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    Le Tableau volé
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    256 critiques spectateurs

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    lacroix p
    lacroix p

    19 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mai 2024
    Les dialogues font mouche et se n’est que dans la dernière partie du film qu’ils s’essoufflent un peu, ce qui est dommage puisque c’est à ce moment que la naïveté du scénario se manifeste (le commissaire priseur qui se laisse berner par un amateur d’art). Agréable moment cependant
    Loïck G.
    Loïck G.

    332 abonnés 1 666 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mai 2024
    Ça parle un peu du métier de commissaire-priseur à travers la spoliation d’un chef d’œuvre redécouvert des décennies plus tard dans le salon d’un modeste ouvrier de Mulhouse. Il est donc question d’enchères que Bonitzer fait monter très vite dans son scénario éclaté de l’étude parisienne aux amours conjuguées des uns et des autres. Via des personnages souvent inattendus comme cette stagiaire qui en remontre à son patron priseur, que son ex soutient comme elle peut. Elle est aussi sa collègue. Tous les personnages sont vrais, tellement profilés dans un esprit familial où chaque parent serait content de se retrouver. Avec des dialogues ad-hoc, parfois cinglants (ça tire à boulets rouges) des réparties du même tonneau. De celui dont on fait le bon vin. Et les bons films !
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    181 abonnés 1 076 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mai 2024
    Une excellente comédie dramatique vraiment drôle grâce à ses dialogues caustiques et savoureux et porté par un superbe casting.
    La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2024/05/le-tableau-vole-de-pascal-bonitzer.html
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    133 abonnés 2 415 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2024
    Ne pas se fier à l'affiche hideuse, le film dispose d'une belle histoire et l'interprétation est au diapason.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    99 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2024
    Inspiré de l’histoire vraie d’une toile d’Egon Schiele spoliée par les nazis et retrouvée dans un modeste appartement de la région mulhousienne dans les années 2000, Le tableau volé prend la forme d’une comédie sur le petit milieu des maisons de vente aux enchères d’œuvres d’art et de ses excès en tous genres. Globalement solide, jamais déplaisant, le film n’évite cependant pas la caricature – que peut donc bien manger un ouvrier y compris dans un restaurant chic parisien, mises à part des grosses frites bien grasses ? – et souffre d’un scénario qui évolue assez étrangement vers un « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ». S’il aurait gagné à faire des choix plus tranchés, ce long-métrage tout à fait honnête de Pascal Bonitzer nous fait néanmoins passer un bon moment.
    Fiers R.
    Fiers R.

    94 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2024
    Pascal Bonitzer est ce que l’on peut appeler un vieux de la veille dans le cinéma hexagonal même s’il a signé son premier film en tant que réalisateur à un âge avancé (le remarqué « Rien sur Robert » en 1998 avec Fabrice Luchini) il a arpenté les plateaux de cinéma sous d’autres chapeaux comme celui d’acteur ou de scénariste. Pas toujours convaincantes, ses œuvres ont néanmoins le mérite de la continuité dans l’analyse des rapports humains et l’écriture de ses personnages sont toujours très perspicaces et nobles. Avec « Le tableau volé », il signe d’ailleurs peut-être là son meilleur long-métrage dans une carrière pourtant bien riche. Simplement mais intelligemment et sûrement, il nous convie à une plongée dans le monde du commerce de l’art avec les salles d’enchères et les cabinets et agences spécialisées dans ce domaine. Sans rentrer dans le détail, il nous instruit avec ce microcosme singulier et élitiste, en nous montrant un bon aperçu de son fonctionnement et de ses magouilles. Mais, avant tout, il se sert de ce contexte pour croquer une mosaïque de personnages passionnants et merveilleusement écrits.

    Si la toile de fond est l’art, le fond du film est surtout une nouvelle dissection des rapports humains (homme-femme, parent-enfant, ...) et des dynamiques sociales (riches-pauvres, cadres-ouvriers, ...) dans une valse délicieuse qui nous happe durant une heure et demie montre en main. Un récit qui s’avère donc parfaitement ramassé mais aussi chorégraphié. « La tableau volé » se positionne également comme une œuvre pleine de sens et d’acuité sur la société. Par petites touches et sans jamais forcer le trait, il nous dessine une demi-douzaine de personnages terriblement vrais et humains aux contours bien dessinés et aux développements parfois joyeusement étonnants. Il leur met en bouche des dialogues succulents immergés au sein de situations tantôt truculentes et amusantes, tantôt cruelles et plus amères. Des protagonistes nuancés qui animent cette valse autour d’un tableau de maître retrouvé par hasard chez un monsieur-tout-le-monde issu des classes pauvres. Jamais médisant ou déplacé, son petit choc des classes est empli de justesse. C’est un véritable régal d’écriture!

    Pour que la réussite soit complète il fallait une distribution qui soit de la même trempe. Et avec le génial Alex Lutz en première ligne (dans un rôle hautain et nonchalant qui lui va comme un gant) et Léa Drucker (impériale et qu’on adore redécouvrir encore et encore depuis « Jusqu’à la garde ») il fait le choix d’un casting très à propos. Mais les seconds rôles ne sont pas en reste de la géniale Louis Chevillotte dans une prestation de mythomane rageuse qui dévoile ses atouts petit à petit est géniale tout comme Nora Hamzawi en avocate pleine de surprises et dont le naturel fait mouche. C’est le genre de film, un peu magique, dont on n’attendait pas forcément beaucoup mais qui marque des points au fur et à mesure qu’il se déflore. Alors oui, et c’est le seul petit défaut du film, la forme est quelque peu classique voire un peu terne et illustrative, mais le cinéaste se concentre sur son histoire et ses personnages et ce n’est pas dérangeant outre mesure. Toutes les petites choses qui ressortent des quiproquos, d’une phrase, d’un regard ou d’une réaction enrichissent « Le tableau volé » pour en faire un film précieux et vraiment passionnant. Un petit bijou de cinéma d’auteur, efficace et terriblement objectif en plus d’être fondu dans un cadre rare sur les écrans.

    Retrouvez ma critique complète sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    cortomanu
    cortomanu

    73 abonnés 414 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2024
    L'intrigue principale sur le milieu des ventes aux enchères et les intrigues secondaires autour des histoires de chaque protagonistes s'assemblent et fonctionnent bien. Ce qui rend le film très plaisant à découvrir, avec son lot de surprises qui se dévoilent petit à petit. Le casting en finesse fait le reste et permet de passer un bon moment devant ce tableau volé.
    Timoté L.
    Timoté L.

    53 abonnés 325 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juin 2024
    Franchement très bon film, histoire intéressante et prenante néanmoins rien d'une comédie ni d'un drame
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    49 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2024
    L’idée de départ, tirée d’une histoire vraie, est bonne, celle de retrouver un tableau [ spoiler: « Tournesols fanés », inspiré par ceux de Vincent Van Gogh (1853-1890)] du peintre autrichien Egon Schiele (1890-1918) dans une maison vendue en viager à une femme veuve, vivant avec son fils, à Mulhouse, tout proche de l’aéroport, et détenu auparavant par un Français (mort à 98 ans !) ayant collaboré, pendant la seconde guerre mondiale, les nazis l’ayant récompensé en lui cédant une peinture, d’art « dégénéré », spoliée en 1942 à un marchand d’art juif (Karl Grünwald, laissant des tableaux en Alsace, avant de fuir l’Autriche annexée en 1938)
    . Malheureusement, le scénario (alors que Pascal Bonitzer est loin d’être un débutant comme scénariste), au lieu d’être linéaire, est parasité par l’introduction de personnages digressifs, principalement Aurore, la stagiaire du commissaire-priseur André Masson (Alex LUTZ), mythomane, menteuse et aux relations compliquées avec son père (grande sobriété du chanteur Alain CHAMFORT, 74 ans) mais aussi l’ex-femme de Masson (Léa DRUCKER) spoiler: qui prend des bains et tombe amoureuse de la notaire de Mulhouse qui a découvert le tableau (quel intérêt ?)
    . Le milieu décrit est plein de gens arrogants, cupides, attachés au luxe (montres, belles voitures comme André Masson) et n’est pas vraiment passionnant, les personnages gravitant autour du commerce de l’art, souvent antipathiques et suscitant peu d’intérêt. Une narration linéaire simple, voire un moyen métrage, aurait suffi. On est loin de « La femme au tableau » (2015) de Simon Curtis, à la narration plus classique et émouvante.
    Pierre L.
    Pierre L.

    30 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mai 2024
    Un très bon film,servi par de bons acteurs, de bons dialogues et un bon scénario inspiré d’une histoire vraie. Excepté le rôle de la stagiaire( quel intérêt ?) tous les personnages sont dignes d intret.On ne s ennuie pas une seconde.un film a voir!
    BLS Moviedebrief
    BLS Moviedebrief

    16 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2024
    « Le monde des enchères»
    On a envie de fouiller son grenier pour voir si on aurait pas une toile à 10M€ qui traîne… Film bien servi par ses acteurs, notamment Alex Lutz. De nombreux sujets évoqués sur une réalisation un peu lisse
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    677 abonnés 2 983 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2024
    Le Tableau volé interroge la valeur de l’art en distinguant deux estimations concurrentes : celle que lui donne un amateur, dans le sens d’étranger aux Beaux-Arts, qui apprécie l’œuvre en elle-même sans connaître ni le peintre ni le mouvement pictural auxquels elle appartient, une valeur affective en somme, peut-être même esthétique ; celle que lui fixe le marche de l’art, valeur économique qui repose sur des « spécialistes » et des « experts », les uns pour situer son prix, les autres pour attester son authenticité et démasquer les faux. Le paradoxe tient alors à cette connaissance strictement théorique qui échappe aux sens et à la sincérité, à cet aveuglement symbolique qu’incarne en ouverture la femme âgée. La caractérisation des personnages reproduit sur le plan intime cette dualité, sans pour autant sacrifier leurs enjeux sensibles : Aurore est une mythomane égarée entre différentes relations et ne sachant à qui donner sa confiance, André peine à oublier sa vie conjugale avec Bertina et louvoie entre deux autres femmes inatteignables…
    Le film confond les genres, empruntant à l’enquête, à la comédie sociale et au mélodrame, fait ainsi la genèse d’une toile dont la malédiction – inhérente à son destin durant la Seconde Guerre mondiale car qualifiée de « dégénérée » – est entretenue par ceux qui souhaitent en profiter, procède par antithèse de deux milieux sociaux situés à l’exact opposé qui néanmoins se rencontrent et doivent s’entendre. Il ressemble, par bien des aspects, à la vente aux enchères où adviennent l’inattendu, l’inespéré, les coups de théâtre : la mise en scène, dépouillée mais précise, capte bien les protagonistes dans des environnements qui les définissent, de l’appartement aux fauteuils bigarrés et aux toiles géométriques d’André à la maison ouvrière de la famille Keller, sans oublier les locaux clinquants de la maison de vente Scotie’s.
    Voilà un long métrage aussi modeste que Martin, travailleur de nuit, dont il partage le point de vue extérieur face à un microcosme hypocrite et pourri par l’argent.
    AZZZO
    AZZZO

    299 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juin 2024
    De cette histoire vraie, simple mais fascinante, Pascal Bonitzer a su écrire une fable sociale où une galérie de personnages en rupture se retrouvent confrontés à un choix important qui peut transformer la suite de leur vie. Le principal intérêt du film est dans la confrontation de ces personnages aux intérêts divergents. Alex Lutz, Léa Drucker et Louise Chevillotte interprètent parfaitement leurs personnages fracassés.
    Un film très intéressant.
    Laurent A.
    Laurent A.

    36 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2024
    Les personnages sont un peu caricaturaux mais le milieu des marchands d'art est bien rendu et c'est plutôt rare au cinéma. L'intrigue est prenante pour ceux qui aiment ce milieu et s'intéressent à l'art, sinon on risque de s'ennuyer. Le film est réussi malgré quelques ressorts un peu convenus et déjà éprouvés au cinéma ou dans la littérature policière. Un bon moment de cinéma quand même.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    32 abonnés 2 252 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2024
    Ce n'est pas tant le petit monde de l'art que celui des commissaires-priseurs, pas forcément familier du public, qui forme le décor du film de Pascal Bonitzer, milieu généralement cossu que le réalisateur sait rendre intéressant en lui gardant un peu de son mystère, c'est-à-dire en évitant la démonstration ou l'explication de texte. Il en restitue néanmoins le mercantilisme sous une forme feutrée et sans éclat. L'aristocratie du commerce.
    Dans cette histoire simple, exemplaire, d'un tableau volé avant-guerre et réapparu chez de modestes provinciaux, les personnages dévoilent d'emblée des caractères et des rapports sociaux justes à travers des dialogues incisifs et bien écrits. Il flotte comme un léger parfum de polar -que n'est pas le film, pas plus qu'il n'est un film sur la spoliation- concernant l'authenticité du tableau ou bien sa vente aux enchères programmée.
    Précisément, l'enjeu du sujet de Bonitzer est la vente d'une oeuvre d'art. Et même lorsqu'il s'en détache pour donner quelques indices plus intimes ou du corps à ses personnages, le cinéaste ne perd pas le fil de son récit. Les interprètes sont très biens. Ils naviguent dans un microcosme où -c'est peut-être le message principal de Bonitzer- la passion de l'art semble absente.
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