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Votre avis sur Toni en famille ?
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Camille Cattin dans le rôle titre de Toni est très convaincante en mère au foyer , à la tête d'une famille nombreuse....pas moins de 5 ados....le scénariste a eu la main lourde....
Personnellement je pense qu'en choisissant une famille plus standard ....le film aurait été plus réaliste....moins cliché....
A vouloir traité de tant de thèmes différents , le réalisateur s'est un peu perdu....
On finit par se demander si le sujet principal du film est l'envie pour une mère de famille de reprendre des études 20 ans après son bac et 5 enfants....ou la vie d'une famille nombreuse.....ou l'homosexualité de ses enfants...ou...ou....
Personnellement je pense qu'en choisissant une famille plus standard ....le film aurait été plus réaliste....moins cliché....
A vouloir traité de tant de thèmes différents , le réalisateur s'est un peu perdu....
On finit par se demander si le sujet principal du film est l'envie pour une mère de famille de reprendre des études 20 ans après son bac et 5 enfants....ou la vie d'une famille nombreuse.....ou l'homosexualité de ses enfants...ou...ou....
Toni en famille est un joli film, à la fois très juste et très incarné. Son atout principal réside dans l'écriture de ses personnages qui bénéficient tous d'une profondeur et d'une richesse folles. Tous sont interprétés brillamment par des acteurs et actrices formidables, notamment Camille Cottin qui livre sa prestation la plus aboutie et la plus juste. Mais le fait de présenter aussi finement autant de personnages (à savoir une mère et ses 6 enfants) donne lieu à un film très long avec un manque de rythme et une histoire qui piétine un peu. Il ne faudra donc pas attendre trop de l'histoire de Toni en famille et profiter tout simplement de l'avalanche d'émotions que le film procure.
Portrait d’une femme seule élevant ses cinq enfants, tous des ados à des degrés divers.
Ou le portrait d’une famille au milieu de laquelle une mère tente de faire au mieux.
Ça s’agite, ça crie, ça revendique, ça chante, ça rit, ça boude, ça pleure ; entre ingratitude parfois des enfants et dévotion d’une mère parfois légitimement débordée.
Il m’apparaît que le jeune metteur en scène Nathan Ambrosioni vise à peu près juste.
Juste dans les dialogues, dans les situations.
Il y en aura toujours pour souligner les clichés mais la vie elle-même est cliché.
C’est cliché quand on aborde les banlieues et autres habitants des cités, avec leur accent, leurs expressions, leurs gestuelles, leurs tenues vestimentaires réduites à un survêtement ; c’est cliché quand on évoque le monde paysan, le monde ouvrier.
Bref, à partir du moment où on s’attaque à la réalité, tout paraît cliché.
Les réalisateurs (trices) qui tombent dans le fameux piège du cliché ce sont ceux (celles) qui veulent mettre du réalisme là où on peut s’en passer. Et aussi par manque d’imagination.
Justement, en parlant de cliché, Nathan Ambrosioni ne tombe pas dans le piège du père absent.
Par deux fois seulement et par la voix de Timothée on parle de voir « papa ».
Le cliché aurait été que Toni évoque à plus d’une reprise le mari absent pour justifier sa galère.
Elle ne l’évoque jamais.
Ni ne le pleure, ni ne s’apitoie, ni ne le maudit.
Le fameux cliché aurait été de traduire par flash-back son absence.
Le fameux cliché aurait d’entendre ou voir à un moment donné un des cinq enfants ou les cinq ensemble se rappeler de leur père.
Toutes ces scènes sont balayées car trop clichés.
C’est seulement à la deuxième requête de Timothée que l’on justifie l’absence du père.
On n’y reviendra plus.
Si reproche il peut y avoir, c’est ce besoin de placer l’homosexualité dans toute situation pour que la diversité se reconnaisse.
Je l’admets comme on peut admettre que des familles s’ouvrent à cette éventualité, même si le sujet demeure encore sensible.
Nathan Ambrosioni veut-il brasser (surtout avec cinq enfants) le plus de portraits possibles ?
Evoque-t-il une situation qu’il a connue ?
« Toni en famille », c’est aussi le combat d’une femme qui ne se satisfait pas de son passé - chanteuse éphémère à succès - qui refuse d’être réduite au seul statut de femme au foyer. C’est extraire la mère pour se réaliser en tant que femme. Refuser un certain fatalisme, combattre cette idée selon laquelle elle est là par la force des choses. Comme beaucoup d’entre nous.
C’est croire en un projet ; c’est le courage de se remettre en question pour le concrétiser ; avoir le courage de se confronter à une jeunesse au milieu de laquelle elle va devoir composer avec sa quarantaine entamée en fréquentant une université, passage apparemment obligé pour décrocher son graal : spoiler: enseignante
.
Ce n’est pas un grand film, mais j’ai préféré ce portrait de femme moderne à celui brossé par Emmanuel Poulain-Arnaud pour son film « Le test » avec Alexandra Lamy.
Ou le portrait d’une famille au milieu de laquelle une mère tente de faire au mieux.
Ça s’agite, ça crie, ça revendique, ça chante, ça rit, ça boude, ça pleure ; entre ingratitude parfois des enfants et dévotion d’une mère parfois légitimement débordée.
Il m’apparaît que le jeune metteur en scène Nathan Ambrosioni vise à peu près juste.
Juste dans les dialogues, dans les situations.
Il y en aura toujours pour souligner les clichés mais la vie elle-même est cliché.
C’est cliché quand on aborde les banlieues et autres habitants des cités, avec leur accent, leurs expressions, leurs gestuelles, leurs tenues vestimentaires réduites à un survêtement ; c’est cliché quand on évoque le monde paysan, le monde ouvrier.
Bref, à partir du moment où on s’attaque à la réalité, tout paraît cliché.
Les réalisateurs (trices) qui tombent dans le fameux piège du cliché ce sont ceux (celles) qui veulent mettre du réalisme là où on peut s’en passer. Et aussi par manque d’imagination.
Justement, en parlant de cliché, Nathan Ambrosioni ne tombe pas dans le piège du père absent.
Par deux fois seulement et par la voix de Timothée on parle de voir « papa ».
Le cliché aurait été que Toni évoque à plus d’une reprise le mari absent pour justifier sa galère.
Elle ne l’évoque jamais.
Ni ne le pleure, ni ne s’apitoie, ni ne le maudit.
Le fameux cliché aurait été de traduire par flash-back son absence.
Le fameux cliché aurait d’entendre ou voir à un moment donné un des cinq enfants ou les cinq ensemble se rappeler de leur père.
Toutes ces scènes sont balayées car trop clichés.
C’est seulement à la deuxième requête de Timothée que l’on justifie l’absence du père.
On n’y reviendra plus.
Si reproche il peut y avoir, c’est ce besoin de placer l’homosexualité dans toute situation pour que la diversité se reconnaisse.
Je l’admets comme on peut admettre que des familles s’ouvrent à cette éventualité, même si le sujet demeure encore sensible.
Nathan Ambrosioni veut-il brasser (surtout avec cinq enfants) le plus de portraits possibles ?
Evoque-t-il une situation qu’il a connue ?
« Toni en famille », c’est aussi le combat d’une femme qui ne se satisfait pas de son passé - chanteuse éphémère à succès - qui refuse d’être réduite au seul statut de femme au foyer. C’est extraire la mère pour se réaliser en tant que femme. Refuser un certain fatalisme, combattre cette idée selon laquelle elle est là par la force des choses. Comme beaucoup d’entre nous.
C’est croire en un projet ; c’est le courage de se remettre en question pour le concrétiser ; avoir le courage de se confronter à une jeunesse au milieu de laquelle elle va devoir composer avec sa quarantaine entamée en fréquentant une université, passage apparemment obligé pour décrocher son graal : spoiler: enseignante
.
Ce n’est pas un grand film, mais j’ai préféré ce portrait de femme moderne à celui brossé par Emmanuel Poulain-Arnaud pour son film « Le test » avec Alexandra Lamy.
Comédie linéaire et totalement prévisible, qui enfile des poncifs comme des perles. La vraisemblance du postulat pose question, à l'image de la situation du personnage de Cottin.
une belle analyse de la place de la femme dans la famille et dans la société..
Ne plus être seulement une mère, ne plus exister seulement pour combler les regrets d'une mère mais exister par soi-même, s'aimer à nouveau et se faire confiance.
tel est le message de ce film.
Camille cottin comme à son habitude est magistrale et les enfants sont parfaits
Ne plus être seulement une mère, ne plus exister seulement pour combler les regrets d'une mère mais exister par soi-même, s'aimer à nouveau et se faire confiance.
tel est le message de ce film.
Camille cottin comme à son habitude est magistrale et les enfants sont parfaits
Bon petit film familiale mais qui peut largement se regarder chez soi..un talent certain ou un certain talent pour cette bande de joyeux lurons notamment CC qui joue avec justesse son rôle prit entre celui de mère aimante et son besoin de se réaliser ..pas le film de l'Année mais un film qui fait du bien
Aimant beaucoup Camille Cottin j'ai donc voulu voir ce film qui avait de très bonnes critiques.
Je n'ai pas été déçu
J'ai trouvé l'histoire intéressante de cette ancienne chanteuse de télé crochet au succès aussi soudain qu'éphémère un peu malgré son gré , vienne à élever seule ses 5 enfants.
C'est très réaliste , touchant Camille Cottin porte parfaitement ce rôle sur mesure pour elle. C'est subtil , émouvant on ne s'ennuie pas un instant . Ce film est une vraie réussite et mérite le détour
Je n'ai pas été déçu
J'ai trouvé l'histoire intéressante de cette ancienne chanteuse de télé crochet au succès aussi soudain qu'éphémère un peu malgré son gré , vienne à élever seule ses 5 enfants.
C'est très réaliste , touchant Camille Cottin porte parfaitement ce rôle sur mesure pour elle. C'est subtil , émouvant on ne s'ennuie pas un instant . Ce film est une vraie réussite et mérite le détour
Mais quel ennui !!!
Je n'ai pas bien compris l'utilité de ce film sans histoire... c'est vide, c'est creux, c'est lent, c'est mou, c'est chiant car il ne se passe rien.
Une quadra, mère solo de cinq enfants qui reprend ses études... mouais...
et ?
Va t-elle aller au bout de ses études d'ailleurs ?
Nathan Ambrosioni, scénariste et réalisateur, a 25 ans et on voit clairement qu'il n'a pas grand'chose à dire.
Si jeune et déjà si apathique.
Je n'ai pas bien compris l'utilité de ce film sans histoire... c'est vide, c'est creux, c'est lent, c'est mou, c'est chiant car il ne se passe rien.
Une quadra, mère solo de cinq enfants qui reprend ses études... mouais...
et ?
Va t-elle aller au bout de ses études d'ailleurs ?
Nathan Ambrosioni, scénariste et réalisateur, a 25 ans et on voit clairement qu'il n'a pas grand'chose à dire.
Si jeune et déjà si apathique.
Certes, j'apprécie bcp Camille Cottin et je reconnais qu'elle porte ce téléfilm (film ?). Mais que nous réserve le scénario ? .. c'est mou, rien de tonique, de soutenu, rien d'autre que ce qui peut normalement arriver dans la vraie vie (ici, avec la petite touche très actuelle : le grand fils fait son coming-out et l'une des filles se déclare lesbienne). Heureusement qu'il ne nous aura pas fallu attendre l'envol des trois derniers enfants pour qu'enfin la mère accepte de ne plus se contenter d'arbitrer les petits conflits familiaux, et consacre du temps à reprendre en main le cours de sa vie. Me restera au final un souvenir assez fade de cette immersion dans le quotidien de cette mère.
Jean-Jacques FERNANDEZ
Un film aussi léger que subtile, très bien interprète et réalisé qui n'évite pas certains clichés mais qui nous dresse le portrait d'une femme solaire, forte, sensible, dévouéet et courageuse...celle que l on peut croiser parfois dans notre vie et qui nous trouvons incroyable et inégalable. Un film à voir...
Mention spéciale pour Camille COTTIN. Les enfants sont très bons aussi. Beaucoup d'émotion pour ce film, dont la réalisation doit être également félicitée car on ne perçoit pas de manquement à la fluidité du tournage-montage. La chute est excellente (et le scénario aussi...) !
Une vraie petite pépite de cette rentrée !
Camille Cottin et sa tribu sont tous si touchants et traduisent bien les rapports et les problèmes de l'adolescence.
Comment un si jeune réalisateur a t il pu capter tous sentiments ?.C'est une réussite !
Camille Cottin et sa tribu sont tous si touchants et traduisent bien les rapports et les problèmes de l'adolescence.
Comment un si jeune réalisateur a t il pu capter tous sentiments ?.C'est une réussite !
Ce film est excellent... réaliste, émouvant et terriblement triste ! J'ai adoré voir cette mère solo galérer avec sa famille nombreuse et faire face à de nombreuses crises !! En plus sa remise en question et sa volonté de rebondir m'a braucoup touché et j'ai passé une super soirée en compagine de Camille Cottin ! Elle joue bien, elle est sincère, désarmante et pleine de talent ! Bravo...
Camille Cottin illumine ce film dans ce rôle de mère courage élevant seule une petite tribu de 5 ados. Nathan Ambrosioni réussit le pari de filmer au plus près les moments de joie, les petits tracas ou les grosses tensions
spoiler:
(le coma éthylique de Tim)
, avec une empathie sur les aléas de la vie adolescente. Même si on rit beaucoup, ce film s'apparente plus à une chronique sociale dans laquelle les mères célibataires s' y retrouveront sans doute. spoiler: Le besoin de changement et le désir d'émancipation de Toni n'arrivent qu'un peu trop tardivement dans le film, et c'est un peu dommage
. Cependant, on se prend d'affection pour cette famille folklorique.
, avec une empathie sur les aléas de la vie adolescente. Même si on rit beaucoup, ce film s'apparente plus à une chronique sociale dans laquelle les mères célibataires s' y retrouveront sans doute. spoiler: Le besoin de changement et le désir d'émancipation de Toni n'arrivent qu'un peu trop tardivement dans le film, et c'est un peu dommage
. Cependant, on se prend d'affection pour cette famille folklorique.
Rarement un film a su contenir en moins de 2 heures, tant d'émotions brutes, de tendresse et d'humour. Encore je suis loin de rendre compte de l'étendue des qualités sur lesquelles Nathan Ambrosioni compose avec virtuosité. Quel magnifique portrait de femme, veuve, mère de 5 enfants tous admirables, aux caractères si différents, si vrais, tirant le diable par le queue pour joindre les deux bouts, et ne tombant jamais dans le misérabilisme, mais jonglant entre humour décapant - sans même s'en rendre compte - et haute responsabilité de gérer sa tribu. Ce film m'a transporté et ému... et Camille Cottin alias Antonia est éblouissante. Cataloguée humoriste, elle démontre ses qualités immenses et son rôle de composition magistral. On ne s'égare jamais dans les paysages du sud de la France, ou des décors naturels, la très belle photographie se consacrant aux plans "cuisine" avec les tâches ménagères, ou "à bord du Monospace" et rien que ça, c'est costaud..... Mention spéciale aux enfants ( Mathilde, Marcus, Camille, Timothée ou Olivia ), magnifiquement mis en scène. Grand quantité de détails, non exploités, pour se consacrer à l'essentiel, et celui-ci est subtilement mis en lumière. Un film que je vous recommande vivement, en famille, même à moins de 6.... Jugez par vous même........!!**
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