Après une première séquence en huis clos habilement maîtrisé, le film dérape en enclenchant les mauvais leviers narratifs, nous plongeant dans une cacophonie d'actions sans logique ni conscience.
La première partie, dénuée de sens, s'effondre sous le poids d'un spectacle qui sacrifie toute subtilité.
La deuxième partie enchaîne des séquences d'envergure, défiant la suspension d'incrédulité, avant de sombrer dans un found footage mal intégré. Ce décalage tonal crée une dissonance qui empêche le spectateur de trouver ses repères, brouillant l'intensité et la cohérence du récit.
"28 semaines plus tard" est un film de zombies intense et effrayant, qui se déroule après une épidémie dévastatrice en Angleterre. Il se distingue par son rythme rapide, ses scènes d'action saisissantes, et une ambiance de terreur constante. Cependant, le scénario n'est pas toujours cohérent, et certains personnages manquent de profondeur. Malgré cela, c'est un film captivant pour les amateurs de frissons et d'adrénaline.
C'est un peu trop gore pour moi, cependant les scènes sont impressionnantes de qualité. Le scénario laisse à désirer quelques uns des choix de protagonistes, mais bon cela reste un (très bon) film de zombie.
Après un début tonitruant tant dans sa dynamique que dans sa tension, le récit révèle l'ineptie de son scénario, un condensé d'absurdités: spoiler: les enfants qui partent gambader en zone contaminée malgré l'encerclement militaire, la mère qui a survécu six mois par miracle, l'intrusion d'un personnage type boogeyman increvable poursuivant ses propres enfants, les décisions des militaires, la survie des infestés (jusqu'à Paris?!?), la descente dans le stade à l'infrarouge... Même si le thème musical ainsi que les effets spéciaux s'avèrent bien mis en oeuvre et que Robert Carlyle produit une prestation habitée, cela ne suffit pas à pallier les lacunes de l'intrigue qui empêchent toute émotion, compassion ou nervosité. Tellement en-deçà du premier volet!
Film désolant par la médiocrité de son argument principal. Le drame familial est écrit vite fait et absolument pas pertinent. Le casting est pourtant de qualité. Les détails du complexe militaire fait croire que l'on se trouve dans un camp de boyscouts amateurs, alors que c'est sensé être géré par l'armée américaine. Ça amène des débilités comme la sécurité des patients infectés qui entraîne la recontamination de la ville et permet de lancer le scénario. Les zombies ont du plutonium dans les veines. Ils sont capables de sprinter non-stop quoi qu'il y ait comme obstacle devant eux. Et ils éliminent leurs victimes aussi efficacement et rapidement que des commandos. Remarquez, ça aurait pu expliquer l'existence d'un virus à but militaire fabriqué par l'armée et qui leur a échappé. Vu leur compétence, ce serait plausible. Mais je ne pense pas que la fainéantise des scénaristes leur ait fait juste réfléchir à ça. Enfin, le père devenu zombie n'est pas comme les autres. C'est une sorte de serial killer, qui a son petit rituel avec les yeux. Une sorte de boss de fin de niveau. Et vu le vide de l'écriture, le dénouement, sûrement seul objectif des scénaristes, entre le père et ses enfants, est nul. On s'en fout. Scénarisation de fainéants, réalisation de fainéants avec des plans rapprochés pour faire suspens mais c'est juste moche, imagination de fainéants.
Une suite fidèle, efficace et upgradée! A l'aspect individuel ou clanique du premier volet succède ici une dimension familiale tragique qui renforce le sentiment dérangeant déjà bien entamé par le réalisme, le contexte post-apocalyptique et cette photo au grain grisâtre et sali. Une suite plus nerveuse, notamment dans une mise en scène qui colle au plus près de la folie zombiesque et qui ne manque pas de virtuosité dans sa transcription du chaos. L'ensemble a beau se donner du mal pour être divertissant, il se révèle finalement un peu amer, malaisant, troublant... et donc réussi!
un chef d'oeuvre horrifique qui se suit assez bien la scène d'introduction est l'une des meilleures qui ait été faite dans le genre néanmoins la deuxième partie du film est un peu moins interessante
Malgré une première scène incroyable dans sa mise en scène et dans son rythme, 28 semaines plus tard peine à trouver son rythme sur le reste du film. L'écriture bâclée des personnages et de l'histoire n'aident pas à s'investir dans le récit, pouvant même laisser penser que le film a subi des coupes en post-production. Enfin, le parti pris de mise en scène, avec une caméra très tremblante dans les scènes de tension, a extrêmement mal vieilli et à la limite du supportable.
Les seuls points communs avec le premier opus sont les zombies qui court à fond la caisse et le lieu où se passe l’aventure, la Grande Bretagne. L’intro, comme dans le premier volet est top, violente, sanglante cependant le reste du film est juste nul, un gros scénario caca zombiesque, ça hurle tout le temps, on se demande comment les militaires peuvent être aussi mauvais et mal organisés à ce point… très mauvaise suite!
Trop sanglant, trop violent, plus aucun espoir. Je n'ai pas aimé cette suite. Dur d'en parler sans dévoiler des choses mais en ce qui me concerne j'aurais pu/dû me contenter du premier.
Honnêtement, je que 28 semaine plus tard est le film le plus nul que j'ai vu de ma vie entière. Des plans a vomir, tant par le cadrage que par la stabilité et des incohérences constantes tout au long du scénario... spoiler: [s[spoiler] spoiler: spoiler: poiler][spoi[/spoiler]ler]Entre[/spoiler] le mari qui peut rentrer voir sa femme alors qu'elle est en quarantaine, le faite qu'une fois transformé il puisse se "tél[/spoiler]éporter" dehors alors que la salle est comme même sécurisé, les enfants qui s'enfuient du camp... Et j'en oublie sûrement..Le film est épuisant entre grand silence et cris assourdissant.Je mets une étoile pour la scène de fin qui, même mal filmé laisse grossièrement passer son message.
Sans surprise et prévisible, le scénario n'enchante pas le spectateur. En plus dotée d'un casting moyen, la suite agace et n'est guère persuasive. C'est nettement inférieur.
L'intro est incroyable, la musique et la course poursuite wow Et une fois le scénario commencé ça devient nul, ça n'a plus aucun sens, ce film était vraiment pas nécessaire