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    Le Tableau volé
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    256 critiques spectateurs

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    Maximiliano Pina Fernández
    Maximiliano Pina Fernández

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 octobre 2024
    Le film était ennuyeux, je ne comprenais pas où ils voulaient en venir, c'était un film lent mais ce que j'ai aimé, c'est que les personnages étaient bons. L'histoire commence avec deux personnes qui les appellent et trouvent un tableau qu'elles pensaient être perdu, et c'est ainsi que l'histoire progresse.
    Koikidimos
    Koikidimos

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2024
    J'ai beaucoup aimé ce film. J'ai aimé les personnages, les dialogues, la qualité des relations humaines, le tout sur une intrigue plaisante. Il y a qq imperfections, mais je me suis laissé porté par l'ensemble.
    CHOCOLATINIEXPRESS
    CHOCOLATINIEXPRESS

    3 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 octobre 2024
    C’est un film d’une extrême finesse et intelligence au scénario bien construit et des dialogues ciselés. Les dernières séquences font monter les larmes aux yeux. Tous les personnages ont une réelle profondeur. C’est un film qui a une réelle portée politique et sociologique qui nous apprend énormément de choses sur l’Histoire de l’art et le marché de l’art. Tiré d’une histoire vraie, il nous raconte les luttes d’influence et les enjeux de pouvoir et financiers qui se jouent au travers de la découverte et de la mise aux enchères d’un tableau d’un peintre juif qui a échappé à la barbarie nazie qui qualifiait les peintres juifs de dégénérés. André Masson, interprété par Axel Lutz avec passion et complexité, va se charger de la vente de cette œuvre retrouvée chez une famille ouvrière. La rencontre avec le riche héritier juif et le jeune ouvrier qui garde sa dignité et son honnêteté dans une situation où il aurait pu perdre sa dignité et ses valeurs est absolument bouleversante. Un des meilleurs films de l’année.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    677 abonnés 2 983 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2024
    Le Tableau volé interroge la valeur de l’art en distinguant deux estimations concurrentes : celle que lui donne un amateur, dans le sens d’étranger aux Beaux-Arts, qui apprécie l’œuvre en elle-même sans connaître ni le peintre ni le mouvement pictural auxquels elle appartient, une valeur affective en somme, peut-être même esthétique ; celle que lui fixe le marche de l’art, valeur économique qui repose sur des « spécialistes » et des « experts », les uns pour situer son prix, les autres pour attester son authenticité et démasquer les faux. Le paradoxe tient alors à cette connaissance strictement théorique qui échappe aux sens et à la sincérité, à cet aveuglement symbolique qu’incarne en ouverture la femme âgée. La caractérisation des personnages reproduit sur le plan intime cette dualité, sans pour autant sacrifier leurs enjeux sensibles : Aurore est une mythomane égarée entre différentes relations et ne sachant à qui donner sa confiance, André peine à oublier sa vie conjugale avec Bertina et louvoie entre deux autres femmes inatteignables…
    Le film confond les genres, empruntant à l’enquête, à la comédie sociale et au mélodrame, fait ainsi la genèse d’une toile dont la malédiction – inhérente à son destin durant la Seconde Guerre mondiale car qualifiée de « dégénérée » – est entretenue par ceux qui souhaitent en profiter, procède par antithèse de deux milieux sociaux situés à l’exact opposé qui néanmoins se rencontrent et doivent s’entendre. Il ressemble, par bien des aspects, à la vente aux enchères où adviennent l’inattendu, l’inespéré, les coups de théâtre : la mise en scène, dépouillée mais précise, capte bien les protagonistes dans des environnements qui les définissent, de l’appartement aux fauteuils bigarrés et aux toiles géométriques d’André à la maison ouvrière de la famille Keller, sans oublier les locaux clinquants de la maison de vente Scotie’s.
    Voilà un long métrage aussi modeste que Martin, travailleur de nuit, dont il partage le point de vue extérieur face à un microcosme hypocrite et pourri par l’argent.
    Redzing
    Redzing

    1 098 abonnés 4 445 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2024
    Un tableau de maître, spolié par les Nazis pendant la Guerre, est découvert fortuitement dans la maison d'un ouvrier de Mulhouse. Un petit monde va s'affairer autour de la juteuse vente...
    Le film s'inspire vaguement d'un vrai fait divers. Mais il se meuble avec beaucoup de sous-intrigues pas franchement intéressantes, son principal défaut. Quelques-unes ont bien du potentiel, mais ne sont pratiquement pas développées.
    "Le Tableau volé" affiche en prime une galerie de personnages antipathiques. Un commissaire priseur assez infect. Sa stagiaire mythomane. Un ouvrier mutique. Et j'en passe.
    Néanmoins, étonnamment l'ensemble se laisse suivre sans mal. Grâce à de petites touches d'humour inattendues ça et là. Le mélange de classes sociales extrêmes. Et surtout, une peinture du milieu perché de la vente d'Art, qui apparait comme assez détestable ! Les acteurs sont également assez bons, dont Alex Lutz en commissaire priseur qui semble-t-il aime à être haï...
    arnaudg
    arnaudg

    85 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2024
    Un bon film français agréable à regarder et très bien distribué, qui nous fait en plus découvrir une histoire intéressante dans des lieux peu communs au cinéma. Quelques scènes et passages sont toutefois un peu ridicules et mal jouées.
    Aranza Salgado
    Aranza Salgado

    1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 octobre 2024
    « Le Tableau Volé » raconté l’histoire de André Masson, commissaire-priseur dans la maison de ventes Scottie’s qui a découvert une toile chez un jeune homme. André essaie de vendre ce tableau, parce qu’il est authentique et a une valeur incroyable. Néanmoins, il se trouve avec des complications, car l’avocat de l’acheteur intéressé, a joué des tours pour obtenir plus d’argent. En outre, ce film raconte l’histoire d' autres personnages importants comme Aurore, la stagiaire de André qui est une personne très mystérieuse mais qui sera très importante dans le développement du film; et de Bertina, sa ex-épouse et collègue, qui aidera beaucoup a Masson pour résoudre la problématique principale.

    Pascal Bonitzer est le réalisateur de ce film, et il est sorti en mai 1, 2024 en France. Alex Lutz donne vie à André Masson, Lutz est un acteur français et il a 46 ans. Dans l’autre main, nous avons Louise Chevillotte qui interprète à la têtu Aurore, elle a 29 ans et est une actrice français aussi.

    Sincèrement, j’ai détesté ce film, c’est un film ennuyeux, manquant d’humour et me laisse indifférente. C'est-à- dire, malgré qu' il y avait un bon jeu des acteurs, le film n’avait ni tête ni queue, tout le scénario était super confus, une vraiment navet à mon avis.
    Finalmente, je veux dire qui c’est une histoire nul, avec beaucoup de scènes inutiles.
    Guillaume Chouin
    Guillaume Chouin

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2024
    Très beau film . Bon scénario, musique sympa , bon jeu d’acteur. On passe un bon moment . Je recommande
    Alex Motamots
    Alex Motamots

    6 abonnés 315 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    Un film sympathique au final, que j'ai trouvé un peu pénible au début à cause de la stagiaire mythomane.
    J'ai eu du mal au début avec le personnage principal que j'ai trouvé très froid tout au long du film.
    Le gimmick du bain n'est pas trop surexploité.
    J'ai adoré ce jeune ouvrier qui ne souhaite pas sortir de sa classe sociale, sa simplicité, sa timidité.
    Un film à voir une fois pour ce qu'il dit du monde des enchères d'art.
    Climax
    Climax

    5 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 septembre 2024
    Un film sur un tableau spolié par les nazis et qu'on retrouve chez un particulier à Mulhouse. De bout en bout, tout sonne faux, la relation entre l'héroïne et Alex Lutz, l'histoire entre l'héroïne et ses 2 pères ainsi que les séquences entre les 3 copains à Mulhouse sont à la fois inutiles, longues et maladroites. Il y a un gros problème dans l'enchaînement sans surprise des séquences et dans les dialogues trop lourds et une mise en scène trop plate. Un gros naufrage.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    133 abonnés 2 415 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2024
    Ne pas se fier à l'affiche hideuse, le film dispose d'une belle histoire et l'interprétation est au diapason.
    Iloonoyeil
    Iloonoyeil

    21 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 septembre 2024
    Bonjour tout le monde,


    Saviez - vous que les peintres juifs étaient considérés comme des dégénérés par le gang des nazis? Les tableaux en somme juifs étaient donnés comme " pourboire" aux français collaborateurs de la lourde nuit des nazis et du régime de Vichy !

    Ici , le film suit, en parallèle, une famille ouvrière près de Mulhouse qui semble posséder un grand tableau original et nous découvrons les spécialistes des arts peints et autres commissaires priseurs qui brassent des millions de dollars ou d' euros lors des ventes aux enchères..

    Ainsi un tableau, volé et retrouvé, est vendu 25 millions d'euros alors que des gens sont à la rue ...........

    Le film de Pascal Bonitzer oscille entre narration classique et pointe d ' ironie avec des bons travellings et divers plans séquences réussis.

    Léa Drucker et Alex Lutz sont justes dans la peau de deux spécialistes de tableaux coûteux car célèbres..

    Pascal Bonitzer propose une pertinente analyse sociologique et sociale entre la famille ouvrière, qui a reçu un tableau rare et authentique d' Egon Schiele ,et, le milieu cossu et convenu des gens du marché des tableaux de valeur.

    Et vous , si vous étiez multi- milliardaire , accepteriez - vous d' acheter des tableaux, hors de prix, pour votre collection personnelle ?

    Amicalement.

    Gérard Michel
    FaRem
    FaRem

    8 527 abonnés 9 445 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2024
    Lorsqu'un tableau d’Egon Schiele est découvert, la vie de toutes les personnes impliquées de près ou de loin est chamboulée. Du commissaire-priseur aux ayants droit en passant par les propriétaires actuels et les intermédiaires, Pascal Bonitzer s'intéresse à cette galerie de personnages au sein d'une histoire chorale qui n'accorde pas suffisamment de temps à chacun pour développer correctement chaque sous-intrigue. C'est un peu le point noir du film, mais c'est aussi ce qui le rend dynamique avec toutes ces relations qui se font et se défont. Le plus intéressant reste cette immersion dans les coulisses du marché de l’art et ces questions sur la valeur d'une œuvre et le poids de l'histoire dans la transaction. Si tout est vu par le prisme de l'argent, il y a quand même une bonne part d'humain et c'est ce qui fait le charme de cette petite comédie agréable à suivre.
    Ciné-13
    Ciné-13

    115 abonnés 1 053 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2024
    Réalisation sage et classique, belle photographie, acteurs épatants, BO discrète, soit un bon film français soigné...
    La relation tendue entre LUTZ Commissaire-priseur intéressé et CHEVILLOTTE sa stagiaire coincée est remarquablement rendue. Il aime les belles voitures, les belles montres et le whisky tourbé. DRUCKER est aussi impeccable étonnamment coopérante dans la vie de son ex.
    La star du film : "Les tournesols" d'Egon SCHIELE, dont l'histoire est réelle spoiler: (tableau volé par les Nazis, puis offert à un collabo)
    . A voir...
    Fiers R.
    Fiers R.

    94 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2024
    Pascal Bonitzer est ce que l’on peut appeler un vieux de la veille dans le cinéma hexagonal même s’il a signé son premier film en tant que réalisateur à un âge avancé (le remarqué « Rien sur Robert » en 1998 avec Fabrice Luchini) il a arpenté les plateaux de cinéma sous d’autres chapeaux comme celui d’acteur ou de scénariste. Pas toujours convaincantes, ses œuvres ont néanmoins le mérite de la continuité dans l’analyse des rapports humains et l’écriture de ses personnages sont toujours très perspicaces et nobles. Avec « Le tableau volé », il signe d’ailleurs peut-être là son meilleur long-métrage dans une carrière pourtant bien riche. Simplement mais intelligemment et sûrement, il nous convie à une plongée dans le monde du commerce de l’art avec les salles d’enchères et les cabinets et agences spécialisées dans ce domaine. Sans rentrer dans le détail, il nous instruit avec ce microcosme singulier et élitiste, en nous montrant un bon aperçu de son fonctionnement et de ses magouilles. Mais, avant tout, il se sert de ce contexte pour croquer une mosaïque de personnages passionnants et merveilleusement écrits.

    Si la toile de fond est l’art, le fond du film est surtout une nouvelle dissection des rapports humains (homme-femme, parent-enfant, ...) et des dynamiques sociales (riches-pauvres, cadres-ouvriers, ...) dans une valse délicieuse qui nous happe durant une heure et demie montre en main. Un récit qui s’avère donc parfaitement ramassé mais aussi chorégraphié. « La tableau volé » se positionne également comme une œuvre pleine de sens et d’acuité sur la société. Par petites touches et sans jamais forcer le trait, il nous dessine une demi-douzaine de personnages terriblement vrais et humains aux contours bien dessinés et aux développements parfois joyeusement étonnants. Il leur met en bouche des dialogues succulents immergés au sein de situations tantôt truculentes et amusantes, tantôt cruelles et plus amères. Des protagonistes nuancés qui animent cette valse autour d’un tableau de maître retrouvé par hasard chez un monsieur-tout-le-monde issu des classes pauvres. Jamais médisant ou déplacé, son petit choc des classes est empli de justesse. C’est un véritable régal d’écriture!

    Pour que la réussite soit complète il fallait une distribution qui soit de la même trempe. Et avec le génial Alex Lutz en première ligne (dans un rôle hautain et nonchalant qui lui va comme un gant) et Léa Drucker (impériale et qu’on adore redécouvrir encore et encore depuis « Jusqu’à la garde ») il fait le choix d’un casting très à propos. Mais les seconds rôles ne sont pas en reste de la géniale Louis Chevillotte dans une prestation de mythomane rageuse qui dévoile ses atouts petit à petit est géniale tout comme Nora Hamzawi en avocate pleine de surprises et dont le naturel fait mouche. C’est le genre de film, un peu magique, dont on n’attendait pas forcément beaucoup mais qui marque des points au fur et à mesure qu’il se déflore. Alors oui, et c’est le seul petit défaut du film, la forme est quelque peu classique voire un peu terne et illustrative, mais le cinéaste se concentre sur son histoire et ses personnages et ce n’est pas dérangeant outre mesure. Toutes les petites choses qui ressortent des quiproquos, d’une phrase, d’un regard ou d’une réaction enrichissent « Le tableau volé » pour en faire un film précieux et vraiment passionnant. Un petit bijou de cinéma d’auteur, efficace et terriblement objectif en plus d’être fondu dans un cadre rare sur les écrans.

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