Anora
Note moyenne
3,8
5671 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Anora ?

632 critiques spectateurs

5
78 critiques
4
193 critiques
3
143 critiques
2
97 critiques
1
64 critiques
0
57 critiques
Trier par :
Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
CHOCOLATINIEXPRESS
CHOCOLATINIEXPRESS

4 abonnés 50 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 5 novembre 2024
Quelle catastrophe ! Pas de scénario. Une succession de clichés sans aucune réflexion. Des personnages caricaturaux. Pas d’humour. De la violence gratuite. C’est long, plat, mal filmé. Une Palme d’or totalement incompréhensible.
Mikaël D
Mikaël D

5 abonnés 26 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 3 novembre 2024
Une hôtesse de lap dance très poussée passe une semaine avec le jeune fils d'un oligarque russe.
L'actrice est vraiment formidable, les seconds rôles aussi, la réalisation est très solide.
Pourquoi alors un tel ennui, une tel sentiment d'infantilité stérile, parsemé des inévitables "fuck" et "fucking" toutes les 30 secondes, pourquoi cette ambiance en permanence hystérique pour rien ?
On nous bassine à longueur de presse avec la passion du jeune réalisateur pour les "travailleuses du sexe", mais à l'écran on s'en moque complètement, ça ne marche pas du tout. et les multiples scènes de sexe du début sont répétitives et tristes.
Qu'on ait attribué la palme d'or à l'unanimité à ce film interminable et vain est vraiment stupéfiant.
Qu'on l'ait préféré au chef d'œuvre iranien (Les graines du figuier sauvage) est totalement incompréhensible.
Joyeux
Joyeux

107 abonnés 100 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 11 novembre 2024
Un avertissement tout d’abord : si c’est votre premier date ou que vous comptez emmener vos enfants, il y a peut-être meilleure idée tant le film comporte de scènes de nudité. Mais cette nudité n’est pas gratuite, aussi bien dans le film que dans le propos qu’il sert. On est happés par les personnages, en particulier Ani, et tout ce qui lui arrive. On joue avec elle, on rit avec elle, on s’énerve avec lui, on crie avec elle, on pleure avec elle ; toutes les émotions, tous les sentiments y passent, au point de nous laisser complètement sonnés sur notre fauteuil en fin de séance. On aime ou n’aime pas, mais quoi qu’il arrive cela nous aura retourné. En un mot : du très très grand cinéma.
Malko SAS
Malko SAS

4 abonnés 1 critique Suivre son activité

0,5
Publiée le 27 mai 2024
Soit disant un pretty woman "moderne".
Si les scènes de sexe a répétition de drogue et d'alcool sont là vision moderne et actuel c'est alors tomber bien bas.
Entre un jeune russe fils à papa qui vit dans la débauche outrancière, des pseudos hommes de main avec un QI d'huître pour donner une note humoristique, où est la romance ?
Des oligarques russes qui vont et viennent sans se soucier des sanctions (suite à la guerre en Ukraine), une "danseuse érotique" qui soit est intelligente soit complètement stupide , mélangez tout cela et ça donne un film.avec une vision pathétique et caricaturale. Je ne sais pas sur quels critères se basent la Palme d'or de Cannes mais là franchement je ne crois pas être le seul à me le demander au regard du très faible taux d'applaudissements et aux réactions du public en sortant de la projection. Au mieux à voir pour passer le temps (env 2h30 tout de même) mais pas en payant une place. Il y a tellement de créations qui mériteraient plus de visite dans les salles que ce film.
Adrien J.
Adrien J.

116 abonnés 156 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 19 septembre 2024
Une Palme d’or amplement méritée de mon point de vue ! Anora est un film qui possède une véritable identité, on sent clairement que c’est fait avec sincérité et avec du cœur. En fait, j’ai été surpris de la tournure des événements : au début nous avons affaire à une comédie assez amusante où chaque séquence est plus hilarante que la précédente, mais au fur et à mesure que nous avançons dans l’histoire nous plongeons petit à petit dans un drame familial particulièrement prenant. L’écriture est vraiment maîtrisée, c’est probablement l’œuvre la plus aboutie de son metteur en scène.
Raphael Ripert
Raphael Ripert

2 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 5 novembre 2024
Un film sans intérêt. Les personnages sont creux, sans reliefs, ils n'ont aucunes histoires. La "rencontre" dure 40 minutes du film, que des scènes de sexe avec des dialogues quasi inexistant. L'image n'est pas spécialement belle pour une palme d'or. Le scénario hyper prévisible, tout se raconte en 4 phrase. Et quel est le message? Le film ne prend jamais de la hauteur. La fin nous surprend à peine, mais n'a pas beaucoup d'intérêt hormis la douceur après tant de bruit. Un film bruyant, vulgaire, sans profondeur. Oui les acteurs jouent bien, mais cela ne suffit pas. Je n'ai jamais été ému, j'ai souris parfois mais peu ris. Je n'ai pas vu dans ce film un moment de cinéma.
Six Nez Filent
Six Nez Filent

5 abonnés 150 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 23 mai 2024
Quel bonheur ce film de Sean Baker !
Le délire est palpitant, le récit captivant. La maîtrise du comique de situation est folle, j'ai rit à gorge déployée.
Le parcours de cette danseuse érotique est tout bonnement une des meilleures histoires de cette année de cinéma.
On est pas loin du chef d'oeuvre !
domit64
domit64

50 abonnés 290 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 30 octobre 2024
Une bonne réalisation, de très bons acteurs avec mention spéciale à Mark Eydelchsteyn et un humour décapant!
En revanche beaucoup de longueurs, un scénario déjà vu et revu, et cousu de fil blanc…
Ombeline Marchon
Ombeline Marchon

9 abonnés 16 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 1 novembre 2024
Encore une Palme d'Or incompréhensible. Ce film est trop long, pas très bien filmé, pas drôle, un peu énervant, et surtout assez vain. Première partie, environ 45 min - des jeunes millionnaires "ont des rapports" (Allociné est très prude), picolent et se font des rails de coke. Ensuite on voit un prêtre russe et on se dit que l'intrigue va commencer, ouf ! Elle commence en effet, mais elle s'éternise. Le personnage principal est à baffer : Anora ne fait que hurler des insultes à tout le monde en battant le record du monde de "F word" à la minute jusqu'à présent détenu par Tarantino. Sauf que Tarantino écrit des dialogues brillants. Pas grand-chose à sauver dans ce film distrayant tout au plus. Aucun personnage n'est attachant hormis Igor, on rit peu, on ne vibre pas, en fait. D'aucun sentiment, hormis l'irritation au bout d'un moment. Retournez voir L'Histoire de Souleymane au lieu de perdre votre temps et votre argent.
Olive
Olive

1 abonné 1 critique Suivre son activité

0,5
Publiée le 31 octobre 2024
Anora est un film qui n en finit pas. Tout est lourd et sans subtilité. Le fil du film est énorme mais ce qui est le plus touffu et gras c est sa conduite. Allez voir autre chose pour ne pas perdre votre soirée
Claude WOLFS
Claude WOLFS

53 abonnés 135 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 30 octobre 2024
Que dire d’Anora si ce n’est qu’il s’agit d’une des expériences cinématographiques les plus ternes et décevantes que l’on puisse vivre. Palme d’or ou non, ce film semble prendre un malin plaisir à ne jamais décoller. Dès les premières minutes, le spectateur comprend qu’il va assister à une histoire sans direction et sans relief, où le scénario s’étire tel un long chemin plat de Sologne, sans la moindre aspérité pour éveiller l’intérêt. L’intrigue, d’une fadeur difficile à oublier, progresse sans véritable enjeu ni évolution, rendant chaque minute interminable.
Côté humour, Sean Baker semble avoir voulu jouer la carte du potache, mais hélas, les tentatives tombent dans un vide intersidéral. L’humour, censé apporter un peu de légèreté, laisse place à une consternation généralisée, chaque plaisanterie échouant à produire autre chose qu’un silence pesant.
Arrivé au terme du film, on attend presque une rédemption finale, une touche d’audace pour sauver l’ensemble. Mais non : la fin, aussi insipide qu’absurde, résonne comme le coup de grâce, rendant l’œuvre encore plus difficile à digérer. Anora nous rappelle que toutes les Palmes d’or ne sont pas des chef-d’œuvres, mais ici, on atteint le sommet du pathétique. À fuir absolument.
Patoche14
Patoche14

4 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 3 novembre 2024
Anatomie d'une daube...

Toute ressemblance avec le titre d'un magnifique film ayant obtenu à juste titre la palme d'or à Cannes en 2023 est purement volontaire !

Après "Sans filtre" en 2022, les jurés de Cannes 2024 ont à nouveau décerné la palme d'or à un navet. Il va vraiment falloir qu'ils m'expliquent comment ils font pour juger un film. A croire que "Anatomie d'une chute" soit l'exception qui confirme la règle.

J'ai commencé par me demander si je ne m'étais pas trompé de type de cinéma car j'ai eu l'impression de voir un film porno pendant un sacré moment. Pendant cette première partie, on n'a pas l'occasion de juger le jeu des acteurs. Mais quand les deux protagonistes se retrouvent seuls devant la télé pour la première fois, on réalise que, définitivement, ce film est un navet tellement les acteur sont mauvais (et il n'y a pas que ces deux là). Pourtant l'histoire aurait pu donner un bon résultat, ce qui n'est pas le cas. Le seul point positif que j'accorderais va à la fin du film où on commence seulement à sentir une émotion. Mais il est bien trop tard !

Je précise qu'il est rare que ma femme et moi ayons le même avis sur un film. Celui-ci a pourtant fait l'unanimité dans notre couple !
Yves G.
Yves G.

1 539 abonnés 3 555 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 31 octobre 2024
Ani (Mikey Madison) a vingt-cinq ans et travaille dans un club de strip-tease. Elle y fait la rencontre d’Ivan (Mark Eydelshteyn), le fils d’un oligarque russe, dont la vie n’est qu’une succession de fêtes extravagantes. Ivan s’entiche d’Ani au point de l’épouser à Las Vegas. Mais quand sa mère découvre le pot aux roses, elle lui envoie ses sbires, à charge pour eux de remettre le gamin dans le droit chemin et de convaincre Ani, qui ne l’entend pas de cette oreille, d’annuler leur mariage.

"Anora" arrive sur les écrans précédé de la prestigieuse aura de la Palme d’or qui lui a été décernée à Cannes ce printemps. Cette récompense est lourde à porter : on s’attend à voir le meilleur film de l’année et on risque d’être déçu d’un film qui n’atteint pas les niveaux d’Apocalypse Now ou de Parasite. Il faudrait aller le voir sans cet élément en tête, comme le nouvel opus de Sean Baker, un réalisateur méconnu dont pas grand-monde n’était allé voir les précédents films : "Red Rocket", "The Florida Project", "Tangerine"…

C’est Mathieu Macheret, dans "Le Monde", qui en parle le mieux : « Sean Baker est né à New York en 1971 et quelque chose de cette décennie s’est imprimé au fer rouge dans la chair des films qu’il s’est mis à réaliser du début des années 2000 jusqu’à aujourd’hui. Une tendresse pour les marginaux indéfendables et autres galériens de l’arnaque, un goût de la déglingue, une virée côté face B de l’Amérique, une façon canaille de jongler avec ses facettes trash et clinquantes. »

Il raconte avoir voulu trouvé un rôle pour Karren Karagulian, le parrain d’Ivan chargé par sa mère de le faire rentrer fissa dans le droit chemin. Pour ce faire, il imagine une histoire qui se déroule à New York, dans la communauté russe. On la connaît bien pour avoir vu les films de James Gray ("Little Odessa") ou plus récemment l’intéressant "Brighton 4th" – dont des plans avaient été tournés précisément au même endroit. Mais "Anora" n’a pas pour cadre un deux-pièces enfumé, son samovar et son odeur de choux rance, mais le pied-à-terre new yorkais rutilant d’un oligarque russe richissime squatté quelques jours par son incontrôlable gamin.

"Anora" louche du côté de "Cendrillon" ou de "Pretty Woman". Il commence comme un conte de fées avec la rencontre et le coup de foudre entre Ani et Ivan. La comédie romantique se transforme ensuite en thriller avec l’une des scènes les plus longues et les plus hilarantes qui soient pendant lesquels deux barbouzes maladroits tentent de faire entendre raison aux jeunes mariés. Ivan évaporé et Ani non sans mal bâillonnée, commence l’acte III : la traversée de New York façon "After Hours" à la recherche du disparu. Cette comédie en trois actes (ou s’agit-il tout bien considéré d’un drame ?) se clôt par un épilogue bouleversant entre Ani et Igor, interprété par Yuriy Borisov, découvert dans "Compartiment n° 6".

On pourrait reprocher à "Anora" sa longueur. Au bout d’une demi-heure on a compris le parfait amour que filent Ani et son prince charmant. Au bout d’une autre demi-heure on a encore compris ce qui se joue entre les deux jeunes gens et les deux porte-flingue dépêchés par la mère d’Ivan. Au bout d’une troisième demi-heure, on a une troisième fois compris comment se terminera la recherche d’Ivan. Pour autant, malgré ses longueurs (le film dure au total plus de deux heures), "Anora" charrie une telle énergie, décrit des personnages si originaux, s’avère si émouvant qu’on se dit qu’une fois encore Cannes a eu le nez creux.
Unété42
Unété42

3 abonnés 5 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 3 novembre 2024
Film vulgaire et racoleur, à la limite de la nausée tant il est vide. Se rouler ainsi dans la boue de notre époque, pourquoi pas. Mais pour dire quoi ? Que les femmes se vendent, encore et toujours. Metoo et on en est encore là ? Quel ennui…
Guigui Paul
Guigui Paul

8 abonnés 73 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 2 novembre 2024
Difficile d'être touché par cette histoire mince, bavarde, répétitive et interminable (2 heures et 19 minutes, quand même) d'une hystérique malheureuse qui court après son jeune con de mari, accompagnée par des hommes de main lourdement caricaturaux et incompétents censés amuser le spectateur, d'autant plus que le personnage le plus potentiellement attachant du film est lui relégué au second plan. On regrette un peu la fraîcheur et l'incarnation des précédents films de Sean Baker.
Les meilleurs films de tous les temps
  • Meilleurs films
  • Meilleurs films selon la presse