3,0
Publiée le 1 novembre 2024
Fable des temps modernes, critique des oligarques et d'une société sans direction, jeu des acteurs, tout est bien fait. Mais des longueurs incessantes engluent chaque événement..
Avec 3/4 h en moins...on ressortirait plus enthousiaste au lieu de se demander pourquoi cette longue palme d'or
3,5
Publiée le 31 octobre 2024
Anora, Palme d'or 2024, vraiment ? Bien que la qualité du long métrage soit indéniable, ce choix, eu égard à certains de ses remarquables concurrents, paraît pour le moins contestable. Son début, en tous cas, qui détaille les croupes des vices des travailleuses du sexe fait se demander s'il n'y a pas une certaine complaisance à montrer ces dames dans le plus simple appareil, ou peu s'en faut. Le côté trivial de la chose se retrouve aussi dans des dialogues où les mots grossiers volent bas et en escadrille. Ceci posé, il est indéniable que l'énergie du film est un vecteur de jubilation et que le rythme va crescendo, parfaitement suivi par le sans faute de la mise en scène de Sean Baker, dont c'est, incontestablement le meilleur film. Cette version féroce de Pretty Woman, même nourrie à un anti-oligarquisme primaire, fonctionne comme une lutte des classes sauvage, où la loi des plus forts (riches) est soumise à rude épreuve et comme un conte de fées totalement biaisé. Le côté jouissif du récit vient bien entendu de cette lutte des extrêmes, où les coups les plus bas sont permis, tel un vulgaire combat de catch. Et c'est un grand plaisir de suivre Mikey Madison donner tout ce qu'elle a dans un rôle à facettes où elle brille de mille feux. Mais bon, une Palme d'or, n'est-ce pas un brin excessif, tout de même ?
2,5
Publiée le 30 octobre 2024
Si Sean Baker connait son affaire en terme de mise en scène, la vacuité du scénario, la quasi absence de description des personnages, les scènes étirées à l'envie sans raison, questionnent une fois encore sur le prix prestigieux accordé au film ( palme d'or cannes 2024).

On suit les déroulement de cette histoire en espérant qu'elle décolle enfin, mais en vain. Il reste un clin d'oeil adressé à l'étanchéité entre classes sociales, mais c'est au final beaucoup trop maigre.
2,0
Publiée le 28 novembre 2024
Film plutôt décevant pour une Palme d'or ! Première partie du film ennuyeuse et malsaine, une prostituée purement vénale, un fils à papa crétin, dégénéré, drogué, des scènes de sexe à n'en plus finir, sans intérêt... Deuxième partie plus intéressante où tout "revient dans l'ordre"... L'idylle naissante avec Youri Borissov, le garde du corps, intéressante, mais malheureusement à peine effleurée... d'où 2 étoiles...
1,0
Publiée le 12 janvier 2025
Très décevante, cette palme d’or. Film beaucoup trop long pour ce qu’il a à raconter, un peu redondant dans ses péripéties de deuxième partie. Jamais surprenant, la bande annonce raconte presque déjà toute l’histoire. L’actrice principale est le point fort du film mais reste assez incompréhensible à plein de moment, particulièrement à la fin!!

Grosse déception, film qui n’a pas peur de dénuder à foison les femmes mais c’est à se demander vraiment l’intérêt au bout d’un moment… le réalisateur se fait plaisir… c’est drôle de plusieurs moments mais on a du mal à saisir le ton, les intentions à part un enieme film vu et revu sur le rêve américain et le conte de fée qu’il représente s’avérant décevant. Bref Anora pour moi c’est pas terrible. Surtout pour une palme d’or c’est pas à la hauteur du prix !!!
0,5
Publiée le 1 novembre 2024
Palme d'or à Cannes !
Sérieux ?!
Question : Que s'est-il passé dans la salle de vote pour attribuer la Palme d'or à ce truc.
Limite porno, des scènes de cul à répétition,
Drogue, alcool, et j'en passe.
Des méchants complètements débiles.
Un scénario ? Ah bon ?! C'est à se demander si les acteurs n'étaient pas livrés à eux-mêmes pour improviser dans certaines scènes.
Et certains comparent cet ersatz de très bas étage de film à Pretty Woman, la bonne blague ... mais de qui se moque-t-on.
Comment le jury de ce prix prestigieux a-t-il pu tomber aussi bas.
Autant dire que les curseurs quant au sérieux de ce prix, en ce qui me concerne, sont placés à un autre niveau .
1/2 étoile et encore je me retiens pour ne pas mettre 0.
3,5
Publiée le 21 septembre 2024
Un film en 2 temps : une première partie accès sur la rencontre et la romance puis la seconde est plus dans l'esprit des frères Cohen. L'actrice principale est phénoménale et porte tout le film sur ses épaules. Reste un petit problème de rythme. Merci encore au club AlloCiné pour l'avant première. Par contre j'ai du mal à comprendre la palme d'or
0,5
Publiée le 1 novembre 2024
J'ai été déçu par ce film. Une comédie ? Pas vraiment ! Une clownerie ? Non plus. Bon, il y a la toute fin qui donne un sens à ce film, mais c'est un peu facile d'arriver à la fin pour ne pas se dire que l'on a perdu son temps. Il y a des moments de perte de rythme assez évidents pour crier au chef-d’œuvre. J'étais avec des amis, personne n'a compris pourquoi Anora avait obtenu la palme d'or. C'est incompréhensible.
1,0
Publiée le 3 novembre 2024
Une hôtesse de lap dance très poussée passe une semaine avec le jeune fils d'un oligarque russe.
L'actrice est vraiment formidable, les seconds rôles aussi, la réalisation est très solide.
Pourquoi alors un tel ennui, une tel sentiment d'infantilité stérile, parsemé des inévitables "fuck" et "fucking" toutes les 30 secondes, pourquoi cette ambiance en permanence hystérique pour rien ?
On nous bassine à longueur de presse avec la passion du jeune réalisateur pour les "travailleuses du sexe", mais à l'écran on s'en moque complètement, ça ne marche pas du tout. et les multiples scènes de sexe du début sont répétitives et tristes.
Qu'on ait attribué la palme d'or à l'unanimité à ce film interminable et vain est vraiment stupéfiant.
Qu'on l'ait préféré au chef d'œuvre iranien (Les graines du figuier sauvage) est totalement incompréhensible.
2,5
Publiée le 20 septembre 2024
Vu en avant-première au MK2 Bibliothèque en présence du réalisateur et l’actrice principale. Des thèmes vus et revus (l’illusion du rêve américain), un rythme déséquilibré avec de grosses longueurs… mais sauvé par le talent des deux acteurs principaux.
0,5
Publiée le 13 décembre 2024
Encore une daube infâme ! Le fils dégénéré d'un milliardaire russe se marie avec une gogo danseuse. Ça baise, ça fume, ça boit, ça se drogue pendant 45 minutes insupportables. On espère qu'après ça va s'arranger, quand les parents apprennent que leur feignasse de fils débilité s'est marié et veulenr rompre cette union. Non, c'est pire, ça hurle, ça mord, ça vomit... c'est pitoyable. En plus les garde du corps ne sont pas très bons et les parents (particulièrement la mère) sont affligeants de nullité. Dire qu'on va peut être encore modérer ma publication alors que la vraie vulgarité, c'est d'avoir fait ce film et c'est encore plus dégueulasse quand on lui donne une palme.
0,5
Publiée le 5 novembre 2024
Quelle catastrophe ! Pas de scénario. Une succession de clichés sans aucune réflexion. Des personnages caricaturaux. Pas d’humour. De la violence gratuite. C’est long, plat, mal filmé. Une Palme d’or totalement incompréhensible.
1,0
Publiée le 1 novembre 2024
La Palme d'or 2024 a été décernée à un film médiocre et sans intérêt. Cela aurait pu être une Pretty Woman version Cassavetes ou une Blanche Neige en mode Scorsese. Que nenni. Juste une pantalonnade qui s'étire inutilement, ne traite aucun sujet et préfère nous montrer une très jeune fille et un très jeune garçon s'adonner aux plaisirs de la chair, de l'alcool et de la drogue sans bien sûr traiter du problème de la prostitution. Oui. Juste une pantalonnade avec une image moche et des choix musicaux ineptes. A fuir.
2,5
Publiée le 3 novembre 2024
Si des tas de gags fonctionnent pleinement, les acteurs ne sont pas tous très bons et on baigne dans un océan de vulgarité.

Ce film n'a clairement pas mérité sa palme à Cannes.
1,5
Publiée le 2 novembre 2024
Difficile d'être touché par cette histoire mince, bavarde, répétitive et interminable (2 heures et 19 minutes, quand même) d'une hystérique malheureuse qui court après son jeune con de mari, accompagnée par des hommes de main lourdement caricaturaux et incompétents censés amuser le spectateur, d'autant plus que le personnage le plus potentiellement attachant du film est lui relégué au second plan. On regrette un peu la fraîcheur et l'incarnation des précédents films de Sean Baker.
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