut de sa musique). Doué pour la mise en scène, les frères Coen se révèlent très doué aussi pour le rythme et les répliques. Ce qui est sûr, c'est que le film ne manque pas de rythme. Entre les chansons folk, les mésaventures du malchanceux Llewyn et les personnages tous aussi différents et étonnants, oui il y en a du rythme! L'histoire s'achève même sur une ombre dans une salle, mais pas n'importe quelle ombre puisque c'est celle du talentueux Dylan (Bob). De grands acteurs accompagnent Oscar Isaac dans cette odyssée folk comme John Goodman (drogué et marchant avec des cannes), Carey Mulligan (brune et enceinte), Justin Timberlake (chanteur et sympathique)... Résultat: les frères Coen se renouvèlent mais réussissent leur film, avec brio même. On est littéralement transporté par la musique du petit Llewyn, on devient calme, reposé et émue mais en même temps, on rit devant certains passages. "Inside Llewyn Davis" est donc un film immanquable et original!!!!!!!!!!!!!!
    septembergirl
    septembergirl

    607 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mars 2014
    Un drame des frères Coen qui, toujours autant fascinés par l'échec, nous reviennent ici avec l’histoire et surtout les mésaventures d’un musicien de folk sans attache, à Greenwich Village, dans les années 1960. L’ambiance grise, froide, et musicale ainsi que le décor de l’époque sont très bien rendus. Malheureusement, on ne retrouve pas l’humour habituel des deux réalisateurs ; moins caustique, moins original, plus ennuyeux. La réalisation ne raconte presque rien, enchaîne les scènes étirées et peine à captiver. Il est également très dur de s’attacher émotionnellement au personnage principal. Un film linéaire, assez peu intéressant, bien loin des chefs d’œuvre ou films marquants des deux frères ("Fargo", "No Country for Old Men", "True Grit", "Miller’s Crossing") et plus près de leur drame insipide "A Serious Man" !
    Truman.
    Truman.

    233 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2014
    Les frères Coen offrent avec ce "Inside Llewyn Davis" un bel hommage à la musique, mais plus précisément à la musique folk .
    Biopic du chanteur Dave Van Ronk, renommé ici Llewyn Davis, on suit sa vie dans une douceur mélancolique qu'est la difficulté de percer dans la milieu de la musique .
    Entre des petits bars, la galère de trouver un endroit ou dormir et trouver de l'argent la vie de Llewyn n'est pas si facile mais baigne dans la douceur de la musique folk .

    Coté réalisation pas grand chose a dire c'est très sympa, mais j'ai tout de même deux reproches a faire, le premier est la photographie .
    Une photographie tirée vers le gris, certes c'est la pour nous renvoyer vers la psychologie du personnage triste et un peu paumé mais c'est laid .
    Les couleurs sont ternes et fade, je me suis dit une chose du début à la fin, ce film aurait été parfait en noir et blanc !

    Ensuite la durée, c'est pas spécialement long mais après 1h20 le temps semble s’alourdir et le film devient quelque peu répétitif .
    On ne s'ennuie pas grâce aux belles mélodies qui s'échappent de la guitare de Oscar Isaac, acteur qui convient parfaitement au rôle .

    Pas le meilleurs film des frères Coen mais un bon film qui ravira autant les fans de folk que de chats .
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2014
    Pour leur nouveau film les frères Coen nous envoient dans le New York du début des années 1960, dans l'univers musical de Greenwich Village. On suit ce chanteur de folk, qui tente de percer dans la chanson. La mise en scène est parfaite et dès le début on le ressent, à travers une belle introduction. Les chansons sont superbes et envoutante, l'ambiance est parfaite. Le scénario peut paraitre peu élaboré, mais on est pris dans le film, dans sa mise en scène et ses dialogues savoureux (ce qui empêche de tomber dans la lenteur malgré le rythme peu rapide). Certaines scènes sont vraiment marrante (notamment le voyage entre New York et Chicago), quand d'autres sont triste, notamment le parcours et les péripéties du chanteur. Et les frères Coen, filment ça de manière détaché, sans juger ce "looser". Coté interprétation, on retient bien évidemment Oscar Isaac dans un de ses premiers grand rôle, qui incarne parfaitement bien ce chanteur paumé, on retient aussi les seconds rôles, de Carey Mulligan (parfaite dans son rôle, très froide) jusqu'à l'habitué John Goodman, que l'on voit peu mais hilarant. C'est un très bon Coen.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 avril 2014
    Bon film des frères Cohen ! Les musiques sont géniales ! Et le son est de super qualité donc ça vaut le coup d'aller voir le film au cinéma pour ça. Les images sont superbes grâce au travail de notre frenchy Bruno Delbonnel (le directeur de photographie de Jean-Pierre Jeunet : Amélie Poulain, Un long dimanche de fiançailles, dont personnellement j'admire grandement le travail) ! On retrouve ici l'humour (noir) des frères Cohen sur fond de mélancolie en suivant le parcours de ce chanteur malchanceux (incarné par Oscar Isaac, très bon dans son rôle). On voit peu John Goodman mais, comme souvent, il est hilarant. Par contre, l'histoire n'est pas transcendante et le film tourne un peu en rond (la construction du long-métrage est d'ailleurs construite sur cette idée, ce qui à mon avis, dessert le film, car on reste un peu sur sa fin). Ce film s'est vu attribué le grand prix du festival de Cannes 2013 ce que je trouve un peu too much sachant qu'il y avait des meilleurs films sélectionnés l'année dernière selon moi (comme la Grande bellezza par exemple, qui n'a reçu aucun prix à Cannes !).
    Parkko
    Parkko

    162 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 février 2014
    Les frères Coen et moi ce n'est pas l'amour. Mon film préféré d'eux est A serious man, que je trouve être un vrai bon film, mais c'est vraiment un des rares de leur filmo que j'aime. Mais j'avais un espoir pour Inside Llewyn Davis. D'autant plus que certains l'ont comparé a A serious man (je ne partage pas cet avis, y a autant de ressemblance entre eux deux qu'entre n'importe quels films des Coen mais passons). Je note deux bonnes choses dans le film, déjà la photographie qui est magnifique, elle a une teinte vraiment très belle et pourtant on a pas l'impression de voir un filtre tout le temps, c'est vraiment beau. Et ensuite, le fait de laisser les chansons en entier. J'suis pas un fan de folk, mais je trouve que c'est un parti pris intéressant. Après le reste du film ne m'intéresse pas. Je le trouve vraiment insipide et sans grand intérêt.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 février 2014
    Un début top, on est dans l'ambiance on adore puis ,puis ça continue plus ça devient lent et long... Des jolies scènes mais rien d'extraordinaire
    Jacques A.
    Jacques A.

    2 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2014
    Un musicien. Un chat. Un road movie. Une ambiance bien particulière. Ça me donne l'impression d'avoir un peu vécu tout ça alors que j'étais en couches culottes ou en langes. Heureux de l'avoir vu.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 février 2014
    VDM version musicien

    La Horde sauvage est le quatrième western que réalisa Sam Peckinpah en 1969, après notamment Coups de feu dans la Sierra (diantre, que je n’ai toujours pas vu), et on sent déjà, au début de sa carrière toute la patte et le potentiel du réalisateur.

    Le film débute, dans une ville américaine qui a l’air tout ce qu’il y a de plus classique, par le braquage d’une compagnie par une bande d’infâmes hors la loi sanguinaires, mais qui n’est en fait qu’une mascarade car … it’s a trap ! Nos fiers et ombrageux forbans sont en fait attendus de pieds fermes par une bande de non moins recommandables chasseurs de prime, et s’ensuit une intense fusillade qui ne laissera pas tout le monde indemne. Les flibustiers survivants s’enfuient avec hâte vers le Mexique pour échapper à leurs poursuivants et tenter un dernier gros coup qui leur rapportera pépète …
    Pour la suite de l’histoire veuillez regarder le film, merci de votre compréhension.

    Ce long métrage de Peckinpah a encore une fois, pour notre plus grand plaisir, une vision sombre, dépressive, pessimiste, désabusée sur le monde, cette époque et la nature humaine. Cela commence dès le début du film (enfin, je ne suis pas sûr que cela soit à ce moment...) quand on aperçoit des enfants entrain de torturer un scorpion, l’instinct animal de l’homme est partout, que cela soit chez les plus jeunes ou même les adultes, certains se comportant comme des vautours auprès des morts. La même brutalité prend forme pendant les échanges de feu où les « innocents » sont massacrés comme les autres, personne dans ce film n’est épargné, ni la veuve, ni l’orphelin.
    Ici pas de bons hommes ou sentiments tout propre comme dans certains westerns, là ils sentent tous la terre, pas de héros, juste des hommes lambda qui luttent pour survivre dans ce monde impitoyable, dans cet endroit où l’amitié ne compte plus, comme pourrait témoigner (je ne sais qui) abandonné par ses camarades après s’être fait tirer dessus ce qui sert leur fuite.
    Point d’espoir dans ce monde de brutes, la course de ces hommes ne se terminera qu’avec leur fin, se faisant d’ailleurs comme si les personnages eux-mêmes savaient qu’au bout du chemin, la porte leur sera fermée, alors comme on voit dans une des dernières scènes, pourquoi ne pas partir avec éclat, plutôt que vivre comme n’importe qui ?

    Les acteurs ont été savamment bien choisis pour coller avec le film, avec quasiment tous ont une Gueule d’enfer, déjà bien entendu, les deux personnages principaux (et rivaux), incarnés par William Holden et Robert Ryan qui ont un visage très marqué et un charisme certain. Mais n’oublions pas notre bon Ernest Borgnine qui a je pense une des têtes les plus sympathique du cinéma et qui procure un effet de bon humeur dans ce film déprimant. Même les seconds rôles ont été soignés, par exemples j’ai trouvé aussi les trois principaux militaires mexicains très convaincants.

    On retrouve bien entendu la façon de filmer tellement propre à Sam Peckinpah, ses gros plans sur les personnages ou encore et surtout ces fameuses séquences en ralentis qui exacerbent la violence qui a cours sous nos yeux, n’oublions pas aussi les fameuses gerbes de sang à la Peckinpah encore une fois présentes ici. Bref, les scènes d’action du film sont déjà grandioses, mais avec la patte Peckinpah ça en devient juste un véritable régal pour les yeux, d’une rare puissance.

    Le film est du reste très bien rythmé, alternant de la meilleure des façons scènes d’actions d’anthologie (le braquage, l’assaut du train, la scène d’action finale) et moments reposants souhaitables (passage chez les mexicains), du coup les 2h20 que dure le film, commencées avec une superbe intro ((notamment dès le début du film, dans un superbe effet de style pour présenter les personnages) passent avec grand plaisir, sans ennui.

    En bref, car j’ai dû oublier de parler de certains éléments (diantre l’accompagnement sonore !), on se retrouve ici avec du grand Peckinpah, mais surtout, du grand western.

    PS : Critique écrite en méthodologie de concours, comme quoi les cours, ça inspire
    Léa H.
    Léa H.

    34 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2014
    Au premier aperçu, le film est un peu déceptif (ce Llewyn Davis n’a ni la loose magnifique du Big Lebowski, ni le désarroi cynique du héros de Fargo, ni même la vacuité existentielle du Barber). Il semble un peu trop lisse dans sa forme comme dans son récit (très anecdotique). Mais à mieux y regarder (une deuxième fois), ce portrait d’un homme qui reste sur le seuil de sa vie dégage un charme insidieux et, à travers ce récit en creux, les deux frères opèrent mine de rien une nouvelle mue dans leur carrière protéiforme. Pour la première fois, une sorte de tendresse pudique transparaît, comme s’ils s’affranchissaient de cette distance à laquelle ils ont toujours tenu leurs personnages (souvent truculents et décalés, ou sortis des canons du film de genre), comme s’ils se cachaient un peu moins derrière les figures de styles (souvent brillantes). Le portrait de lewyn Davis est certes dépouillé (on sait peu de choses de lui et ses mouvements intérieurs gardent leur part de mystère), mais, dans son incapacité à communiquer ses sentiments et dans son intégrité un peu ridicule, il trouve une vraie humanité. Le coup de génie des frères Coen est de le situer entre la page blanche et le mystère d’une intériorité : en évitant autant la psychologie (façon biopic) que le piège de l’opacité, ils construisent un personnage complexe sans être explicite, attachant sans être réductible à une simple étude de caractère. Mine de rien, ils posent les fondements d’un vrai personnage de fiction moderne, qui nous échappe tout en nous parlant en profondeur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 février 2014
    Pas terrible mais peut être que ce n'est tout simplement pas mon genre de film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 mars 2014
    Je me suis ennuyé du début à la fin. Je ne dois pas être assez sensible...
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