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    Ni Chaînes Ni Maîtres
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    64 critiques spectateurs

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    Alice025
    Alice025

    1 619 abonnés 1 349 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 septembre 2024
    Un drame au sujet important mais qui ne m'a pas vraiment bouleversé comme je l'espérais, en comparaison avec d'autres films sur l'esclavage qui sont plus percutants.
    Pourtant la première partie est assez poignante, mais quand vient cette chasse aux esclaves, le rythme commence à s'essouffler, l'histoire devenant lente avec des scènes répétitives.
    À demi-convaincue...

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    Direct-actu.fr
    Direct-actu.fr

    221 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 septembre 2024
    Ni chaînes ni maîtres est un film audacieux qui plonge dans l'histoire du marronnage, mettant en lumière la résistance des esclaves fugitifs à l'ordre colonial sur l'île Maurice au XVIIIe siècle. Simon Moutaïrou, inspiré par son héritage béninois et les récits d’esclavage, livre une œuvre à la fois puissante et poétique. La force du film réside dans sa représentation inédite des marrons, héros oubliés, et dans l'exploration de leur quête de liberté. Le contraste saisissant entre la beauté de l'île et la brutalité du système esclavagiste amplifie l'impact émotionnel. Le choix du "survival" donne un rythme haletant à cette fresque historique, qui questionne également les oppressions contemporaines, résonnant ainsi avec notre époque.
    yoni dh
    yoni dh

    22 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 septembre 2024
    Bouleversant, inouï de sens, immense de technique.

    Paris est placardé de l’affiche de ce film, qui ne pourrait plus le mériter.

    Présenté et orchestré par une équipe jeune, audacieuse et de toute évidence profondément sensible, Ni Chaînes Ni Maîtres n’a pas bien tardé à me convaincre.

    Qu’importe réellement la note, cette œuvre est un devoir de mémoire, d’histoire nationale et d’humanité indispensable dont la France n’a jamais été capable auparavant, cinématographiquement mais pas seulement, et qui s’avère de surcroît un tour de force en tant que première production de son réalisateur, et révélateur de talents grandioses. La photographie est sans pareille, d’une sensorialité rare, la lumière et le son se font émotionnellement écho.

    La réussite est indéniable, le message vital - et à ce titre bien trop oublié, pris pour acquis.

    Qu’importe les chiffres, les critiques, les César, la page dédiée des manuels, la vérité persistera.
    Vous ne faites effectivement peut-être pas l’histoire, mais vous lui rendez justice
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    356 abonnés 562 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2024
    Pour son premier long métrage, ce réalisateur choisit un thème historique sur l’esclavage au 18ème siècle à l’Isle de France (aujourd’hui l’Ile Maurice). Il retrace les conditions inhumaines et atroces des esclaves face aux colons français de cette époque. On suit ainsi la révolte d’un esclave et sa fille. Le film tourné à l’Ile Maurice nous donne l’occasion d’admirer de beaux décors naturels mais l’ensemble de la réalisation ne m’a toujours paru bien maitrisé et les séquences du film ne s’enchainent pas toujours très bien ce qui diminue l’intérêt du spectateur.

    Bernard CORIC

    (film visionné en projo de presse le 09/09/2024 au Club 13 à PARIS)
    Les critiques d'Adél
    Les critiques d'Adél

    13 abonnés 403 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 septembre 2024
    Les américains nous ont pondus beaucoup de films sur l'esclavage, mais force est de constater qu'en France, on retrouve moins ce sujet.

    Premier film de Simon Moutaïrou, celui-ci choisit de mettre en lumière l'histoire de deux esclaves dans une plantation de canne à sucre à l'île Maurice, en 1759.
    Le réalisateur tient là un bon sujet, mais fait le choix (pas très judicieux) de tenter de trop en faire. Au final, l'ouverture est un peu trop longue, puis la dernière partie du film prend trop son temps et rend le film trop long.
    C'est dommage, car les personnages sont bien écrits, pas manichéen, mais plutôt avec une certaine dualité chez chacun d'entre eux. Là-dessus, le scénario est bon, puisqu'il évite les clichés habituels, avec le côté des bons et le côté des méchants.

    Le casting lui aussi n'est pas mauvais, avec notamment Camille Cottin, impeccable, Felix Lefebvre, Vassili Schneider et Lancelot Courcieras et en tête Ibrahima Mbaye Tchie et Anna Thiandoum, loin d'être en reste. Le film est aussi pourvu d'une sacré belle photographie, très soignée et travaillée, très qualitative pour un premier film.

    Intéressant dans sa première partie, avec cette traque, puis trop long dans sa seconde partie qui veut dire trop de choses et qui s'attarde, "Ni chaînes ni maîtres" convainc à moitié.
    Pldu75
    Pldu75

    18 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2024
    Ni chaînes ni maîtres est tout d’abord un film nécessaire, venant mettre fin à des décennies de cécité du cinéma français sur l’esclavage. Mais il n’est pas qu’un film puissant et engagé. Ni chaînes ni maîtres est aussi un film de cinéma avec des acteurs formidables (Ibrahima Mbaye et Thiandoum Anna Diakhere), une musique entêtante et des images magnifiques. On en sort bouleversé. À voir absolument
    Domvill
    Domvill

    5 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 septembre 2024
    de belles images et une grandiose en scène mais beaucoup trop de longueurs. dans ce film qui rappelle une partie de l histoire d'une France peu glorieuse qui avait droit de vie et de mort sur ses esclaves.. mais quelle nécessité d'en rajouter? dans les scènes de violence insupportables, dans le pathos. dans la creation d"une société tribale ...de plus on y ajoute des allusions à une sorte de puissance occulte et spirituelle..
    remyll
    remyll

    174 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2024
    Nous sommes à la fin d’un 18eme siècle durant lequel le souffle puissant et cruel de l’homme blanc s’abat sur l’homme noir par le biais cynique et facile de l’esclavage. Le « grand blanc » s’auto-persuade qu’il est infiniment supérieur à celui qu’il dénomme « le nègre », en l’utilisant sans vergogne selon son bon vouloir, en le traitant plus mal que des animaux et en lui faisant subir les pires sévices et châtiments. Et pour justifier l’innommable il s’appuie sur la religion en en dévoyant de la manière la plus vile les saintes écritures. Le film est dur, brutal, charpenté à la serpe et au fouet, on en sentirait presque l’odeur de la peur, de la sueur, des larmes et du sang.
    Philippe A.
    Philippe A.

    14 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2024
    Au delà du thème de l’esclavage et de la politique odieuse qui le consolide, j’ai beaucoup apprécié la « noirceur » de l’image qui montre la peur, le doute, la beauté des visages et aussi l’espoir. Les personnages sont magnifiques et le récit ne laisse pas indemne à cause d’ une contemporanéité inquiétante.
    lecinéaddict
    lecinéaddict

    18 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 septembre 2024
    Je suis allé voir Ni chaînes ni maîtres en avant-première. Tout comme le reste de la salle, j'ai été bouleversé par ce film magnifique et nécessaire. L'image est sublime, la musique subtile et prenante et les acteurs très émouvants.
    thenewchamp
    thenewchamp

    36 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2024
    J aime bien le thème abordé concernant la traite des noirs sur les iles afin de produire du sucre et du coton. Le film est très marquants et plein de suspens cependant certains moments m'ont deçu notamment concernant les soit disant etats d'âmes de certains maitres ou chasseurs comme si l'on tenté de redonner de l'humanité à ces atrocités. Dommage.
    traversay1
    traversay1

    3 427 abonnés 4 748 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2024
    Il y a lieu de louer Simon Moutaïrou d'avoir choisi de traiter le thème de l'esclavage, lié au colonialisme des grandes puissances du passé, en l'occurrence ici, la France, dans le territoire appelé Isle de France, au milieu du XVIIIe siècle, devenue depuis l'île Maurice. Le devoir de mémoire est indispensable à l'histoire de notre pays, même quand celle-ci est loin d'être glorieuse. L'idée de l'évoquer à travers un thriller, une véritable course-poursuite contre ces esclaves "marrons", comprenez ceux qui ont fui leur servitude dans les plantations de canne à sucre, n'est pas mauvaise mais elle finit, à la longue, par presque faire passer son sujet principal au deuxième plan, d'autant que le surnaturel s'invite parfois dans le film, contribuant à diluer l'intérêt. Certains personnages ont tendance à s'effacer très vite, alors que l'approfondissement de leur psychologie n'aurait pas manqué d'apporter de l'eau au moulin de l'engagement du long-métrage, dans sa volonté de montrer les choses telles qu'elles étaient et non revues à près de trois siècles d'écart. L'on appréciera cependant les scènes en milieu naturel et, surtout, les dernières images, terribles, qui disent à elles seules ce que sont la dignité et la bravoure face à l'injustice, à l'aveuglement, ou pour le dire plus simplement, au racisme.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    742 abonnés 1 479 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 septembre 2024
    1759, sur l'Isle de France (ancien nom de L'Ile Maurice), nous allons suivre un père et sa fille tentant de fuir leur condition d'esclave.
    Une chasseuse de marrons (nom donné aux esclaves qui s'évadent de la propriété de leur maître) est mobilisée pour les traquer et les ramener...
    Globalement, je n'ai pas vraiment apprécié ce énième film sur ce sujet pourtant terrible qu'est l'esclavagisme, trop de choses ne fonctionnent pas d'après moi ici.
    En vrac, ce qui cloche dans ce long-métrage : l'empathie pour les deux personnages principaux est mal construite au départ et ne permet pas de faire ressentir au spectateur beaucoup d'émotions quant à leur destin, Camille Cottin (que j'aime pourtant bien en général) n'est pas très crédible en "Madame La Victoire" traqueuse de nègres, des longueurs évitables, un scénario qui se résume assez vite en une sorte de chasse à l'homme en forêt poisseuse et pénible, et une dérive chamanique totalement incongrue et inappropriée.
    Bref, quel ennui !!!
    Un drame historique sur un thème délicat, puissant et inhumain passant à côté de son sujet et de l'émoi qu'il aurait du susciter !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    328 abonnés 605 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 septembre 2024
    Je suis allé voir " Ni chaînes, ni maîtres" avec un a priori indécis après avoir visionné sa bande annonce.
    Le film bénéficie d'un casting solide, d'une belle photographie et ravira ceux qui aiment les histoires de grands espaces.
    Je me pose davantage de question sur les motivations du réalisateur.
    Le propos sur l'esclavagisme pratiqué par les français dans l'Isle de France ( futur Ile Maurice) est certes montré sous son aspect le plus critiquable mais cette partie n'est pas très creusé ou via quelques scènes convenues.
    Je me suis du coup interrogé sur sa direction très "koh lanta" à mi chemin et sur l'intervention du fantastique un peu "vaudou" qui finalement affaiblit le propos critique historique
    hugo G.
    hugo G.

    19 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2024
    C’est un film important ! Remplie de cinéma. J’ai pris une claque monumentale. D’utilité publique et en même temps un vrai divertissement. Allez y avé vos ados !
    Les meilleurs films de tous les temps
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