Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode d’Ici tout commence diffusé lundi soir sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Lundi 22 janvier dans Ici tout commence...
Cardone a Bérénice dans le viseur
Ayant été sélectionnée dans la brigade de la cheffe Cardone pour les Journées de la Pâtisserie, Bérénice veut tout faire pour se montrer à la hauteur. Elle révise les bases grâce à des tutos vidéos, notamment sur le macaronage qu’elle ne maîtrise pas. Quand Teyssier la prend en flagrant délit, il n’hésite pas à se moquer d’elle, soulignant qu’elle aurait du réviser ces bases depuis bien longtemps. Constance défend sa demi-soeur, qui finit par aller en cours.
Constance prend son mari à part, lui reprochant de ne pas encourager Bérénice à son rythme alors qu’il sait pertinemment qu’elle lutte tous les jours contre sa phobie scolaire. Elle lui reproche également d’avoir choisi Cardone pour encadrer la brigade alors qu’il a lui-même été traumatisé sous ses ordres. Teyssier rétorque qu’il n’y avait personne d’autre d’aussi excellent de disponible.
À l’Institut, Cardone rejoint la brigade, composée de Bérénice, Carla, Ethan, Solal et Tom, à l’Atelier. Elle annonce qu’ils vont passer une série d’évaluations pendant trois jours afin qu’elle puisse s’assurer de leur niveau et les classer. L’élève qui sera en tête du classement sera nommé chef de brigade, chargé de créer des desserts originaux et dignes d’étoilés pendant les Journées de la Pâtisserie. La première évaluation consiste à réaliser un minimum de 300 macarons en 6 heures.
L’épreuve commence. Bérénice n’avant pas assez rapidement. Carla lui suggère de passer la seconde. En sentant Cardone rôder derrière elle, Bérénice panique. Elle doit recommencer la fournée qu’elle venait de préparer. Carla l’encourage à ne rien lâcher, tandis que Solal lui prête une nouvelle plaque de cuisson. Bérénice rétorque qu’elle n’a pas besoin d’eux.
Plus tard, à l’Économat, Solal, Tom et Ethan se montrent plutôt confiants. Si Tom et Ethan critiquent Bérénice et jugent qu’elle n’est pas à sa place, Solal la défend en la soupçonnant de souffrir de phobie scolaire. Quand Ethan ajoute que Bérénice fait partie de la brigade uniquement par piston, Solal lui fait remarquer qu’il cherche visiblement toujours à impressionner sa mère. Ethan rétorque qu’il sera chef de brigade parce qu’il est le meilleur et pas par traitement de faveur de la part de Cardone.
De retour à l’Atelier, les garçons se démènent. Surtout Ethan. En constatant son retard, Bérénice panique. Dans un réflexe maniaque, elle arrange les ustensiles de son plan de travail. En la voyant faire, Carla lui prend les mains et l’oblige à la regarder dans les yeux. Elle lui rappelle qu’elle est parfaitement capable de rattraper son retard. Reboostée, Bérénice se remet au travail.
À la fin de l’épreuve, Cardone fait les comptes : Solal a réalisé 310 macarons, Tom 305, Ethan 345, Carla 300 et Bérénice 168. Cardone déclare qu’elle n’a pas respecté les consignes. Ayant remarqué son côté maniaque, la cheffe décide de faire de Bérénice la responsable du ménage de la brigade, chargée de faire la plonge, laver le sol et débarrasser les plans de travail…
Claire œuvre en faveur de Louis
Ayant rendu visite à Louis en prison pendant le week-end, Rose en parle avec Claire, admettant qu’elle a vraiment senti la sincérité des regrets de son demi-frère. Ce dernier lui a d’ailleurs parlé de la possibilité d’une liberté provisoire dans l’attente de son procès. Claire avoue espérer qu’il puisse obtenir un vote favorable du conseil pédagogique de l’Institut pour qu’il revienne y enseigner. Olivia note qu’il faudrait au moins 4 voix. Rose pense pouvoir trouver les mots pour convaincre Clotilde, mais si elle refuse Claire a l’intention de demander à Hortense. Une fois Rose partie, Olivia campe sur sa position : elle comprend les motivations de sa compagne, mais elle n’approuve pas ses méthodes de complotiste.
Comme convenu, Rose discute de la situation avec Clotilde, en présence de Joachim. Clotilde se braque, refusant catégoriquement de voter en faveur de Louis. Même si leur père a su qu’il l’avait empoisonné et qu’il lui a pardonné, elle déclare que ce n’est pas son cas.
Plus tard, Joachim essaye de remonter le moral de Clotilde. Il la soupçonne de culpabiliser de ne pas aider son demi-frère. D’autant qu’elle devrait comprendre les motivations de Claire puisqu’elle-même avait tout fait pour éviter que Jérémy aille en prison. Clotilde rétorque que ce n’est pas dut tout comparable.
De son côté, Claire sollicite Hortense, lui rappelant qu’elle lui avait promis de lui rendre un service. Marc se mêle à leur conversation. Claire prétend que le prochain vote du conseil pédagogique concerne des questions de planning et de cours. Une fois leur collègue parti, Claire insiste auprès d’Hortense, qui accepte de voter en faveur de Louis.
Laetitia fait du zèle
Au Double A, Stanislas découvre que Laetitia s’est levée de bonne heure pour s’occuper de la mise en place. Il lui explique qu’il l’a déjà réintégrée à ses cours et qu’elle n’a pas besoin de faire ses preuves. Mais Laetitia avoue que ça ne la dérange pas. Elle va même jusqu’à proposer son aide pour des affaires plus personnelles concernant Maïa. Mais Stanislas ne veut pas en parler à l’Institut de peur que ça s’ébruite.
Après le service, Laetitia surprend Stanislas au téléphone, visiblement embêté par un problème. Elle lui sert un café pour lui remonter le moral. Touché, Stanislas lui présente ses excuses pour la façon un peu abrupte dont il a refusé son aide.
Il avoue à Laetitia qu’il se retrouve dans une situation délicate : il doit absolument aller à un rendez-vous avec un fournisseur, mais celui-ci a lieu à l’horaire auquel il a l’habitude d’aller à l’hôpital pour faire la lecture à sa femme. Il souligne l’importance de ce genre de rituels pour les personnes dans le coma. Stanislas demande donc à Laetitia de le remplacer à l’hôpital ce jour-là. Elle accepte.
Une fois chez elle, Laetitia se confie à Zacharie et Kelly, appréhendant énormément de se retrouver face à une femme dans le coma pour lui faire la lecture.