Derniers Avis : Saw 2 - Page 5

À peine un an après le premier film, Saw II nous en apprend plus le tueur au puzzle grâce à sa présence centrale dans le scénario. Désormais à visage découvert, John Kramer (finement interprété par Tobin Bell) parvient à attirer des policiers dans son antre et à pousser à bout Donnie Wahlberg (le frère de Marky Mark) afin qu’il se rende compte du temps qu’il a à rattraper avec son fils, prisonnier dans une maison délabrée avec pas moins de sept personnes. En effet, le propos est tourné sur l’appréciation de l’instant présent, bien trop laissé de côté dans la société actuelle où on fait tout à grande vitesse. John Kramer étant spoiler: atteint d’un cancer
, il dit profiter de la vie qui lui est offerte autrement étant donné qu’il sait spoiler: qu’il ne lui reste pas longtemps à vivre
, et c’est exactement ce qu’il cherche à faire comprendre à Mathews en lui faisant payer non seulement la négligence de son fils, mais aussi les condamnations spoiler: injustement prononcées envers les autres à cause des preuves qu’il avait fabriquées
.

Dans la forme, Saw II est encore plus largement inspiré de la saga Cube avec la survie de plusieurs personnes dans un puzzle truffé de pièges mortels, et les personnages qui se traitent n’importe comment par simple méfiance au lieu de coopérer. Le ton est lancé par une introduction montrant un informateur de police dont la tête est piégée dans un casque clouté, la clé pour l’enlever se trouvant coincé dans l’orbite de son œil crevé, un scalpel étant à sa disposition pour le découdre. D’autres classiques suivent comme la clé à trouver dans un compartiment rempli de seringues, ou encore un antidote caché dans un four dont les flammes s’allument quand on le retire : une sorte de Fort Boyard morbide. L’intrigue continue de surprendre avec spoiler: le relais passé à une des prisonnières, qui agissait pour Jigsaw depuis le début
. Une suite réussie !

Tres bonne suite de saw , Pratiquement aussi bien Que le premier ce saw 2 a de quoi surprendre. Le scenario et bien trouver, et quelque scene son vraiment insoutenable (la scene avec les seringues). Et commme a son habitude une fin completement innatendu et jubilatoire. Bref pour les fans de la saga comme moi ce saw 2 vous ravira

Au vue du succès du premier film, les producteurs choisirent de faire une suit à "Saw", lançant officiellement une longue franchise. S'il est un bon cran en dessous du précédent long métrage, ce "Saw II" a le mérite de se renouveler. Cette fois, le maitre d'oeuvre, le fameux Jigsaw, se montre à visage découvert et dévoile un peu plus ses motivations. Le scénario y est toutefois moins tordu et machiavélique mais tient la route. Ce côté "huis clos" bourré de pièges rappelle un peu "Cube" (1997). Plus gore, moins psychologique, cette suite, aussi honorable soit elle, annonce ce que sera cette série cinématographique. Les films suivants seront toutefois d'une qualité nettement moins bonne.

Un second volet encore plus palpitant que le précédent. Le film est visuellement encore meilleur, grâce au changement de metteur en scène, ça y'est on est passé à Darren Lynn Bousman.
Saw 2 ouvre donc une trilogie Bousman, où l'on retrouvera les 3 meilleurs volets de la saga. Insoutenable sur le plan visuel, quand on ne voit pas les victimes de Jigsaw s'entretuer, se faire torturer, ou se faire tuer, eh bien on voit un père qui engueule son fils parce qu'il a fini chez les forces de l'ordre, quand l'on ne voit pas ça, on assiste et on écoute des histoires macabres de John Kramer. Il est surtout parfaitement construit sur le plan scénaristique, on peut néanmoins regretter le dénouement incrédible, en revanche à ce stade du film, une grande surprise nous attend.
J'ai adoré le monologue épouvantable de John Kramer sur le mérite de vivre, le sujet dont le traitement est le plus compliqué, (selon moi). Je le déconseille aux moins de 16 ans.
Bref, super film qui mérite un bon 4/5.

On est loin de l'inventivité et de l'originalité du premier épisode avec son twist final. On reprend cependant le même concept de personnes enfermées dans un endroit plein de pièges, d'hémoglobine et d'un directeur du jeu machiavélique. En bref, un ton (voire deux) en dessous mais peut trouver son public.

sans doute le meilleur de la série.
certe il y a quelques clichés mais le tout est tellement bien mené que l'on y croit avec des scènes démoniaques que l'on se demande comment ils en on eu l'idée

Changement de réalisateur pour une suite qu'on attendait de pied ferme. James Wan cède la caméra à Darren Lynn Bousman. Et quel incommensurable honneur pour ce cinéaste qui, sans concession, honore avec le même génie, l’œuvre de son confrère. Saw II frôle l'apogée du thriller horrifique avec un scénario aussi démentiel que le premier. La personnalité du tueur aux puzzles est ici approfondie lors d'un interrogatoire musclé. Mais je ne connais pas d'autres films où les rebondissements sont aussi bien menés, le genre qu'on ne peut voir venir, mais qui arrivent tel un feu d'artifice. Nouveaux casses-tête, nouvelle boucherie, avec toujours la mort au bout du compte à rebours. Et ce twist incroyable durant les dix dernières minutes, là où tous les éléments prennent un sens... J'en reste pantois d'admiration. Mention spéciale pour la base scénaristique qui a rarement atteint de tels sommets au sein du genre épouvante. La perfection est à deux doigts. 4,5/5

Film sans grand interet car la fin est beaucoup trop previsible. On rentre encore une fois dans le cliché du fils qui entretient de mauvaises relations avec son pere policier. Le casting est mauvais et le film s'enlise dans une serie d'énigmes farfelues,truffées de flou scenaristiques notamment avec les enregistrements audio.

Ce Deuxième volet de la saga Saw est aussi bien que le Premier car les pieges sont mortels comme dans tous les autres volet de la saga , et le tueur même si il ne tue pas avec ses propres mains initie les pieges qu'il met en place mais on apprend que dans ce 2eme volet qu'il est assisté par un autre personnage du film et c'est un film d'horreur a regarder même si c'est trash et il faut quand même le regarder et le tueur calcule a chaque millimètre le temps et les pieges avec une minuterie qu'il peut leur causer a un des personnages de mourir ou pas

Avis :
Revisionnage, avis et note inchangés. Avec ce second opus la saga plonge déjà dans le sous-genre du torture porn. Elle a donc lâché déjà du monde en route. Pourtant je trouve cette suite tout aussi bonne, elle est pour moi quasiment à égalité avec le premier j'aime les deux à peu près pareil mais j'ai une petite préférence quand même pour celui-ci. Revu dans sa version Director’s Cut légèrement plus longue d’à peine 2 minutes rajoutant des plans un peu plus sanglant et des scènes un peu plus étendues. Elle n’apporte pas grand-chose de plus très clairement.
Ici le principe du flash-back continue sa lancée comme dans le premier film et sera une des marques de fabrique de la saga. Dans certains opus ce ne sera pas toujours bien utilisé mais ici comme dans le premier il n'y a pas grand-chose à y reprocher. Ces derniers nous permettent un bon avancement dans la saga du point de vue du passé de l'histoire du tueur "Jigsaw". On y apprend clairement ce qui l'a pousser à faire ce qu'il fait. Dans cette suite on est même dans l'antre de la bête durant tout le film pendant qu'il fait jouer 8 de ses victimes dans une maison. On reprend le principe du huis-clos qui était juste dans une pièce de salle de bain désaffectée pour le précédent et ici le jeu principal se passe dans une maison délabrée avec beaucoup de pièces à pièges.
Cet opus est de suite plus sanglant, plus gore, plus cruel, plus machiavélique mais de son point de vue de l'histoire très captivant. Ce n'est pourtant pas cet opus qui atteindra l'apogée du gore. Pour moi on reste quand même dans le thriller horrifique avec son enquête captivante doté ici de sa touche gore en plus c'est indéniable et un twist final encore renversant, génial et imprévisible. Le twist final autre marque de fabrique bien réussie de la saga.
Darren Lynn Bousman remplace James Wan à la réalisation et y apporte sa touche personnelle réussie. Wan reste cependant dans les rouages du projet, en écrit le script et est producteur. Le casting présent est assez sympa puisqu'on y voit des têtes connues comme la mignonne Beverley Mitchell qu'on a tous vu dans 7 à la Maison, Emmanuelle Vaugier et notamment le très bon Donnie Wahlberg. Pour le reste toute l'équipe du premier est présente comme Leigh Whannell au scénario et à la production et ça se ressent bien. Un bon saut d'eau (Saw II) avant d'attaquer la partie encore plus gore de la saga.

Un mot sur la BO :
Toujours signée Charlie Clouser, elle a un tant soit peu plus de présence ici, reprends les mêmes thèmes du premier en étant un peu plus étoffé et retravailler et se révèle être un poil meilleur. Quelques titres de métal y font leur apparition avec du Marilyn Manson ou encore du Mudvayne avec son bon titre Forget To Remember.
Ma note : 9/10 !

Evidemment, le succès du premier "Saw" (réalisé par James Wan) a été traduit par la production comme quoi le public en redemandait. Ben tiens, bien sûr qu’on en redemande ! C’est normal, après tout ! Car même si la chute de l’histoire était géniale et inattendue, on restait tout de même sur notre faim ! En effet, ensorcelés que nous étions par l’ambiance glauque, mystérieuse et inquiétante de ce film, de bonnes questions allaient hanter nos esprits : qui est l’instigateur de ces jeux ? Qui était ce grand bonhomme déguisé en cadavre ? En refermant la porte derrière lui, il a déclaré que le jeu était terminé, mais est-ce vraiment lui qui est derrière tout ça ? Nous avons tellement cru que le cerveau de cette macabre affaire était Zepp… qu’il nous était impossible de deviner que ce dernier n’était rien d’autre qu’un maillon de la chaîne du voyage vers les enfers (ou de la rédemption, c’est selon le point de vue…), un voyage dont le mode opératoire est d’un machiavélisme rarement vu. Une grosse part de mystère allait donc rester autour du responsable de cette affaire, jusqu’à l'apparence physique du grand bonhomme que nous n’avions qu’à peine entrevue à la fin de "Saw" quand il s'est relevé. C’est donc avec une certaine frénésie que nous abordons cette suite donnée un peu plus sanguinaire, signée Darren Lynn Bousman en lieu et place de James Wan. Le changement de réalisateur a de quoi nous faire craindre que la mise en boîte soit moins maîtrisée. Et en fait non. Dès les premières secondes, nous sommes rassurés (enfin si j’ose dire !) car nous plongeons tout de suite dans une atmosphère inquiétante grâce au trio composé par les décors et accessoires (ampoule nue), la bande originale, et la bande son (bruit de respiration). Et nous ne quitterons plus cette espèce de stress addictif jusqu’à la fin, bien que la bascule se fasse régulièrement entre les prisonniers mis à l’épreuve et l’enquête. Une enquête que nous suivons avec beaucoup d’intérêt, menée par la charmante et néanmoins charismatique Dina Meyer en Kerry (grande spécialiste de Jigsaw), et par un Donnie Wahlberg très inspiré par cet inspecteur à la fois blasé et piqué au plus profond de son être. Du côté des victimes, le processus de réflexion est moins mis en avant (normal après tout, du fait qu’ils sont en prise avec une situation qu’ils ne maîtrisent pas du tout) alors que les indices laissés par celui qu’on appelle désormais Jigsaw sont particulièrement précis, énoncés par des mots rigoureusement choisis… Un exemple ? "Les chiffres sont gravés quelque part dans vos têtes". Cela paraît tellement simple et si évident, quand on sait… Certaines transitions d’une scène à une autre sont faites comme s’il n’y avait pas de coupure, ce qui nous permet de passer d’un décor à un autre sur un seul et même plan par un glissement de caméra, technique déjà maîtrisée par James Wan lors du premier film. En fait, le style est si proche entre les deux réalisateurs que si on ne prête pas attention au listing de l’équipe technique, on peut aisément croire que c’est James Wan qui a lui-même rempilé pour ce deuxième numéro du Tueur au puzzle. Cependant la grande différence avec "Saw" réside en le fait que Jigsaw, brillamment interprété par Tobin Bell, est cette fois le pivot central de toute cette affaire. Muni d’un regard à l’inébranlable assurance, cet acteur fait preuve d’un charisme rarement vu, ce qui lui permet d’avoir une présence folle, et émerveille le spectateur de son intelligence (certes macabre) tant sa connaissance de l’être humain (aussi bien physique que psychologique) est poussée à son extrême, expliquée en partie par sa propre histoire. Il est remarquable de voir à quel point il peut tout prévoir jusque dans les moindres détails. Et une fois de plus, on ne voit guère arriver le twist final, lequel revêt d’une importance capitale certaines répliques du premier opus ! Et puis… raaa, c’est énervant parce que nous sommes condamnés à regarder la suite pour connaître le sort de sa nouvelle victime ! La partie est loin d'être terminée...

Je ne comprends pas pourquoi il y a autant de mauvaises critiques...Cette suite est intrigante jusqu'à la fin car cette fois ci, nous sommes plongé au coeur de l'horreur - et non pas comme dans le premier, partiellement informé- par l'intermédiaire de plusieurs protagonistes dont le passé -comme toujours- refait surface et ne va pas épargner leur avenir...
"A mon grand étonnement j'étais encore en vie, et bien déterminé à passer les jours qu'il me restait, à mettre à l'épreuve la nature humaine."

Si le premier Saw était plutôt bon, celui-ci est carrément dingue, on enchaîne les surprises et les rebondissements. Sans parler de la fin qui nous laisse littéralement sur le cul. Un grand bravo à Darren Lynn Bousman pour ce superbe film.

C'est clair le second opus reste moins bon que le premier mais là c'est uniquement parce qu'on a pas l'effet de surprise, mais le scénario reste très bien ficelé et le film reste original et à voir.

Très en dessous du premier, un scénario plutôt plat, certains personnages vides... Néanmoins, l'aspect "Torture-Porn" comme diront certains, est plus présent avec des pièges plutôt originaux ( Notamment le four crématoire que j'ai trouvé génial). Malheureusement, ça ne suffit pas à rattraper le reste du film.