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    Yannick
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    739 critiques spectateurs

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    AdamC
    AdamC

    61 abonnés 273 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2023
    Ce long "court métrage" vaut le détour, on a le droit à du Dupieux dans le texte, scénario un peu loufoque et WTF (il faut aimer ce type d'humour) mais toujours des dialogues hilarants et super bien construit avec un petit message sous-jacent un peu plus profond.
    C'est barré, c'est décalé, on passe une bonne heure de cinéma
    Ps = le film ne dure qu'une heure, ça permet d'aller le voir sans trop de difficulté à la pause déjeuner ;)
    PLR
    PLR

    471 abonnés 1 571 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2023
    D'ordinaire, pour un film de Quentin Dupieux il vaut mieux être « bon public » ou spectateur averti. Le cinéaste est réputé pour ses scénarios déjantés en format court. Quelques minutes à peine au-dessus de la norme qui permet un classement dans le long métrage. Les appréhensions que le cinéphile se doit de relayer auprès d’un large public, peu au fait du personnage, peuvent cette fois être levées sans aucune réserve. La mise en scène de ce « Yannick » est comme un long sketch. C’est très théâtral et pour cause puisque l’action (eh oui, il y a bien de l’action et même du suspens) se passe en huis-clos lors de la représentation d’une pièce. Un spectateur déçu, pas content du tout, interrompt les acteurs et entend réorienter leur représentation afin qu’il y trouve enfin du plaisir. Il est venu pour ça après avoir eu du mal à obtenir un congé et dû faire un long trajet (comique de répétition à ce sujet, vous verrez…). Et comme il est dit dans la bande-annonce que si on ne l’écoute pas « tout peut partir en sucette », l’intrus deviendra menaçant avec une arme à feu à la main. Une menace autant pour les trois acteurs désorientés sur scène que pour le public. Vont ainsi se succéder des interactions faisant penser au syndrome de Stockholm, bien que ce ne soit pas le sujet (le réalisateur nous l’aurait dit !). Bref un court moment de cinéma (1 heure et 7 minutes) propice à un niveau d’attention intense et non sans surprises. Ne surtout pas bouder ce film. Ce serait rater quelque chose !
    Fabien D
    Fabien D

    183 abonnés 1 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 août 2023
    Dupieux revient avec un petit film d'à peine plus d'une heure dont le scénario semble tenir sur un post it. Ca commence avec une scène de théâtre de boulevard risible que le personnage éponyme du film met rapidement à mal. On sourit puis on est un peu troublé par le leger malaise que suscitent certaines scènes. Le théâtre vient faire imploser les frustrations des personnages tandis que le public au départ blasé voir endormi va peu à peu prendre part au spectacle. Rien de très nouveau en terme d'écriture mais un humour qui fait souvent mouche et un comédien formidable dans le rôle titre qui réussit même à émouvoir dans une très jolie dernière scène. Alors oui le film est un peu court, le système Dupieux y montre peut-être ses limites mais il n'en demeure pas moins que l'ensemble trouve un beau point d'équilibre entre critique social, portrait névrotique et comédie de boulevard méta pour un ensemble assez proche par moment de l'esprit de Bertrand Blier.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    348 abonnés 668 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 août 2023
    Sans être un fan de Quentin Dupieux ( mieux connu des Dj sous le nom de Mr Oizo qui fit en son temps parler avec son personnage Flat Eric) je vais voir chacun de ses films avec des bonheurs irréguliers.
    Mais cette fois ci il met dans le mille avec ce film en abyme qui parle d’une pièce qui perturbé par un spectateur mécontent devient une autre œuvre, celle de Yannick qui symbolise le spectateur moyen sans lequel une partie de l’économie culturelle vacillerait mais qui reste injustement dénigré et même moqué par les élites culturelles ( qui pourtant brillent grâce au voile subjectif qu’elles projettent sur leur art).
    Raphael Quenard qui est un des meilleurs acteurs actuels est parfait dans ce rôle complexe et les trois comédiens pris en otage tout aussi parfait en tartufferie et petits arrangements plus ou moins respectables.
    On rit de bon cœur, on réfléchit aussi sur la portée de tout ceci.
    Quentin Dupieux aime à dire qu’il ne souhaite pas devenir professionnel et pourtant c’est du bon cinéma
    Yves G.
    Yves G.

    1 501 abonnés 3 518 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 août 2023
    Quand « Le Cocu », une médiocre pièce de boulevard jouée sans conviction par trois acteurs cabotins (Pio Marmaï, Blanche Gardin et Sébastien Chassaigne) lui sort des yeux, Yannick (Raphaël Quénard), gardien de nuit sur un parking du 7.7 qui a posé une journée de congé pour venir se divertir au théâtre, ose faire ce qu’aucun spectateur n’ose jamais faire : se lever et crier aux acteurs sa colère. Gentiment prié de se rasseoir et de se taire, l’importun se fâche, dégaine un revolver et prend le théâtre en otage. Il écrit au débotté quelques dialogues et demande aux trois acteurs sidérés de les jouer.

    On aime – ou pas – le cinéma absurde de Quentin Dupieux. J’avoue avoir moi-même être passé par tous les stades du sentiment amoureux avec son cinéma, oscillant entre pas du tout ("Mandibules"), un peu ("Au poste !", "Fumer fait tousser") beaucoup ("Le Daim") et passionnément ("Incroyable mais vrai").

    J’ai beaucoup aimé le pitch de "Yannick" que sa bande-annonce nous a ressassé ad nauseam pendant tout le mois de juillet : que se passerait-il si un jour un spectateur brisait le « quatrième mur », rompait le pacte implicite mais inviolable sur lequel est basée la convention théâtrale : la passivité, la soumission des spectateurs, pris en otage par la pièce à laquelle ils assistent, interdits avant le rideau final de la moindre manifestation – sinon celle de quitter la salle en silence en cours de représentation ?

    Les deux ou trois phrases avec lesquelles Yannick prend la parole et opère cette transgression jouissive sont dans la bande-annonce. La regarder – si vous ne l’avez pas déjà vue le mois dernier (cf. supra) – vous fera gagner une heure et le prix d’une place.
    Parce qu’une fois cette prise de pouvoir effectuée, "Yannick", comme un moteur sans essence, tombe en panne sèche. La prise d’otages proprement dite, l’écriture par Yannick de ses lignes puis leur interprétation sont d’un ennui total et ne révèlent aucune surprise – sinon celle spoiler: d’un trop bref retournement de pouvoir durant lequel Pio Marmaï personnifie les dérives violentes mises en lumière par la fameuse expérience de Palo Alto et le film allemand "La Vague"
    .

    Tout bien considéré, à quoi se résume "Yannick" ? À tourner en dérision le théâtre de boulevard médiocre et répétitif qui attire encore quelques provinciaux égarés dans des théâtres désuets du neuvième arrondissement. Les acteurs finiront d’ailleurs par le reconnaître eux-mêmes, le public au contraire restant étonnamment silencieux.
    Yannick mène cette entreprise par la bouche de son héros. Il serait injuste de ne pas saluer la performance de Raphaël Quenard. Il a déjà joué deux fois chez Quentin Dupieux. Son talent a explosé cette année avec "Chien de la casse" et "Sur la branche". Il est la révélation cinéma de l’année 2023.

    Que penser de ce personnage ? Je lis dans Télérama que « cet escogriffe à la diction bizarre » (formule parfaite que je suis jaloux de ne pas avoir trouvée moi-même) est un « gars de la France périurbaine » qui exprime « le ressentiment (…) d’être mal représenté, de ne pas être reconnu » et que « dans le monde du faux et du morne » Yannick « réinjecte de l’émotion, en roi de l’impro, en showman illuminé ».
    Je comprends ce point de vue, brillamment exprimé. Mais je ne le partage pas. Je peine à voir dans Yannick le porte-drapeau de la France périphérique, écrasé par la snobinarderie sans âme d’un parisianisme formaté. La faute à ma bonne éducation et à mon goût des convenances : sa vulgarité, ses fautes de français, son manque de respect aux autres m’ont horripilé.

    "Yannick" est définitivement un film beaucoup trop transgressif pour moi. C’est affaire de subjectivité. Ce qui m’a mis mal à l’aise ne vous dérangera peut-être pas.
    Wienna
    Wienna

    92 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 août 2023
    Avec Yannick, Quentin Dupieux nous tord de rire pendant 1h07. Le public passe un pur moment de divertissement grâce à toute l’absurdité hilarante et le comique de situation de ce huis-clos. Raphaël Quenard interprète son rôle avec une telle aisance que le public du cinéma et celui dans le film finissent par se confondre, chacun craignant la menace que représente Yannick avec son arme et le caractère imprévisible du personnage.

    Pio Marmaï délivre une prestation remarquable et pleine d’énergie qui s’unit harmonieusement avec tout le dynamisme du film.

    Mais derrière ces éclats de rire, le personnage de Yannick, autant que le film, proposent ensemble une réflexion pertinente sur l’art, le divertissement et leur place dans nos vies. Une réflexion avant tout personnelle qui vaut donc la peine d’être développée pour nous-mêmes.

    Comme Quentin Dupieux l’a si bien formulé : « Nous avons tous un Yannick en nous ». Reste à savoir ce que nous faisons de ce Yannick… ou plutôt ce vous en ferez après avoir vu le film ! (De mon côté, je vais réfléchir hihi)
    laurence L.
    laurence L.

    8 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 juillet 2023
    Un huit clos écrit et réalisé dans l'économie de moyens (dans l'épure), d'une efficacité redoutable. Un stylisme épuré… des dialogues évidents, dans la bouche de Raphaël Quenard. Un duo dynamique avec Pio Marmaï. Quenard toujours aussi impresionnant dans ses passages du personnage dysfonctionnel et border… à celui du grand enfant cabossé ruisselant d'humanité. La puissance de jeu est là. D'autant plus qu'il n'y a pas d'effets (pompeux) ni dans la narration, ni dans la réalisation. C'est le théâtre dans le cinéma. C'est la comédie humaine dans le théâtre, dans le cinéma. Un beau message de fond sur les blessures de l'égo qui mènent à bien des catastrophes. L'oeil plein de compassion du réalisateur déstabilise. Qui est le menteur ? Qui est méchant ? Qui est le manipulateur ? Un bel exemple de triangle de Karpman. Quelles pourraient être les réponses adaptées face au débordement ? J'aime bien cette citation de Brecht reprise dans Dix pour Cent saison 4 épisode 3 : “On parle souvent de la violence du fleuve mais on ne parle jamais de la violence des digues qui le contiennent.“ Ne ratez pas cette perle, une vraie proposition cinématographique, une vraie idée originale… Un film qui nettoie votre tête au lieu de la polluer !
    ariane m.
    ariane m.

    4 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 août 2023
    Au vue des avis je m'attendais à rire, et même à me déteste en allant voir ce film qui présente un beau casting.. et puis pas du tout, j'ai d'ailleurs du mal a comprendre les spectateurs qui ont trouvé ce film drôle alors qu'on assiste à une prise d'otage pendant pratiquement une heure..
    Artriste
    Artriste

    123 abonnés 2 024 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 août 2023
    Comédie, écrite et réalisée par Quentin Dupieux, Yannick n'est pas une grande réussite. L'histoire se déroule pendant la représentation de la pièce "Le Cocu", un très mauvais boulevard, et nous fait suivre Yannick, un homme qui se lève et interrompt le spectacle pour reprendre la soirée en main. Ce scénario, prometteur sur le papier, n'est hélas pas aussi bien exécuté dans les faits. Si le postulat de départ est intrigant, le récit a du mal à se tenir sur la durée, en dépit de sa longueur relative de même pas une heure et dix minutes générique inclus. Malheureusement, au fil du temps, l'intrigue ne prend pas les bonnes directions et s'embourbe dans une thématique dans laquelle il tourne en rond. Ce huis clos fini par désintéresser à cause de ses sujets mal traités à travers cette prise d'otage verbale et physique. De plus, si Yannick se montre vindicatif, le reste du public est lui trop transparent et mal utilisé pour apporter plus de rebondissements. Tous ces rôles sont interprétés par une bonne distribution à commencer par Raphaël Quenard, incarnant parfaitement son personnage un peu limité le rendant touchant par son discours terre à terre assené avec authenticité. Dommage qu'il finisse par se rendre moins sympathique sur la durée. Il est entouré par Pio Marmaï, Blanche Gardin et Sébastien Chassagne, dont le rôles auraient également pu évoluer d'une façon plus pertinente. Les relations entretenues par ces individus offrent des échanges provocants peu de réactions. La faute à un ton peu amusant, décrochant à peine quelques sourires, notamment à cause de dialogues manquants de mordants. L'ensemble est correctement réalisé par Quentin Dupieux. Sa mise en scène est très basique et le visuel manque de charme à cause d'un lieu un peu terne et sans personnalité. Il aurait fallu mieux exploiter le décor en l'enrichissant afin de jouer avec. Ces images sommaires sont accompagnées par une b.o. insignifiante tant ses notes sont rares et sans impacts. Cette pièce sans éclat s'achève sur une fin frustrante, venant mettre un terme à Yannick, qui, en conclusion, est un petit cru de la cave du cinéaste duquel il n'y a aucune ivresse à en tirer.
    Facetoface
    Facetoface

    11 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 août 2023
    Un huis-clos hilarant, génialement ficelé. Les comédiens sont d'une justesse sans faille, servant des dialogues qui claquent et qui vont à l'essentiel. Aucune sensation de frustration malgré le format plutôt court, car tout est extrêmement drôle, les personnages sont creusés, et Dupieux va au bout de ses idées. Foncez !
    traversay1
    traversay1

    3 654 abonnés 4 880 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2023
    Un seul comédien occupe l'affiche de Yannick, alors que trois "stars" sont présentes dans la dernière folie de Quentin Dupieux. Mais c'est plutôt conforme à un film que l'abattage de Raphaël Quenard survole, à des hauteurs que Blanche Gardin et Pio Marmaï sont bien incapables d'atteindre, non pas à cause de leur manque de talent mais victimes d'une écriture qui les cantonne à des rôles somme toute secondaires. Pour le reste, comme d'habitude avec le cinéaste, tout part d'une idée saugrenue, quoiqu'un peu moins absurde que dans ses longs-métrages précédents, qui débouche sur une succession de développements surprenants et drôles (pas hilarants non plus, en l'occurrence) où scintillent les dialogues mais où la mise en scène est quasiment perdue de vue. Le dénouement, comme souvent chez Dupieux, hélas, semble bâclé, comme si le concept initial avait donné tout son jus et qu'il était temps d'en terminer, même si l'heure d'horloge venait juste d'être dépassée. Frustrant, car une fois le plaisir immédiat assuré de manière incontestable dans un minimalisme assumé, il ne reste presque rien dans le souvenir ensuite, faute de consistance d'un scénario basé sur des coups de théâtre et des répliques cinglantes. Dupieux est le plus souvent encensé mais de ce stakhanoviste régulier, il y aurait lieu d'espérer, un jour, un film plus dense et marquant, non ?
    hugo G.
    hugo G.

    30 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 août 2023
    Un classique !!! Son meilleur film !!!
    Acteurs et dialogues tout simplement exceptionnels !!! A voir sans modération !
    Sonia L.
    Sonia L.

    3 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 août 2023
    Dupieux nous revient bien vite, dans un registre un peu moins absurde que d’habitude cette fois. Je n’ai pas vu passer l’heure et les 6 minutes que dure le film. On est dedans tout de suite, il n’y a pas de longueur, le casting est excellent et les dialogues hilarants. Yannick détrône dans mon cœur Le Daim qui était jusqu’à lors mon Dupieux favoris.
    Yannick est attachant et on s’identifie assez facilement à lui et aux circonstances qui motivent ses actes.
    Et comme d’habitude, quel rafraîchissement de ne pas devoir sacrifier une demi-journée entière pour pouvoir apprécier un film !
    CINÉ FEEL
    CINÉ FEEL

    55 abonnés 218 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 août 2023
    Ok, il y a le style Dupieux,
    Ok le film est court
    Ok l'idée de départ est séduisante
    Ok il y a Quenard
    Ok certains dialogues font sourire au début
    Et pourtant, pourtant, cela ne reste qu une idée, et il ne subsiste presque rien de ce film qui se veut transgression et dérangeant. Je le trouve très paresseux et répétitif. Son effet attractif, l'incongruité de la situation, tout cela retombe assez vite et j'avoue m'être ennuyé et avoir regarde ma montre (bien que le film ne dure qu'1h07 !
    Mais le plus triste dans tout cela c'est la surexploitation du tempérament de Raphael Quenard que le cinéma français, trop content d'avoir déniché le nouveau Dewaere, est en train de torpiller. Chien de la casse ok, magnifique; Cash sur Netflix bof, mais cette fois est ( déjà ? En six mois ?) de trop. Espérons si il trouvera des rôles qui lui permettront de changer de registre.
    Idem pour Marmai et Gardin, caricatures d'eux mêmes totalement fossilisés quels que soient le scénario ou le réalisateur ,,,et qu on nous inflige à longueur de pellicule
    thechomb
    thechomb

    5 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 août 2023
    Dupieux + Quenard + Gardin + Marmaï, ça faisait déjà quatre bonnes raisons d'aller voir ce film, qui dépasse toutes mes espérances. Un concentré d'intelligence, de drôlerie, des dialogues ciselés mais aussi de l'émotion, plein d'idées parfois graves mais enveloppées dans l'impertinence et la folie Dupieux. Court, incisif, jouissif, Yannick transpire l'humour et les neurones. Un petit chef-d'œuvre, de loin le meilleur opus de sa filmographie, et pour une fois l'image est belle aussi ! Quant à Raphaël Quenard, impeccable dans Chien de la casse, il est à nouveau époustouflant. Le nouveau Vincent Lacoste, c'est lui. Yannick est un film à voir et revoir en salle. Courez-y !
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