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nico_france
2 critiques
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2,0
Publiée le 2 décembre 2024
Un casting incroyable, des cameos improbables et bien sentis, tout pour faire un grand film. Exactement comme les super groupes dans le rock et avec le même résultat, c'est à dire pas grand chose. C'est lourdeau et faussement burlesque, lointain cousin raté des monthy pithon. un film sur lequel les acteurs ont dû s'éclater mais où ils ont oublié qu'il y avait un spectateur, dommage...
Derrière le sujet sérieux des conditions de travail des femmes dans les années 70, ce petit film est une succession de barres de rires, de gags potaches assumés, de bonne humeur constante, de vulgarité kitch. Alors certains ne fonctionneront pas, d'autres comme moi se laissent emporter dans ce tourbillon loufoque mené par une bande comédiens en grande forme. L'ambiance rétro est impeccable, costumes, décors, coiffures... L'humour second degré que j'affectionne.
C'est lourd, c'est gras, c'est surjoué jusqu'à la nausée. Les gags sont vulgaires, pas drôles et répétés 2 fois pour ceux qui n'auraient pas compris l'allusion...le genre de comédie américaine sans aucune subtilité. Je voulais découvrir les 1ers films de Adam Mc Kay réalisateur des futurs et non moins superbes Vice / Casse du siecle / Don't lookup... un conseil: commencer en 2018 !
Considéré comme un film du Frat Pack (il n’y manque qu’Owen Wilson) et de la Team Apatow (producteur ici), Anchorman/Présentateur Vedette : La Légende de Ron Burgundy est le premier film réalisé par Adam McKay qui cartonnera 17 ans plus tard sur Netflix avec Don’t Look Up : Déni Cosmique.
Si l’oeuvre ne brille pas par sa finesse, elle s’avère malgré tout assez incisive sur le monde masculiniste et débile de la télévision du sud des Etats-Unis dans les années ’70, qui n’est pas sans rappeler, en France, un certain PPDA quelques années plus tard.
Jouant à la fois de la satire assez féroce et d’un burlesque usuel qui dénote l’influence du Saturday Night Live, dont McKay et Ferrell (scénariste et tête d’affiche) ont fait partie, Anchorman est une comédie inclassable, malheureusement passée inaperçue de ce côté de l’Atlantique.
Ron Burgundy est un mec, un vrai, il a une moustache, et un gros micro, quand ses mains ne sont pas occupées à lever des bières ou taper sur des épaules. Ron est un modèle usé, un héros de film qui a trente ans de retard, mais il ne le sait pas encore, et va se prendre le décalage horaire (annuaire) en pleine poire à l'arrivée d'une présentatrice moderne et affirmée. Pour son premier film en binôme avec Will Ferrell, la star montante du Saturday Night Live (dont il signe les textes), Adam McKay donne le ton de sa future filmo : il va pousser la satire jusqu'à l'absurde, jouer sur les clichés, verser dans des situations (et surtout des personnages) lunatiques. Cette bande de chroniqueurs est délicieusement infecte, entre celui qui se parfume à l'extrait de Panther pour attirer les filles (mais sent le putois), celui qui parle fort et tient son pantalon à deux mains mais ne fait que passer pour le plouc de service, et notre préféré : Steve Carrell. Son personnage est tant en décalage avec chaque scène, qu'on dirait qu'il joue un autre film, ce qui rend ses interventions géniales ("Loud Noises !!!", sa chevauchée d'ours...). Il signe chacun de nos éclats de rire, là où on trouve le scénario de ce Présentateur vedette très attendu, là où on aurait aimé que Christina Appelgate se donne un peu plus (elle se fait parfois bouffer par les impros), là où le rythme n'est pas très constant... Mais on sourit rien que repenser à la tête impassible de Carrell (on ne sait pas comment il fait, vu les impros tordantes qu'il balance), au plaisir évident de Will Ferrell de se payer un rôle principal comme celui-ci, aux vannes qui égratignent les journalistes des chaînes (les services publics prennent cher), aux guests comme Ben Stiller (qui parle espagnol... pourquoi pas), Danny Trejo, Jack Black (...) qui sont en roue libre... On veut déjà revoir Carrell, on rend l'antenne, à vous les studios. And go f**k yourself, San Diago !
Un groupe de journalistes de télé accueille difficilement la première femme dans l'équipe. Le film volontairement misogyne étonne par sa critique en creux. Evidemment il s'agit d'une comédie ou l'objectif principal est de faire rire avec des personnages idiots ou veules. Produit par Judd Apatow, les gags se concentrent sur la bêtise masculine et les attitudes régressives. C'est faussement débile en fait, évitez de le regarder au premier degré. A voir.
Produite par Judd Apatow, une comédie qui offre une peinture aussi grinçante que drôle des journaux télévisés durant les années 70 entre misogynie et rivalités pour l'audimat. Un humour volontairement gras, truculent et assumé mais qui, à mon goût, manque parfois un peu de finesse. Quelques séquences géniales comme la bagarre générale, aussi absurde que délirante. Un casting très impressionnant de Will Ferrell à Christina Applegate dont le duo possède une alchimie évidente, des seconds rôles grandioses avec une préférence personnelle pour Steve Carell parfait en présentateur météo attardé, des caméos savoureux. Un ensemble clairement en roue libre mais une bonne tranche de rigolade.
Présentateur vedette : La Légende de Ron Burgundy est une comédie américaine potache globalement sympathique. Malgré le succès outre-atlantique de ce film (au point de le considérer comme une des meilleures comédies de la décennie et d'en avoir fait une suite), je ne suis pas sûr qu'on puisse tout de même le considérer comme un classique du genre. Ça reste dans l'ensemble moyen, voire pas terrible par moment. Le film marche en grande partie grâce à un casting de comédie cinq étoiles : à commencer par Will Ferrell, qui est évidemment parfait dans ce rôle loufoque. Il est épaulé par des habitués de la comédie américaine (Steve Carrell, Paul Rudd, David Koechner et Christina Applegate) et pléthore de guest. Si le film reste assez moyen dans l'ensemble, il est sauvé par quelques gags particulièrement drôlesspoiler: (le présentateur qui lit le prompteur sans prêter attention à ce qu'il lit ou encore la haine totalement démesuré des habitants de San Diego lorsque Ron Burgundy les a insulté à l'antenne) qui compensent les autres, souvent bien moins percutants et un peu tirés sur la corde. Bref, le film tient à peu près la route grâce à son casting et quelques bonnes idées, mais fondamentalement, il n'est pas extraordinaire.
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18 103 critiques
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1,0
Publiée le 15 mai 2021
Ron Burgundy le présentateur que Ferrell incarne est selon ses propres mots plutôt stupide. Cela ne rendrait pas le film idiot en soi mais Ferrell commet la terrible erreur de laisser le personnage trop conscient qu'il est idiot. Il aurait dû être inconscient de ce fait la plupart du temps. Le personnage de Christina Applegate est encore pire car nous savons maintenant qu'il doit y avoir une femme virtuellement hétéro pour commenter la bêtise de Burgundy mais elle finit par avoir l'air bien plus ridicule que Burgundy à la fin. Le seul qui s'en sort un peu est Steve Carell qui joue peut-être le personnage le plus stupide du film mais le fait avec un tel sérieux qu'il écrase Ferrell dans toutes les scènes auxquelles il participe. C'est comme si une bande de gars se tenait sur un plateau de tournage et espérait pouvoir improviser un film. C'est un véritable exemple des profondeurs auxquelles Hollywood a sombré a cette époque...
Sûrement la comédie de l'année, ça faisait longtemps que j'avais pas autant ri. alors oui l'humour est un poil absurde et frole la débilité mais c'est ce qui rend cette comédie irrésistible. A noter qu'il y a quand même un casting de reve(film ferell toujours aussi bon, Steve Carell également, les participations de Jimmy Carrey et de ben stiller sont certes brèves mais hilarantes)
Humour potache et souvent graveleux dans la première demi-heure, l'humour devient absurde dans le tout much et le cheap et parvient à faire déclencher quelques rires francs. En bref, on passe un moment pas prise de tête devant un film ne se prenant pas du tout au sérieux. A voir si on aime le côté "too much".
Ah la la ça c’est un bon gros film de beauf comme je les aime! C’est un style d’humour qui c’est sûr ne plaira pas à tout le monde, pour ma part je me suis personnellement bien marrée, c’est complètement con et débile. Présentateur vedette est un film avec une subtilité et un raffinement inexistant. Je le conseille aux amateurs de film type Scary Movie ou La Bonne Paye 2.
comment un film aussi nul a pu avoir un tel note .humour grossier pas drôle du tout avec un tel lourdeur que j ai vraiment eu beaucoup de mal a tenir jusqu a la fin. ne.perdait pas votre temps a regarder ca il fait partir des pire films que j ai vu