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    Breakfast Club
    Note moyenne
    3,9
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    235 critiques spectateurs

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    Simplement Loïc
    Simplement Loïc

    12 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2024
    Breakfast Club au delà d'être drôle, le film est d'une tendresse et d'une tristesse incroyable. Chaque personnage à une histoire et se complète parfaitement entre eux. C'est touchant et presque 40 ans après le film reste d'actualité dans son propos.
    La mise en scène est maîtrisé et permet de garder un rythmé soutenu et intense. Ce film a même réussi à me faire lâcher une arme grâce des discours poignant et sincère.
    Que dire, un mérite son statut de culte !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 mai 2015
    Le teen movie par excellence qui sent bon les 80's (avec "La folle journée de Ferris Bueller", du même réalisateur d'ailleurs). Le film commence et là on se dit "mon dieu ces clichés ...", et dès les minutes suivantes on comprend notre erreur. Breakfast Club est bien plus riche qu'il n'y parait. On y trouve en fait une subtile et très réaliste vision de l'adolescence tout cela à travers 5 jeunes très différents qui se confrontent les uns aux autres. Le casting est génial, le scénario original, les dialogues sont bons et l'ambiance est extra, on se figure très bien devoir passer un samedi au lycée ... Et mise à part 2 ou 3 scènes inutiles (les séquences musicales) mais qui restent sympa, il y a finalement des passages vraiment touchants parce qu'on a tous été des adolescents et que les personnages nous renvoient à nous-mêmes. Et le tout rythmé par le super tube de Simple Minds. Un film dont on ne se lasse pas.
    Gouchou
    Gouchou

    24 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mai 2016
    Bien avant le Cercle des Poètes disparus ou Virgin Suicide, il y a eu Breakfast club. Ce film devenu culte dans la culture populaire américaine aborde la question du mal être chez les adolescents. Une période difficile dans la vie d'une personne et qui a depuis inspiré de nombreux scénaristes et réalisateurs. Breakfast Club traite de ce sujet dans un film qui se déroule à huis clos. En effet, le réalisateur John Hughes a choisi de raconter son histoire en plaçant les personnages dans la salle d'étude d'un lycée. Durant toute la durée du film, le spectateur se retrouve confronter à une histoire sans aucune action, ainsi il doit se concentrer sur les acteurs et sur leurs récits. En isolant de la sorte les personnages du reste du monde, on retrouve un procédé bien connu au cinéma qui nous rappelle 12 hommes en colère. Dans ce dernier long métrage, Sidney Lumet avait enfermé dans une salle de délibération 12 hommes et tout le film se déroulait dans cette fameuse pièce.

    Breakfast Club met en scène 5 adolescents que tout oppose. Chaque personnage est sensé représenter un stéréotype. Il y a le sportif qui espère décrocher une bourse d'étude pour la fac, la reine du lycée, une fille de bonne famille qui ne pense qu'à sa réputation, le gentil geek, l'artiste à l'esprit tourmenté, et enfin le bad boy qui défie constamment l'autorité. Ces cinq personnages se retrouvent un samedi après midi dans leur lycée car ils sont collés. Alors qu'ils ne se connaissent pas, ils vont devoir rester enfermés dans cette salle et faire passer le temps. Au fil de l'après midi, la parole se libère et tous apprennent à se découvrir.

    La thématique de l'adolescence est devenue un sujet hyper traité dans le cinéma d'aujourd'hui. Toutefois, dans les années 80 ce thème était encore peu exploré.Breakfast Club est d'une certaine manière un film pionnier. Parce qu'il traite de la pression parentale, du suicide, de la sexualité et du mal être des jeunes personnes, ce film touche tous les sujets que l'Amérique puritaine aime tant éviter. C'est peut être pour cela que ce film est devenu si populaire.

    Pour composer son casting, John Hughes n'a pas vraiment fait appel à des stars. Seul Emilio Estevez crève l'écran et laisse présager un bel avenir pour le fils aîné de Martin Sheen. Toutefois, si les acteurs de Breakfast Club n'ont pas connu de grandes carrières, leur prestation dans ce film est loin d'être mauvaise, tous à leur manière sont entrés dans leur personnage et tentent de transmettre des émotions.

    Si le casting et l'histoire ne sont pas à remettre en cause, je n'ai attribué que deux étoiles à ce film car il a mal vieilli. D'autre part, l'idée de tourner un long métrage en huis clos comme l'a fait le réalisateur ne peut marcher que lorsque l'histoire est profonde et que les acteurs sont très talentueux. Or, ces deux éléments ne sont pas présents dans Breakfast Club. Du coup, le résultat s'en fait ressentir, il y a de nombreuses longueurs et le scénario n'est pas assez puissant pour nous faire oublier qu'il n'y a pas d'action. Si les acteurs font ce qu'ils peuvent, leur interprétation n'est pas suffisante pour supporter le poids d'un huis clos. Au final, de nombreuses scènes traînent en longueur et pourraient tout aussi bien être coupées.
    Benjamin A
    Benjamin A

    712 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2014
    Film culte signé John Hugues, Breakfast Club est une vraie réussite. Enfin un film montrant les adolescents comment ils parlent et comment ils pensent. On y suit cinq adolescents consignés un samedi pour diverses raisons qui vont établir une sorte de lien malgré leurs différences. Le film repose sur un scénario, des gags et des dialogues brillamment écrit, des interprétations excellentes et bien évidemment au rythme culte et superbe de "Don't you forget about me" des Simples Minds. Un des meilleurs teen-movies, charmant, captivant et... dansant (grâce à une superbe scène devenu culte, notamment parodié par les Simpson).
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    11 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juillet 2023
    « Kids haven’t change, you have. »

    Entre film pour ado (un peu âgés pour certains) potaches et critique du système scolaire d’un établissement de la classe moyenne, Breakfast Club est un film culte pour avoir élevé le teenage movie à un niveau rarement atteint en terme de transgressions (cannabis, violences familiales, sexe).

    Tout entier concentré en huis clos, respectant les trois règles du théâtre classique (un lieu, un temps, une action), ce film présente 5 stéréotypes a priori pas appelés à se retrouver ensemble, et qui se méprisent les uns les autres comme effectivement des ados savent le faire si bien. Pourtant, lorsqu’il s’agit de faire front contre le proviseur, tous se réconcilient et s’entraident. Le personnage de Bender, sans doute le plus complexe, oscille ainsi entre le harceleur détestable et le héros fédérateur.

    La scène des confidences fait par ailleurs penser à un Huis Clos sartrien assez réussi.
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juillet 2014
    Longtemps considéré comme le meilleur film réalisé sur l’adolescence américaine et encore aujourd’hui source des archétypes les plus utilisés dans le domaine du teen-movie, Breakfast reste un film générationnel passionnant tant son analyse de la jeunesse reste intemporelle mais qui, sur un plan formel, a toutefois très mal vieilli. Jusque-là, John Hughes n’avait réalisé que de petites comédies, mais la thématique de la vie lycéenne est omniprésente dès le début de sa carrière, et c’est ainsi, qu’en cherchant à mélanger la légèreté de ses films précédents à une tonalité plus tragique dans un huis-clos, il a signé (réalisé, écrit et produit lui-même, c’est dire si le projet lui est personnel) une œuvre dans laquelle tout adolescent saura se retrouver, en s’identifiant à l’un des cinq stéréotypes (le surdoué, le reine de promo, le délinquant, la folle et l’athlète) ou en partageant leurs problèmes vis-à-vis de l’école, de leurs camarades et de leurs parents. La qualité plastique désastreuse et le montage maladroit ne sont pas, contrairement à La Folle journée de Ferris Bueller que Hughes réalisera l’année suivante, à la hauteur de la teneur de ce scénario, mais c’est surtout le fait que les personnages et les schémas de leurs relations aient été utilisés de toutes les façons depuis trente ans qui donne aujourd’hui une fausse impression de futilité à la vue de ce grand moment de cinéma hollywoodien.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 mai 2009
    Une bonne surprise. A l'inverse de certains teen-movies des années 80 où tout parait délirant et fou, "Breakfast club" est un film sans effets, centré sur 7 personnages dans un lieu bien précis. Et c'est là que c'est intéressant. Les 5 jeunes "collés" se révèlent les uns aux autres au fur et à mesure de la journée pour finalement se rapprocher et s'apprécier. Un film sympa.
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    149 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2013
    Un film culte des années 80 !!! Une bande originale culte !!! Le teen-movie de référence bien entré dans les moeurs !!! Une journée de colle mémorable !!! L'image d'une Amérique jeune et rebelle !!!
    Avounette
    Avounette

    1 abonné Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juin 2020
    Je crois que je suis vraiment passée à coté de ce film. Il a reçu des critiques en moyenne assez bonnes, mais je me suis ennuyée du début à la fin. J'ai trouvé les personnages caricaturaux, les dialogues un peu simplistes, et l'histoire très artificielle. Cela a fait que je n'ai jamais été intriguée de tout le film, et que je n'ai pas réussi une seule fois à m'identifier à un des personnages. Je m’excuse réellement auprès des amateurs de ce film, mais pour moi c'est un "no go".
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 septembre 2007
    Huit-clos prétentieux et sans intéret. Le criminel "Bender" un véritable rebelle dans l'âme se fait l'avocat du diable pour tous ses autres camarades. Il est très agaçant de voir que ce personnage volontairement plus travaillé devient l'inquisiteur des autres clichés de lycéens. On attend poliement la fin.
    selenie
    selenie

    6 250 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2019
    Le film démarre de façon rock'n roll, avec un encart signé David Bowie et une BO qui donne le ton... et surtout qui offre une sensation faussement rock et rebelle ! Les 5 protagonistes sont 5 caricatures sans aucune nuance. Le plus désolant est que la liberté est résumé à un voyou qui semble avoir redoublé 15 fois et qui devient celui qui va "libérer" ses copains en les poussant vers la cool attitude en se droguant ou en harcèlant sexuellement sa camarade (chose avérée devant et derrière la caméra !). Sur le fond on est déçu car le film s'avère loin d'être subversif bien au contraire, avec une bonne dose de démago. En conclusion, un divertissement honnête mais un culte surestimé pour ce film finalement boursoufflé. Note indulgente !
    Site : Selenie
    Alasky
    Alasky

    350 abonnés 3 402 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 février 2021
    Huis-clos émouvant et d'une incroyable justesse. Cette petite brochette d'acteurs et d'actrices est juste parfaite. Film culte des années 80 pour toute une génération, et encore aujourd'hui les jeunes s'y retrouveront sûrement. A voir absolument !
    Incertitudes
    Incertitudes

    205 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    La jeunesse américaine de 1984 par John Hughes. Quatre adolescents bien campés : le voyou, l'intello timide, le sportif, la bourgeoise coincée, la mythomane silencieuse. J'ai eu un faible pour la dernière. Au premier abord, on pourrait se dire : "ouais, ils sont punis, une journée entière de colle un samedi, on en a tous fait autant à quinze ans". Hughes, à travers ces quatre jeunes, dresse un portrait de cette jeunesse américaine du milieu des années 80. Une jeunesse ne sachant pas trop d'où elle vient (ils sont tous en conflit avec leurs parents), subissant l'influence de leurs copains, ne sachant pas trop où elle va mais, une chose est certaine, elle est déterminée à ne pas devenir comme leurs parents. Des adultes dépeints de manière pathétique : des parents absents, qui se fichent de leurs enfants ou au contraire trop exigeants, qui les battent. Un CPE magouilleur. Il n'y a que le concierge vers qui va notre sympathie. Ça donne des moments très drôles (le déjeuner de midi) d'autres beaucoup moins (les confessions sur leur bêtise). La question qui me tarabuste, c'est qu'est ce qu'ils ont pu devenir depuis. Ça laisse place à l'imagination. Bender s'est peut-être calmé spoiler: dans les bras de Claire
    . Claire s'est probablement dévergondée spoiler: sous l'influence de Bender
    . Brian est peut-être devenu un grand chercheur et Andy un athlète de haut niveau. Ou peut-être que c'est totalement différent.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    134 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2022
    Coup sur coup, à un an d’intervalle, John Hughes réalisa deux films majeurs des 80’s sur l’adolescence, à part ça dans sa filmo, c’est le vide intersidéral. Celui-ci arrive après le cultissime « La folle journée de Ferris Bueller » et se veut plus profond que le précédent lorgnant franchement vers la comédie. En enfermant 5 jeunes radicalement différents durant tout un samedi dans leur bahut pour un jour de colle, il affiche déjà la couleur ; çà sera plus austère. Le huis clos donne aussi plus de solennité au propos ; on est dans du théâtre. Ces jeunes sont tous de grands ados et malgré leurs différences vont bien devoir constater à la fin de la journée qu’ils ne sont pas si différents que cela. Ce film se centre bien sur le mal être consubstantielle de cet âge. Les échanges sont vifs, secs, parfois violents sans filtre et demi-mesure comme on peut l’être à cet âge. On rit donc aussi souvent, ce film n’est pas grave du tout ; son auteur touche juste la complexité d’avoir 16 ans. Quelques répliques claquent particulièrement et derrière la punch line, il y a souvent plus de profondeur qu’il n’y parait.
    Vraiment un bon film vu avec mon fils de 14 ans ; pas choqué mais 15 à 16 ans est plus l’âge nécessaire.
    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    gabdias
    gabdias

    85 abonnés 1 803 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 novembre 2019
    Huit Clos entre 5 étudiants en salle de colle un samedi, tous différents et finalement si proches. Son scénario minimaliste laisse place à des échanges savoureux et à une réflexion psychologique voire philosophique pas inintéressante sur la jeunesse. Un Teen-movie de référence et une belle leçon de vie.
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