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    Le Tableau volé
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    3,6
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    261 critiques spectateurs

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    SYLVIE B.
    SYLVIE B.

    28 abonnés 202 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mai 2024
    tout est survolé rien n'est fouillé. c'est long c'est sans intérêt. la stagiaire menteuse professionnelle on ne sait pas pourquoi, le commissaire-priseur le commissaire-priseurhautain et alcoolique on ne sait pas pourquoi, ils sont toujours potes avec sa femme on ne sait pas pourquoi, bref rien n'est clait
    JEAN DOUCHET
    JEAN DOUCHET

    5 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2024
    Porté par des acteurs formidables, voici un moment de pur bonheur cinématographique qui donne des ailes.
    dan47
    dan47

    58 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mai 2024
    entre une mythomane (et on sait pas pourquoi elle ment tout le temps), un prétentieux , une ex et un timide le scénario tourne autour d’eux pour pas grand chose à part une certaine société huppée autour des galeries d’art.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    382 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2024
    Ce film raconte l’histoire d’un tableau d’une valeur inestimable qui va bouleverser le destin de son découvreur et de ce commissaire-priseur. A travers ce film, on découvre les arcanes du monde des affaires dans le domaine des arts. Ce film bien réalisé et scénarisé se laisse découvrir avec plaisir mais sans plus.

    Bernard CORIC
    tixou0
    tixou0

    709 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2024
    Dans la catégorie « films délicieux », voyez le dernier long métrage en date de Pascal Bonitzer, qui s'était déjà brillamment illustré de la sorte avec son « Cherchez Berthe » (2012)  - même affichiste, semble-t-il, dans les deux cas !
    Notais en son temps pour « Berthe » : « Histoire (et dialogues) bien écrits, mise en scène et interprétation en rapport, pour une comédie enlevée ». Appréciation à l'identique pour « Le Tableau », PB et son habituelle coscénariste, Agnès de Sacy, passant avec bonheur des sphères du pouvoir au monde de l'art (qui est d'ailleurs aussi affaire de pouvoir – et d'argent). Alex Lutz campe avec conviction un « auctioneer » de la célèbre maison britannique « Christie's » (pardon, « Scottie's »), spécialiste des ventes de tableaux de la période moderne, passant avec aisance de Bonnard à Seurat – quand son quotidien, déjà synonyme de très belles enchères, se trouve bouleversé par une découverte exceptionnelle, celle, grâce à une consoeur de province, d'un Schiele disparu depuis 1939... PB fait de cette affaire, inspirée par des faits réels, un conte moral, grâce à des personnages remarquables, dont notamment un propriétaire de chef d'oeuvre improbable, figure de Candide mulhousien (Arcadi Radeff, alias « Martin »), ou une stagiaire étonnante (Louise Chevillotte, alias « Aurore ») - mais aussi une « ex » de bon conseil (Léa Drucker, alias « Bertina »), et même un père (?) de stagiaire, rôle où l'on a du mal à reconnaître le chanteur Alain Chamfort... Un très agréable moment, de bon cinéma français !
    ffred
    ffred

    1 729 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mai 2024
    Plus (Cherchez Hortense, Tout de suite maintenant) ou moins (Les envoûtés) aimés tous les films de Pascal Bonitzer jusqu’ici. Le beau casting de celui-ci était très alléchant. Très bavard comme d’habitude, j’ai trouvé le scénario (inspirée d’une histoire vraie) aussi charmant qu’acide et souvent cruel. Et puis le milieu des ventes aux enchères et des commissaires priseurs est assez rarement traité au cinéma. Une vision de l’art et de sa marchandisation très réussie à mon goût. Même en y connaissant rien, on ne s’ennuie pas une seule minute. L’ensemble est rythmé, sans temps morts, sans longueurs. Les dialogues sont savoureux et font mouche en permanence. L’ensemble du casting est aussi solide que convaincant. Chacun sert avec brio un personnage parfaitement écrit. Léa Drucker en tête, même si elle joue là plus un second rôle. Bref, le tout est d’une efficacité redoutable. A soixante-dix huit ans, Pascal Bonitzer en a encore sous le pied. Une excellente surprise pour un très bon moment. Assez jubilatoire donc.
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2024
    André Masson (Alex Lutz) est un brillant commissaire-priseur employé par une des plus prestigieuses sociétés de vente aux enchères, Scottie’s – allusion transparente à Christie’s. Une avocate de province (Nora Hamzawi) le contacte. Le nouveau propriétaire d’un modeste pavillon de la banlieue de Mulhouse y a découvert une toile. S’agit-il d’un faux ou de "Tournesols fanés" de Schiele peint en 1914 et spolié en 1939 ? André Masson et son ex-femme (Léa Drucker) font le déplacement en Alsace pour en avoir le cœur net.

    Venu sur le tard à la réalisation, Pascal Bonitzer approche bon pied bon oeil les quatre-vingts printemps mais continue à tourner des films dont Floc’h signe les affiches élégantes et épurées ("Petites Coupures", "Le Grand Alibi", "Cherchez Hortense", "Tout de suite maintenant"). Cette affiche en évoque d’autres, également dessinées par Floc’h, et d’autres univers cinématographiques proches de celui de Bonitzer : Alain Resnais, Woody Allen, Bruno Podalydès… Ces réalisateurs ont en partage une même élégance, une même ironie douce. L’action de leurs films se déroule souvent dans des intérieurs cossus. La grande bourgeoisie y est tout à la fois exaltée et mise en boîte.

    C’est le cas de ce "Tableau volé" qui est tiré d’un fait réel. "Tournesols fanés", inspiré à Schiele par la célèbre toile de Van Gogh, a été peint au début de la Première Guerre mondiale. Un marchand d’art, autrichien et juif, en a été dépossédé sur le chemin de l’exil, à Strasbourg en 1939 avant de réussir à gagner les Etats-Unis. La toile est réapparue soixante ans plus tard et a été adjugée par Christies pour 17.2 millions d’euros en 2006.

    "Le Tableau volé" est un film étonnant : il se tient globalement mais chacun de ses éléments, pris isolément, boite. Ainsi du personnage d’Aurore, la stagiaire d’André Masson, interprété par Louise Chevillotte ("À mon seul désir", "Le Sel des larmes", "Synonymes"…) au sombre passé familial : la relation avec son patron n’est pas crédible. L’est un peu plus le couple (dés)uni que forment Alex Lutz et Léa Drucker : on se laisse aller à espérer que deux personnes, qui ont partagé leur vie mais ont décidé de se quitter, puissent ainsi garder, dix ans après leur séparation, une complicité aussi indestructible.

    "Le Tableau volé" est construit autour d’un suspense qui est désamorcé sitôt son exposition : le propriétaire du tableau acceptera-t-il de le restituer aux héritiers du marchand d’art spolié en 1939 ? C’est bien dommage. Car la tension qui devait faire tenir le film debout s’affaisse. Un émollient badinage s’ensuit. Rien de désagréable ni d’ennuyeux. On ne regarde pas une seule fois sa montre. On sort de la salle en se disant qu’on a passé un bon moment…. et qu’on a aussi perdu un peu son temps.
    Cannes
    Cannes

    8 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 mai 2024
    Film classique dans sa réalisation, servi par des acteurs épatants et instructif sur le mode de l’art et ses enchères. Les dialogues sont la force et la réussite de ce film.
    Bravo, du très bon cinéma, un coup de cœur 2024.
    Matt Go
    Matt Go

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 avril 2024
    Une histoire bien ficelée avec des acteurs formidables. On passe un très bon moment avec ce film tout en finesse grâce à des personnages que Pascal Bonitzer sait rendre attachants.
    Nicolas Stavroguine
    Nicolas Stavroguine

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2024
    Un film superbement écrit et interprété. Ce petit monde de l'art est filmé avec précision. Alex Lutz, Léa Drucker et Louise Chevillotte jouent une partition drôle et sombre à la fois dans ce qui ressemble au meilleur film de Bonitzer.
    Le barbouze
    Le barbouze

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mai 2024
    Moyen. À partir d’un beau sujet, on a droit à un film lent et décousu, sans émotion, plutôt gnangnan.
    Pierre Phdb
    Pierre Phdb

    14 abonnés 219 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 mai 2024
    Spoliation...?

    La spoliation par les nazis des biens détenus par des personnes de confession juive durant la dernière guerre mondiale. Le synopsis du film semble évoquer que cela pourrait être un des éléments du film. La spoliation elle même est évoquée et traitée en cinq minutes pas le thème. La confrontation des héritiers avec la réapparition d'un bien disparu, la résurgence avec le passé les séquelles familiaux, pourquoi pas des conflits entre les héritiers... Encore cinq minutes pas le thème non plus. La problématique du possesseur de l'œuvre qui la détient en toute bonne foi et doit la rendre sans compensation..? Dix minutes pas vraiment traité non plus.

    Alors le sujet... Le monde des commissaires priseurs au travers une jeune stagiaire et un commissaire sénior. Là doit être le sujet principal mais c'est si mal traité et mal joué peu d'intérêt.

    Spoliation assurée pour le spectateur d'un bon film.
    B_dureault
    B_dureault

    3 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2024
    Le sujet des spoliations est mis en valeur par les histoires annexes de personnages très touchants de part leur humanité. À voir !
    Michèle S F
    Michèle S F

    12 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2024
    Léa Drucker et Alex Lutz sont merveilleux. Ils peuvent tout incarner. C’est sûrement ça le talent.
    Nora Hamzawi est tout en retenue et ça lui va bien, mais la découverte c’est Louise Chevillotte. À suivre de près.
    Ce film est un conte de fée moderne.
    Chaque personnage est soigné, bref j’ai beaucoup aimé.
    octopus_fr2002
    octopus_fr2002

    79 abonnés 159 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2024
    Gentillet, gnangnan. Manque de rythme et de vraisemblance mais plutôt bien joué. Le cinéma français me fait un peu penser aux figures imposées du patinage artistique: un double axel , un couple homosexuel, deux boucles piquées, une représentante de la diversité… C’est lassant. Ici nous échappons aux scènes de lit, et aux expositions de nudités. Ouf! C’est rafraîchissant.
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