AlloCiné
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Votre avis sur Maniac ?
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Maniac était sensé être un film d'horreur dans la tête du tueur, il devait montré ce qu'il s'y passe; en définitive on apprend rien de plus, qu'on ne sait déjà avec tous les autres films d'horreur. Néanmoins cela n'en fait pas un mauvais film, il est par certains coté réussi, dans sa façon de rendre une ville comme Los Angeles assez glauque et déprimante, par moment je revoyais un peu le New York de l'original. Concernant le premier Maniac, je dois être le seul à ne pas l'avoir aimé, tant j'avais trouvé le film trop glauque et horrible, le remake offre une version assez amoindri et s'il n'est pas à la hauteur de l'original, il a le mérite d'offrir un spectacle plus que correcte. Je ne considère pas ce film comme divertissant, je ne crois pas qu'on puisse trouver cela plaisant à regarder mais je l'ai largement préféré l'original, car je l'ai mieux supporté. Aux niveaux de interprétation Elijah Wood m'a permit de mieux voir le coté pathétique du personnage, là où l'interprétation et surtout la physionomie de Franck Zito me mettait mal à l'aise.
Il existe des films d'horreurs que j'ai occasionnellement envie de revoir, pour Maniac ce sera la dernière fois, tant je rejette ce besoin de faire quelque chose de malsain et de glauque,avec forcément des scènes de gore réaliste aux possible. Je regrette que l'on tend pas plus vers un cinéma d'horreur qui ne se prend pas trop sérieux et qui offre des moments drôles et sympa sans besoin de traumatiser les gens qui viennent les voir.
Il existe des films d'horreurs que j'ai occasionnellement envie de revoir, pour Maniac ce sera la dernière fois, tant je rejette ce besoin de faire quelque chose de malsain et de glauque,avec forcément des scènes de gore réaliste aux possible. Je regrette que l'on tend pas plus vers un cinéma d'horreur qui ne se prend pas trop sérieux et qui offre des moments drôles et sympa sans besoin de traumatiser les gens qui viennent les voir.
Cinq ans après son premier film d'horreur 2ème Sous Sol, Franck Khalfoun réalise, toujours avec Alexandre Aja et Grégory Levasseur au scénario, le remake du Maniac réalisé en 1980.
Les remakes de films d'horreur sont ce qu'il y a de plus fréquent à Hollywood, et l'idée de voir une relecture d'un film que je n'ai pas forcément vu ne m'attire pas forcément, mais je dois dire que c'est le nom d'Alexandre Aja qui m'a vraiment poussé à m'y intéresser. Grand fan d'Aja, je me suis donc acheté Maniac, et j'ai été très surpris par la particularité de celui-ci. Particularité, qui ne m'avait pas forcément frappée lors de ma vision des bandes annonces mais qui semble en effet très approprié au film, qui réside dans le fait qu'il est entièrement tourné en vue subjective ( "point of vue" en anglais ). Je m'étais toujours demandé pourquoi ne tournait-on pas de films en vue entièrement subjective mais je n'avais jamais songé à l'usage que l'on pouvait en faire dans un film d'horreur; pouvoir montrer le point de vue d'un personnage omniprésent, sans forcément le faire apparaitre à l'écran est quelque chose d'extremement intéressent pour un metteur en scène. Mais il faut malgré cela tenir le rythme; Franck Khalfoun à beau tenir en haleine son spectateur, le rythme quand à lui, s'épuise par moments ce qui est peut etre dû à l'utilisation de la vue subjective qui peut parfois ralentir la cadence de certaines scènes.
Doté d'une très belle esthétique, Maniac nous met alors dans la peau d'un psycopathe troublé qu'Elijah Wood et sa gueule d'ange interprète à merveille. Malgré ses courtes apparitions à l'écran, celles-ci sont chargées en émotions et peuvent parfois en dire long sur ce personnage. Son enfance particulièrement perturbée et sa relation difficile avec les femmes...
Ce personnage si singulier qu'est Franck créer une tension de part son omniprésence durant le long métrage. Cette tension est renforcée par cette caméra subjective qui ouvre un climat étouffant voir même extrêmement glauque. De quoi etre crispé à son fauteuil. Et lorsque que le film prend fin, on ne peut s'empecher de se demander ce que l'on vient de voir. De l'art ? De l'horreur pure et dure ? De l'ultra-violence gratuite ?
Quoi qu'il en soit Maniac est un bonne série B au caractère très spécifique.
Les remakes de films d'horreur sont ce qu'il y a de plus fréquent à Hollywood, et l'idée de voir une relecture d'un film que je n'ai pas forcément vu ne m'attire pas forcément, mais je dois dire que c'est le nom d'Alexandre Aja qui m'a vraiment poussé à m'y intéresser. Grand fan d'Aja, je me suis donc acheté Maniac, et j'ai été très surpris par la particularité de celui-ci. Particularité, qui ne m'avait pas forcément frappée lors de ma vision des bandes annonces mais qui semble en effet très approprié au film, qui réside dans le fait qu'il est entièrement tourné en vue subjective ( "point of vue" en anglais ). Je m'étais toujours demandé pourquoi ne tournait-on pas de films en vue entièrement subjective mais je n'avais jamais songé à l'usage que l'on pouvait en faire dans un film d'horreur; pouvoir montrer le point de vue d'un personnage omniprésent, sans forcément le faire apparaitre à l'écran est quelque chose d'extremement intéressent pour un metteur en scène. Mais il faut malgré cela tenir le rythme; Franck Khalfoun à beau tenir en haleine son spectateur, le rythme quand à lui, s'épuise par moments ce qui est peut etre dû à l'utilisation de la vue subjective qui peut parfois ralentir la cadence de certaines scènes.
Doté d'une très belle esthétique, Maniac nous met alors dans la peau d'un psycopathe troublé qu'Elijah Wood et sa gueule d'ange interprète à merveille. Malgré ses courtes apparitions à l'écran, celles-ci sont chargées en émotions et peuvent parfois en dire long sur ce personnage. Son enfance particulièrement perturbée et sa relation difficile avec les femmes...
Ce personnage si singulier qu'est Franck créer une tension de part son omniprésence durant le long métrage. Cette tension est renforcée par cette caméra subjective qui ouvre un climat étouffant voir même extrêmement glauque. De quoi etre crispé à son fauteuil. Et lorsque que le film prend fin, on ne peut s'empecher de se demander ce que l'on vient de voir. De l'art ? De l'horreur pure et dure ? De l'ultra-violence gratuite ?
Quoi qu'il en soit Maniac est un bonne série B au caractère très spécifique.
tony-76
Violence gratuite ! Et même si cette violence est axé sur les traumatismes du personnage principal, tout est confus. Pas de suspens, il y a des scènes qui se répètent encore et encore. La manière dont est filmé est pas mal mais c'est tout. Bref, un remake inutile et une pellicule gâchée.
Un film qui n'est pas adapté à une grande partie de la population.
Ce film est pour les gens qui se dépassent et peuvent avoir des réflexions internes très aboutis.
Un chef d'oeuvre, une merveille de sensation.
Si vous aimez la psychologie et que vous avez un cerveau qui fonctionne bien, vous adorerez ce film !
Si vous cherchez un simple film d'horreur ou un thriller du style le flic traque le psycho, passez direct votre chemin !
Vous allez rentrer dans la tête d'un shizo, avec les hallucinations, sensations et violences qui en découlent ! C film poussera votre Sur-moi à ses plus grandes limites !
Ce film est pour les gens qui se dépassent et peuvent avoir des réflexions internes très aboutis.
Un chef d'oeuvre, une merveille de sensation.
Si vous aimez la psychologie et que vous avez un cerveau qui fonctionne bien, vous adorerez ce film !
Si vous cherchez un simple film d'horreur ou un thriller du style le flic traque le psycho, passez direct votre chemin !
Vous allez rentrer dans la tête d'un shizo, avec les hallucinations, sensations et violences qui en découlent ! C film poussera votre Sur-moi à ses plus grandes limites !
Est-ce que le monde a besoin d'un autre long-mètrage sur un serial killer ? Evidemment, la rèponse est oui! Difficile pourtant de revisiter un classique de l'horreur à l’ètat brut tel le "Maniac" de William Lustig, une oeuvre malsaine qui eut un grand retentissement en 1980 grâce à la composition hallucinante de Joe Spinell! On se demande d'ailleurs comment refaire quelque chose de dèjà si bien, qui, pour beaucoup, ètait une rèfèrence absolue du genre! L'autre dèfi ètait de crèer le même degrè de peur avec du suspense et beaucoup de tension! Sans avoir l'impact de la première version, cette relecture vaut pour son côtè glauque et son gore ultra jouissif! Le spectateur a un nouveau regard dans un film qui va dans une direction où peu d'autres films ont osè aller! De voir le mètrage au travers du regard du tueur n'avait jamais vraiment ètè fait auparavant! La plupart du temps, on est dans la tête de Frank Zito et on ne voit que ses mains et ses pieds! Un gros challenge pour Elijah Wood car certes "Maniac" est un film d'horreur mais il y a aussi beaucoup d'èlèments psychologiques! Avec sa beautè infantile, l'acteur domine le film dans un contre-emploi psychotique et effrayant, une performance à multiples facettes qui lui a permis de se mettre du point de vue du tueur! On est dans l'esprit de quelqu'un qu'on peut comprendre, pour qui on peut avoir de l'empathie! Un tueur en sèrie en quête de scalps et à l’ètat d’âme plus complexe qui n'y paraît, dont les meurtres brutaux et sauvages ont de quoi serrer les dents! Un + : la B.O est très rèussie et en parfaite osmose avec le quotidien de ce serial killer bien dèrangè...
Ce remake réalisé par la team Aja, du génialissime film original de William Lustig porté par le monstrueux Joe Spinell, est bien faible, la caméra subjective servant de cache-misère, on cède le New York craspec et pouilleux des années 80, à Los Angeles, la cité des anges bien policée. La tension étant inexistante (pour s’en convaincre, il suffit de comparer les scènes respectives dans le Métro) et le psychopathe scalpeur, Frank Zito a maintenant un trauma lié à son enfance, comme dans un autre remake frelaté (le Halloween de Rob Zombie). Au niveau de l’interprétation, Elijah Wood, est plutôt correct malheureusement handicapé par l’approche du personnage, qui en fait une pauvre victime, Nora Arnezeder fadasse au possible. Puis la BO totalement à côté de la plaque achève cette relecture qui n'était absolument pas nécessaire. On se consolera vaguement avec la photographie et les Make-up gores, soignés.
Voilà ce que devrait être un remake ! Le film est respectueux de l’œuvre originale mais il n'hésite pas à innover, et dans le bon sens. Le grand-guignolesque des 80's fait place à une approche équilibrée et plus fine. Si le premier Maniac reste culte, celui-ci a l'audace de se placer à ses côtés. Elijah Wood est un coup de génie pour ce rôle où ses grands yeux tristes contrastent avec le couteau de chasse qu'il cache sous son manteau. Enfin, le choix périlleux de la caméra subjective permet de s'immerger pleinement dans l'exploration du personnage. Dérangeant et remarquable !
On touche la perfection si on ne le compare pas au Maniac, de William Lustig (1980). ...
Maniac est un film glauque et poisseux qui va vous mettre mal a l aise ......
La première scène de meurtre est assez spectaculaire et donne le ton pour la suite ....Quelques scènes sont assez intenses bien crade et déroutant.....La musique,issue des années 80 reflète bien cette ambiance étouffante, macabre et malsaine du guetto et de la nuit ......La musique est très électronique mais mélodique......Une véritable claque technique que vient épauler l'interprétation très juste d'Elijah Wood...........Maniac réussit un coup de maitre grâce au génie de sa mise en scène et la force de son scénario .............tous simplement une tuerie .
Maniac est un film glauque et poisseux qui va vous mettre mal a l aise ......
La première scène de meurtre est assez spectaculaire et donne le ton pour la suite ....Quelques scènes sont assez intenses bien crade et déroutant.....La musique,issue des années 80 reflète bien cette ambiance étouffante, macabre et malsaine du guetto et de la nuit ......La musique est très électronique mais mélodique......Une véritable claque technique que vient épauler l'interprétation très juste d'Elijah Wood...........Maniac réussit un coup de maitre grâce au génie de sa mise en scène et la force de son scénario .............tous simplement une tuerie .
Un remake stylisé, onirique et dérangeant à la photographie léchée et à l'ambiance hypnotisante. Maniac fascine aussi bien qu'il révulse du fait de l’utilisation d'une focalisation interne omniprésente. La vue subjective devient un atout tant le film nous harponne, nous capture pour nous mettre dans la peau de ce tueur en série complexe. Le film ne brille pourtant pas de par son scénario au déroulement très attendu, sans réelle intrigue puisque nous montrant la vie de cet homme visiblement très perturbé sans pour autant chercher une vraie intrigue, enchaînant plutôt des passages de son existence. Cependant Maniac a quelque-chose que les autres films d'horreur n'ont pas, la beauté et la grâce d'une mise en image splendide et viscérale.
"Maniac", remake du film éponyme, ne frise pas, comme son modèle, le nanar. Il en est un. Un pur et un dur.
Si on passe outre le faible charisme d'Elijah Wood, qui campe un tueur dont on se fout éperdument (et oui, les fous au cinéma ne sont intéressants que lorsqu'ils sont intelligents), le spectateur tolérant pourra prendre plaisir à voir un tel déballage de violence trash. Violence de voyeuriste, car gadgétisée, utilisée pour faire joli et donner un tant soit peu de contenance à un film qui n'en a pas la moindre. Tout comme cette caméra subjective non assumée, rompue à tout bout de champ par des cuts, de changements d'axes, etc. On est loin de "Enter the Void", qui l'assumait à fond. Gratuité du procédé.
La pauvreté du scénario fait écho à celle de la mise en scène qui, loin d'être inspirée, pompe ses ambiances et ses décors dans les années 80 (les rues de LA, le tueur à son volant observant ses victimes), allant même jusqu'à plagier "Drive" qui semble faire office de modèle (la musique du générique de fin est une pure copie de la musique du film de Refn). Et comme on est ici dans un catalogue référencée, Khalfoun trouve le moyen de caser "Goodbye Horses", la musique du tueur du "Silence des Agneaux". On a même droite, dans le reflet d'une voiture, à une redite de l'affiche du film original. Bravo. Et sinon y'a un film?
Hélas non, certaines séquences étant vides de tout enjeu (la scène dans les toilettes avec le copain de l'héroïne, qui se conclut, après deux lignes de dialogues, par un "that was a nice talk") tandis que d'autres sont tout bonnement ridicules, car usées maintes et maintes fois par le genre (la course-poursuite dans le métro par exemple). Niveau psychologie, c'est encore l'éternel traumatisme freudien : il tue car sa mère de tapaient des mecs! Brillant. Par contre, pourquoi scalpe-t-il? Parce que ça a un rapport avec son métier? C'est un peu faible. Le final du film sombre dans l'accumulation d'incohérences et, par conséquent, le grand-guignolesque.
"Maniac" en envoie plein la vue, certes, à coup de musiques grandiloquente et d'images gores, par peur que le spectateur se rende compte qu'il assiste à du vide sidéral. J'ai évoqué plus haut que ce film était un nanar, je me trompais. Un nanar est drôle. "Maniac" est juste un mauvais film.
Source: Plog Magazine, les Critiques des Ours
http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2013/01/maniac.html
Si on passe outre le faible charisme d'Elijah Wood, qui campe un tueur dont on se fout éperdument (et oui, les fous au cinéma ne sont intéressants que lorsqu'ils sont intelligents), le spectateur tolérant pourra prendre plaisir à voir un tel déballage de violence trash. Violence de voyeuriste, car gadgétisée, utilisée pour faire joli et donner un tant soit peu de contenance à un film qui n'en a pas la moindre. Tout comme cette caméra subjective non assumée, rompue à tout bout de champ par des cuts, de changements d'axes, etc. On est loin de "Enter the Void", qui l'assumait à fond. Gratuité du procédé.
La pauvreté du scénario fait écho à celle de la mise en scène qui, loin d'être inspirée, pompe ses ambiances et ses décors dans les années 80 (les rues de LA, le tueur à son volant observant ses victimes), allant même jusqu'à plagier "Drive" qui semble faire office de modèle (la musique du générique de fin est une pure copie de la musique du film de Refn). Et comme on est ici dans un catalogue référencée, Khalfoun trouve le moyen de caser "Goodbye Horses", la musique du tueur du "Silence des Agneaux". On a même droite, dans le reflet d'une voiture, à une redite de l'affiche du film original. Bravo. Et sinon y'a un film?
Hélas non, certaines séquences étant vides de tout enjeu (la scène dans les toilettes avec le copain de l'héroïne, qui se conclut, après deux lignes de dialogues, par un "that was a nice talk") tandis que d'autres sont tout bonnement ridicules, car usées maintes et maintes fois par le genre (la course-poursuite dans le métro par exemple). Niveau psychologie, c'est encore l'éternel traumatisme freudien : il tue car sa mère de tapaient des mecs! Brillant. Par contre, pourquoi scalpe-t-il? Parce que ça a un rapport avec son métier? C'est un peu faible. Le final du film sombre dans l'accumulation d'incohérences et, par conséquent, le grand-guignolesque.
"Maniac" en envoie plein la vue, certes, à coup de musiques grandiloquente et d'images gores, par peur que le spectateur se rende compte qu'il assiste à du vide sidéral. J'ai évoqué plus haut que ce film était un nanar, je me trompais. Un nanar est drôle. "Maniac" est juste un mauvais film.
Source: Plog Magazine, les Critiques des Ours
http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2013/01/maniac.html
vu en VOSTFR. je lui met 5*/5.
j'ai bien aimé l'experience, et la vue subjective est tres bien exploitée... cette ambiance quand par exemple il fait du repérage dans la rue et qu'il matte les meufs... pas mal de mecs peuvent s'identifier a ça... ... c'est un chef d'oeuvre. on atteint cette qualité que tres rarement. parce qu'ici y a tout quand meme: effets speciaux, photographie, acteurs, sons, musique, mise en scene... tout est au top du luxe. La fin est grandiose. ceux qui sont fascinés par les tueurs en serie doivent le voir. au meme titre que Schizophrenia le tueur de l'ombre; d'ailleurs. ce film n'a qu'un seul defaut : la psychologie du tueur. ils se sentent toujours obligé de donner des explications aux spectateurs, alors qu'en fait, une grosse majorité des tueurs obsessionnels tuent sans excuses psychologiques bidons, sans raison, ils tuent parce qu'ils ont envie de tuer et que ça les amuses ou que les victimes on un defaut commun inhérent a la société que le tueur ne supporte pas, ou encore mieux, ils tuent pour satan. mais chuuut....
j'ai bien aimé l'experience, et la vue subjective est tres bien exploitée... cette ambiance quand par exemple il fait du repérage dans la rue et qu'il matte les meufs... pas mal de mecs peuvent s'identifier a ça... ... c'est un chef d'oeuvre. on atteint cette qualité que tres rarement. parce qu'ici y a tout quand meme: effets speciaux, photographie, acteurs, sons, musique, mise en scene... tout est au top du luxe. La fin est grandiose. ceux qui sont fascinés par les tueurs en serie doivent le voir. au meme titre que Schizophrenia le tueur de l'ombre; d'ailleurs. ce film n'a qu'un seul defaut : la psychologie du tueur. ils se sentent toujours obligé de donner des explications aux spectateurs, alors qu'en fait, une grosse majorité des tueurs obsessionnels tuent sans excuses psychologiques bidons, sans raison, ils tuent parce qu'ils ont envie de tuer et que ça les amuses ou que les victimes on un defaut commun inhérent a la société que le tueur ne supporte pas, ou encore mieux, ils tuent pour satan. mais chuuut....
Très bon remake du vieux film de William Lustig. C’est très angoissant, perturbant et cru. Je le déconseille aux moins de 16 ans. 4/5
Un film d'horreur grotesque et ridicule. Un remake sanglant, morbide, et sans intérêt, au scénario creux, qui tente de jouer sur la psychologie du tueur de façon risible. La mise en scène est complètement bâclée, le choix de la caméra subjective n'est pas du tout approprié. De plus, Elijah Wood n'est absolument pas crédible dans son rôle. Bref, tout est à jeter ! Un navet gore et mal filmé !
Quel est le plus gros dilemme sous-jacent à la production d’un film d’horreur ? Choisir un format court et condensé avec peu d’explications qui mise sur l’utilisation d’effets et visuels efficaces et l’enchaînement des actions ou bien opter pour une narration plus lente et « aérée » qui cherche à développer pleinement les personnages pour en révéler petit à petit la face cachée. « Maniac » choisit la première option.
Avec 1h28 de film et un rythme soutenu, ce thriller horrifique réadapté par Alexandre Aja et réalisé par Franck Khalfoun finit par tourner quelque peu en rond. La violence et la cruauté sont au rendez-vous et se justifient très rapidement au début du film ; une schizophrénie du personnage principal Frank Zito due à un traumatisme vécu lorsqu’il était enfant. Suite à deux ou trois flashbacks, on comprend l’absence d’un père dans son éducation et l’inconscience d’une mère dépassée par les événements et abusée par des inconnus la nuit sous les propres yeux de son fils… le petit Frank est alors choqué à vie, rongé de l’intérieur à tel point que des pulsions meurtrières l’habiteront ensuite à l’âge adulte. Les images sont malsaines et crues (à la limite du torture porn), le mode opératoire du tueur est souvent identique et ses victimes de jeunes femmes aguicheuses lui rappelant sa mère.
Mais alors finalement pourquoi « Maniac » choisit la première option énoncée plus haut ? Parce qu’un tel scénario ne nécessite sans doute pas d’explications supplémentaires et que le présupposé de base, c’est-à-dire la schizophrénie de Frank, est en fait la finalité de l’intrigue. Tout repose alors sur une succession de meurtres inéluctables. L’espoir d’une nouvelle vie suite à la rencontre de la belle photographe Anna est en fait vain.
« Maniac » est donc finalement très « terre à terre » et n’exploite pas pleinement son potentiel. La vue subjective n’y change pas grand-chose et devient presque désagréable à force. Une fois l’origine du mal-être du personnage principal connu, il y a peu d’intérêt dans la suite de l’histoire. Même l’intrigue avec Anna s’avère prévisible puisque l’on devine aisément que les pulsions de Frank reprendront le dessus tôt ou tard… c’est couru d’avance.
Avec 1h28 de film et un rythme soutenu, ce thriller horrifique réadapté par Alexandre Aja et réalisé par Franck Khalfoun finit par tourner quelque peu en rond. La violence et la cruauté sont au rendez-vous et se justifient très rapidement au début du film ; une schizophrénie du personnage principal Frank Zito due à un traumatisme vécu lorsqu’il était enfant. Suite à deux ou trois flashbacks, on comprend l’absence d’un père dans son éducation et l’inconscience d’une mère dépassée par les événements et abusée par des inconnus la nuit sous les propres yeux de son fils… le petit Frank est alors choqué à vie, rongé de l’intérieur à tel point que des pulsions meurtrières l’habiteront ensuite à l’âge adulte. Les images sont malsaines et crues (à la limite du torture porn), le mode opératoire du tueur est souvent identique et ses victimes de jeunes femmes aguicheuses lui rappelant sa mère.
Mais alors finalement pourquoi « Maniac » choisit la première option énoncée plus haut ? Parce qu’un tel scénario ne nécessite sans doute pas d’explications supplémentaires et que le présupposé de base, c’est-à-dire la schizophrénie de Frank, est en fait la finalité de l’intrigue. Tout repose alors sur une succession de meurtres inéluctables. L’espoir d’une nouvelle vie suite à la rencontre de la belle photographe Anna est en fait vain.
« Maniac » est donc finalement très « terre à terre » et n’exploite pas pleinement son potentiel. La vue subjective n’y change pas grand-chose et devient presque désagréable à force. Une fois l’origine du mal-être du personnage principal connu, il y a peu d’intérêt dans la suite de l’histoire. Même l’intrigue avec Anna s’avère prévisible puisque l’on devine aisément que les pulsions de Frank reprendront le dessus tôt ou tard… c’est couru d’avance.
Maniac : C’est la suite du seigneur des anneaux, car c’est Fredon qui a trop mit l’anneau et qui devint un peu comme Galoume ^^, blague a part. Rare son les remakes qui surpasses les originaux, qui soit dénié d’intérêt car soit c’est de la pure copie ou soit cela dénature l’œuvre et ça a rien à voir. Et moi qui avait adoré le classique, je l’attendais au tournant celui la. Mais avec ce nouveau film, voila le parfaite exemple d’un bon et utile remake. Car, il reste très fidèle à l’original tout en apportant quelque chose de différent, une nouvelle vision. Ce remake est fidèle car il garde l’ambiance dégelasse de la ville, le fort caractère psychopathe du personnage, avec ses mannequins, ses habitues… Et les scènes de meurtres sont bien respectés mais tournés autrement : que ce soit au niveau de la réalisation, des lieux… ont retrouve pas mal de lieu qui ressemble à l’ancien, donc pour ce qui on regarder celui de 80, il ne sera pas dépaysé. Et ce qui ma plus aussi, c’est que il y a pas mal de clin d’œil à d’autre film du genre, je pense au silence des agneaux avec la musique de la deuxième victime : juste énorme, ça rend très bien et d’ailleurs, les musiques et l’ambiance sonore du film est excellente, très immersif avec les bruits de tension, de cœur qui bat... Et la, on va passer au point fort et a l’originalité qui fait l’intérêt et la nouveauté par rapport a l’ancien, c’est la réalisation. Puisque pendant tout le film, on voit a travers les yeux du tueur et on voit juste sa tête avec son reflet… L’immersion est totale car c’est comme si on était dans sa tête et franchement, c’est terrible et apporte une plus-value appréciable, c’est très bien fait et sa donne de bonne impression, et les scènes de meurtres sont encore plus horribles et crédibles vue de cette angle. Après, cette mise en scène a quelque défaut car des fois, les coupures cassent cette immersion, et il y a des zooms et des enchainements pas très fluides mais bons, l’idée est originale et quand même maitrisé. Et pour finir, les acteurs sont très crédibles et bien qu’on voie très peu Elijah Wood, il est vraiment saisissant. Donc voila, entre hommage et réactualisation de l’original : ce remake est une réussite a la voit horriblement violent et percutant.
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