4,0
Publiée le 11 mars 2025
Certes, Mickey 17 n'a pas l implacable dextérité du génialissime parasite mais le nouveau film du cinéaste coréen n en est p1s moins réjouissant pour autant. film de SF bien déjantée, le film va se révéler dans sa 2eme partie une délicieuse critique de la société ultralibérale et de la bêtise humaine. si Pattinson est impeccable dans son double rôle, toujours dans le second degré, on appréciera surtout le jeu volontairement excessif de mark ruffalo et toni collette. De la série B de cette haute volée, on en redemande.
2,5
Publiée le 15 mars 2025
Une comédie noire sous forme de satire politique, inégale et assez ennuyeuse qui a de bonnes qualités techniques mais guère d'attrait.

La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2025/03/mickey-17-de-bong-joon-ho-tres-inegal.html
4,5
Publiée le 12 mars 2025
Un long-métrage brillant qui critique le colonialisme, la suprématie humaine, et les abus du monde du travail avec des acteurs incroyables, pas mal d'humour, une histoire originale et de belles images.

Seules pèchent quelques longueurs. À part ça c'est un sans faute.
3,5
Publiée le 4 mars 2025
Bong Joon Ho fait son retour après son triomphe avec Parasite. Avec Mickey 17, le réalisateur coréen aborde les inégalités de classes et le colonialisme comme à son habitude mais avec un ton d'humour noir et critiques vis-à-vis de certains dirigeants actuels (vous devinerez rapidement lequel). Cela fonctionne bien, d'autant que les acteurs se donnent à fond, notamment un impressionnant Robert Pattinson.
Mais si j'ai beaucoup aimé le début, je trouve que le scénario s'éprapille et se brouille à mesure qu'il brasse de nouvelles thématiques. Le film en vient à être alors moins agréable à suivre.
3,0
Publiée le 5 mars 2025
"Mickey 17" est un film que j'ai trouvé un peu décevant. L'histoire est très intéressante et plutôt bien prenante. La mise en scène pouvait être mieux tournée, les personnages sont plus ou moins attachants et j'ai trouvé le personnage de Mark Ruffalo insupportable.
3,5
Publiée le 6 mars 2025
Derrière le spectacle S.F barré que nous concocte Bong Joon-Ho, il y a une idée glaçante. spoiler: Celle d'un humain "remplaçable" dans la société capitalistique, qu'on tue et réplique à loisir pour remplir l'objectif
. En substance, la synthèse de Mickey 17, satire noire qui tend un miroir déformant sur ce qu'on connait hors des salles. C'est avec un plaisir renouvelé que le réalisateur sud-coréen aborde le genre après Snowpiercer, et il s'en donne à cœur joie pendant la partie introductive qui présente personnages, règles du jeu et renversement de table avec une remarquable fluidité. Le fond étant particulièrement hideux, Joon-Ho l'habille avec un humour décapant qui va de l'ironie grinçante à l'absurde total en passant par le potache. L'opportunité pour Robert Pattinson d'élargir un peu plus sa gamme de jeu et il s'en saisit avec brio. Aussi à l'aise dans la bouffonnerie que dans la sensibilité, l'acteur est à la hauteur du défi et il était de taille. Mais on y croise aussi Mark Ruffalo en gros industriel stupide dans un savoureux cabotinage spoiler: qui n'est pas sans rappeler quelqu'un (un indice : c'est un président américain)
. Et Naomi Ackie qui crève l'écran dans un rôle tout en force de caractère. Mickey 17 a de l'ambition, c'est clair. Sûrement trop, à en juger par certaines sous-intrigues qui alourdissent inutilement la narration. Je pense aux personnages de Timo et Kaï Katz, bien joués mais parfaitement dispensables. On peut également trouver que la dynamique entre Mickey spoiler: et son double
n'est pas poussée très loin. Et trouver l'épilogue un peu trop programmatique. On est plus proche d'Okja que de Parasite, soit un film qu'on retient plus pour ses idées que pour leur exécution.
3,5
Publiée le 8 mars 2025
Bong Joon-ho, cinéaste reconnu pour son habileté à fusionner genres et thématiques, revient avec "Mickey 17", une fable de science-fiction portée par Robert Pattinson. Doté d’un concept intrigant et d’une mise en scène efficace, le film propose un spectacle visuellement abouti, mais qui peine à atteindre tout son potentiel.

L’histoire d’un homme condamné à mourir encore et encore, réimprimé à l’infini pour accomplir des missions suicidaires, est une base prometteuse. Les premières minutes du film exploitent habilement cette prémisse, en particulier grâce à Pattinson, qui livre une interprétation nuancée de Mickey 17 et Mickey 18. Sa performance parvient à insuffler un vrai contraste entre les deux versions du personnage.

Malheureusement, le film ne pousse pas son concept aussi loin qu’il le pourrait. spoiler: Plutôt que d’explorer en profondeur les implications philosophiques du clonage ou de plonger dans l’horreur existentielle d’un homme conscient de son caractère jetable, l’intrigue s’oriente vers un récit plus conventionnel de colonisation spatiale et de conflit avec les Creepers.
Ce choix n’est pas inintéressant, mais il donne l’impression que le scénario passe à côté de son sujet principal.

Bong Joon-ho est un maître du mélange des genres, et "Mickey 17" ne fait pas exception. Cependant, cette fois-ci, l’équilibre est plus fragile. Le film oscille entre science-fiction philosophique, satire sociale et moments de comédie absurde, sans toujours réussir à fusionner ces éléments de manière fluide.

spoiler: Un exemple frappant : la scène où Mickey 17 assiste à un dîner organisé par Marshall. Ce moment aurait pu être une pure montée en tension, mais le film choisit d’introduire un gag autour d’une viande expérimentale qui le rend malade, transformant un moment potentiellement marquant en une scène plus anodine.


Si certains passages humoristiques fonctionnent, notamment grâce au jeu physique de Pattinson, d’autres cassent le rythme et empêchent le film d’atteindre une vraie intensité dramatique.

Robert Pattinson est sans aucun doute le point fort du film. Il donne à Mickey 17 une vulnérabilité touchante et à Mickey 18 une agressivité contrôlée, rendant les interactions entre les deux captivantes.

Cependant, le reste du casting est plus inégal. Naomi Ackie apporte une énergie intéressante à Nasha, mais son personnage manque de profondeur. Mark Ruffalo, en chef de colonie autoritaire, joue un antagoniste qui aurait gagné à être plus nuancé. Toni Collette, pourtant talentueuse, se retrouve avec un rôle relativement limité. Ce déséquilibre empêche certains enjeux dramatiques d’avoir l’impact qu’ils méritent.

Sur le plan visuel, le film est une réussite. La planète Niflheim est magnifiquement représentée, avec ses paysages gelés et son atmosphère oppressante. Les effets spéciaux, en particulier les Creepers, sont convaincants et évitent l’écueil du tout numérique criard.

Le premier acte est efficace, avec une introduction bien construite et une mise en place intrigante. Le deuxième acte s’essouffle, enchaînant des dialogues répétitifs et des sous-intrigues secondaires qui diluent l’intérêt principal. Le final apporte enfin de la tension, mais certaines résolutions semblent précipitées et laissent un sentiment d’inachevé. Le film aurait gagné à resserrer sa narration, en se concentrant davantage sur la dualité entre Mickey 17 et Mickey 18 plutôt que sur des conflits annexes.

Bong Joon-ho a toujours incorporé une critique sociale dans ses œuvres, et "Mickey 17" ne fait pas exception. L’idée d’un travailleur considéré comme une ressource jetable, un pion interchangeable au service d’un système oppressif, est une thématique pertinente.

Cependant, le film manque de finesse dans son exécution. Là où "Parasite" et "Snowpiercer" utilisaient la satire avec subtilité, "Mickey 17" a tendance à marteler son message. spoiler: Le discours final, notamment la scène de rébellion contre Marshall, semble trop attendu et manque de véritable surprise.
Le propos du film est intéressant, mais sa manière de le livrer est parfois trop directe, limitant son impact émotionnel.

"Mickey 17" est un film qui alterne entre éclairs de génie et longueurs frustrantes. Visuellement impressionnant et porté par un Robert Pattinson en grande forme, il souffre néanmoins d’un ton irrégulier, d’un rythme inégal et d’une intrigue qui ne va pas toujours au bout de ses idées.

Ce n’est ni un chef-d’œuvre, ni un échec, mais plutôt une œuvre intrigante qui laisse une impression mitigée. On en ressort avec des images fortes en tête, mais aussi avec le sentiment que le film aurait pu être bien plus marquant avec un meilleur équilibre narratif.

En somme, un film à voir pour ses qualités, mais qui ne marquera pas les esprits aussi durablement que les meilleures œuvres de Bong Joon-ho.
4,0
Publiée le 4 mars 2025
Dans le cadre de la soirée des passionnés nous voici lancé dans un film de science fiction qui mélangé habillement avec de l'humour, la caricature (désolé mais le personnage joué par Ruffalo "Hulk" quoi) si c'est pas Trump?!!) et un fond sur les différences. On se laisse embarquer dans cette aventure bien foutu avec des acteurs/actrices nickel avec un plus pour donc Pattinson et Mark Ruffalo vraiment parfait. On ne s'ennuie pas une minute durant les plus de 2h et bravo au réalisateur Joon Ho qui passe du primé à Cannes "Parasite" qui n'a strictement rien à voir avec ce film là avec réussite.
NOTE : 8.25/10
4,0
Publiée le 11 mars 2025
Dans la lignée de Snowpiercer, Le Transperceneige et Okja, Mickey 17 n’est clairement pas ce que Bong Joon Ho a fait de mieux tant il semble bien trop s’inspirer d’autres classiques de la science-fiction sans proposer quelque chose d’innovant. Le long métrage reste cependant un excellent divertissement magnifiquement réalisé et très bien interprété qui aurait mérité un dernier acte plus recherché. [lire la critique complète sur Freakingeek.com]
0,5
Publiée le 11 mars 2025
Le cinéma sud-coréen est vraiment surcoté. Et nous impose des réalisateurs prétentieux.
Un mélange de Starship trooper et de Moon de Duncan Jones. La narration est antipathique, les acteurs sont mal dirigés et en font trop, . On s'ennui.
4,0
Publiée le 8 mars 2025
Le réalisateur de « Parasites », le coréen Bong Joon Ho, revient sur les écrans avec cette fois une fable de science fiction, une satire assez féroce du capitalisme et de l’eugénisme. Financé par Warner, avec un casting de stars hollywoodienne et des moyens conséquents, voici donc « Mickey 17 », un film de près de 2h30 qui débute par un très long flash back. Car la première demi-heure du long métrage, après une petite scène d’ouverture dans la neige et la glace de la planète Niflheim, sert à poser les bases de toute l’intrigue : qui est Kenneth Marshall, ce politicien populiste et sans scrupule ? Qu’est-ce que le programme des « remplaçables » ? Comment ont vécu et péri les 16 premiers « Mickey » ? Tout cela est longuement expliqué avec force détails, cruauté et ironie avant que l’intrigue ne démarre réellement. Cette longue introduction est indispensable pour que qu’on puisse appréhender ce monde de 2054 qui ne fait pas (du tout) envie. Un deuxième flash back interviendra ensuite, pour expliquer pourquoi les « multiples » ne sont pas tolérables dans ce système. Le film est long mais ce n’est pas un problème parce qu’il y a plein de choses à se mettre sous la dent : de l’humour au vitriol, de la tendresse, de l’action, quelques effets spéciaux et un peu de violence. Cette violence n’est pas montrée frontalement comme elle avait pu l’être dans la dernière partie de « Parasites », ici elle est souvent hors champs et suggérée (par le son notamment) plutôt que sanglante et complaisante. Accompagné d’une BO sympathique mais sans plus, le film est suffisamment dynamique pour que les quelques rares longueurs n’altèrent pas le rythme. Bong Joon Ho pousse le curseur dans beaucoup de domaines, et dénonce clairement les excès d’un capitalisme débridé, le fourvoiement d’une certaine idée de la science, la tentation eugéniste des autocrates. On pourra toujours objecter que cela est fait sans nuance mais on est devant une fable, une sorte de conte de science fiction. spoiler: Les humains viennent infecter la nouvelle planète, ils le proclament ouvertement, et ils parlent des espèces autochtones en les traitants d’ « aliens », ce qui est un non sens total.
Mais qui se soucie du sens des mots, de la morale, d’une certaine idée de l’Humanité ? Surement pas Kenneth Marshall ! spoiler: Ce populiste à perdu les élections ? Peu lui importe, il va coloniser une nouvelle planète où il pourra régner tel un despote sur des fidèles fanatisés, à bases de slogans simplistes, de bling bling, de logos, de christianisme dévoyé. Toute ressemblance entre le personnage grotesque incarné (merveilleusement) par Mark Ruffalo est tout, sauf une coïncidence ! Mickey 17, qui doit cohabiter par erreur avec Mickey 18, a un caractère faible. Mickey 18, lui, est plus cynique et plus courageux aussi sans doute. Apparemment, les clones ont beau être refaits à partir de la même matrice, il y a des nuances entre eux. C’est étrange quand on y pense, il n’y a aucune raison à cela, à moins que ce clonage ne finisse par altérer le modèle, ce que le scénario ne suggère pas réellement.
Ce scenario a plein de jolies idées, spoiler: comme cette cohabitation avec l’espèce autochtones, des insectes énormes et repoussants qui sont, paradoxalement, les plus humains que les humains… et plus futés que Marshall, mais ce n’est pas très compliqué
. Le casting apporte beaucoup au film avec d’abord un Robert Pattinson omniprésent, souvent drôle et attendrissant, que je trouve bien plus intéressant que quand il incarne un Batman ombrageux. Pour un peu, il se ferait presque voler la vedette par Toni Collette et Mark Ruffalo, qui en font des caisses dans le rôle d’ Ylfa et Kenneth Marshall. Il y a 10 ans, j’aurais dit que c’étaient des caricatures de populistes milliardaires mégalomanes et sans morale. Mais on est en 2025 et pour notre malheur, cela ne sonne plus tellement comme une caricature. Ruffalo (un de mes acteur chouchou) est incroyable avec son phrasé si particulier, sa bouche en cul de poule et ses tirades surréalistes. « Mickey 17 » fait rire, fait un peu frissonner et fait réfléchir aussi. Bien-sur tout cela est outrancier, improbable, presque clownesque par moment mais on rit un peu jaune. Improbable, outrancier, vraiment ?
3,0
Publiée le 11 mars 2025
6 ans après le phénomène mondial qu'a été «Parasite», le talentueux Bong Joon-Ho replonge dans la S-F en nous proposant aujourd'hui ce «Mickey 17», co-produit avec les USA (et notamment avec Plan B, la boîte de production de Brad Pitt).

Un film qui figurait parmi mes grosses attentes de l'année et qui, au final, m'a un peu déçu au vu de la qualité de la plupart des films que le cinéaste coréen nous avait offert jusque-là.

Quelque part entre un «Snowpiercer» (de par son esthétique grisâtre et son portrait des classes dominante et dominée) et un «Okja» (de par son ton plus décalé et l'écriture volontairement excentrique et grotesque de certains personnages), cette satire dystopique nous conte l'histoire assez originale de Mickey Barnes, qui s'est porté volontaire pour devenir un "remplaçable" lors d'une expédition spatiale dont l'objectif est de coloniser une planète lointaine appelée Nilfheim.
Véritable rat de laboratoire, il teste tous les dangers possibles (surtout les plus mortels) pour éviter que le reste de l'équipage n'ait à les subir, leur permettant ensuite de créer des vaccins spécifiques en réponse à ces différents dangers. Bref, il se tue littéralement à la tâche...jusqu'à ce qu'on le "réimprime", et c'est reparti.
Un quotidien qui se répète encore et encore, jusqu'au jour où spoiler: la 17e version de Mickey, que tout le monde pensait mort, se retrouve face à sa version suivante, au tempérament bien plus éruptif. Un malentendu qui représente une infraction aux yeux de la loi en place, et pour lequel ils risquent tous les deux la mort, la vraie, la définitive, sans reboot.


Dotée d'une ambition visuelle certaine et teintée d'un humour noir qui fait souvent mouche, une nouvelle œuvre voulant adapter la frénésie (narration comme interprétation) propre au cinéma coréen aux codes du cinéma hollywoodien, ce qui peut parfois créer une dissonance un peu étrange au cours du film, malgré un casting très investi (Robert Pattinson, qui prend un plaisir non dissimulé à jouer les clones, un peu à la manière d'un Michael Keaton dans «Mes Doubles, ma femme et moi» ; Mark Ruffalo et Toni Collette, cruels et outranciers dans les rôles de ce couple à l'esprit Trumpiste ; Anamaria Vartolomei, qui gère très bien son premier rôle en langue anglaise).

Quant à son scénario, il est à la fois bordélique et (trop) foisonnant (voulant traiter de thématiques comme le clonage, la mort, la politique, la colonisation, le double, l'étranger, etc.), s'éparpillant et se perdant un peu dans tout ce qu'il voudrait nous raconter, et connaissant quelques baisses de rythme au cours de ces 2h17 que dure le film.

J'en attendais peut-être autre chose (le dernier tiers notamment, spoiler: mettant les envahisseurs face aux aliens, pour se terminer par un happy-end assez expéditif, m'a plutôt moyennement convaincu
), peut-être un meilleur équilibre entre décalage et sérieux, entre la vision burlesque de cette chair à canon "immortelle" que représente Mickey et la critique frontale d'un système déviant et abusant de son pouvoir, comme si les deux avaient un peu de mal à s'accorder, à communiquer entre eux.

Bref, vous l'aurez compris, il m'a manqué quelque chose pour classer ce «Mickey 17» parmi les œuvres les plus marquantes de son réalisateur, et ce malgré une mise en scène toujours soignée, une distribution débordante d'énergie (un peu trop diront sans doute certains) et une première partie des plus engageantes.

Une farce divertissante restant assez plaisante à suivre, mais qui ressemble un peu trop à une copie light (plus adaptée aux attentes du public américain peut-être ?) de ce que le cinéaste avait déjà pu nous proposer par le passé.

Bong Joon-Ho s'est-il fait parasiter ? 6-6,5/10.
2,0
Publiée le 4 mars 2025
Plus de 2 longues heures pour cette comédie fantastique qui en devient parfois interminable par certains moment…
Un humour un peu lourd, malgré tout notre sourire apparaît de temps en temps..
L’idée était bonne, mais le côté burlesque rend la chose risible et agaçant parfois. On a juste envie que le film se termine et à la fin on est soulager de quitter la salle, dommage il y avait de l’idée et Pattinson est plutôt bon !
3,5
Publiée le 4 mars 2025
Première incursion Hollywoodienne du réalisateur de Parasite, Mickey17 ne déçoit pas dans sa critique du capitalisme poussé à outrance et des dérives de l'eugénisme.
On retrouve de nombreux thèmes cher au réalisateur coréen. Les monstres et autres bêtes ( Okja, The Host) qui sont plus "humaines" qu'on ne le pense, la domination de classes ( Le transperceneige).
Robert Pattinson est excellent et on a même notre Anamaria Vartonomei dans le casting et bien sûr Mark Ruffalo et Toni Collette en couple de super méchants.
Le seul bémol est peut être le côté " too much" du film qui sacrifie à la tendance des blockbusters américains.
4,0
Publiée le 8 mars 2025
C'est fun, drôle par moment, léger franchement j'ai passer un bon moment. Le film est une satire et se cache pas, le scénario est original, le casting est très bon et l'acting est également qualitatif notamment Mark ruffalo. J'ai eu un peu de mal avec la VF de Pattinson par contre j'ai trouver que ça allait pas. Le film passe vite avec un bon dernier acte, j'ai bien aimé la façon dont l'univers, le décor et les enjeux nous sont présentés. Très bon film.
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