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    Breakfast Club
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    Acidus
    Acidus

    632 abonnés 3 660 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 septembre 2014
    "Breakfast Club" est ce que l'on appelle un film générationnel dont le sujet tourne autour des problèmes existentiels ou autres de l'adolescence; en l'occurrence celle des années 80 aux Etats-Unis. Si les personnages sont tous plus caricaturaux les uns que les autres, le scénario joue sur ces stéréotypes pour nous proposer des situations cocasses et des dialogues marrants ou au contraire touchants. On s'attache rapidement aux protagonistes et l'on passe un agréable moment en leur compagnie, coincé dans cette école. Le message de "Breakfast Club" reste d'actualité (au contraire de la mode vestimentaire) et a d'ailleurs par la suite jusqu'a aujourd'hui inspiré de nombreux teen-movies. Un incontournable.
    Roub E.
    Roub E.

    753 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 avril 2020
    Je ne m’attendais pas, mais alors pas du tout à cela. J’avais entendu dire que Breakfast Club était le summum de la comédie de lycée américaine, mais ce film s’il reprend les stéréotypes que l’on retrouve dans ces films: le marginal, la pom pom girl, l’athlète, la grosse tête, la fille mal dans sa peau; ce film disais-je n’a rien d une comédie. C’est une étude de ces stéréotypes pour mieux les surpasser. Car chacun des personnages qui ne se rencontrent qu’au hasard d’un jour de colle va au fur et à mesure se fissurer et laisser apparaître qu’il ne correspond pas à l’image qu’il renvoie. Ce film montre une jeunesse angoissée, vivant sous la pression que leur imposent les adultes, leur groupe d’amis, et les autres en général qui les éloignent de ce qu’ils voudraient être au fond d’eux au risque de devenir rapidement des vieux c. s’ils renoncent trop rapidement à s’affirmer. C’est un film que reprend les codes d’un genre pour mieux les exploser, les dépasser et au final arriver à tout autre chose.
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2021
    « Qui pensez-vous être ? » Nous ne comptons plus le nombre d’œuvres qui ont, habilement ou non, essayer de répondre à la question. Mais la génération à qui cette problématique porte tout son sens, c’est bien celle de l’adolescence, période de confusion et de la passion. En Amérique, la tendance renverse les inspirations d’auteurs, comme le réalisateur et scénariste John Hughes, en considérant cette tranche d’âge comme un groupe social à part entière. Ce constat est encore d’actualité et n’est pas près de changer de sitôt. Frontal quand il le faut, puis subtil avec de quoi agrémenter le parfum de mystère et de narration, le film s’engage sur des problématiques connues, tenants presque du cliché, mais avec ce qu’il faut en justesse pour l’exploiter.

    Une poignée de lycéens suffit donc dans cette étude de dissection. Chacun constitue un organe indépendant, avant de trouver des similitudes dans leur peine. On retrouve alors Andrew Clarke (Emilio Estevez), le sportif discipliné, mais surcôté ; Brian Johnson (Anthony Michael Hall), l’intellectuel de service, mais coincé : John Bender (Judd Nelson), le voyou patibulaire ; Claire Standish (Molly Ringwald), la fille aisée sans personnalité et hautaine ; et Allison Reynolds (Ally Sheedy), la bizarrerie ou encore la sauvagerie en deuxième prénom. Leur différence devient un sujet de conversation notable, mais à hauteur de leur expérience en la matière. Il s’agit bel et bien d’un film avec des adolescents, pour des adolescents. Les adultes présents ne sont que des ombres ou ne savent pas prendre le recul nécessaire afin de comprendre le malaise de toute une génération, en manque d’accompagnement et d’assurance. Le portrait dépeint est universel et la morale séduit, car elle se veut honnête et pousse toujours à l’apprentissage.

    Face aux responsabilités, au rejet et à la solitude, ces derniers ne se doutent pas qu’il existe bien plus à l’extérieur de leur zone de confort. Et c’est en explorant cette parcelle de la vie, en se questionnant et en osant, qu’ils apprennent à accepter ce qu’ils sont et ce qu’ils ne souhaiteraient pas devenir. Par la même occasion, on y aborde la sexualité avec un ton à la fois crue et à la fois symbolique, si l’on fait un parallèle avec les dernières polémiques sur le harcèlement. Le personnage de Bender est tout indiqué pour provoquer, jusqu’à la dernière minute, mais il faudrait retenir, ce sera l’évolution de chacun. En détournant des codes sur les conventions et la routine, nous avons à faire à des rebelles, qui finiront par se plier à la réalité, en assumant une part d’eux-mêmes. Allison en témoigne, ce qui justifie une pareille métamorphose sur le dénouement.

    « Breakfast Club » est le teen movie par excellence, explorant le mal-être d’adolescents désemparés par les enjeux sociétaux et leur croisade vers la maturité. De l’autre côté de l’Atlantique, l’influence de la pop-culture américaine est loin d’être inconnue des dernières générations, c’est pourquoi le film est encore ancré dans l’actualité. Il nécessite, sans nul doute, d’un second visionnage pour s’abreuver de toutes les nuances et les trajectoires cachées du récit. Et nous comprendrions mieux le personnage libre de Carl (John Kapelos), un concierge qui a fait de l’école son domicile spirituel. Dans ce labyrinthe intemporel et à huis-clos, Hughes est parvenu à réinventer bien des choses, tant sur le point technique que pratique. Sa mise en scène est une délivrance et reste un modèle à jour, telle une dissertation sur le club des cinq et qui vient tout juste de commencer.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    225 abonnés 2 801 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juin 2022
    Film générationnel s'il en est, Breakfast Club figure parmi les productions de genre "teen movie" qui ont fleuri dans les années 80 et ont, d'une certaine manière, survécu à leur époque. En effet, au-delà du kitsch immédiat (fringues et musique) et des effets comiques un peu faciles, le film aborde dans sa deuxième moitié le mal-être adolescent sous plusieurs angles et avec beaucoup de finesse et de psychologie, rendant ses personnages presque universels et attachants, tout en renvoyant cette image dans la figure d'une Amérique paternaliste qui ne voue un culte qu'à la réussite sociale sans la moindre remise en question. Des comédiens parfaitement à l'aise et un ton juste et cinglant font de Breakfast Club une comédie sociale (bien qu'un peu "bourgeoise") intéressante.
    CH1218
    CH1218

    161 abonnés 2 765 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2022
    En 1985, ce film se distingue par sa manière d’aborder les questionnements et les vulnérabilités liés à l’adolescence. Le fond peut paraître un peu démago c’est vrai, cliché même parfois, mais sous son apparence très 80’s, « Breakfast Club » a cette profondeur et cette sensibilité qui lui fait traverser les années sans se périmer. Molly Ringwald, Ally Sheedy, Judd Nelson, Emilio Estevez et Anthony Michael Hall sont ces 5 lycéens, collés un samedi, dont les états d’âme sont sondés par l’œil avisé de John Hugues. Après l’avoir revu avec plaisir, le souvenir de « Ferris Bueller » du même réalisateur a surgit comme un appel.
    kibruk
    kibruk

    114 abonnés 2 402 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 septembre 2016
    Marrant dans sa première partie, le film devient trop bavard, trop larmoyant alors qu'on attendait une montée en puissance dans les agissements des jeunes, et ce sérieux coût de mou gâche le plaisir.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    79 abonnés 1 523 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juillet 2019
    A chaud, j’avais l’intention de mettre une note plus basse. Je sortais en effet du film en étant mitigé. J’étais déçu par le manque de rythme de l’ensemble. Mais, dans le même temps, j’ai trouvé que la psychologie des personnages était particulièrement fine.

    Avec le recul, j’ai finalement revu ma copie. En fait, j’ai compris que le rythme très lent était voulu par le réalisateur pour que l’on se concentre sur les personnages et sur ce qu’ils avaient à dire. Également, ce rythme permettait de ressentir l’ennui des personnages durant leur journée de colle. C’est très fin et c’est une carte assez risquée qu’a joué John Hugues.

    Mais cela fonctionne puisque l’on se concentre sur les adolescents enfermés un samedi dans leur lycée. Chacun a sa propre personnalité : le chahuteur, le sportif, la fille à papa, la gothique et le scientifique.

    Dit comme ça, on pourrait penser que ce sont des caricatures. C’est d’ailleurs ce que l’on ressent au début du film. Mais c’est pour mieux casser la carapace par la suite et démontrer que chacun est beaucoup plus complexe que ne le laisse penser son apparence, son assignation sociale ou sa réputation.

    Et tous vont se livrer, petit à petit, à des confidences, sur leur vie privée, sur leur quotidien, sur leurs problèmes, sur leurs souhaits …

    Rarement un film aura aussi bien capté la psychologie adolescente. Si John Hugues avait choisi un rythme soutenu, on serait sûrement passé à côté de cela et donc du message principal du film.

    Si le film n’a pas reçu de grandes récompenses, il a reçu la plus belle de toute à mon sens : son inscription au National Film Registry de la bibliothèque du Congrès, sorte de conservatoire des films qui ont marqué la culture américaine. La liste est ahurissante et « The Breakfast Club » ne dépareille pas.

    Certes, le film n’a pas que des qualités. On pourrait notamment citer la qualité de jeu aléatoire des acteurs, qui ont tendance à surjouer, mis à part Emilio Estevez (le sportif) et Anthony Michael Hall (l’élève brillant) qui font preuve d’une intensité et d’une subtilité certaines. On pourrait également citer la problématique relation entre spoiler: Claire (la fille à papa) et John (le chahuteur) puisque ce dernier harcèle sexuellement celle-ci mais elle tombe pourtant amoureuse de lui
    .

    Néanmoins, à mon sens, « The Breakfast Club » est le teen movie qui a le mieux su capter l’essence de l’adolescence et ne pas la travestir avec des fantasmes ou des incompréhensions d’adultes. Il aura définitivement marqué le genre et, en cela, mérite son statut de film culte.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 février 2016
    Film culte. Écrit et réalisé par John Hughes. A la fois drôle et touchant. L'histoire de cinq lycéens aux caractères totalement opposés qui se retrouvent en colle un samedi après-midi. Au fur et à mesure que la journée passe, ils discutent, se déchirent et finissent par se trouver plus de points communs qu'ils ne pensaient. Le spectateur va vivre une expérience humaine intéressante avec des thèmes comme l’adolescence, le regard des adultes et la perception que nous avons des personnes. Les personnages sont bien écrits : le rebelle, le sportif, le surdoué, la fille à papa et la gothique. Le casting livre une bonne prestation : Emilio Estevez, Paul Gleason, Anthony Michael Hall, John Kapelos, Judd Nelson, Molly Ringwald et Ally Sheedy.
    iamameloche
    iamameloche

    22 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juin 2017
    Un huis clos sur l'adolescence, toujours aussi mordant malgré les années. De belles réflexions sur l'Amérique, la pression de groupe, les clichés et la difficulté à gérer la transition qu'est l'adolescence. À voir !
    Fabios Om
    Fabios Om

    37 abonnés 1 265 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2022
    Un film en huit clos dans les année 80 avec des jeune lycéen interprété par des jeune acteur et jeune actrice méconnu et qui non pas franchement fais carrière ou une vraie carrière depuis et tous cela est pltuto normal car il ne faut pas oublier que quand on voit leur prestation il ne se démarque pas des jeunes acteur de l'époque ni rien de plus que d'autre acteur ou actrice et même certains d'entre eux ne sont pas franchement bon . Sinon le film en lui même est pltuto intéressant et avec une histoire original et le faire que cela ce passe en huit clos rajoute de bon niveau pour le film et apporte de la qualité. Certains personnage sont plutôt intéressant à exploiter et à découvrir leur facette personnelle mais c'est aussi un film pas trop long ce qui bien car je pense que si le film avait durée plus longtemps il en serait devenue un peux plus pénible à regarder car ce qui fait le charme de ce film et leur personnage c'est que c'est pas trop long sinon ça aurait vite tourner en rond.
    Yetcha
    Yetcha

    758 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2009
    Encore un film de génie de John Hughes avec des acteurs vraiment extras. On ne voit pas le temps passer et c'est ça que j'aime dans les films de John Hughes, qui parlent de choses simples, vraies, humaines. Ce n'est pas la perle de sa filmo mais c'est tout de même très bien.
    Audrey L
    Audrey L

    562 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2019
    Culte, intimiste, reflet d'une société américaine qui ne prend plus soin de sa jeunesse (qui se révolte donc comme elle peut pour se faire entendre), Breakfast Club est l'un des titres qui reviennent le plus souvent comme référence cinématographique dans les autres films. Sans le savoir peut-être, vous en avez certainement déjà vu quelques scènes, placées comme clin d’œil dans d'autres films. Pour parler de Breakfast Club en lui-même, les jeunes acteurs sont parfaits dans leur rôle respectif : le loubard, la gothique, la belle, l'intello et l'athlète. Tous très différents, comme autant de portraits (un peu caricaturaux, il faut bien le dire) qui ont chacun leur coup de gueule à pousser : parents violents qui poussent le loubard à préférer se lever tôt chaque samedi (le "Club Petit-Déjeuner") pour rester en colle, père qui pousse trop l'athlète par procuration, un incompris par son intelligence, une belle qui a honte d'être vierge (comme si le premier empêchait le second... Formatage des idéaux sociétaux oblige), et la gothique qui ne peut exprimer son mal-être qu'au travers de ses tics étranges... L'image datée ne dérange pas tant, seules les longueurs dialoguées vers la fin perdent un peu en rythme après une excursion épique hors de la salle de colle ! Une belle brochette que l'on suit de A à Z dans ce huis-clos un peu bavard par moments, mais qui a tant de chose à dire...
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    256 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 août 2013
    En 1985, John Hughes était connu pour ses comédies décapantes (Bonjour les Vacances) ou les films légers (Nate & Hayes) mais il n’avait jamais vraiment utilisé des ressorts dramatiques dans ses films.

    The Breakfast Club, que l’on retrouve très souvent dans des Top 10 de gens de tous âges, est sa première incursion dans la comédie dramatique. Coup de maître ? Peut-être plus autant maintenant en 2013 qu’en 1985. En effet, en prenant 6 clichés d’adolescents cinématographiques et en les faisant se rencontrer pendant l’espace d’une journée, John Hughes envoyait un signal fort à tous les autres réalisateurs-scénaristes de teen movies. Les stéréotypes sont là pour être dynamités. Le message peut paraître un peu naïf (aller vers les autres, les gens différents, c’est le but du jeu au lycée, quitte à exploser les conventions sociales) mais le scénario est si habile, si divertissant et jonché de lignes de dialogues mémorables qu’on lui pardonne ce petit défaut très vite. De plus, John Hughes a compris que ses idées sont utopiques et il évite d’être trop optimiste et dramatise un peu la dernière partie de son film.

    John Hughes ne s’empêche quand même pas de réaliser quelques séquences comiques particulièrement réussies sans jamais baisser le rythme, comme celle de la poursuite entre l’immense Paul Gleason et les six héros, tous parfaitement interprétés, mais dominés par Anthony Michael Hall, encore une fois totalement parfaits. Et comme d’habitude dans ses films, la bande-son est très travaillée et représentative de l’époque dans laquelle le film est placé. On se rappelle évidemment de cette chanson mythique des Simple Minds, mythique et aujourd’hui associée à ce film à jamais.

    The Breakfast Club a été dépassé aujourd’hui et ce portrait de la jeunesse américaine des 80’s n’est peut-être plus représentatif de l’époque contemporaine. Mais il restera dans l’histoire du cinéma comme un milestone, grâce à son exécution parfaite. Un indispensable.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    240 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 octobre 2015
    Le film culte par excellence, mettant en scène un groupe de cinq adolescents aux personnalités complètement opposées, mais qui finissent par tisser des liens inattendus. Le film doit beaucoup à ces personnages, portés par des acteurs alors inconnus mais tellement brillants. Sur la dernière partie, "Breakfast club" bascule même dans le conte philosophique. Et les quelques péripéties sont plus anecdotiques que les dialogues, forts bien écrits et à caractère dramatique.
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    82 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2013
    "Breakfast Club" est une œuvre emblématique des années 80, une véritable référence en matière de teen-movie, il n’y a qu’à voir le nombre de séries pour ado qui incorporent ce concept dans l’un de leurs épisodes. Cinq lycéens se retrouvent dans la bibliothèque de leur établissement pour un samedi après-midi de retenue, au fil des heures ce groupe totalement hétérogène s’avèrera finalement avoir plus de points communs qu’il n’y parait. Habitué du genre et considéré comme un maître en la matière, John Hughes développe une nouvelle histoire à caractère universel et intemporel grâce à la combinaison de ces cinq personnages. Renfermé et timides, les membres de ce groupe vont peu à peu s’ouvrir aux autres suite aux différentes péripéties qu’ils vivront ensemble lors de cette journée qui fera tomber les barrières socioculturelles et les rapprochera indubitablement. A travers ce film, John Hughes réussit à exprimer toutes les névroses et tous les questionnements qui jalonnent l’adolescence, des conflits avec les parents et l’autorité à la sexualité en passant par l’appartenance à certains groupes. Sans jamais grossir le trait il livre une vision juste et touchante de cette période si particulière, les comédiens choisit collent parfaitement à leur personnages qu’ils soient dans l’excès ou dans le retenue. Parsemé de répliques et de moments cultes, cette œuvre aura clairement marqué toute une génération et mérite amplement de continuer son travail avec celles à venir.
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