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Alexandre Cacheux
56 abonnés
534 critiques
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1,0
Publiée le 13 mai 2024
Un fait divers intéressant massacré par un scénario faiblard et touffu. Le réalisateur disperse notre intérêt sur une kyrielle de faits secondaires, et hésite entre la description ultra caricaturale du milieu des maisons de ventes aux enchéres, et son sujet supposé principal. Jeu constipé du casting, qui regrette de n'avoir pas lu le scénario avant de signer.
Une comédie agréable, conduite par un scénario bien ficelé, de bons acteurs dans leurs rôles et leurs dialogues, qui déroule l’intrigue tout en préservant le suspense et avec des tâches d’un l’humour fin. Le scénario abouti on dévoile un excellent équilibre dans les différentes scènes pour la liberté narrative de cette histoire vraie. Les personnages finissent par être touchants dans leur respect d’une certaine humanité. J’ai passé un délicieux moment.
Un bon scénario, de bons acteurs. Spoliation d'un tableau caché des années, révélation lors d'un viager. Deux milieux l'un ouvrier et simple, honnête, l'autre de requins avides d'argent. La mayonnaise prendra et révélera la sensibilité de chacun ou pas ! Les nombreux tours de passe-passe de cette histoire humaine fait du bien.
Le film est si décevant. Les dialogues sont tartes même si les acteurs ne sont pas mauvais. La mise en scène tristement fade. Le montage lourd : on ouvre et on ferme une porte à chaque séquence. Ça masque peut-être le fond du film qui est assez vide. Si peu à dire sur le monde. A part une petite morale de fin digne d’une dissertation de 3 eme.
sans plus, des personnages caricaturaux, des situations faciles.... bref, un film du dimanche soir à la télé, un téléfilm. On sort de la salle en se disant qu’on a passé un moment OK…. et qu’on a aussi perdu un peu son temps.
Bon jeu d’acteur d’Alex Lutz et Lea Drucker. Je m’attendais à un film dont l’intrigue reposerait sur “Le Tableau Volé”, c’est en réalité une caricature sociale dans laquelle est opposé vulgairement prolétariat et élite culturelle. Martin, est si vertueux qu’il en devient niais, Aurore est sans intérêt voire irritante Il y a trop d’intrigues inintéressantes et trop peu de focus sur LE TABLEAU et sa vente qui mériteraient bien plus de développements. Les coulisses du marché de l’art ne sont qu’abordées en surface. Trop tôt dans le film, le doute est levé sur l’authenticité du tableau et ce qu’il en adviendra.
Alors qu'il travaille comme commissaire-priseur dans une salle de ventes parisienne où il est mis sous pression, André est interpellé par une avocate à Mulhouse. Un tableau extrêmement précieux et perdu depuis des décennies aurait été retrouvé chez un particulier. André fait appel à son ex-femme avec qui il a gardé des liens professionnels forts pour l'aider dans son expertise de l'oeuvre. En salle le 1e mai.
spoiler: "Le tableau volé" a quelques bons points à faire valoir. Les acteurs sont crédibles et on prend Plaisir à découvrir le binôme Lutz-Drucker qui crève l'écran. Malheureusement, j'ai trouvé l'intrigue plutôt confuse, probablement à cause de coupes brutales lors du montage. Certains personnages ont des révélations ou des comportements qui m'ont parus rapides, quand ce n'est pas tout bonnement inexpliqué. De plus, les scènes humoristiques sont basées sur le décalage paris - province, ce qui est un peu lourd à la longue. On remarquera une apologie de l'art dans sa forme la plus capitalistique et snob, où seule la valeur marchande compte.
Très bien joué, très bien réalisé, donne en plus envie de courir au MAM ou un peu plus loin à Bâle si riche en musées ou à Cologne au Ludwig pour voir de l’expressionnisme allemand ! Et pour cela, pas besoin heureusement d’avoir trouvé un Rembrandt dans son grenier… Quelles belles surprises aussi que les rôles de Martin (ce jeune homme ira loin) et du père d’Aurore (j’ai découvert au générique de fin qui se cachait derrière lui ; il est déjà, lui, allé très loin mais c’était un plaisir de le retrouver ici !).
Fil conducteur du scénario, la découverte fortuite (une maison vendue en viager avec son contenu) d’un tableau oublié, précédemment spolié dans les heures les plus sombres de l’Histoire. Le jeune propriétaire, ouvrier d’usine de son état, très éloigné du monde de l’art entend d’abord ne pas vouloir tirer bénéfice de ce tableau. Puisqu’il est volé, le rendre aux héritiers puisqu’il y en a (9 exactement). Pour qu’il ne soit pas lésé à son tour, le (déjà) riche héritier parmi les descendants de l’auteur de l’œuvre décide de lui faire bénéficier d’une part (c'est dans la bande-annonce, je n'occulte donc pas ça). On va donc suivre les péripéties et interrogations pour cette mise en vente, presque façon trhiller. Autour de ce thème central dans un milieu d’affaires très spécifique, vont graviter ou s’insérer des sujets accessoires à partir des personnages mis en scène. Pour se convaincre qu’il s’agit d’un très bon film, il suffit de constater que le complexe cinématographique a choisi sa grande salle pour la programmation, qu’il y a du monde, et qu’à la sortie des spectateurs qui ne se connaissent pas engagent spontanément la conversation en soulignant leur satisfaction d’avoir passé un très bon moment. Une très grande maîtrise du réalisateur scénariste. Ce que le cinéphile savait déjà.
Le tableau volé. Un scénario quelque peu alambiqué, le monde des comissaires priseurs bien retranscrit, y'a que la commission qui compte. Trois étoiles et demie.
un scénario ciselé et étonnant dans le domaine de l'art que nous connaissons mal.. chaque personne, névrosée, garde sa part de mystère même si les relations entre les protagonistes sont fortes . Tous les univers sont évoqués, du requin à la tête des galeries d'art, des commissaires-priseurs, des experts ou des spécialistes ainsi qu'une famille ouvrière qui est très éloignée évidemment de ce monde là. Cela donne un film passionnant, émaillé d'humour avec de belles punch-lines, Alex Lutz et Léa Drucker sont magistraux.
Une comédie très sympathique inspirée d'une histoire vrai, assez incroyable. Pascal Bonitzer peut ainsi nous tenir en haleine à la façon d'un thriller bien agréable à suivre, tant par le sujet, que par un casting de belle facture, pour que ce qui est du couple divorcé mais très complice dans ce métier d'expertise et de montage de ventes aux enchères : Bertina ( Léa Drucker ) et André ( Alex Lutz ). Deux jeunes femmes apportent une fraîcheur et un rythme soutenu offrant même du suspense et un intérêt constant : Maitre Egerman ( Nora Hamzawi ) et Aurore ( Louise Chevillotte ). J'adore le jeu pétillant de ces deux dernières, dans des rôles impeccables, et l'interprétation des deux premiers, confortablement installés dans leur expertise et leur rigueur. Même si on ne voit pas grand chose de l'Alsace, elle est bien là, au centre de l'intrigue initiale. Pour le jeu très subtil des acteurs, leur humour dégagé par les dialogues, et les attitudes, je vous le recommande chaudement cette comédie rafraichissante.....!!**
J’ai passé un excellent moment lors de la projection du Tableau Volé. Le sujet est passionnant, les acteurs sont super, les dialogues sont très bien écrits. La fin est très belle, Par contre, certains mystères, notamment autour du personnage de la stagiaire, ne sont pas élucidés à la fin, ce qui laisse un sentiment assez étrange. C’est qui cette fille??? Pourquoi ment-elle tout le temps? Pourquoi le réalisateur construit-il toute une part du récit autour d’elle sans aller jusqu’au bout de son idée? J’ai comme l’impression qu’il manque un bout de film.