Il officie sur BFMTV depuis la rentrée avec Le 20h de Ruquier sur la case 20heures-21heures. Avec ce nouveau challenge, Laurent Ruquier donne rendez-vous chaque jour aux téléspectateurs. Le but de l’émission : discuter actualité et sujets qui font débat autour de la table, entouré de sa coprésentatrice Julie Hammett ainsi que de chroniqueurs et invités qui changent régulièrement. "Je suis très heureux de rejoindre BFMTV, la chaîne info de référence qui m'offre ainsi la chance de revenir à ce qui me passionne depuis toujours: l'actualité, qu'elle soit politique, sportive, culturelle ou sociétale", avait-il confié par voie de communiqué au moment d’annoncer son arrivée en juillet dernier. Un nouveau challenge qu’il relève avec brio puisque les audiences semblent au beau fixe. Selon Médiamétrie, l’émission a enregistré une moyenne de 302 000 téléspectateurs entre le lundi 25 septembre et le mercredi 25 octobre 2023.
Un salaire qui "fait jaser"
Mais en interne, l’arrivée de Laurent Ruquier a, semblerait-il, fait l’effet d’une bombe. En cause : son salaire, qui serait particulièrement élevé, du moins plus que les autres présentateurs qui officient sur BFMTV. Plusieurs sons de cloche à ce sujet : Télé-Loisirs avance "un salaire entre 60 000 et 70 000 euros mensuel" comme l’aurait murmuré au média "un visage familier de l’antenne", mais selon les dernières "estimations" du magazine Télé 2 Semaines en kiosque ce lundi 30 octobre 2023, son salaire serait bien plus bas. L’hebdomadaire évoque une rémunération "à 5 chiffres" qui "serait comprise entre 25 000 et 30 000 euros, hors prime d’antenne annuelle". Et d’ajouter : "C’est moins que sur France 2 mais nettement supérieur aux 5000-6000 euros brut habituellement versés aux présentateurs de tranche (hors prime d’antenne annuelle d’environ 20 000 euros)." Un chiffre que l’animateur, qui ne souhaite plus parler de l'affaire Plaza, n’a pour l’heure pas confirmé.