L’ancienne Miss France et Miss Univers jouit d’une belle notoriété sur les réseaux sociaux où des millions de personnes la suivent. Depuis son élection en 2015, les internautes suivent son quotidien et la jeune femme vit en permanence sous le feu des projecteurs. Elle a révélé cette semaine dans les colonnes de Télé 7 jours que cette popularité a des conséquences, elle s’est notamment sentie forcé d’afficher au public son couple avec Diego El Glaoui.
"J’ai été harcelée"
La co-animatrice de Ninja Warrior a expliqué au magazine Télé 7 Jours son choix d’exposer sa vie amoureuse sur les réseaux sociaux. "J'ai été harcelée par les paparazzis. Afficher mon couple était un moyen de m'en protéger", a confié Iris Mittenaere, fiancée et bientôt mariée à l’entrepreneur Diego El Glaoui.
En effet, cette décision n’était à la base pas vraiment voulue et Iris Mittenaere avoue qu’elle aurait aimé garder pour elle une partie de sa vie privée."J'ai aussi une communauté de gens qui m'ont vue grandir. Ils font un peu partie de ma famille. J'ai donc envie de partager avec eux des photos de ce que je vis, de mes aventures et mésaventures, tout en gardant une petite part privée. Mais aujourd'hui, la limite est dure à définir…", a continué l'ancienne Miss.
La jeune femme a également confié être questionnée sans cesse sur une éventuelle grossesse. "C'est 'la' question, dès qu'on est en couple et que l'on a 30 ans. Mais je n'ai pas besoin d'aller sur Instagram. J'ai des parents et des grands-parents pour me la poser" a-t-elle lancé, amusée.
Iris Mittenaere victime régulière de rumeurs
L’ex Miss Univers avait déjà confié les côtés moins joyeux de sa notoriété dans une interview à Télé-Loisirs, expliquant que des rumeurs, parfois loufoques, la visent régulièrement. "Depuis toujours on dit tout et rien sur moi : j'ai été enceinte, j'ai été en couple avec des gens que je n'avais jamais rencontré et je me faisais larguer", avait-elle déclaré. "Le principal est de savoir ce qui est vrai et rétablir la vérité, c'est aussi pour ça que les réseaux sociaux existent et qu'on peut parler directement à nos communautés sans passer par un intermédiaire", avait-elle affirmé.