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Votre avis sur Anora ?
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Anora, jeune strip-teaseuse de New York, rencontre le fils immature d’un oligarque russe. Ce qui s’ensuit est une improbable histoire d’amour : une sorte de PRETTY WOMAN version trash, enchaînant fêtes, scènes de sexe et débauche. La première partie, bien que nécessaire pour la suite, devient par moments un peu épuisante en raison de la complaisance avec laquelle Sean Baker filme les scènes érotiques et le corps des femmes.
Puis le film prend un virage surprenant, se transformant en un buddy movie jouissif, et probablement le film qui m’a le plus fait rire cette année. Que ce soit grâce au comique de situation, aux dialogues ciselés ou aux punchlines percutantes, ANORA est souvent très drôle, rappelant l’esprit caustique et décalé des films des frères Coen. Mention spéciale pour une scène d’anthologie dans une maison, un chef-d'œuvre de comédie visuelle et narrative.
Le film oscille alors entre thriller, drame et comédie, flirtant même parfois avec le burlesque. Sean Baker a un vrai sens du rythme, et, grâce à un montage maîtrisé, les scènes s’enchaînent pour le plus grand plaisir du public. Il joue aussi admirablement avec les ruptures de ton, transformant un récit excessif et sensuel en un film plus profond, teinté de mélancolie et de réflexions sombres. Visuellement, l’ensemble est somptueux, avec une superbe photographie : d’abord flamboyante et colorée dans sa première moitié, elle devient plus glaciale et intense à mesure que l’histoire avance.
L’humour fonctionne aussi grâce à un casting au diapason, notamment un trio d’hommes de main jubilatoires et charismatiques, qui suscitent l’empathie malgré leurs rôles de personnages secondaires. Mais surtout, ANORA, c’est la révélation de Mikey Madison. Elle déploie une énergie folle et une palette de jeu magistrale, que ce soit en comédie, en action ou en drame. Elle imprègne chaque scène, nous faisant rire et nous émouvoir avec une aisance remarquable. Ce rôle pourrait bien la propulser au sommet et lui valoir une nomination aux Oscars.
Et même si ma palme d’or personnelle reste LES GRAINES DU FIGUIER SAUVAGE (voire EMILIA PEREZ), ANORA est une très belle surprise aussi surprenante que drôle et touchante, que je vous invite vivement à découvrir…
https://www.critiquesdunpassionne.fr/
Puis le film prend un virage surprenant, se transformant en un buddy movie jouissif, et probablement le film qui m’a le plus fait rire cette année. Que ce soit grâce au comique de situation, aux dialogues ciselés ou aux punchlines percutantes, ANORA est souvent très drôle, rappelant l’esprit caustique et décalé des films des frères Coen. Mention spéciale pour une scène d’anthologie dans une maison, un chef-d'œuvre de comédie visuelle et narrative.
Le film oscille alors entre thriller, drame et comédie, flirtant même parfois avec le burlesque. Sean Baker a un vrai sens du rythme, et, grâce à un montage maîtrisé, les scènes s’enchaînent pour le plus grand plaisir du public. Il joue aussi admirablement avec les ruptures de ton, transformant un récit excessif et sensuel en un film plus profond, teinté de mélancolie et de réflexions sombres. Visuellement, l’ensemble est somptueux, avec une superbe photographie : d’abord flamboyante et colorée dans sa première moitié, elle devient plus glaciale et intense à mesure que l’histoire avance.
L’humour fonctionne aussi grâce à un casting au diapason, notamment un trio d’hommes de main jubilatoires et charismatiques, qui suscitent l’empathie malgré leurs rôles de personnages secondaires. Mais surtout, ANORA, c’est la révélation de Mikey Madison. Elle déploie une énergie folle et une palette de jeu magistrale, que ce soit en comédie, en action ou en drame. Elle imprègne chaque scène, nous faisant rire et nous émouvoir avec une aisance remarquable. Ce rôle pourrait bien la propulser au sommet et lui valoir une nomination aux Oscars.
Et même si ma palme d’or personnelle reste LES GRAINES DU FIGUIER SAUVAGE (voire EMILIA PEREZ), ANORA est une très belle surprise aussi surprenante que drôle et touchante, que je vous invite vivement à découvrir…
https://www.critiquesdunpassionne.fr/
Quel scénario ! Tellement bien construit, réaliste et adulte, le traitement de ce film indépendant américain est tellement différent de ce qu’en auraient fait les studios hollywoodiens. D’ailleurs, le parallèle entre « Pretty Woman » et « Anora » vaudrait d’être étudié. « Anora », le film … pas le personnage, se décompose en plusieurs parties bien distinctes. L’une d’elle réveille en moi des souvenirs de certains films américains des années 80 dont l’action se passe la nuit en ville (« After Hours », « Série noire pour une nuit blanche » (Into the night)…). Le suspense lié à cette unité de temps fonctionne toujours aussi bien. Je ne déflorerai rien des autres parties mais toutes s’assemblent parfaitement pour former un puzzle du plus bel effet.
La première partie est de plutôt mauvais goût dans l’excès de nudité à la limite de l’acceptable selon moi.
Ensuite le Road trip tragi comique prend le relais et on passe un super moment !
Pas le niveau d’une palme d’or pour moi mais un bon moment
Ensuite le Road trip tragi comique prend le relais et on passe un super moment !
Pas le niveau d’une palme d’or pour moi mais un bon moment
Ani est une escort girl travaillant dans un club. Toute la nuit, elle et ses collègues attisent les passions des clients masculins par des danses lascives contre quelques dollars. Un soir, elle rencontre un client très jeune : Yvan. Ce dernier aime beaucoup sa danse et se lie avec elle petit à petit, l'invitant à être son escort à son domicile. Anora y voit la chance d'une vie. En salle le 30 octobre.
spoiler: "Anora" se déroule en plusieurs parties inégales. La rencontre avec Yvan tend vers la création de tendresse entre les personnages, puis vient la réalité qui rattrape le rêve et enfin la recherche d'Yvan. Cette dernière section est vraiment en dessous avec de nombreuses scènes peu intéressantes et parfois d'une longueur inexplicable. Je n'ai pas bien compris certains aspects de la dernière scène qui m'a semblée très artificielle. Je suis déçu car le film commençait bien mais s'est enlisé dans une mauvaise direction. Les personnages sont peu caractérisés voire manichéens pour certains. Je passe un bon moment mais pas au niveau d'une palme d'or.
spoiler: "Anora" se déroule en plusieurs parties inégales. La rencontre avec Yvan tend vers la création de tendresse entre les personnages, puis vient la réalité qui rattrape le rêve et enfin la recherche d'Yvan. Cette dernière section est vraiment en dessous avec de nombreuses scènes peu intéressantes et parfois d'une longueur inexplicable. Je n'ai pas bien compris certains aspects de la dernière scène qui m'a semblée très artificielle. Je suis déçu car le film commençait bien mais s'est enlisé dans une mauvaise direction. Les personnages sont peu caractérisés voire manichéens pour certains. Je passe un bon moment mais pas au niveau d'une palme d'or.
On ne peut pas dire qu'on s'ennuie
mais le film ne décolle pas vraiment non plus...
On a du mal à s'attacher aux personnages...
Il n'y a aucun parallèle à faire avec 'Pretty Woman',
on en est très loin !
La toute fin est intéressante
mais ne peut sauver l'ensemble
qui reste un film épuisant...
mais le film ne décolle pas vraiment non plus...
On a du mal à s'attacher aux personnages...
Il n'y a aucun parallèle à faire avec 'Pretty Woman',
on en est très loin !
La toute fin est intéressante
mais ne peut sauver l'ensemble
qui reste un film épuisant...
Une des questions les plus récurrentes à propos de ce film était de savoir si oui ou non "Anora" méaitait vraiment la Palme d'Or du Festival de Cannes 2024.Personnellement, je l'aurais remise au film "Les Graines du Figuier Sauvage".
De Sean Baker, j'ai vu ses trois films précédents : "Tangerine" (filmé avec des téléphones portables), "The Florida Project" et "Red Rocket" et son univers assez particulier m'avait bien plu.
La première partie d'Anora (dans le genre "Pretty Woman chez les oligarques") n'augure absolument pas de la direction dans laquelle le film s'engouffre par la suite. À partir de la longue scène dans l'appartement, le film s'emballe totalement, et part dans une sorte de comédie complètement délirante, avec des dialogues extrêmement crus par moment !
Les acteurs sont excellents, mention spéciale à Mickey Madison ! Il y a certes quelques longueurs et répétitions, mais même si la Palme d'Or me paraît un peu excessive pour cette œuvre, le film est malgré tout excellent ... !
De Sean Baker, j'ai vu ses trois films précédents : "Tangerine" (filmé avec des téléphones portables), "The Florida Project" et "Red Rocket" et son univers assez particulier m'avait bien plu.
La première partie d'Anora (dans le genre "Pretty Woman chez les oligarques") n'augure absolument pas de la direction dans laquelle le film s'engouffre par la suite. À partir de la longue scène dans l'appartement, le film s'emballe totalement, et part dans une sorte de comédie complètement délirante, avec des dialogues extrêmement crus par moment !
Les acteurs sont excellents, mention spéciale à Mickey Madison ! Il y a certes quelques longueurs et répétitions, mais même si la Palme d'Or me paraît un peu excessive pour cette œuvre, le film est malgré tout excellent ... !
Pour la première fois je viens de regretter d'avoir gaspillé deux places (j'ai incité mon ami à m'accompagner le pôôôvre !) sur ma carte cinéma. Vu les choix plus qu'étranges du jury cannois, je m'étais bien jurée de ne plus dépenser d'argent pour aller voir le film élu pour la palme d'or. Cette année, au regard des notes presse et spectateurs, j'ai craqué. À tort !
spoiler: L'histoire ... euh ! C'est quoi l'histoire déjà ? Les personnages : entre une entraîneuse stupide et son soit disant mari (on sait bien que les mariages à Las Vegas sont du folklore pour touristes) abruti par la drogue et l'alcool, une bande de gorilles russes qui passent de longues minutes à courir après leur protégé, terrorisés par sa mère...
Des dialogues insipides et inutiles truffés d'insultes et de grossièretés à longueur de temps, aucun intérêt ! Et cette pauvre fille qui tient absolument à rester mariée à ce dégénéré qui la trompe à peine elle a le dos tourné. Et pourtant elle insiste la nana ! Non mais de qui se moque-t-on de donner la récompense ultime à cette nullité ! Une souffrance de plus de deux heures ! Cinéphiles, passez votre chemin !
spoiler: L'histoire ... euh ! C'est quoi l'histoire déjà ? Les personnages : entre une entraîneuse stupide et son soit disant mari (on sait bien que les mariages à Las Vegas sont du folklore pour touristes) abruti par la drogue et l'alcool, une bande de gorilles russes qui passent de longues minutes à courir après leur protégé, terrorisés par sa mère...
Des dialogues insipides et inutiles truffés d'insultes et de grossièretés à longueur de temps, aucun intérêt ! Et cette pauvre fille qui tient absolument à rester mariée à ce dégénéré qui la trompe à peine elle a le dos tourné. Et pourtant elle insiste la nana ! Non mais de qui se moque-t-on de donner la récompense ultime à cette nullité ! Une souffrance de plus de deux heures ! Cinéphiles, passez votre chemin !
Pour être optimiste, ce film est sans consistance , creux, histoire sans aucun intérêt, les acteurs sont ennuyeux , les scènes de sexe montre aucune esthétique avec cette actrice sans charme .
Un film moche en étant optimiste
Un film moche en étant optimiste
Ne perdez pas votre temps ! Film navrant. On attend, on attend... puisque ce film a eu la palme d'or à Cannes, il va bien se passer quelque chose ! Mais non... Comment a-t-on pu le consacrer ? Mystère...
Le meilleur film de Sean Baker !
Après Tangerine, The Florida Project ou Red Rocket, le réalisateur poursuit son exploration d'une Amérique schizophrène avec Anora.
Un anti-Pretty Woman où le prince charmant n'est qu'un millenial russe fils de riche, et où l'union initiale avec une prostituée laisse progressivement le rire (c'est très drôle) pour une escapade d'1h dans les night clubs de NY (on pense au cinéma des Safdie).
Le casting est excellent et le film réussi, mais c'est dès que le film opère son ultime virage (plus dramatique) jusqu'à un final assez déchirant (la meilleure scène de Sean Baker)
Mais surtout, c'est aussi l'occasion pour l'excellente Mikey Madison dans un rôle complet !
Une très bonne pioche !
Après Tangerine, The Florida Project ou Red Rocket, le réalisateur poursuit son exploration d'une Amérique schizophrène avec Anora.
Un anti-Pretty Woman où le prince charmant n'est qu'un millenial russe fils de riche, et où l'union initiale avec une prostituée laisse progressivement le rire (c'est très drôle) pour une escapade d'1h dans les night clubs de NY (on pense au cinéma des Safdie).
Le casting est excellent et le film réussi, mais c'est dès que le film opère son ultime virage (plus dramatique) jusqu'à un final assez déchirant (la meilleure scène de Sean Baker)
Mais surtout, c'est aussi l'occasion pour l'excellente Mikey Madison dans un rôle complet !
Une très bonne pioche !
Anora, c’est un film qui sort de l’ordinaire comme on en voit rarement..
L’un des seuls films où on ri, on a peur on angoisse, il y a du sexe de la drogue, de l’amour, mais aussi de l’action comme de la violence, on est dedans du début à la fin sans aucune envie de le quitter.
Comme une drogue, comme une belle morale Anora vous prend par les tripes er j’adore !
Sexy et moderne il est pas cliché pour autant.
La dernière scène est juste fabuleuse et quelle morale !
L’un des seuls films où on ri, on a peur on angoisse, il y a du sexe de la drogue, de l’amour, mais aussi de l’action comme de la violence, on est dedans du début à la fin sans aucune envie de le quitter.
Comme une drogue, comme une belle morale Anora vous prend par les tripes er j’adore !
Sexy et moderne il est pas cliché pour autant.
La dernière scène est juste fabuleuse et quelle morale !
Je ne m'attendais à rien , je n'avais pas vu de bande annonce, je ne connaissais que vaguement le sujet.. donc vierge de toute attente à l'avance (d'autant plus que les dernières palmes d'Or .. françaises de surcroit.. m"ont laissé de marbre et même agacées). Là, Quelle claque ! du cinéma vérité filmée au plus près des acteurs, comme l'a pu faire Cassavetes il y a 40ans.. on ne sait pas sur quel pied danser. Est ce de la comédie? cela va t il se terminer dramatiquement? va t on aller vers du Tarantino ou tout dégénère et se transforme en hyper violence sanglante? On est prit dans le tourbillon de l'action qui se déroule en temps réel et à 100 à l'heure. On ne devine jamais où l'histoire nous amène alors que c'est une narration extrêmement classique et simple mais tellement bien racontée, et surtout tellement bien jouée. La véracité des personnages et des dialogues rend le spectateur accro et cette jeune actrice qui interprète Anora est d'une telle justesse qu'elle emporte tout. On rit car il y a beaucoup de second degrés dans un univers très glauque, on s’inquiète de la suite de la tournure de la situation, qui peut déraper à tout moment, on pense à l'univers de James Gray avec cet univers des bas fonds new new-yorkais et celui des Russes, à celui Tarantino avec l'humour tout au long du film, puis à la toute fin, avec une scène, un plan, on est saisi d’émotion grâce à l'interprétation de Mikey Madison. Du bon et grand cinéma, rare dans le paysage cinématographique actuelle et surtout rare dans le paysage américain.
Je ne comprends pas les avis. Le film est bourré de stéréotypes, il n'y a pas d'histoire, c'est fade. On ne comprend pas la ligne conductrice, peut être parce qu'il n'y en a pas. Palme d'or cette daube ? Sérieusement...
Un Véritable Uppercut. Sean Baker livre une Masterclass Absolu du Septième Art a travers cette Comédie Dramatique Electrisante et Vibrante qui est un mixage parfait entre Pretty Woman et Uncut Gems dont on ressort totalement chamboulé après visionnage. Porté par une Réalisation Éblouissante et Vertigineuse qui nous embarque rapidement dans une Ambiance Glauque et Féerique qui ne laisse pas indifférent et qui est soutenu par une Bande Originale Mémorable de Matthew Hearon-Smith qui est en parfait harmonie avec l’atmosphère singulière du long métrage. Ensuite le Scénario est Surprenant et Audacieux de bout en bout tout en regorgeant de Rebondissements Scénaristiques absolument Culotté tout en parvenant a y aborder des Thématiques très actuelles comme le Rêve Américain,l’Indépendance,le Désir,le Féminisme,le Pouvoir,la Richesse et les Rêves qui y sont magnifiquement représenter a l'écran a travers son Rythme méticuleusement soutenu pendant 2h19. Ajouter a cela, des Séquences Impactantes et Puissantes qui nous met dans des états émotionnelles inimaginable en passant par un Humour Acerbe parsemé de Répliques Croustillantes ainsi qu'une Émotion d'une grande puissance Dramatique ainsi qu'une multitude de Séquences Sulfureuses et Brutales a réserver a un public avertie. Enfin le Casting est Royale sur tous les plans tout en reposant magnifiquement sur les épaules de la Fabuleuse Mikey Madison qui est totalement Phénoménale dans la peau de Anora une jeune Femme Séduisante,Impulsive et Rêveuse dont l'actrice nous livre une performance hors du commun a travers ce Personnage Féminin Authentique et Vulnérable, Face a elle l'acteur Mark Eydelshteyn livre une prestation plein de justesse a travers le rôle de Ivan Zakharov un jeune Héritier Fêtard,Charmant et Intriguant dont la relation passionnelle entre Anora et Ivan mérite largement d'entrer au Panthéon des plus Beaux Couples du Septième Art et en prime le reste de la Distribution qui est très consistants tout en apportant leurs pierre a l'édifice a cette Distribution hors pair. En Résumer, Anora est une Incroyable Expérience de Cinéma dont on ne ressort pas indemne et qui confirme la Virtuosité de son Cinéaste très Accomplie en la personne de Sean Baker qui livre une Comédie Dramatique-Romantique a la fois Sensuelle,Provocant,Féroce et Spontané qui a toute les cartes en main pour devenir un Futur Classique intemporel du Cinéma qui mérite amplement ces multiples récompense ainsi que l'engouement du Public et de la Critique.
Sans déconner?
Palme d'or à Cannes?
Super film pour une fin de soirée...ou de nuit...bien alcoolisé(e)s...entre ami(e)s...agé(e)s de 16 à...aller 30ans max...OK
Mais sinon...Pffffffffff....
Les 3 dernières minutes valent le coup...mais malheureusement ne rattrapent pas le reste
Palme d'or à Cannes?
Super film pour une fin de soirée...ou de nuit...bien alcoolisé(e)s...entre ami(e)s...agé(e)s de 16 à...aller 30ans max...OK
Mais sinon...Pffffffffff....
Les 3 dernières minutes valent le coup...mais malheureusement ne rattrapent pas le reste
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