SAW 2: La Suite qui Coupe des Membres et des Attentes
Eh bien, mesdames et messieurs, accrochez-vous à vos boussoles morales, car "SAW 2" est de retour avec une vengeance aussi sanglante qu'une convention de vampires en manque de dîner! Tout d'abord, il faut saluer le fait que le réalisateur ait décidé de faire un changement majeur ici, un peu comme si Mario avait décidé de lâcher les tuyaux pour se lancer dans la menuiserie. Mais ne vous inquiétez pas, notre cher Jigsaw est toujours là, concoctant des énigmes plus tordues que les plans de Loki dans le dernier Marvel. C'est comme s'il avait confondu "Netflix and chill" avec "Saw and kill".
Alors, qu'est-ce que le génie maléfique de Jigsaw nous réserve cette fois-ci? Eh bien, au lieu de deux malheureuses victimes, nous en avons huit, comme si c'était une sorte de buffet à volonté de la terreur. Si l'originalité avait un visage, ce serait probablement le visage de Jigsaw. Mais ne vous attendez pas à la même ambiance crasseuse que dans le premier volet. Non, non, ici, les pièges sont plus lisses que les fesses d'une poupée Barbie! C'est comme si Jigsaw avait découvert Photoshop et avait décidé d'embellir un peu son œuvre macabre. Cependant, ne vous méprenez pas, cela reste loin d'être une sortie pour toute la famille. C'est plutôt comme une soirée pizza dans un asile d'aliénés.
Le scénario, mes amis, est aussi complexe qu'un échiquier en 4D avec des règles inventées par Stephen Hawking. Il est clair que les créateurs de la saga avaient déjà prévu tout cela dès le premier épisode, comme s'ils avaient une boule de cristal pour prévoir le succès de leur franchise. C'est un peu comme si les Avengers avaient prévu la fin d'Endgame dès le premier Iron Man. Et même s'il y a quelques moments où on se demande si Jigsaw a fumé un joint d'herbe de la réalité alternative, tout s'emboîte à la fin, laissant nos cerveaux aussi secoués qu'un cocktail au shaker de l'énigme.
Le montage est à la fois précis et diabolique, tout comme un chirurgien psychopathe qui opère en écoutant du death metal. L'alternance entre les deux intrigues se fait avec autant d'habileté qu'un jeu de cartes dans un casino de Gotham City. Et parlant de Gotham, ce film ne serait-il pas une sorte de Batman pour les amateurs d'horreur? Un justicier masqué qui punirait les pécheurs d'une manière très peu orthodoxe? Et Jigsaw serait le Joker dans cette équation, cherchant à prouver que nous sommes tous un peu fous au fond.
Au-delà des horreurs visuelles, "SAW 2" nous offre une petite dose de critique sociale, comme si George Orwell avait décidé d'écrire "1984" après avoir regardé un marathon de "Saw". C'est une sorte de doigt d'honneur subtil à la police, montrant que même les forces de l'ordre ne sont pas à l'abri de la folie de Jigsaw. C'est comme si RoboCop s'était retrouvé piégé dans un de ces pièges, essayant de faire respecter la loi tout en échappant à une scie circulaire.
En conclusion, "SAW 2" est un cocktail dément de terreur, de suspense et de réflexion sociale. C'est comme si Alfred Hitchcock avait rencontré Hannibal Lecter pour une tasse de thé et que cela avait mal tourné. Alors, attachez-vous bien, préparez-vous à grincer des dents, et surtout, ne sous-estimez jamais la puissance d'un puzzle bien ficelé, même s'il est macabre. "SAW 2" est une suite qui ne vous laissera pas indifférent, à moins que vous ne soyez déjà devenu un casse-tête vous-même!
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