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    Breakfast Club
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    3,9
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    235 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 952 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 octobre 2013
    Oeuvre emblèmatique de toute une gènèration, "Breakfast Club" est un essentiel des 80's! La plus haute mission du metteur en scène est de rèvèler les acteurs à eux-mêmes; pour cela, il importe dèjà de se bien connaître soi-même! Du haut de ses 35 ans (le film est rèalisè en 1985), le regrettè John Hughes - qui s'ètait spècialisè dans la peinture des adolescents - y parvient de la plus belle des manières et signe par bonheur son meilleur long-mètrage! Quand cinq ètudiants èvoquent leur vie pendant une retenue au « Shermer High School » , cela donne une merveille de film où les rires, les coups de gueule, les coups de blues semblent insèparables du tube mythique « Don’t you » des Simple Minds! Chaque regard, chaque silence, chaque dialogue (aux rèpliques percutantes qui font mouche), chaque rèvèlation, chaque situation dans cette classe (ou dans les couloirs) retranscrivent parfaitement l'ambiance d'une colle un samedi! A tous ceux qui ont vècu les annèes 80 dans un collège ou dans un lycèe, ce "Breakfast Club" doit être dèdiè! Comme dans son premier long, le très beau "Sixteen Candles", Hughes a pris le pari de faire jouer des comèdiens peu connus! Pari gagnè: on dècouvre avec plaisir une nouvelle gènèration d’acteurs qui allait casser la baraque avec Emilio Estèvez (l'athlète), Anthony Michael Hall (l'intello), Judd Nelson (le criminel), Molly Ringwald (la princesse) et Ally Sheedy (la folle), cinq personnalitès attachantes figèes à tout jamais dans nos mèmoires! Jamais, jusqu’à prèsent, ils n'avaient eu des rôles aussi beaux, aussi forts et aussi importants à tenir dans leurs carrières! Mon coup de coeur va pour la sublime Ally Sheedy qui joue le rôle de Allison Reynolds! Le maquillage mystèrieux, le look très èclectique (comme Jude Nelson), les flocons de neige sur son dessin en faisant tomber les pellicules de ses cheveux, l'allure de la parfaite nèvrosèe, elle se laisse filmer au plus près, n'essayant jamais de sèduire malgrè tout! C'est parce qu'elle ne cherche pas à faire une performance qu'elle est tout simplement èblouissante (il faut la voir confectionner son dèjeuner ou danser sur l'entraînant « We are not Alone » de Karla DeVito pour se laisser convaincre) et que ses larmes (comme celles des quatre autres acteurs qui se dèvoilent petit-à-petit) deviennent un peu les nôtres! Un film culte du cinèma amèricain qui fut un rèel succès à sa sortie et qui ne s'est jamais dèmenti par la suite! Le message – même banal – est très beau : « Une seule rencontre suffit pour changer leur vie »...
    Truman.
    Truman.

    233 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2013
    Breakfast Club est typiquement un film des années 80 , que ce soit la bande son , les vêtements ou les dialogues , ça fait kitch mais c'est toujours aussi bon .
    Le film est une comédie "dramatique" , dramatique entre guillemets car pas si dramatique que ça , les problèmes que les protagonistes dévoilent sont toujours d'actualité ce qui fait que le film n'a que peu vieillit .
    Une bonne dose d'humour est présente et fait que l'on garde le sourire durant tout le film .
    Bref une bonne comédie des années 80 qui est toujours aussi agréable de nos jours .
    floramon
    floramon

    86 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mai 2013
    Excellent , ce film est à la fois divertissant pour les ados et super intelligent , il montre quels frustration on peut avoir quand on est adolescent ( la relation avec les parents , le sexe , l'image qu'on dégage ) en plus de cela la mise en scène est très bien faite et les acteurs sont excellent , cela ne m'étonne pas que le film eu un énorme succès .
    Max Rss
    Max Rss

    203 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2013
    Ils sont cinq: Bryan le surdoué, Andrew l'athlète, Claire la fille à papa, John le délinquant et Allison la détraquée. Cinq ados se retrouvent en retenue pendant tout un samedi. Ils ne se connaissent pas mais ils vont se parler, se dévoiler et vont finir par s'apprécier et devenir amis. Il n'y a aucun doute: John Hughes était le maître du teen movie. Il était seul à retranscrire avec autant d'exactitude les états d'âmes des adolescents. Ici, il confronte dans un huis-clos d'une heure et demie cinq adolescents tous issus d'une classe sociale différente. Chacun des adolescents a un caractère bien défini. Le surdoué subit une pression constante car il est dans l'obligation d'obtenir les meilleurs résultats possibles. L'athlète est dominé par un père qui voit poindre en lui l'étoffe d'un futur champion. La fille à papa vit aux crochets de ses parents bourgeois. Le délinquant n'a pour ainsi dire pas de famille puisqu'elle le méprise, l'ignore et se montre violente envers lui. La détraquée, quant à elle est une personne mystérieuse, mais ce que l'on sait, c'est qu'elle est seule. Hughes a tout compris. Il s'insère au plus profond du coeur de ses cinq protagonistes. Le problème des ados est double: soit ils vivent acculés, écrasés sous le joug parental, soit ils reçoivent une pression constante de la part de leurs amis ou les deux en même temps. Les cinq ados se révèlent au grand jour et l'on se rend compte que chacun d'entre eux est vulnérable. La transition entre l'âge adolescent et l'âge adulte est sans aucun doute la plus dure de notre vie. Un film, poignant, juste dont le propos restera toujours d'actualité.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 avril 2015
    "You see us as you want to see us" telle est donc la maxime principale de ce chef d'oeuvre cinématographique, une simple phrase qui remet en question le jugement, la vision d'autrui et la dimension réelle de la critique.
    Breakfast Club casse les moules, et redéfinit la manière de concevoir sa place dans la société. Ce film, nous montre que nous jouons tous un rôle, et que dans le fond notre manière d'approcher les rapport avec "autrui" n'est basé que sur le milieu dans lequel on évolue. Je tiens à dire que ce film donne de l'espoir. Il nous montre par " a b " que l'essentiel est invisible pour les yeux, et que seuls nos préjugés nous divisent car en fait nous sommes tous pareils. L'être et le paraître n'ont jamais été aussi remis en question. Une grande leçon de philosophie.
    Alolfer
    Alolfer

    134 abonnés 1 172 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2024
    Le teen Movie le plus culte et le plus connu ! UN film avec un scénario simple mais incroyable . Chef d oeuvre de son genre
    Plume231
    Plume231

    3 932 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juin 2010
    Ce qui m'énerve aujourd'hui c'est les crétins qui aujourd'hui se moquent du style des années 80 tout en ne sachant pas que d'autres crétins se moqueront plus tard à leur tour du style des années 2000. Et pourtant, c'était une période pleine de charme où l'humour n'était pas forcément associé à la vulgarité et l'émotion à la mièvrerie. C'est pour cette raison qu'il est difficile de résister à cette confrontation de cinq adolescents qui a-priori tout oppose et auquel on n'a aucun mal à s'indentifier au final à chacun d'entre eux. Les comédiens sont ébouissants de naturel et John Hughes mène l'ensemble avec beaucoup d'entrain et de justesse. Plein de drôlerie et d'émotion et ponctué par la chanson culte de Simple Minds "Don't you forget about me", on ne peut qu'aimer ce film, et à moins d'être un crétin, aimer aussi les années 80.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 janvier 2007
    LE film sur les ados qui à tout compris sur tous les styles de jeunes qu’ils soient le génie,le rebelle,le sportif,la névrosée et la fille à papa.Un scénario parfait sur le sujet avec des dialogues entre les ados qui sont parfaits et puis les ados jouent parfaitement surtout quand ils expriment leurs problèmes,on dirait vraiment que ce sont leurs véritables difficultés.Tout les clichés sont montrés et compris(pas comme les nouveaux films pour ados qui amènent rien) et chaque personne se reconnaît dans un des personnages.Avec peu de présence des adultes pour laisser place le plus possible aux ados.J.Hughes atteint la perfection des films sur ados et que tout le monde devrait voir pour se rappeler ce qu’il était ou voir qui il est.Un chef d’œuvre dans la classe ADOS.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    999 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2013
    Malgré ses apparences, Breakfast Club est ancré dans l'univers du 7e Art et ce pour plusieurs raisons. Premièrement, il est réalisé par John Hugues, grand maître du teen movie intelligent des années 80 qui, après 16 bougies pour Sam, revient l'année suivante avec quasiment la même équipe. Ensuite, le long-métrage est tout simplement l'un des films-phares des années 80, un pilier du genre qui ne s'est depuis jamais ébranlé et qui continue d'émerveiller aussi bien les nostalgiques que les néophytes. Pourquoi ? Parce que Breakfast Club est un concentré de la jeunesse dorée américaine présentée ici dans son aspect le plus réaliste... La spécialité de John Hugues, c'est de dépeindre l'adolescence telle qu'elle est réellement et pour cela, il la grossit, il l'exagère, il en fait rire. Ainsi, après les déboires de Samantha Baker, c'est au tour de cinq nouveaux ados d'être au centre d'une aventure exaltante. Cinq gosses placés un samedi en heure de colle pour diverses mystérieuses raisons. Cinq lycéens tous plus différents les uns que les autres mais réunis par les grands clichés : l'élève studieux, la reine de promo, le délinquant, le sportif et la freak du bahut. Au début bagarreurs les uns des autres, ils vont peu à peu apprendre à se connaître et à dévoiler leurs personnalités finalement bien loin de ce qu'ils représentent. Filmée en huis-clos, l'intrigue puise donc sa force de ses jeunes acteurs, la moitié appartenant au fameux Brat Pack (les habitués Anthony Michael Hall et Molly Ringwald) tandis que les autres sont de nouveaux talents récemment découverts dans Outsiders (Emilio Estevez), Une bringue d'enfer (Judd Nelson) et WarGames (Ally Sheedy). Drôle mais aussi triste par moments, le long-métrage emblématique ne cesse de nous émerveiller à chaque fois grâce à cette interprétation prestigieuse et l'écriture de ce scénario finalement intemporel où chaque adolescent, de n'importe quelle génération, se retrouve constamment. Au final, dénué de toute vulgarité et au contraire gorgé d'une nostalgie persistante, Breakfast Club reste l'un des meilleurs films des années 80, assurément.
    ER  9395
    ER 9395

    87 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2012
    John Hughes nous a offert plusieurs pépites dans les 80's et les 90's et celui - ci en est une , à voir .
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    78 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 décembre 2017
    Oeuvre qui a marqué toute une génération de spectateurs au moment de sa sortie, "Breakfast club" est aujourd'hui un film tristement ringard et totalement à côté de la plaque. L'idée de départ était intéressante et le film démarre d’ailleurs pas trop mal, avant de sombrer dans une accumulation de clichés lourdingues. On ne peut rien tirer de bon dans ce film, à commencer par les acteurs qui sont catastrophiques, surjouant constamment à l'image d'un mauvais téléfilm. La mise en scène est incroyablement plate, n'apportant rien au film et ne faisant à aucun moment preuve qu'une quelconque inventivité. L'écriture est grossière, avec des personnages caricaturaux dont le développement manque cruellement de finesse. Rien n'est surprenant dans ce film et on peut au contraire tout prévoir tant il répond à tous les clichés cinématographiques imaginables. J'avais envie d'aimer ce film mais forcé de constater que "Breakfast club" est une oeuvre lourdingue et faussement subversive. Il existe beaucoup de films, bien plus pertinents cinématographiquement, qui ont mieux réussi à capter la particularité de l'adolescence pour que je m'attarde d'avantage sur ce navet.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 096 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 décembre 2013
    Cela fait quelques temps que j'entends du bien de ce film, "grand film sur l'adolescence" et autres phrases choc du genre.

    Bon qu'en est-il vraiment ?
    Le premier truc qui marque en voyant le film, c'est que c'est cliché et surécrit. C'est une évidence qui s'impose dès les premiers plans. Alors attention je vous vois venir avec vos cordes et vos fourches, je m'explique. "Cliché". Ben oui c'est cliché on tente de détourner les clichés de l'intello, de la "gothique" (terme peut-être anachronique), du sportif, de la pétasse et du caïd, mais pour en faire un autre cliché sur patte : l'ado en malêtre à cause de sa famille.

    Merci, mais c'était pas la peine.

    Le film nous expose ses clichés dès le départ avec les réactions des parents qui sont bien trop écrites pour être crédibles, rien que l'arrivée du caïd qui ne regarde pas avant de traverser la route… Attends, c'est quoi ça ?

    Donc ils s'installent dans leur salle de retenue et ils ont une production d'écrit à faire. Pourquoi pas. On voit tout de suite qu'ils ne s'entendent pas, mais on sait très bien qu'à la fin ça sera les meilleurs amis du monde, ça sera triste, il y a aura des larmes. Le ton du film annonce ça.

    Cependant j'aime beaucoup le concept de laisser des jeunes évoluer seuls dans une salle de retenue. Sauf que comme bien souvent on a un concept et on l'artificialise (sic).
    Il faut être honnête, rien n'est vrai, rien n'est beau, tout est artificiel.

    Exemple très con, mais principal de l'établissement est un cliché sur patte, figure de l'autorité très peu crédible. Genre tu laisses seuls des gamins en retenue ? Et tu espères quoi ? Sans parler du ridicule évident du personnage. "oh trololo je sors des toilettes et j'ai du PQ au cul", non ce n'est pas drôle, c'est juste consternant de faire un tel gag.

    De plus les réactions des ados ne sont pas crédibles pour un sous, ils se défendent et puis s'engueulent de façon assez incohérente et anarchique.
    Je ne parle pas de l'effet de groupe là où ils suivent tous le grand dadais dans ses conneries. Et là on se tape le pire montage possible, faux raccords suite d'événements improbables, on se croirait dans un dessin animé pas cher.

    Bon le montage est assez mauvais, limite à chaque plan on sent que ce n'est pas raccord, c'est assez gênant il faut dire.

    Mais le pire reste ce déballage vulgaire sur la fin où tout le monde dit ce qu'il a sur le coeur, oh faites moi pleurer. Mais c'est le moment où le film dit éventuellement quelque chose d'intéressant c'est que c'est inévitable de devenir comme ses parents. Sauf que ce n'est pas la thèse du film, c'est juste un personnage qui dit ça. Le film garde ce côté semi tragique pour faire chialer avec des pseudos vérités.

    Et ce final ? Mais attendez, c'est quoi ça ? Je ne parle pas seulement des couples, mais on dirait que c'est la fin du monde. Alors oui lundi à la reprise ça ne sera plus pareil, mais bon… C'est pas crédible. Rien de ce qu'ils vivent n'est crédible.

    Je passe outre le monologue aka torchon final, avec cet air pseudo libérateur et profondément vrai. C'est de la connerie.

    En fait ce film échoue tout ce qu'il entreprend. C'est l'exact inverse (parce que oui je ne peux pas résister à l'envie de citer ce film) de the We and the I. On a aussi une unité de temps, de lieu, sauf que là le fait que l'individu se dévoile se fait progressivement d'une manière bien plus logique, les bus se vide, on est seul il n'y a plus la pression du groupe. Et on a vu comment il agit en groupe, etc. On est dans le vrai et donc dans le beau. Aucun personnage n'est un cliché. Il y a certes de tout : des intellos, des musiciens, des racailles, etc, mais ce sont des personnages qui existent vraiment. Le film ne prétend pas être autre chose que ce dernier trajet en bus. Il ne veut pas envoyer de message au monde adulte qui fait du mal aux enfants ou je en sais quelle autre connerie.

    Ce qui me gène c'est que derrière cet enrobage de comédie dramatique avec un final soit disant bouleversant, les gens se laissent prendre au piège de ce film complètement bien pensant.

    Sérieusement, à qui l'on doit s'identifier ? Je ne suis ni un intello, ni un caïd, ni un sportif, ni une gothique taciturne, ni une pétasse. Je ne fais pas semblant.

    Alors je veux bien qu'au lycée lorsqu'on a 15-16 ans on trouve ça trop mature, les adultes nous font chier, etc. Mais le film n'a malheureusement pas de crédibilité tant ses situations ne sont pas vraies, sont téléphonées et les interactions entre les personnages surécrites. Il n'y a pas de moment de vérité, de moments de pure beauté.

    Finalement ce n'est pas moins cliché qu'un téléfilm Disney Chanel ou même la méchante est gentille en fait, c'est juste qu'elle a un problème avec son papounet (que dirait Freud ?).

    Bon faut tous les envoyer en psychanalyse, foncer voir le Gondry et éviter cette arnaque.
     Kurosawa
    Kurosawa

    591 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2018
    Quelle belle idée de vouloir filmer quatre lycéens en retenue tout un samedi pour raconter leur mal-être, leurs craintes et leurs espoirs ! Le film tient ses promesses jusqu'à mi-chemin, quand rien ne se dit ou presque, quand les insultes et les bons mots fusent et masquent une vérité qu'il faut retarder à tout prix. Les acteurs peuvent exprimer leur potentiel comique (Judd Nelson est irrésistible) à travers des dialogues merveilleusement écrits et s'inscrivent dans une ambiance particulière (un établissement scolaire le week-end) qu'a su capter John Hughes : ces couloirs vides, la présence de l'homme de ménage, le temps qui s'écoule lentement, etc. On peut regretter que la légèreté du ton s'efface progressivement devant une psychologie explicite et stéréotypée qui fait du même coup perdre pas mal du mystère à ces adolescents. Si "Breakfast Club" a bien du mal à tenir sur la durée, il n'en demeure pas moins attachant, du fait de sa compréhension intime d'un âge où la rébellion n'a rien de gratuit – elle procède simplement d'un puissant sentiment d'incertitude de l'instant présent et du futur.
    velocio
    velocio

    1 320 abonnés 3 152 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 novembre 2017
    Peut-être le film le plus démagogique de l'histoire du cinéma. Film totalement invraisemblable dans lequel on ne rit jamais et qui génère un ennui incommensurable. A fuir !
    pietro bucca
    pietro bucca

    71 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mai 2013
    Un film pour ado,trés clichés aussi,ou se retrouve en heure de colle en meme temps: ....un rebelle,un beau gosse sportif,une fille a papa,un gars effacé timide et une dépressive qui vont devoir cohabiter.
    Voila pour le scénario,ou l'on se croirait a une émission de télé réalité avec un casting de la sorte.
    Les clichés a l'eau de rose et le gnangnantisme l'emporte souvent,meme si il faut reconnaitre quelques gags sympas.
    Les meilleurs films de tous les temps
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