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    Le Tableau volé
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    206 critiques spectateurs

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    dan47
    dan47

    45 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mai 2024
    entre une mythomane (et on sait pas pourquoi elle ment tout le temps), un prétentieux , une ex et un timide le scénario tourne autour d’eux pour pas grand chose à part une certaine société huppée autour des galeries d’art.
    remyll
    remyll

    159 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2024
    En 2015 j’avais beaucoup aimé «La femme au tableau » (Woman in gold) de Simon Curtis avec la pétillante Helen Mirren autour d’une oeuvre magistrale de Gustav Klimt.
    Ici avec « Le tableau volé », Pascal Bonitzer réalise avec un vrai charme, typiquement français, et une bonne dose d’humour également bien français, un film autour d’un tableau majeur du peintre Egon Schiele qui avait disparu durant la seconde guerre mondiale. C’est piquant, drôle avec plusieurs scènes savoureuses autour de l’univers bien particulier gravitant auprès des directeurs des grandes maisons de ventes-aux-enchères, de leurs informateurs et rabatteurs, des juristes et autres avocats impitoyables se mouvant en redoutables intermédiaires avides de commissions juteuses. Et au milieu de tout ça on trouve le lambda moyen, impliqué par accident ou par chance, souvent naïf et ignorant des pratiques du milieu, mais, au final : pas si bête. Un bon film.
    JEAN DOUCHET
    JEAN DOUCHET

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2024
    Porté par des acteurs formidables, voici un moment de pur bonheur cinématographique qui donne des ailes.
    Corinne76100
    Corinne76100

    33 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mai 2024
    Film qui se suit avec plaisir mais sans plus, des personnages caricaturaux, des situations faciles.... bref, un film du dimanche soir à la télé
    Le barbouze
    Le barbouze

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mai 2024
    Moyen. À partir d’un beau sujet, on a droit à un film lent et décousu, sans émotion, plutôt gnangnan.
    ffred
    ffred

    1 537 abonnés 3 972 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mai 2024
    Plus (Cherchez Hortense, Tout de suite maintenant) ou moins (Les envoûtés) aimés tous les films de Pascal Bonitzer jusqu’ici. Le beau casting de celui-ci était très alléchant. Très bavard comme d’habitude, j’ai trouvé le scénario (inspirée d’une histoire vraie) aussi charmant qu’acide et souvent cruel. Et puis le milieu des ventes aux enchères et des commissaires priseurs est assez rarement traité au cinéma. Une vision de l’art et de sa marchandisation très réussie à mon goût. Même en y connaissant rien, on ne s’ennuie pas une seule minute. L’ensemble est rythmé, sans temps morts, sans longueurs. Les dialogues sont savoureux et font mouche en permanence. L’ensemble du casting est aussi solide que convaincant. Chacun sert avec brio un personnage parfaitement écrit. Léa Drucker en tête, même si elle joue là plus un second rôle. Bref, le tout est d’une efficacité redoutable. A soixante-dix huit ans, Pascal Bonitzer en a encore sous le pied. Une excellente surprise pour un très bon moment. Assez jubilatoire donc.
    Nicolas Stavroguine
    Nicolas Stavroguine

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2024
    Un film superbement écrit et interprété. Ce petit monde de l'art est filmé avec précision. Alex Lutz, Léa Drucker et Louise Chevillotte jouent une partition drôle et sombre à la fois dans ce qui ressemble au meilleur film de Bonitzer.
    Matt Go
    Matt Go

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 avril 2024
    Une histoire bien ficelée avec des acteurs formidables. On passe un très bon moment avec ce film tout en finesse grâce à des personnages que Pascal Bonitzer sait rendre attachants.
    Cannes
    Cannes

    7 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 mai 2024
    Film classique dans sa réalisation, servi par des acteurs épatants et instructif sur le mode de l’art et ses enchères. Les dialogues sont la force et la réussite de ce film.
    Bravo, du très bon cinéma, un coup de cœur 2024.
    Pierre Phdb
    Pierre Phdb

    11 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 mai 2024
    Spoliation...?

    La spoliation par les nazis des biens détenus par des personnes de confession juive durant la dernière guerre mondiale. Le synopsis du film semble évoquer que cela pourrait être un des éléments du film. La spoliation elle même est évoquée et traitée en cinq minutes pas le thème. La confrontation des héritiers avec la réapparition d'un bien disparu, la résurgence avec le passé les séquelles familiaux, pourquoi pas des conflits entre les héritiers... Encore cinq minutes pas le thème non plus. La problématique du possesseur de l'œuvre qui la détient en toute bonne foi et doit la rendre sans compensation..? Dix minutes pas vraiment traité non plus.

    Alors le sujet... Le monde des commissaires priseurs au travers une jeune stagiaire et un commissaire sénior. Là doit être le sujet principal mais c'est si mal traité et mal joué peu d'intérêt.

    Spoliation assurée pour le spectateur d'un bon film.
    Yves G.
    Yves G.

    1 329 abonnés 3 326 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2024
    André Masson (Alex Lutz) est un brillant commissaire-priseur employé par une des plus prestigieuses sociétés de vente aux enchères, Scottie’s – allusion transparente à Christie’s. Une avocate de province (Nora Hamzawi) le contacte. Le nouveau propriétaire d’un modeste pavillon de la banlieue de Mulhouse y a découvert une toile. S’agit-il d’un faux ou de "Tournesols fanés" de Schiele peint en 1914 et spolié en 1939 ? André Masson et son ex-femme (Léa Drucker) font le déplacement en Alsace pour en avoir le cœur net.

    Venu sur le tard à la réalisation, Pascal Bonitzer approche bon pied bon oeil les quatre-vingts printemps mais continue à tourner des films dont Floc’h signe les affiches élégantes et épurées ("Petites Coupures", "Le Grand Alibi", "Cherchez Hortense", "Tout de suite maintenant"). Cette affiche en évoque d’autres, également dessinées par Floc’h, et d’autres univers cinématographiques proches de celui de Bonitzer : Alain Resnais, Woody Allen, Bruno Podalydès… Ces réalisateurs ont en partage une même élégance, une même ironie douce. L’action de leurs films se déroule souvent dans des intérieurs cossus. La grande bourgeoisie y est tout à la fois exaltée et mise en boîte.

    C’est le cas de ce "Tableau volé" qui est tiré d’un fait réel. "Tournesols fanés", inspiré à Schiele par la célèbre toile de Van Gogh, a été peint au début de la Première Guerre mondiale. Un marchand d’art, autrichien et juif, en a été dépossédé sur le chemin de l’exil, à Strasbourg en 1939 avant de réussir à gagner les Etats-Unis. La toile est réapparue soixante ans plus tard et a été adjugée par Christies pour 17.2 millions d’euros en 2006.

    "Le Tableau volé" est un film étonnant : il se tient globalement mais chacun de ses éléments, pris isolément, boite. Ainsi du personnage d’Aurore, la stagiaire d’André Masson, interprété par Louise Chevillotte ("À mon seul désir", "Le Sel des larmes", "Synonymes"…) au sombre passé familial : la relation avec son patron n’est pas crédible. L’est un peu plus le couple (dés)uni que forment Alex Lutz et Léa Drucker : on se laisse aller à espérer que deux personnes, qui ont partagé leur vie mais ont décidé de se quitter, puissent ainsi garder, dix ans après leur séparation, une complicité aussi indestructible.

    "Le Tableau volé" est construit autour d’un suspense qui est désamorcé sitôt son exposition : le propriétaire du tableau acceptera-t-il de le restituer aux héritiers du marchand d’art spolié en 1939 ? C’est bien dommage. Car la tension qui devait faire tenir le film debout s’affaisse. Un émollient badinage s’ensuit. Rien de désagréable ni d’ennuyeux. On ne regarde pas une seule fois sa montre. On sort de la salle en se disant qu’on a passé un bon moment…. et qu’on a aussi perdu un peu son temps.
    tixou0
    tixou0

    646 abonnés 1 976 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2024
    Dans la catégorie « films délicieux », voyez le dernier long métrage en date de Pascal Bonitzer, qui s'était déjà brillamment illustré de la sorte avec son « Cherchez Berthe » (2012)  - même affichiste, semble-t-il, dans les deux cas !
    Notais en son temps pour « Berthe » : « Histoire (et dialogues) bien écrits, mise en scène et interprétation en rapport, pour une comédie enlevée ». Appréciation à l'identique pour « Le Tableau », PB et son habituelle coscénariste, Agnès de Sacy, passant avec bonheur des sphères du pouvoir au monde de l'art (qui est d'ailleurs aussi affaire de pouvoir – et d'argent). Alex Lutz campe avec conviction un « auctioneer » de la célèbre maison britannique « Christie's » (pardon, « Scottie's »), spécialiste des ventes de tableaux de la période moderne, passant avec aisance de Bonnard à Seurat – quand son quotidien, déjà synonyme de très belles enchères, se trouve bouleversé par une découverte exceptionnelle, celle, grâce à une consoeur de province, d'un Schiele disparu depuis 1939... PB fait de cette affaire, inspirée par des faits réels, un conte moral, grâce à des personnages remarquables, dont notamment un propriétaire de chef d'oeuvre improbable, figure de Candide mulhousien (Arcadi Radeff, alias « Martin »), ou une stagiaire étonnante (Louise Chevillotte, alias « Aurore ») - mais aussi une « ex » de bon conseil (Léa Drucker, alias « Bertina »), et même un père (?) de stagiaire, rôle où l'on a du mal à reconnaître le chanteur Alain Chamfort... Un très agréable moment, de bon cinéma français !
    B_dureault
    B_dureault

    2 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2024
    Le sujet des spoliations est mis en valeur par les histoires annexes de personnages très touchants de part leur humanité. À voir !
    Henner
    Henner

    44 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 mai 2024
    Une bonne idée qui hélas se fond dans des histoires parallèles sans aucun intérêt. Le film se laisse voir car l’histoire du tableau est amusante mais le scénariste qui ne parvient pas à developper l’histoire la charge de « gras » superflu sans doute pour tenir la durée imposée
    Donc on perd un peu le fil et on s’égare dans ces meandres dont certains sont franchement grotesques ( l amante de l ex femme du commissaire priseur) Dommage car en plus tonique on tenait un bon film …Beaucoup de spectateurs iront sans doute vérifier s ils n’ont pas un tableau mirobolant au grenier ou à la cave.
    21 Studio
    21 Studio

    20 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mai 2024
    Film vu en avant-première en présence du réalisateur, Pascal Bonitzer ;
    Pascal Bonitzer, célèbre critique puis réalisateur, nous projette ici l'étude d'un milieu, trop peu souvent étudié, des commissaires-priseurs, mais également celui de l'art plus généralement. Ce monde nous est décortiqué par l'intermédiaire d'une histoire vraie, une spoliation d'œuvre d'Egon Schiele par les Nazis, retrouvé à Mulhouse des années plus tard. Tirée d'un fait divers, Bonitzer jongle parfaitement entre le suivi réaliste de l'histoire, donnant du fond et le coté fictionnelle pour donner de la forme, mais aussi dénoncer ce milieu empli de mensonge. L’ambiance est constamment palpable et stressante sur l’acquisition de ce tableau jusqu’à en devenir étouffante parfois. Le malheur des personnes ressort de toutes les façons, les travers de ce milieu angoissant. Alex Lutz est remarquable tout comme Arcadi Radeff, qui avec son personnage, est le point d'orgue de cette œuvre, clairement le rôle et l'interprétation la plus notoire de ce métrage. Cependant, le film est assez lent, ne montrant pas toujours l’essentiel et l’on a parfois du mal à bien rentrer dans le film
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