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    Anora
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    3,9
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    461 critiques spectateurs

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    Hakim Douliba
    Hakim Douliba

    13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 octobre 2024
    Une excellente comédie-dramatique pleine de fraîcheur et d’humour décalé. Anora illumine l’écran de son énergie communicative et rallume le feu de la lutte des classes intemporelle en filigrane. Une belle palme d’or de la révélation et de la mise en scène 🎬
    Mirabelledu54
    Mirabelledu54

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 octobre 2024
    Mais quelle pépite ! De loin mon film préféré de l’année, je compte bien aller le revoir une 3ème fois. C’est tellement drôle tout en gardant de l’émotion, on est clairement dans une vibes de Tarantino avec Pulp Fiction ou encore la série Euphoria. Mikey Madison, c’est la révélation de l’année ! Elle crève l’écran du début à la fin ! Foncez foncez foncez !
    Helfie21
    Helfie21

    15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 novembre 2024
    Vulgaire dans tous les sens du terme, racoleur, ennuyeux, moche, mal joué. La micro sphère du 7e art a une nouvelle fois récompensé un non-sens...ça doit faire bien...ou peut-être suis-je trop bête pour saisir l'intérêt profond et le message que seule une élite peut comprendre 🤔. Sans intérêt ☹️ (l'étoile, c'est pour les figurants 😉)
    Blankovitch
    Blankovitch

    48 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 octobre 2024
    Sean Baker nous intrigue par une romance atypique , puis nous amuse de façon singulière, intelligente et assez inedite, enfin dans l'épilogue il nous sidère avec un final extrêmement émouvant.
    Bravo pour l'actrice principale et pour les seconds rôle. Une palme d'or bien méritée.
    donniedarko1
    donniedarko1

    36 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 septembre 2024
    Film remarquable dans son approche, sa cinématographie, et en particulier le jeu des comédiens. Mickey Madison se révèle comme une actrice majeure. Un événement en soi…
    Marina CATANESE
    Marina CATANESE

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mai 2024
    Une pâle inspiration de Pretty Woman, un conte des temps modernes sans classe qui ne fait finalement pas rêver… Raccourci de 30 minutes, quelques cris et « motherfucker » en moins nous permettrait de rester dans le rythme.
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    910 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2024
    Le meilleur film de Sean Baker !
    Après Tangerine, The Florida Project ou Red Rocket, le réalisateur poursuit son exploration d'une Amérique schizophrène avec Anora.
    Un anti-Pretty Woman où le prince charmant n'est qu'un millenial russe fils de riche, et où l'union initiale avec une prostituée laisse progressivement le rire (c'est très drôle) pour une escapade d'1h dans les night clubs de NY (on pense au cinéma des Safdie).
    Le casting est excellent et le film réussi, mais c'est dès que le film opère son ultime virage (plus dramatique) jusqu'à un final assez déchirant (la meilleure scène de Sean Baker)

    Mais surtout, c'est aussi l'occasion pour l'excellente Mikey Madison dans un rôle complet !
    Une très bonne pioche !
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    67 abonnés 210 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 novembre 2024
    Pas forcément simple de porter l'étiquette "Palme d'Or"... Une telle récompense soulève nécessairement beaucoup d'attentes et le risque de sortir de la séance en mode : "Tout ça pour ça ?".

    Mais disons le tout de suite :

    Anora est une très belle Palme d'Or car ce n'est pas si souvent (pour ne pas dire rarissime) que c'est une comédie qui reçoit la récompense ultime à Cannes. Un film dont la réussite tient largement à son mélange des genres, tour à tour comédie romantique, film de mafia et comédie déjantée.

    Anora est une très belle Palme d'Or car son actrice principale, Mikey Madison, de tous les plans, livre une performance époustouflante, dans la peau d'un personnage féminin fascinant, d'une force incroyable.

    Anora est une très belle Palme d'Or car, admirablement bien écrit, il est de ces films durant lesquels l'on ne s'ennuie pas une seconde et l'on se demande en permanence où la scène suivante va nous amener.

    Anora est une très belle Palme d'Or qui doit en grande partie sa récompense à une scène d'anthologie d'une vingtaine de minutes où Ani essaie d'échapper aux griffes peu acérées de deux sbires hilarants, aux allures de pieds nickelés.

    Anora est une très belle Palme d'Or car en plus de nous faire rire, il soulève une réflexion sur les rapports de classe et de domination, mais aussi sur la question de l'"empowerment" féminin, avec une héroïne, travailleuse du sexe, maîtresse de son corps et de ses choix en apparence, mais dont on ne sait jamais vraiment si c'est elle qui tire les ficelles ou si elle subit les conséquences d'un système capitaliste dont elle est une victime. Anora ou les limites de l'autodétermination...

    Anora est une très belle Palme d'Or car le film parvient à nous prendre par surprise lors d'une dernière par au ton différent, qui bascule du tragi-comique vers une forme inattendue de mélancolie.

    Anora est une très belle Palme d'Or car, en se présentant comme l'anti Pretty Woman et en inversant les codes de la comédie romantique, il se pose en conte de fée des temps modernes.

    Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
    michel salomon
    michel salomon

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 novembre 2024
    Dialogues nuls (dans la version française) manque absolu de subtilité; pauvre Palme d'or;
    J'ai totalement fait fausse route en allant voir ce film;
    Oumaima Hadj Mehend
    Oumaima Hadj Mehend

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 novembre 2024
    Dans *Anora*, j’ai trouvé que le film tombe dans une redondance lassante. Il y a beaucoup trop de scènes où l’actrice principale apparaît dénudée. On comprend dès les premières minutes qu’elle incarne une travailleuse du sexe, mais cette répétition finit par étouffer le propos. À mes yeux, l’histoire aurait pu se concentrer sur des aspects plus profonds de son personnage et de son quotidien, sans constamment recourir à ce type d'images. On a saisi l’essentiel dès le début, alors pourquoi insister autant ? Pour moi, c’est un excès qui affaiblit le film au lieu de le servir.
    Gudule
    Gudule

    4 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2024
    Ralentis et néons. La caméra épouse ces corps gracieux, sublimes dans leur exhibition, jusqu'à elle. Ani. Gros plan. Son visage est scruté. Elle balance la tête, et ses cheveux, comme en apesanteur, d'un noir d'ébène, éblouissant, s'agitent. Esthétique onirique. sentiment difficilement compréhensible, déjà, de mélancolie. A l'apogée de ce cynique "Greatest day", son nom apparaît : Anora. Presque mythologique. Et ce film sera son épopée. Cette histoire à laquelle elle n'a jamais eu droit.

    La première scène du nouveau film de Sean Baker est absolument sidérante de beauté, psychédélique et tragique. Un moment de cinéma comme on en voit rarement, de l'ordre de cette déflagration émotionnelle indescriptible face à des images qui nous envoient un uppercut en plein cœur et qui nous font tomber amoureux d'une œuvre. Un coup de foudre, en somme.

    S'ensuit une suite de moments, de fragments, rassemblés en un ensemble d'une incroyable fluidité et authenticité, sur le quotidien de ces travailleuses du sexe, sur leur métier et, entre autres, leurs relations (avec leur corps, leurs collègues, leurs clients, leurs supérieurs, leurs familles). Cette belle description ne se limite qu'à ces scènes, et ne reparaîtra malheureusement plus par la suite.

    Mais Ani se détache de ce marasme bruyant, de ces jeunes femmes sans avenir ni ambition, dont certaines sont vulgaires et déconnectées de la réalité, acceptant leur condition, telle une condamnation. Ani n'est pas malheureuse, elle se plaît dans ce rôle de bimbo hyper-sexualisée. Cherche-t-elle de l'attention ? A dominer ? A être dominée ? Pourquoi fait-elle cette activité ? Comment en est elle arrivée là ? De sa vie, on ne saura rien. De son quotidien, on aura que des bribes, des instants volés. Son existence apparaîtra comme floue, jusqu'à son arrivée. Ivan. Éternel enfant de 21 ans. Gosse de riches, sans objectif. Traînant sa vie d'opulence, lui, ridicule dans cette autonomie qu'il fantasme, cette immaturité déplacée, ce mode de vie décadent, cette existence qu'il ne mérite pas. Le haïr ou l'adorer ? Il sent le fric, il est drôle "You're funny", léger, si détaché. Le privilège du je-m'en-foutisme.
    Et c'est le tourbillon : sexe, drogue, soirées, sexe, amis, sexe, découvertes, plage, sexe, drogue, sexe... Tourbillon émotionnel, tourbillon sensuel, tourbillon sexuel. Tourbillon esthétique, tourbillon euphorique, tourbillon nostalgique. La comédie est à son apogée, la fragilité de la jeunesse aussi. Les coups de tête sont privilégiés. Brûler sa vie quitte à le regretter. Ne pas réfléchir et aller de l'avant. Jusqu'à l'inexorable réalité, l'inéluctable impasse. Qu'il est beau et frivole ce mariage ! Qu'il est galvanisant ! Fougueux ! Qu'ils sont charmants et merveilleux ces deux amoureux ! Qu'ils sont ravissants ! Angéliques !

    Ah, cruelle désillusion, perverse vérité ! Pour les personnages autant que le spectateur. Les uns sont rattrapés par leur situation, leurs saillies illusoires. Les autres par des interrogations, des remises en question. Pour ceux qui se font admirer autant que pour ceux qui observent, l'idylle est close. Ani vivra une folle nuit, qui la fera plonger dans la mélancolie, mais la fera grandir, aussi. Nous, spectateurs, poursuivrons la séance, détachés, presque frustrés. La comédie prendra le pas sur le drame qui était pourtant bien plus justifié pour accompagner ce conte si désilusionné. Le portrait de femme sera archétypal et non pas profond, contrasté. Sean Baker reniera sa veine indépendante pour polir son style et le rendre commun, passe-partout. Lissage de la célébrité.

    Le basculement se laissera suivre, gentiment, sans affront, sans abîme ni abyme, dans un interminable ventre mou : l'exposition pornographique de la richesse illégitime du jeune fugueur cédera la place à l'exposition d'une vacuité, d'un certain gâchis, surtout scénaristique, qui déçoit fortement et nous fait prendre conscience du potentiel gâché d'une œuvre telle que celle-ci.

    Le développement psychologique d'Ani, personnage si intéressant, si passionnant, dont on tombe amoureux dès la première seconde, est éclipsé. Son intelligence, sa grâce, sa façon de se mouvoir, de parler, de penser, de coucher, sont laissés en jachère au profit d'une errance qui s'étire sur une longueur injustifiée et dommageable. Tout est bien trop divertissant. Mikey Madison, réduite à la performance plutôt qu'à la nuance, fait peu à peu vaciller la flamme de la passion qu'elle inspirait par son sourire, sa magnificence, sa clairvoyance et sa finesse.
    Invoquons alors la déesse de l'inspiration, le dieu du pathos, et, surtout, la divinité de la tragédie. Prions le scénariste-réalisateur de faire les genres se mouvoir, de faire pénétrer le drame dans sa trame, de le laisser tout pervertir, mais aussi tout illuminer. Anora manque de densité, de gravité, de sérieux. Anora aurait gagné à être plus sombre, morbide. Le personnage éponyme à s'être dévoyé (de même que son réalisateur au diable du budget et de l'enfermement stylistique), à avoir gagné en profondeur.

    La seule tragédie d'Anora est de ne pas en être une. De ne pas être un opéra baroque et excessif, un récit de descente aux enfers, de long désenchantement.

    Le récit patine, mais tout cela se laisse regarder. Hormis une scène, d'une cruauté qu'on se prend en pleine gueule, d'une très belle force, tout cela laisse bien indifférent. Jusqu'à ce moment. Magique. Jusqu'à cette scène finale. Cette scène qui me fait pleurer, rien qu'en y songeant, en me la figurant. Cette scène que je n'arrive pas à décrire, de peur de la violer. D'une puissance anihilante. Deuxième uppercut, bien plus puissant que le premier. La bouche ouverte, la bave aux lèvres, absent devant l'écran, hurlant intérieurement. Déchiré, et balançant aux oubliettes tous les défauts passés. Cette scène, je ne l'oublierai jamais. Cette scène restera gravée. Cette scène est ma préférée. Et rien que pour cela, et malgré son comique pernicieux, Anora est une grande œuvre de cinéma. Anora est un tout, vide parfois, mais à l'issue d'une somptuosité qui heurte et qui déchire, qui construit. Elle pleure et elle crie, la pauvre Ani.
    vmdl
    vmdl

    3 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 novembre 2024
    Que je me suis ennuyée, quelle déception, tout est attendu,le film est une coquille vide, le sénario est plat. L'actrice principale est formidable en revanche mais ça ne suffit évidemment pas à sauver le film.
    riki2
    riki2

    3 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 novembre 2024
    Combien de fois ai-je pensé "Bon là ça va, on a compris, est ce qu'on pourrait passer à la scène suivante" je ne sais pas, très souvent !
    Un scénario insipide, un étalage de sexe, de violence, de richesse et de luxe sans intérêt. Ni un drame, c'est trop loufoque parfois, ni une comédie, j'ai à peine souri, ni une chronique sociale, le traitement est par trop caricatural. Ce n'est rien et c'est bien trop pour ce que ce film a à dire.
    Champomy
    Champomy

    3 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 novembre 2024
    Anora est un film audacieux qui oscille entre légèreté et gravité, nous laissant tantôt sourire (voir meme rire) tantôt émus. Son style hybride, à la fois accessible et profond, témoigne du talent de Baker pour faire passer des messages puissants sans en avoir l’air. Cependant, cette audace stylistique pourrait ne pas plaire à tous les spectateurs, car elle peut parfois donner l’impression d’une certaine distance émotionnelle. Pour les amateurs de récits atypiques et de personnages marquants, Anora représente une œuvre incontournable.
    M BLANC
    M BLANC

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 octobre 2024
    Vraiment perplexe sur ce film.
    De très bons comédiens.
    Mais pas mal de longueurs dans la 1er partie, beaucoup de scènes de cul.
    La seconde partie est plus intéressante et parfois hilarante.
    Fin en queue de poisson
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