Il y a parfois des objets qui suscitent de l'intérêt de la part de tous les acheteurs dans Affaire conclue, l'émission d'enchères de France 2 : cela a été le cas, lundi 25 mars 2024, du joli rocking chair apporté par Joëlle.
Affaire conclue : Joëlle vient présenter un joli fauteuil hérité de ses grands-parents
Signé Michael Thonet, un artisan germano-autrichien, ce joli fauteuil en hêtre date de 1860. Cette pièce raffinée et très bien entretenue que Joëlle a récupérée dans la maison normande de ses grands-parents est estimée entre 100 et 150 euros par la commissaire-priseur Marylou Combalier. "Je suis très contente de toutes les informations que j'ai obtenues sur mon fauteuil", explique tout sourire Joëlle avant de partir le proposer en salle des ventes. Et elle n'est pas au bout de ses surprises !
Le fauteuil de Joëlle tape dans l'oeil des acheteurs
Dès son arrivée en salle des ventes, le rocking chair fait sensation. Tous s'extasient de son bel état, et personne ne semble effrayé par le petit accroc sur le cannage que leur désigne Joëlle. "Ce n'est rien du tout madame, ce n'est pas grand-chose", la rassurent les acheteurs. "La couleur est magnifique", s'extasie Caroline Pons. "Il a une super patine en plus", enchaîne Diane Chatelet.
Débutées à 50 euros, les enchères s'envolent rapidement et l'estimation de la commissaire-priseur est dépassée. Après une première proposition d'Arnaud Cabri-Wiltzer à 250 euros, Diane Chatelet et les autres acheteurs surenchérissent. Georges Van Cauwenbergh, Caroline Pons et François-Xavier Renou se positionnent aussi sur l'objet avant de laisser seuls en course Diane Chatelet et Arnaud Cabri-Wiltzer. "Il ne lâchera pas, on a beau taper un grand coup... ", se désole la jeune femme après que son collègue ait une nouvelle fois surenchéri. Finalement, ce dernier obtiendra le fauteuil à la somme de 580 euros.
"Ca a été une bataille acharnée", explique ensuite Diane Chatelet face caméra, en compagnie d'Arnaud. "Je crois qu'on a les mêmes goûts avec Diane, enchaîne celui-ci. "On ne laisse pas passer les lots mais à un moment donné il faut quand même s'incliner, explique la marchande d'art. "Il faut s'incliner. Et là malheureusement, je n'ai pas eu envie de m'incliner. Et je remercie Diane de s'être inclinée", conclue avec humour son collègue.
