Un film qui se résume à l'incoherence la plus total. Ces jeunes gens se haisse et tombe amoureux en moins de 2 secondes. Les dialogues sont d'un ridicule. Des clichés tellements enorme qu'ils finissent par devenir embarassant. Breakfast club souffre des on époque et se croit pourfendeur de certaine chose et etre culte. Ce film n'est culte en rien, seul l'idée l'est. Un remake serait donc le bienvenue.
Je l'ai regardé pour ma culture générale mais je ne l'ai pas trouvé si captivant que cela. Il véhicule bien des idées mais celles-ci ne correspondent sûrement plus aux centres d'intérêts des fascinations de nos jours.
Un film coupé en deux. Une première moitié franchement bonne, vivante, drôle et devant laquelle on ne voit pas le temps et puis tout d'un coup ça retombe et ça ne remonte plus. La suite déborde d'ennuis, de longueurs, de platitude et les rapprochements entre les personnages baissent l'intensité et dégrade l'ambiance qui passionnait durant la "bonne" moitié. Cela reste un film à voir car il en ressort pas mal de questions personnelles, même pour des adultes !!
En 1985, ce film se distingue par sa manière d’aborder les questionnements et les vulnérabilités liés à l’adolescence. Le fond peut paraître un peu démago c’est vrai, cliché même parfois, mais sous son apparence très 80’s, « Breakfast Club » a cette profondeur et cette sensibilité qui lui fait traverser les années sans se périmer. Molly Ringwald, Ally Sheedy, Judd Nelson, Emilio Estevez et Anthony Michael Hall sont ces 5 lycéens, collés un samedi, dont les états d’âme sont sondés par l’œil avisé de John Hugues. Après l’avoir revu avec plaisir, le souvenir de « Ferris Bueller » du même réalisateur a surgit comme un appel.
Sorti en 1985 et considéré comme un film culte, Breakfast Club a marqué une étape importante dans l’évolution des teen movies américains. Pour la première fois, un tel film s’adressait aux adolescents eux-mêmes, abordant ouvertement des thématiques jusqu’ici peu explorées (la sexualité, la pression sociale et familiale, le système de hiérarchie parmi les élèves eux-mêmes…), évoquant des figures familiales défaillantes et/ou porteuses de violence vis-à-vis de leur progéniture. Si certains aspects ont clairement vieilli, force est de constater que ce film qui nous embarque dans la journée de cinq lycéens collés tout un samedi, avec chacun leurs caractéristiques bien délimitées – le rebelle, la fille bien née, le bon élève, le sportif, la freak – porte une réelle élégance et de nombreuses séquences puissantes.
Breakfast Club au delà d'être drôle, le film est d'une tendresse et d'une tristesse incroyable. Chaque personnage à une histoire et se complète parfaitement entre eux. C'est touchant et presque 40 ans après le film reste d'actualité dans son propos. La mise en scène est maîtrisé et permet de garder un rythmé soutenu et intense. Ce film a même réussi à me faire lâcher une arme grâce des discours poignant et sincère. Que dire, un mérite son statut de culte !
Classique quasi-instantané, Breakfast Club est à la fois un plaisir à regarder, mais également à appréhender, comme une oeuvre traitant de l'adolescence et des non dits, ancré au cœur d'un huis-clos passionnant dans un lycée. Le casting fait des étincelles, tandis que la bande originale étonne : un film sensible et réaliste efficace, qui résonnera en chacun d'entre nous.
Ce film démarre comme une mauvaise expérience de sociologie et finie comme le film romantique le plus basique du monde mais le déroulement de cette journée a huit clos est en fait très intéressante, drôle et invite chacun à se remettre en question. Il est regrettable que le sujet soit si mal amené mais je recommande tout de même, ne serait-ce que pour la bande originale.
Certains films des années 80 sont passés au statut de culte pour toute une génération. Ce Breakfast Club en fait partie. Ne l'ayant pas découvert à l'époque de sa sortie, je le vois donc avec un œil non remplie de nostalgie. Et là est le problème, le film ayant bien mal vieilli est n’étant plus du tout actuel. Le scénario est très simple est n'est qu'un prétexte pour une galerie de jeunes personnages différents en apparence mais qui se ressemblent malgré tout. Cela dit, ces personnages sont trop caricaturaux et caractérisés : le sportif, l'intello, le rebelle, la fille à papa et la détraquée. Hormis ces personnages déjà caricaturaux, les dialogues et les situations ne sonnent pas justes. Chacun y va de sa petite histoire plus ou moins émouvante, tout le monde se déteste au début puis à la fin tout le monde est ami voire plus. De ce fait, on ne croit pas vraiment à l'évolution de leur relation qui semble bien artificielle. Peut-être cela fonctionnait-il en 1985 mais en 2014, ce n'est pas le cas pour moi. Breakfast Club n'est pas déplaisant ni même ennuyeux mais juste plus à l'ordre du jour. Ceux qui voient un chef d’œuvre dans ce film ont surement troqué leur objectivité pour leur nostalgie. Mais peut-on leur en vouloir ?...
Un teen movie très décevant malgré des critiques positives. Certes, c'est meilleur que ce que l'on peut voir maintenant mais loin d'être passionnant malgré quelques scènes intéressantes. Mais c'est trop peu, les personnages sont caricaturaux à souhait, les acteurs sont très médiocres et le scénario est plus que mince...
THE Film culte! la film de notre génération les quadras. Plus le Don't you forget abat me des Simple minds. Le film lycée par excellence .A voir des millions de fois
"Breakfast Club" est un huis clos sur 5 lycéens en heures de colle, tous bien différents les uns des autres, toute la durée du film sera parsemée de dialogues sur leurs vies respectives. Discours de teenagers pseudo philosophiques très peu intéressants, je n'en ai rien retenu et n'en garderai très certainement aucun souvenir. Emilio Estevez avec sa coupe de monique nous montrait déjà à quel point il est un piètre acteur, son rôle de beauf sportif lui va comme un gant! Une grosse déception pour un film soi disant culte des années 80, je me suis ennuyé tout du long, heureusement le film est court. Ouf!!!