anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 31 août 2013
Scénario de base original, bien qu'un côté un peu moins "unique" que celui de District 9. On y retrouve un peu la même ambiance. La dernière partie était à prévoir, rien de nouveau là-dedans, mais on ne s'ennuie pas et on passe un bon moment. Et puis, Jodie Foster a tellement de classe... Pour moi, c'est globalement un bon film. À revoir.
3,5
Publiée le 31 août 2013
En découvrant "District 9" je m'étais dit que le réalisateur avait la même hargne teintée d'ironie que Verhoeven. Avec "Elysium" il aurait pu nous faire la "guerre des classes" de l'espace, mais le film se contente d'être un excellent film d'anticipation, violent et nerveux, quasiment sans temps mort (sans pour autant avoir recours à un montage épileptique toc). L'univers du réalisateur est loin d'être aseptisé comme c'est souvent le cas avec les blockbusters, et si le scénario parait un peu naïf ou simpliste par moments, le temps passe vite et le discours social passe bien également, même s'il est peu développé. Il vaut donc mieux prendre "Elysium" comme une BD un peu caricaturale que comme un film subversif. Neill Blomkamp a confirmé le bien que je pense de lui, j'attends maintenant son prochain.
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 31 août 2013
Une vision plutôt chaotique du monde futur mais proche d'une réalité. Prob de surpopulation, pollution. Distinction riche/pauvre.
2,5
Publiée le 31 août 2013
Si dans "District 9", film indépendant ambitieux et audacieux , Neill Blomkamp réussi a nous surprendre , ici avec un super budget quelque chose c'est cassé... L'intérêt de ce blockbuster engagé se délite dans une avalanche de violence et n’atteint pas son but d’anticipation sans réussir comme "soleil vert"
4,0
Publiée le 31 août 2013
Excellent film avec un Matt damon au top. Les effets spéciaux sont soignés. L environnement est crédible. Bonne surprise aux vues des critiques peu enthousiaste de la presse.
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 31 août 2013
Bon film, très agréable à regarder, l'histoire est rythmée, prenante. C'est un bon reflet des disparités de notre propre époque. Ce film n'est pourtant pas révolutionnaire (malgré ce concept futuriste) mais il n'en demeure pas moins plaisant !
2,0
Publiée le 30 août 2013
Moi qui m'attendait a voir du cyberpunk... en fait c'est une grosse daube ameéicaine .. et pourtant je suis bon public...
spoiler:
spoiler: le méchant qui devient gentil à la fin, le héros qui se sacrifie pour sauver une fillette, les méchants hyper caricaturés.... avec en prime un méchant qui se fait tatouer riche en français sur le visage


Bref attendez de voir en video
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 30 août 2013
Du potentiel dans le scénario, mais finalement pas grand chose. Une fin simplement nulle. Des incohérences... Un air de Total Recall (de 2012). Trop de baston.
2,0
Publiée le 15 septembre 2013
Pendant la premiére moitié du film on a droit a de bonnes idées de science fiction mélangé à une critique sociale un brin simpliste. Ensuite malheureusement on a droit a un banal film d'action qui m'a vite lassé.
Comme dans district 9 les bonnes idées scénaristique sont vite dissolus dans la testostérone
3,5
Publiée le 30 août 2013
Film très beau niveau effect spéciaux scénario pas mal mes facile à deviner je le trouve vraiment raplapla pas vraiment de rebondissements ! district 9 lui ma scotchée ! film de ouf 10/10
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 30 août 2013
Elysium c'est le top du top en genre science fiction / action ! Toujours dans le même thème que District 9.
Deux film ou l'évolution est la même dans un contexte diffèrent. Un homme qui à un rêve et veut aller droit à son but.
La situation est très bien démarquée, les acteurs sont performant et les scènes sont prenantes dans un atmosphère futuriste total.
Je conseil au fan de Science fiction et action ! C'est du même style que District 9 mais postée sous une autre forme. J'ai adoré et ma place cinéma en valait la peine !

Chrys'
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 30 août 2013
Film cousu de fil blanc, c'est dommage car le pitch de départ semblait intéressant. Quel manque de créativité !
Malgré tout, c'est beau, ça reste regardable.
1,0
Publiée le 16 janvier 2014
Consternant. La déception est d'autant plus douloureuse que j'attendais beaucoup de l'auteur de District 9 qui, quoique surestimé, était un bon film de SF. Au lieu de ça je crois qu'il s'agit du Blockbuster le plus raté d'un été pourtant riche en navets. Tout sonne faux dans Elysium les dialogues sont dignes de statut Facebook (Frey à Max "it's complicated"), le scénario est caricatural, les personnages sont des clichés vivants et les scènes stéréotypées au possible. Ajoutez à cela un généreux arrosage de guimauve et vous aurez une bonne description d'un film de série B. Neill Blomkamp nous recycle du District 9 avec plus d'argent mais moins d'idées reprenant son décor : les bidonvilles de Prétoria sont remplacés par ceux de Los Angeles et son pitch : la parabole de l'immigration remplaçant ici celle sur l'apartheid. La dénonciation du fossé entre les méchants riches et les gentils ouvriers pauvres (oui en 2154 il n'y a plus de classe moyenne) est tellement manichéenne qu'elle ne satisfera que les ados les plus indulgents et même eux se sentiront las de découvrir une fois encore une histoire basée sur la révolte d'un prolo contre les nantis. Un héro qui accumule tous les clichés possibles et imaginables : orphelin, en quête de rédemption, poursuivant son rêve d'enfance et ne pouvant oublier son premier amour. Pour tenir la promesse qu'il lui a faite il va tout endurer : bras cassé, radiations puissance 10 Fukushima, couteau dans le ventre, téléchargement abusif, bref il souffre. Mais pas autant que nous lors de flash back lourdingues pompés sur Gladiator et accompagnés de chœurs d’eunuques s'égosillant afin de susciter l'empathie avec notre héros chauve. Difficile pourtant de s'accrocher aux personnages d'Elysium. Non seulement ils sont caricaturaux au possible mais en plus ils sont mal joués (ceci expliquant peut-être cela). Jodie Foster est toute en nuance, Sharlto Copley en retenue, Matt Damon n'a jamais communiqué autant d'émotion, et Alice Braga tient son rôle de potiche avec tant de talent qu'on jurerai un rôle de composition. Ils campent une galerie de personnages basée sur les stéréotypes raciaux et sociétaux les plus éculés : un écossais fou, un français mégalo, un PDG de multinationale prêt à tout pour de l'argent et une héroïne à l'ancienne : une mère isolée, infirmière, élevant sa fille atteinte d'une leucémie. Franchement. Une leucémie ?! Le réalisateur utilise un enfant atteint d'un cancer pour nous faire pleurer. Ce n'est plus du chantage affectif, c'est une prise d'otage. A cet égard l'interminable scène de rencontre entre elle et Max est franchement embarrassante pour un réalisateur qu'on pensait plus subtile. Mais tous ces défauts ne sont rien par rapport au vrai problème du film : son scénario complètement rocambolesque (attention mass spoiler) spoiler: Toutes les scènes constituant la trame sont branlantes et l'intrigue générale elle même ne tient pas debout : pourquoi le Ministre Rhodes aurait-elle besoin d'un reboot pour faire son putsch alors qu'elle n'avait qu'à prétendre une guerre pour prendre le pouvoir légalement ? Petit festival : D'abord la scène incroyable où Max se fait irradier. Pourquoi n'utilise-t-il pas le gros bouton rouge bien visible à l'écran ? Ne se doute-t-il pas que s'il repousse ce qui empêche la porte de se fermer, celle-ci va... se fermer. J'ai ensuite adoré quand il se cache sous les cochons. L'avion ne l’aperçoit pas et décide de repartir avant de lâcher une heure plus tard... des robots chercheurs. Robots efficaces puisque à six dans une ville de quelques dizaines de millions d'habitants ils retrouvent notre Max dès qu'il met son pied dehors. Max parvient heureusement à s'échapper mais évite de retourner prévenir Frey qu'elle risque de recevoir de la visite. Probablement par peur que la gosse lui raconte encore une histoire à base d'hippopotame et de suricate. Gamine à qui il refuse de donner une ID pour une raison inexplicable. Pourquoi Kruger laisse Max rentrer dans le vaisseau avec sa grenade alors qu'il a deux otages à disposition ? Pourquoi le ministre utilise-t-elle un psychopathe et non pas un robot ou à minima un agent sain d'esprit ? Ce film n'arrête jamais et c'est terrible parce que trois, quatre absurdités c'est pas grave mais quand c'est tout au long du film comment peut-on s'attacher aux personnages et croire en leur histoire ? Pareil, où sont les robots de défense quand Max atterri, quand le vaisseau de Spider atterrit, quand Kruger attente son coup d'état ? Pourquoi le PDG choisit-il qu'un téléchargement du programme soit létale puisqu'il est sensé le faire lui-même ? Pourquoi l'exosquelette de Max ne lui sert qu'une scène sur deux ? Pourquoi Kruger et ses deux acolytes se baladent-t-ils partout pour retrouver Max alors que celui-ci viendra forcément secourir sa belle ? Pourquoi le PDG est-il accompagné de seulement deux robots... qui se batte l'un après l'autre ? Comment Max fait-il pour s'échapper après la mort du PDG alors qu'un vaisseau le survole ? Pourquoi personne ne remarque Max qui est allongé à 5 mètres de l’hôpital ? J'ai beaucoup aimé lors du reboot la succession de plans larges sur Elysium et rapprochés auprès des acteurs : jour, nuit, jour, nuit, énorme !!! Enfin le plus drôle, notre écossais favoris se fait arracher la moitiée de la tête sans en mourir, mieux : "the brain is not damaged"... silence. La fin est complètement abracadabrante. Les robots (qui apparaissent enfin) guidé par le président (n'était-il pas en prison ?) ne peuvent arrêter les citoyens ? Personne ne peut rebooter le système ?
Je justifie mon étoile par l'esthétique soignée (Elysium est très réussie), les scènes d'action honnêtes et les gros guns très cool. Je finirais en citant une critique de CinemaTeaser : [Blomkamp est] "confiant en l’intelligence de son public", pardon ?
3,5
Publiée le 30 août 2013
Le retour du sud-africain prodigue réalisateur du génial District 9 avec deux fois plus de budget ainsi que Matt Damon et Jodie Foster au casting…l’auteur/metteur en scène sera-t’il à la hauteur…? Elysium n’est pas seulement un film de science-fiction. C’est aussi un BON film de science-fiction ; par cela j’entends que le film est aussi représentatif d’un réalisme rare & fortement agréable pour ce genre. Comme pour District 9, les scènes d’action d’Elysium sont parfaitement huilée et nous mettent en immersion totale sans pour autant trop en faire, ce qui est, de nos jours, une qualité rare. Visuellement, le film est simplement impeccable et je pèse mes mots. Le metteur en scène Neill Blomkamp conçoit tout son univers sur le papier avant et ça se voit. Seulement, en passant d’un budget modéré pour District 9 à celui d’Elysium (visiblement plus important), le scénariste/metteur en scène cède à certains petits travers Hollywoodiens désagréables : les bons sentiments par exemple (non pas que cela soit mal à mes yeux, juste quand ils sont trop poussés voir même trop mielleux, ils sont difficilement digérables -le pire dans le domaine restant Spider-Man 3 de Sam Raimi, soit-dit en passant). L’autre exemple -poussé par les producteurs je pense- vient des flash-backs inutiles, vous savez, ceux qui nous remontrent un événement déroulé il y a moins de 15 minutes sous nos yeux…je déteste ça ! A croire que tout ses gens pensent que nous souffrons du même mal que le héros du film Mémento, soit une mémoire maximale de 10 minutes. Le problème principal du film repose sur les épaules (musclées) de Matt Damon qui, malheureusement pour lui, incarne un personnage principal assez fade, un héros en 2 dimensions, contrairement au grand méchant du film Kruger -incarné par le héros de District 9 Sharlto Copley- qui vole la vedette au héros avec son personnage de tueur haut en couleurs car complémentent déjanté. Jodie Foster est là pour représenter la reine mère de l’élite, avec une froideur et un détachement inhumain. Indépendamment, les sujets bien ancrés dans le social du metteur en scène sont bel et bien là, après l’apartheid pour District 9, Neill Blomkamp parle ici de l’immigration mais aussi de la fracture des castes sociales, qui devient de plus en plus important dans la société contemporaine (les riches deviennent très riches, les pauvres très pauvres). Seulement, l’approche de ces sujets est fait de manière tellement pure, que cela nous rappelle aussi qu’un film doit être le vecteur d’un message important, chose qui se perd de plus en plus aujourd’hui. Verdict : Encore une claque visuelle de l’auteur de District 9. Certes en deçà de son précédent en ce qui concerne la narration et l’histoire même (trop de classicisme), mais toujours aussi impressionnant visuellement… ! Ps: Quelqu’un peut me dire pourquoi on ne lui a pas encore confié Star Wars à ce garçon ?
4,0
Publiée le 4 mars 2015
Ce film est une merveille du cinéma. Pour un film de science fiction, c'est l'un des meilleurs que jai vu: il est tres realiste et le casting est tout simplement bon avec Matt Damon qui fait montrer tout son talent d'acteur mais aussi des acteurs inconnu qui merite quon les connaisent. Le realisateur de "District 9" a encore realiser un chef d'oeuvre de la science fiction, il reussi tout. Un film a aller voir absolument si vous aimer la science fiction.
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