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    Inside Llewyn Davis
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    3,8
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    606 critiques spectateurs

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    marseyopolis
    marseyopolis

    18 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2013
    Ce film ne présente aucun interet. Long, ennuyeux, stérile. Bon, le chat joue bien.
    Keo7
    Keo7

    4 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 décembre 2013
    Pas de doute, on est bien dans un film des frères Cohen, avec cette patte et cette ambiance présente dans tout les genres auxquels ils se sont attaqués. Ici, c'est l'histoire d'un looser magnifique, un gars qu'on adore détester, un peu lâche mais super attachant. Oscar Isaac est un grand interprète, peut être même le meilleur de sa génération.
    llafaye
    llafaye

    6 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2013
    histoire d'un looser bien interprété BOF superbe humour Cohenien à souhait du beau cinéma.
    Tom B
    Tom B

    7 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 décembre 2013
    Film déroutant, BO et acteurs au top, réalisation léchée !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 décembre 2013
    Le film ne m'a pas particulièrement ennuyé, il y a même quelques trucs marrants, des choses assez satiriques, bien vues, mais bon ça fait pas tout.
    Quand j'ai réalisé qu'il n'y aurait pas plus à comprendre et qu'il n'y aurait pas de dénouement, je me suis vraiment demandée quel était l'intéret de ce film....
    Des gars qui ne savent pas trop quoi faire de leur vie, qui n'ont pas vraiment d'ambition, pas vraiment de talent, pas d'aspiration politique particulière, ....., il y en a certes.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 décembre 2013
    Le seul équipement utile pour apprécier ce film est l'ouïe: la musique est belle et si triste qu'on aurait envie de l'être. Pour le reste.... Rien ou presque...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 décembre 2013
    Inside Llewyn Davis nous transporte dans le village folk New Yorkais des années 60, en plein hiver. Cet univers est bien retranscrit, avec ses mille teintes de gris et de blanc. On commence à s'intéresser à l'histoire de ce jeune looser qui cherche le succès sans jamais l'atteindre. Et puis... et puis pas grand chose, le film accumule les scènes dont le sens semble se limiter à montrer que les circonstances malheureuses sont parfois bien plus importantes que le talent dans le parcours d'un individu. On commence alors à s'endormir au son de cette belle musique folk, et l'on ressort du film en ayant l'impression d'avoir passé un moment pas désagréable, mais qui manque cruellement d'épaisseur pour susciter un véritable intérêt. Oui, le personnage accumule les déconvenues, et alors? Dommage, car formellement, le film est une réussite.
    jpdeg
    jpdeg

    6 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2013
    J'ai passé un très bon moment grâce à Inside Llewyn Davis. Je me suis régalé grâce aux chansons remarquablement interprétées par Oscar Isaac même si j'aurais aimé que, de temps à autre, il sorte un peu de ce style si mélancolique qui l'empêche de réussir dans le show-business. L'histoire n'est pas emballante du tout mais j'ai bien accroché alors que Ghislaine n'a pas aimé... ce que je regrette. Tout au long du film, on voudrait tellement que ce jeune chanteur s'en sorte mais il ne sait pas saisir les perches tendues, les chances qu'on lui donne. Cela ne fait rien. Dès qu'il prend sa guitare, le charme opère et l'on se laisse bercer très agréablement. Sortant de son style habituel, il interprète une superbe chanson dédiée au Président Kennedy, avec deux autres artistes, mais il ne fait cela que pour l'argent dont il manque cruellement. C'était pourtant excellent comme le morceau interprété a capella par trois chanteurs faisant penser à Peter, Paul and Mary. Inside Llewyn Davis, pour moi, c'est vraiment un film à voir et à écouter.
    Xavier B.
    Xavier B.

    17 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 décembre 2013
    Si vous aimez le folk façon sont Bob Dylan, Leonard Cohen ou, clin d’œil cinéphilique, Sixto Rodriguez, et si vous appréciez d'assister à la descente d'un looser à la Coen, allez-y !
    Le personnage principal, contrairement aux loosers classiques, est -heureusement pour le spectateur-, très doué pour faire ce qu'il veut faire, du folk.
    Il est incapable de s'intéresser aux gens qu'il croise donc à nouer une relation confiante ; ceci va de pair avec un autisme d'artiste maudit qui s'interdit le moindre compromis surtout en matière de musique. Le seul protagoniste du film auquel il prête attention est un chat, espèce sans doute choisie par les frères Coen pour sa capacité à à la fois protéger son indépendance et nouer des relations utiles avec les humains.
    Notre musicien n'est pas très sympathique. On s'y attache surtout par égoïsme, souhaitant qu'il puisse continuer à jouer et à chanter.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 décembre 2013
    Les films des frères Coen ont cette particularité de baigner dans une poésie douce-amère. Un univers sur la corde à la pointe de la parodie. Comme lorsque l’on marche sur un fil, prêts à basculer d’un côté ou de l’autre ou à la croisée des chemins, sans aucune possibilité de faire marche arrière.

    Dire que les frères Coen savent mettre la vie en scène dans tout ce qu’elle a de plus absurde, de fou ou de mélancolique est un euphémisme. Car même dans leurs œuvres les plus dingues, la vie de leurs personnages vraiment pas de tout repos, n’est jamais si éloignée de la réalité que l’on ne pourrait le penser.

    De rencontres improbables en situations délirantes, de décisions désastreuses en combats perdus d’avance, de personnages irréels et égarés en répliques cinglantes, Inside Llewyn Davis est un pur produit des deux frangins au look de Dr House au casting sans faille. De la superbe Carey Mulligan, à l’extraordinaire Oscar Isaac et passant par l’irremplaçable John Goodman.

    Parfaite représentation du parcours d’un artiste raté, mais phénoménalement talentueux qui, pris dans un cercle vicieux, d’échecs en refus, gâchant ses secondes chances, foule aux pieds l’amitié de certains, prend les mauvais chemins ou les pires décisions, puis retrouvant l’espoir l’espace d’une seconde en oublie les leçons de ses erreurs passées. Un artiste qui malgré tout y croit, fidèle à ses convictions et ses choix et se bat pour peut-être un jour, au bout de son errance, y arriver. Il n’est ainsi jamais le dindon de la farce, mais bien le cœur vibrant d’un univers en effondrement qui gravite autour de lui.

    Jamais déprimant, mais grave, mélancolique et incroyablement inspiré, cette semaine dans la vie de Llewyn Davis est touchante et enthousiasmante. En dépit de tous les malheurs qui le touche, il émane une forme de sympathie et d’empathie profonde pour cet original, ce marginal, immense dans la défaite, qui a le courage d’essayer d’être lui-même, mais se retrouve confronté à l’animosité de certains, à l’incompréhension de ses amis comme de sa famille, à la nullité de son label et se voit même affublé d’un chat roux capricieux et fugueur, semblant aussi paumé que lui et répondant au nom fortement symbolique d’Ulysse. Peut-être son double parfait, présent et absent, perdu et opportuniste, libre et insaisissable.

    Doté d’une mise en scène lumineuse et d’une beauté stupéfiante, sortie tout droit d’une série de photo des années 60. Délice doux-amer baigné dans une musique folk qui colle parfaitement à l’ambiance mélancolique du film (que l’on soit fan ou pas de musique folk d’ailleurs) et nous colle un bel hommage à Dylan en guise de clôture et même dans son affiche qui rappelle l’album « the freewheelin ». De là à dire que le film lui-même est une immense chanson folk, il n’y a qu’un pas.
    kinophil
    kinophil

    20 abonnés 262 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 décembre 2013
    Déçu (doublement) quand on est Coenophil et que sa première passion musicale a été la musique folk fin 50/début 60. Suite de sketchs peu drôles, sans véritable histoire, de running gag convenu, de séquences qui se trainent, de personnages agaçants (son "amoureuse" perpétuellement agressive). Les Coen se sont fait une spécialité des losers : là on est servi il n'y a que ça. Cinq jours de la vie d'un mec qui rate tout, se prend râteau sur râteau (amours, amitiés, copains, profession, famille...) C'est un peu déprimant, sans rythme et sans humour (exceptionnel chez les Coen). Bien sûr, c'est bien réalisé et bien photographié dans une atmosphère hivernale, sombre qui correspond parfaitement à l'ambiance, à l'état d'esprit du "héros" et au propos. S'émerveiller des talents musicaux de l'acteur principal ? Plutôt réécouter les versions d'époque (le "Hang me" de Dave Van Ronk qui a servi de "modèle" à cet épisode de la vie de Greenwich Village en 1961, est quand même plus intéressant) et relire "Chroniques" de Bob Dylan :" j'ai débarqué au beau milieu de l'hiver dans un froid brutal...avant d'avoir mon propre appartement, j'ai squatté un peu tout le monde dans le Village....".
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 décembre 2013
    Tout ca pour ca....eh bé !! Dommage.... Bon image, j ai bien aimé. Le jeu d acteur. Malheureusement c est tout...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 décembre 2013
    C'est triste à dire, mais je me suis emmerdé. La musique était franchement pas ma tasse de thé mais il n'y a pas que ça. D'habitude les Coen nous présentent des losers magnifiques, là on a un loser banal. D'habitude chez les Coen on rencontre des personnages chtarbés qui ont quelque chose à dire, là on a une suite d'excentriques en carton, sans rien dans le bide. La narration est décousue sans même un essai d'explication. Quel dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 décembre 2013
    Touchant, poétique, implacable.

    Inside Llewyn Davis c'est avant tout un film contemporain: ancré dans le passé certes mais le parfait miroir d'une industrie (musicale) qui n'a jamais tellement changé. Aujourd'hui, les labels font toujours leur loi mais d'une manière différente et l'espèce de clone raté de Bob Dylan que joue admirablement bien ici Oscar Isaac représente l'artiste incompris, celui que l'on a devant les yeux et qui nous échappe, comme la perle cachée dans la mauvaise coquille. Une question de vision, de pensée, d'état d'esprit qui vaut pour toutes les époques, tous les genres musicaux et toutes les industries, même. On a beau en 2013 avoir une démocratisation de la culture, une explosion des talents musicaux qu'il faut aller pêcher soi-même pour s'en délecter, il y a toujours cette doxa musicale qui nous surplombe tous indirectement et qui nous dit parfois "ça, nous ne sommes pas prêt à l'accepter" et parfois l'inverse.

    la suite...)
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 décembre 2013
    Du scénario au jeu d'acteurs tout était très bon. Les frères Coen dans toute leur splendeur
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