Anora
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632 critiques spectateurs

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Gudule
Gudule

4 abonnés 21 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 21 septembre 2024
Ralentis et néons. La caméra épouse ces corps gracieux, sublimes dans leur exhibition, jusqu'à elle. Ani. Gros plan. Son visage est scruté. Elle balance la tête, et ses cheveux, comme en apesanteur, d'un noir d'ébène, éblouissant, s'agitent. Esthétique onirique. sentiment difficilement compréhensible, déjà, de mélancolie. A l'apogée de ce cynique "Greatest day", son nom apparaît : Anora. Presque mythologique. Et ce film sera son épopée. Cette histoire à laquelle elle n'a jamais eu droit.

La première scène du nouveau film de Sean Baker est absolument sidérante de beauté, psychédélique et tragique. Un moment de cinéma comme on en voit rarement, de l'ordre de cette déflagration émotionnelle indescriptible face à des images qui nous envoient un uppercut en plein cœur et qui nous font tomber amoureux d'une œuvre. Un coup de foudre, en somme.

S'ensuit une suite de moments, de fragments, rassemblés en un ensemble d'une incroyable fluidité et authenticité, sur le quotidien de ces travailleuses du sexe, sur leur métier et, entre autres, leurs relations (avec leur corps, leurs collègues, leurs clients, leurs supérieurs, leurs familles). Cette belle description ne se limite qu'à ces scènes, et ne reparaîtra malheureusement plus par la suite.

Mais Ani se détache de ce marasme bruyant, de ces jeunes femmes sans avenir ni ambition, dont certaines sont vulgaires et déconnectées de la réalité, acceptant leur condition, telle une condamnation. Ani n'est pas malheureuse, elle se plaît dans ce rôle de bimbo hyper-sexualisée. Cherche-t-elle de l'attention ? A dominer ? A être dominée ? Pourquoi fait-elle cette activité ? Comment en est elle arrivée là ? De sa vie, on ne saura rien. De son quotidien, on aura que des bribes, des instants volés. Son existence apparaîtra comme floue, jusqu'à son arrivée. Ivan. Éternel enfant de 21 ans. Gosse de riches, sans objectif. Traînant sa vie d'opulence, lui, ridicule dans cette autonomie qu'il fantasme, cette immaturité déplacée, ce mode de vie décadent, cette existence qu'il ne mérite pas. Le haïr ou l'adorer ? Il sent le fric, il est drôle "You're funny", léger, si détaché. Le privilège du je-m'en-foutisme.
Et c'est le tourbillon : sexe, drogue, soirées, sexe, amis, sexe, découvertes, plage, sexe, drogue, sexe... Tourbillon émotionnel, tourbillon sensuel, tourbillon sexuel. Tourbillon esthétique, tourbillon euphorique, tourbillon nostalgique. La comédie est à son apogée, la fragilité de la jeunesse aussi. Les coups de tête sont privilégiés. Brûler sa vie quitte à le regretter. Ne pas réfléchir et aller de l'avant. Jusqu'à l'inexorable réalité, l'inéluctable impasse. Qu'il est beau et frivole ce mariage ! Qu'il est galvanisant ! Fougueux ! Qu'ils sont charmants et merveilleux ces deux amoureux ! Qu'ils sont ravissants ! Angéliques !

Ah, cruelle désillusion, perverse vérité ! Pour les personnages autant que le spectateur. Les uns sont rattrapés par leur situation, leurs saillies illusoires. Les autres par des interrogations, des remises en question. Pour ceux qui se font admirer autant que pour ceux qui observent, l'idylle est close. Ani vivra une folle nuit, qui la fera plonger dans la mélancolie, mais la fera grandir, aussi. Nous, spectateurs, poursuivrons la séance, détachés, presque frustrés. La comédie prendra le pas sur le drame qui était pourtant bien plus justifié pour accompagner ce conte si désilusionné. Le portrait de femme sera archétypal et non pas profond, contrasté. Sean Baker reniera sa veine indépendante pour polir son style et le rendre commun, passe-partout. Lissage de la célébrité.

Le basculement se laissera suivre, gentiment, sans affront, sans abîme ni abyme, dans un interminable ventre mou : l'exposition pornographique de la richesse illégitime du jeune fugueur cédera la place à l'exposition d'une vacuité, d'un certain gâchis, surtout scénaristique, qui déçoit fortement et nous fait prendre conscience du potentiel gâché d'une œuvre telle que celle-ci.

Le développement psychologique d'Ani, personnage si intéressant, si passionnant, dont on tombe amoureux dès la première seconde, est éclipsé. Son intelligence, sa grâce, sa façon de se mouvoir, de parler, de penser, de coucher, sont laissés en jachère au profit d'une errance qui s'étire sur une longueur injustifiée et dommageable. Tout est bien trop divertissant. Mikey Madison, réduite à la performance plutôt qu'à la nuance, fait peu à peu vaciller la flamme de la passion qu'elle inspirait par son sourire, sa magnificence, sa clairvoyance et sa finesse.
Invoquons alors la déesse de l'inspiration, le dieu du pathos, et, surtout, la divinité de la tragédie. Prions le scénariste-réalisateur de faire les genres se mouvoir, de faire pénétrer le drame dans sa trame, de le laisser tout pervertir, mais aussi tout illuminer. Anora manque de densité, de gravité, de sérieux. Anora aurait gagné à être plus sombre, morbide. Le personnage éponyme à s'être dévoyé (de même que son réalisateur au diable du budget et de l'enfermement stylistique), à avoir gagné en profondeur.

La seule tragédie d'Anora est de ne pas en être une. De ne pas être un opéra baroque et excessif, un récit de descente aux enfers, de long désenchantement.

Le récit patine, mais tout cela se laisse regarder. Hormis une scène, d'une cruauté qu'on se prend en pleine gueule, d'une très belle force, tout cela laisse bien indifférent. Jusqu'à ce moment. Magique. Jusqu'à cette scène finale. Cette scène qui me fait pleurer, rien qu'en y songeant, en me la figurant. Cette scène que je n'arrive pas à décrire, de peur de la violer. D'une puissance anihilante. Deuxième uppercut, bien plus puissant que le premier. La bouche ouverte, la bave aux lèvres, absent devant l'écran, hurlant intérieurement. Déchiré, et balançant aux oubliettes tous les défauts passés. Cette scène, je ne l'oublierai jamais. Cette scène restera gravée. Cette scène est ma préférée. Et rien que pour cela, et malgré son comique pernicieux, Anora est une grande œuvre de cinéma. Anora est un tout, vide parfois, mais à l'issue d'une somptuosité qui heurte et qui déchire, qui construit. Elle pleure et elle crie, la pauvre Ani.
riki2
riki2

3 abonnés 22 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 8 novembre 2024
Combien de fois ai-je pensé "Bon là ça va, on a compris, est ce qu'on pourrait passer à la scène suivante" je ne sais pas, très souvent !
Un scénario insipide, un étalage de sexe, de violence, de richesse et de luxe sans intérêt. Ni un drame, c'est trop loufoque parfois, ni une comédie, j'ai à peine souri, ni une chronique sociale, le traitement est par trop caricatural. Ce n'est rien et c'est bien trop pour ce que ce film a à dire.
Yohann Charrin
Yohann Charrin

12 abonnés 4 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 9 novembre 2024
Un grand film qui mérite sa palme.
Le dernier plan est bouleversant, je pense que la palme d’or lui est du rien que pour ce plan. C’est un Pretty Woman des temps moderne avec une humour décapant.
J’ai adoré.
M BLANC
M BLANC

2 abonnés 1 critique Suivre son activité

1,5
Publiée le 30 octobre 2024
Vraiment perplexe sur ce film.
De très bons comédiens.
Mais pas mal de longueurs dans la 1er partie, beaucoup de scènes de cul.
La seconde partie est plus intéressante et parfois hilarante.
Fin en queue de poisson
Toman33
Toman33

1 abonné 3 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 31 octobre 2024
Sincèrement je ne comprend toute les hé logés sur ce film alors oui la 1 ère partie commence super bien avec un film un peu décaler entre les 2 protagonistes mais là 2 eme partie est ennuyante des scènes trop longues et une fin vraiment pas super d’habitude je suis assez d’accord avec l’avis des spectateurs sur la quasi totalité des films mais la non
Djadjadu95
Djadjadu95

1 abonné 4 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 30 octobre 2024
Palme d’or originale et amplement méritée!
Comme dans ses précédents films, Sean Baker parle de l’illusion du rêve américain mais avec beaucoup d’humour et avec une actrice principale extraordinaire.
Une claque, foncez !!
Jmg
Jmg

3 abonnés 13 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 3 novembre 2024
La moitié du film nous fait plonger dans des boîtes de strip enchaine avec complaisance ? des scènes de sexe plus ou moins pathétiques.
Nous entamons ensuite une poursuite un peu longue rythmée par quelques blagues qui se voulaient probablement drôles. N'est pas Tarentino qui veut.
Les personnages n'ont aucune consistance, ni passé, et peut-être un avenir. Je suis ressorti en me disant que les riches et enfants de riches vivent n'importe comment, détruisent la planète et la vie de ceux qui n'ont pas autant d'argent. Mais que la démonstration est lourde et archi vue et revue.
Ce film me fait penser à une caricature de reportages de Bernard Delavilardiere. " Et ensuite, ils vont aux putes ! "
Isabelle K.
Isabelle K.

3 abonnés 55 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 6 novembre 2024
Le film le plus explosif de la saison (jusqu’à présent). Je ne savais pas très bien à quoi m’attendre, j’ai été agréablement surprise par ce long-métrage jubilatoire et tendre, où la vie est exagérée et chaque jour exponentielle. Même si chacun sait : le scénariste, les personnages, leurs interprètes, les spectateurs, qu’elle ne peut durer indéfiniment comme un conte de fées superlatif.

Ce que j'avais entendu dire : pas grand-chose. Anora, une jeune prostituée, se marie avec le fils tout juste majeur d’un oligarque russe. Lorsque ses parents l’apprennent, ils s’en mêlent.
Et je n’ignorais pas qu’Anora avait reçu la Palme d’or au Festival de Cannes, cette année.

Je n’ai pas été déçue. Le film démarre à la vitesse du son. Rythme supersonique, s’accrocher. Les dialogues sont hyper-drôles, ainsi que les situations toutes plus improbables les unes que les autres, et follement excitantes. À vrai dire, je ne me souviens pas de crises de fous rires aussi divines et irrépressibles au cinéma. J’en ai pleuré de rire, et ça fait du bien comme après un bon vieux bon bang de jeunesse, mâtiné de Poppers. Distorsion des sens, perceptions exaltées, du clinquant.

Les acteurs sont stupéfiants : de fraîcheur et de spontanéité. Anora (fascinante Mickey Madison) crève l’écran, en se présentant d’emblée mûre et désarmante, si fluide avec son corps et son esprit. Elle pige vite, connaît ses limites, sait dire oui comme non et remettre les gens à leur place avec souplesse et sourire authentique ; les choses du sexe -qu’elle maîtrise- ne sont qu’un job pour lequel elle affiche une distance qui la libère des mochetés environnantes. Son personnage est très vite attachant. Anora, tout en paillettes, à l’intérieur comme à l’extérieur d’elle, vit l’instant présent et elle est grave cool. Le seul truc, c’est qu’elle tient à ce qu’on oublie Anora pour privilégier Ani. Elle est Ani, point barre. Une fille de la nuit qui n’attend rien.

Vanyan, ou Ivan, est quant à lui, le prototype de l’enfant gâté, capricieux et peureux. Une plaie, ce môme superficiel qui entend le rester. « Fils à papa » : jamais expression n’aura pris autant de sens. Mais avant de devenir déserteur, ce que l’on soupçonne, il sait se rendre indispensable : il fait rêver en proposant -avec l’argent paternel qui se déverse de manière torrentielle- une vie excentrique et ludique, à grands renforts de bonbons sucrés et de jeux vidéo. Lui, les choses du sexe, il les ignore et reste persuadé qu’une levrette rapide suffit pour s’éclater.

Musique à fond, scènes qui se catapultent tant le film est pressé, comme la jeunesse impatiente, paysages époustouflants à perte de vue entre neige et soleil, ce film est truculent.

Quand les darons débarquent, sous domination matriarcale russe, l’extravagance s’arrête, même si les situations continuent de révéler un potentiel excentrique. La naïveté d’Anora surprend davantage que la lâcheté d’Ivan et rend cette jeune fille encore plus émouvante. Les relations qui s’installent soudain entre eux, et les gardes du corps arméniens d’Ivan à la botte des parents, qui font barrage entre lui et ses parents, relèvent d’un vaudeville ubuesque et déjanté.
Les Arméniens ont ce pouvoir-là - 😉 Jamais là où on les attend. On les kiffe.

À la fin, sans rien dévoiler, Anora trouve ce qui va lui permettre d’abandonner Ani. On lui souhaite le meilleur.
Ce film est un palpitant plus efficace que n’importe quel pacemaker : orgasmique, entre rires et larmes, la plus simple, savoureuse et universelle des recettes cinématographiques.
Marius P
Marius P

11 abonnés 19 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 30 octobre 2024
Une véritable pépite ! La palme d’(an)or(a) est tellement méritée !
C’est un film tellement frais qu’il ravira les jeunes ! Bravo Sean Baker !
Théo
Théo

6 abonnés 98 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 3 novembre 2024
J’ai rarement été autant happé par une histoire aussi rapidement. Une ambiance et la musique mon dieu, incroyable !!

Franchement une très belle découverte et énorme talent de la part de tous les artistes / acteurs.trices ❤️

J'ai adoré le combo bras cassé, "la fine équipe" lors de la recherche d'Ivan. Un ensemble qui match bien et qui retranscrit a merveille le mood du film. Je le reverrais
Lecinedebibi
Lecinedebibi

3 abonnés 34 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 31 octobre 2024
Très bon film; j'ai bcp aimé. Après je suis surpris qu'il ait remporté la palme d'or cette année. C'est quand même assez grand public par rapport a d'habitude malgré les scènes de sexe. Une sorte de Pretty Woman version 2024 mais qui vire assez vite à l'anti conte de fée . C'est parfois très drôle mais aussi assez dur. Mikey Madison (transfuge des derniers scream) y est excellente. Elle donne énormément de sa personne. La scène où elle hurle j'avais mal aux cordes vocales. Elle aurait carrément mérité le prix d'interprétation féminine à la place du quatuor d'Émilia Perez. A mon avis elle aura sa petite nomination aux golden globes puis aux oscars.
philippephilou
philippephilou

5 abonnés 37 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 1 octobre 2024
Film excellent, on ne s’ennuie pas une seconde !
Il montre le monde tel qu’il est, dans toute sa cruauté et sa bêtise, le manque de sens moral des gens qui ont la chance d’avoir tout mais aussi le manque de repères de ceux qui espèrent avoir quelque chose!
Il est aussi une métaphore de l’incompréhension contemporaine entre deux grandes puissance malades…
La mise en scène est somptueuse, les comédiens super. Mérite la palme d’or qu’il a eu.
Le regard porté sur la jeune prostituée et très beau, car elle a du cœur et de vrais sentiments.
Morale du Film : Les très riches vaniteux, qui se croient tout permis, sont beaucoup plus odieux que les pauvres prostituées qui essayent de s’en sortir et qui recherche simplement le bonheur!
La richesse ne fait pas le bonheur elle y contribue seulement… seul l’amour, fait le bonheur… et jouer avec la sincérité de l’amour des autres emmène à coup sûr vers le malheur!
Film intelligent, à voir absolument qui fait réfléchir sur notre monde.
olivier martin
olivier martin

2 abonnés 12 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 9 novembre 2024
Voila. Un film comme je peux les aimer. Une première couche visuelle entre monde de la nuit personnages stereotypes au premier abord et des lieux tres visuels coney Island la maison d’oligarque ou Las Vegas. Une couche de personnages de prime abord simples : la danseuse, le gosse de riche debile, les gros bras, les oligarques. Une intrigue simple: michetonner un gosse de riche et s’acrocher au ticket gagnant. Une couche de reference simples cendrillon, pretty woman, striptease… et puis au fond rien n’est simple. Est ce une comédie (j’ai beaucoup ri) ? Une satyre sociale? Un drame romantique? Une revisite de mythes et de cliches? Eh bien en fait un peu tout ca… et les personnages a priori simples se complexifiznt et dejouent les attentes. Un gros bras, un oligarque ou une semi-prostituee ne sont pas que ce qu’ils montrent. Et unz din qui ouvre a bien des questions, a une retrospection sur le film et ses personnage. Un film en apparence premier degré mais qui se découvre, se bonifie quand on y pense et qui marche par retrospection. Chaque nouvelle scene et surtout celle fe fin reinterroge ce qu’on a vu et fait évoluer notre regard. Une réussite. Ah oui un « fucking » tous les’trois mots chez Anora ca saoule un peu.
Timbak
Timbak

3 abonnés 6 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 2 novembre 2024
Un très grand film qui joue entre tous les styles de cinéma du burlesque au drame. Les acteurs et actrices sont tous exceptionnels
Sandy Rivoli
Sandy Rivoli

2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 26 décembre 2024
Très déçue par ce film totalement dépourvu d'émotion. Mais du sexe à n'en plus finir... Les dialogues sont pauvres et grossiers. Ca hurle, ça part dans tous les sens... et ça dure 2h20 !!! Bref, c'est interminable. Pourtant l'idée de départ était intéressante mais le réalisateur a raté son film ! Incapable de décrire des situations simples.... toutes les scènes sont trop longues et on se surprend à regarder sa montre. Le vrai talent aurait été de décrire le milieu de la prostitution sans montrer de sexe à l'écran. Les réalisateurs doués savent le faire, en travaillant sur la psychologie des personnages et en créant de l'émotion. Là, on passe complétement à côté de la personnalité de l'héroïne. On aurait bien aimé en savoir plus sur le jeune Vania (à part qu'il aime faire la fête). Bref le scénario est vraiment basique, écrit pour les simples d'esprit, semble-t-il ! On tire vraiment les gens vers le bas en leur servant de tels navets. Quelle perte de temps !
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