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Votre avis sur Toni en famille ?
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Je ne m'attendais à un film aussi subtil, drôle et émouvant. Des vrais ados, qui se comportent et parlent comme tels, comme on en voit peu dans le cinéma français. Et une actrice principale qui illumine le film. A voir sans hésiter.
Je mets 5 juste pour contre balancer la critique du "monde", qui est complétement à coté de la plaque avec 1 étoile !!
Peut etre faudrait il un peu plus d'umanisme à ce critique ?
Certes, 5 étoiles c'est beaucoup... mais quand même comment mettre 1 étoile pour ce film, délicat , drole et sensible !!
Si un responsable du monde lit ma critique, par pitié : soit vous supprimez votre chronique cinéma du journal, ( garder la poilitique / l'econimie... ) soit vous embauchez qq qui s'y connait un peu !!
Bravo Camille, pour ce film.
Bravo aux 5 acteurs ado !!
Bravo au réalisateur !!
Peut etre faudrait il un peu plus d'umanisme à ce critique ?
Certes, 5 étoiles c'est beaucoup... mais quand même comment mettre 1 étoile pour ce film, délicat , drole et sensible !!
Si un responsable du monde lit ma critique, par pitié : soit vous supprimez votre chronique cinéma du journal, ( garder la poilitique / l'econimie... ) soit vous embauchez qq qui s'y connait un peu !!
Bravo Camille, pour ce film.
Bravo aux 5 acteurs ado !!
Bravo au réalisateur !!
Toni en famille déroule une chronique familiale où une mère seule élève ses cinq enfants adolescents. Le quotidien est ambiancé et bruyant, les tâches ménagères envahissantes et Toni est en permanence sur le fil, entre énergie et épuisement. A 42 ans, elle cherche une nouvelle voie qui donnerait un sens à sa vie après les enfants...
Les situations et les dialogues sont réalistes et percutants. Les scènes quotidiennes rythmées et restituées avec humour et tendresse. Les ados sont plus vrai·es que nature et, surtout, Camille Cottin est exceptionnelle de justesse, lumineuse de tendresse et d'empathie. Dans ce film aux belles couleurs, écrit, réalisé et monté par un très jeune homme (Nathan Ambrosioni, 24 ans aujourd'hui), on retiendra un enthousiasme sincère et chaleureux. Un très bon moment de cinéma.
Les situations et les dialogues sont réalistes et percutants. Les scènes quotidiennes rythmées et restituées avec humour et tendresse. Les ados sont plus vrai·es que nature et, surtout, Camille Cottin est exceptionnelle de justesse, lumineuse de tendresse et d'empathie. Dans ce film aux belles couleurs, écrit, réalisé et monté par un très jeune homme (Nathan Ambrosioni, 24 ans aujourd'hui), on retiendra un enthousiasme sincère et chaleureux. Un très bon moment de cinéma.
Si tendre...ce film fait du bien ! Bonne rentrée cinéma à vous tous ! Ça fait du bien de pleurer et de prendre du temps pour soit...
Pas terrible. Camille Cottin mère de 5 ados dans une maison de dinguos en Méditerranée ? On y croit pas trop... les enfants sont géniaux, ils jouent tous biens. Les personnes sont travaillés et intéressants, mais on ne va jamais jusqu'au bout de leurs histoires. Le personnel de Camille Cottin, la mère, est quant à elle pas très intéressant. C'est plutôt que l'on arrive pas du tout à s'attacher au personne tellement il paraît surréaliste, inventé de toute pièce... Je n'ai pas passé un mauvais moment, c'est comme si on m'avait raconté une histoire que je sais pertinemment fausse.
une super comédie dramatique. on rit, on pleure, on se questionne. cela provoquera de passionnantes discussions si vous y allez en famille. et il faut y aller !
Magnifique, époustouflant de simplicité.
on passe du rire aux larmes si facilement, Nathan Ambrosioni a le don de nous embarquer dans un rodéo émotionnel si bien conté que l'on n'a qu'une seule envie, que son film soit éternel.
Sans hésiter je retourne le voir à sa sortie.
on passe du rire aux larmes si facilement, Nathan Ambrosioni a le don de nous embarquer dans un rodéo émotionnel si bien conté que l'on n'a qu'une seule envie, que son film soit éternel.
Sans hésiter je retourne le voir à sa sortie.
Je reste sur ma faim .. dommage que le réalisateur ne soit pas allé au bout des personnages. 5 ados, 5 histoires survolées. A l'heure des films de plus 3h qui enchaînent des longueurs, celui ci d'environ 1h30 les méritaient. Scénario prévisible et sans surprise. Oscar et Camille sont par contre très bons dans leurs personnages respectifs.
Film doux mais mou..
Film doux mais mou..
Film sympa sans plus. On n'y crois pas trop à Camille Cottin en mère de famille nombreuse. Chacun des ados est un cliché, le fils gay, la fille lesbienne, le petit dépressif, il ne manque plus que l'anorexique ! Tout cela traité de manière très superficielle avec des dialogues d'une grande banalité, aucune profondeur. Heureusement la courte apparition de Catherine Mouchet vient mettre dans ce film légèrement gnangnan un peu de piment.
J'étais très enthousiaste à la lecture du synopsis car j'aime beaucoup Camile Cotti et les histoires "réalistes du quotidien ". Mais là,j'ai été très déçue : c est ennuyeux , il n'y a pas vraiment d'histoire ....
Beaucoup trop de gros plans inutiles qui font traîner le film en longueur. Toutes ces scènes dans un appartement mal éclairé qui s'enchaînent sans logique sont finalement assez pénibles. Où est le sens ? La fin est convenue mais au moi c est la fin, ouf !
Beaucoup trop de gros plans inutiles qui font traîner le film en longueur. Toutes ces scènes dans un appartement mal éclairé qui s'enchaînent sans logique sont finalement assez pénibles. Où est le sens ? La fin est convenue mais au moi c est la fin, ouf !
Loïck G.
Nathan Ambrosioni, le réalisateur, a quelque chose de particulier, ( attention, prévention ?... ) dans la manière de révéler les évidences du quotidien où se confrontent cinq frères et sœurs autour d’une mère célibataire, courage et exemplaire. Le propos parait entendu, mais l’écho qu’il renvoie stimule sa mise en scène dans laquelle se fondent au plus près de leurs personnages, des comédiens exemplaires. On ne citera que Camille Cottin pour dire la grandeur de l’interprétation, mais la jeune équipe qui lui sert de famille, donne à voir le meilleur de la relève du cinéma français. Le film coule de lui-même et en reprendre le récit gâcherait le plaisir de le découvrir. Restons sur la question existentielle au cœur du dilemme maternel A 40 ans passé, quand les enfants s’apprêtent à mettre les voiles, les uns après les autres, que reste-t-il sur le palier ? Monteur, scénariste, et réalisateur, Nathan Ambrosioni a sa petite idée sur le sujet. Il en fait un beau film .
Pour en savoir plus :lheuredelasortie.com
Pour en savoir plus :lheuredelasortie.com
selenie
Désolé il parait que c'est trop spoiler... La première scène est parfaite,
spoiler:
mêlant dans une voiture en quelques minutes tous les caractères d'une famille et les émotions qui peuvent en découler. A la fois drôle (un peu), touchant, mais aussi agaçant cette scène nous plonge automatiquement au sein d'une famille qui a tout de celle qu'on connaît tous directement ou indirectement. Bien que très subjectif, autant le dire tout net heureusement que ces gosses ne sont pas les miens ! Ils s'insultent et/ou se bousculent pour un oui pour un non sans compter comment ils se permettent de répondre à leur mère célibattante ! Le pompon arrive lors du repas où la maman annonce la reprise de ses études ; on croit rêver à ce niveau d'ingratitude (ils n'ont plus 6 ou 8 ans !). Bref il faut les supporter et c'est le plus gros soucis du film. Car sinon, oui on comprend les contraintes d'écriture pour construire une fratrie "complète". Le scénario est sur ce point plein d'acuité et de justesse avec surtout une Camille Cottin épatante, son meilleur rôle à ce jour.
Le film parle à tous, enfants comme parents, les scènes restent pertinentes et la vision globale est juste avec de l'émotion même si la fin pousse un peu le côté lacrymal gratuit. Subjectivement grosse envie de mettre moins que la moyenne, mais objectivement...
Site : Selenie.fr
Le film parle à tous, enfants comme parents, les scènes restent pertinentes et la vision globale est juste avec de l'émotion même si la fin pousse un peu le côté lacrymal gratuit. Subjectivement grosse envie de mettre moins que la moyenne, mais objectivement...
Site : Selenie.fr
Yves G.
Antonia, dite Toni, élève seule cinq adolescents aussi bruyants qu’attachants. Alors que les deux aînés passent leur bac et sont sur le point de quitter le nid, Toni s’interroge sur son avenir.
Voilà le genre de pitch qui a priori me fait fuir. Rien ne m’attire dans un tel cinéma : ni l’utilisation racoleuse d’une héroïne emblématique avec laquelle une partie de l’auditoire s’identifiera (la Mère courage et célibataire), ni l’héroïne bankable (Camille Cottin sans laquelle le budget n’aurait pas été bouclé), ni la coproduction Canal-France Télévisions qui laisse augurer des dimanches soirs sous la couette et des rediffusions ad nauseam, ni ces cinq gamins la gueule enfarinée, tellement mimis et qui ne partagent pas la moindre ressemblance alors qu’ils sont censés être frères et sœurs.
Pourquoi aller le voir me direz-vous ? La réponse hélas est toujours la même : par la faute d’un mélange incongru de masochisme et d’encyclopédisme. Par le souci aussi de sortir de ma zone de confort : où serait le plaisir d’aller voir uniquement des films dont on sait par avance qu’ils nous plairont ? Par l’espérance aussi d’être agréablement surpris.
Et, en l’espèce, malgré toutes mes préventions, force m’est de reconnaître que ce "Toni en famille" se laisse agréablement regarder. Le mérite en revient en grande partie à Camille Cottin qui est décidément, quoi que j’en pense, une solide actrice avec laquelle l’identification (pour les femmes) et l’empathie (pour les hommes) sont immédiates.
"Toni en famille" cache une autre surprise. Je m’attendais à ce que Toni habite Roubaix, ait le cheveu gras et des fins de mois difficiles. Mais le scénario nous entraîne sous d’autres latitudes, sur les hauteurs ensoleillées de Grasse où Toni, loin d’être une chômeuse en fin de droits, se révèle une ancienne chanteuse auréolée du succès précoce d’un tube chanté à la Star’Ac qui lui rapporte encore, vingt ans plus tard, quelques dividendes. Le film baigne dans une lumière euphorisante qui l’éloigne de l’indigeste grisaille naturaliste dans laquelle je craignais d’être plongé.
Ce rafraîchissant contrepied n’est pas la seule surprise d’un film qui nous en réserve au moins deux autres : une mère étouffante interprétée en un seul plan par Catherine Mouchet et un ex dont je ne dirai rien de plus pour préserver la surprise de son apparition. Pour le reste, hélas "Toni en famille" déroule ses étapes attendues. On y verra alternativement chacun des cinq ados faire sa petite crise et leur mère, épuisée mais pas capitularde, tenter de rebondir pour donner un sens à sa vie à l’approche de la cinquantaine. Inutile de vous spoiler la fin : vous la connaissez déjà avant de l’avoir vue.
C’est un peu décevant de la part de Nathan Ambrosioni qui, à vingt-quatre ans à peine, signe son deuxième film déjà après "Les Drapeaux de papier" et dont on aurait pu espérer plus d’originalité.
Voilà le genre de pitch qui a priori me fait fuir. Rien ne m’attire dans un tel cinéma : ni l’utilisation racoleuse d’une héroïne emblématique avec laquelle une partie de l’auditoire s’identifiera (la Mère courage et célibataire), ni l’héroïne bankable (Camille Cottin sans laquelle le budget n’aurait pas été bouclé), ni la coproduction Canal-France Télévisions qui laisse augurer des dimanches soirs sous la couette et des rediffusions ad nauseam, ni ces cinq gamins la gueule enfarinée, tellement mimis et qui ne partagent pas la moindre ressemblance alors qu’ils sont censés être frères et sœurs.
Pourquoi aller le voir me direz-vous ? La réponse hélas est toujours la même : par la faute d’un mélange incongru de masochisme et d’encyclopédisme. Par le souci aussi de sortir de ma zone de confort : où serait le plaisir d’aller voir uniquement des films dont on sait par avance qu’ils nous plairont ? Par l’espérance aussi d’être agréablement surpris.
Et, en l’espèce, malgré toutes mes préventions, force m’est de reconnaître que ce "Toni en famille" se laisse agréablement regarder. Le mérite en revient en grande partie à Camille Cottin qui est décidément, quoi que j’en pense, une solide actrice avec laquelle l’identification (pour les femmes) et l’empathie (pour les hommes) sont immédiates.
"Toni en famille" cache une autre surprise. Je m’attendais à ce que Toni habite Roubaix, ait le cheveu gras et des fins de mois difficiles. Mais le scénario nous entraîne sous d’autres latitudes, sur les hauteurs ensoleillées de Grasse où Toni, loin d’être une chômeuse en fin de droits, se révèle une ancienne chanteuse auréolée du succès précoce d’un tube chanté à la Star’Ac qui lui rapporte encore, vingt ans plus tard, quelques dividendes. Le film baigne dans une lumière euphorisante qui l’éloigne de l’indigeste grisaille naturaliste dans laquelle je craignais d’être plongé.
Ce rafraîchissant contrepied n’est pas la seule surprise d’un film qui nous en réserve au moins deux autres : une mère étouffante interprétée en un seul plan par Catherine Mouchet et un ex dont je ne dirai rien de plus pour préserver la surprise de son apparition. Pour le reste, hélas "Toni en famille" déroule ses étapes attendues. On y verra alternativement chacun des cinq ados faire sa petite crise et leur mère, épuisée mais pas capitularde, tenter de rebondir pour donner un sens à sa vie à l’approche de la cinquantaine. Inutile de vous spoiler la fin : vous la connaissez déjà avant de l’avoir vue.
C’est un peu décevant de la part de Nathan Ambrosioni qui, à vingt-quatre ans à peine, signe son deuxième film déjà après "Les Drapeaux de papier" et dont on aurait pu espérer plus d’originalité.
Le quotidien d'une mère de famille célibataire avec tout ce que cela comporte d'ingrat dans les taches ménagères , agrémentée de conflits avec ses nombreux ados... franchement je me suis ennuyé ferme
Ce n'est pas que le film est une catastrophe, mais 5 étoiles ! Ici, on est sur une très gentille comédie qui ne raconte que son pitch qui se résume au titre. Toni, en famille.
spoiler:
Toni en voiture, Toni au réveil, Toni chez pole emploi,
Toni, toujours très fraiche et très bien maquillée (pour une mère soi disant sacrificielle, elle se débrouille bien la camille qui joue à peu près comme dans une pub Nespresso). Bref, un ennui certain avec quelques bonnes scènes. Ça ne suffit pas à comprendre cet engouement.
Toni, toujours très fraiche et très bien maquillée (pour une mère soi disant sacrificielle, elle se débrouille bien la camille qui joue à peu près comme dans une pub Nespresso). Bref, un ennui certain avec quelques bonnes scènes. Ça ne suffit pas à comprendre cet engouement.
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