Derniers Avis : Le Livre des solutions - Page 10

J'avoue ne pas avoir compris l'intérêt, le message transmis. La réalisation et les acteurs cependant était bon. Peut-être que l'histoire raconte la création de ce film ?

Peu de critiques semblent l'avoir compris, Michel GONDRY raconte avec brio et humour sa plongée dans la maladie psychiatrique qui lui a compliqué le montage de son dernier film. Les situations qui peuvent peut-être faire rire nous permettent d'accéder au psychisme fou de cette maladie, avec des illuminations créatives comme dans la scène où le réalisateur congédie le chef d'orchestre pour diriger avec son corps l'orchestre embauché pour créer la musique de son film, ou des idées folles amenant le personnage a proposer chaque jour des solutions pour appréhender, à l'inverse d'un jour à l'autre. Quel courage de dévoiler ce que fait vivre cette maladie, la bipolarité, ici dans sa phase maniaque, et s'exposer à certains commentaires débiles de pseudo connaisseurs du cinéma qui osent conseiller à l'auteur d'augmenter son dosage de médicament expliquant qu'on a tous nos faiblesses (cf le masque et la plume). Un grand merci à l'équipe d'illustrer avec cette pertinence et cette finesse, sans oublier l'humour, cette maladie qui est aussi la source d'énormément de souffrance.

superbe comédie qui oxygène nos neurones et qui nous fait du bien ...
des comédiens géniaux...et un réal de rêve...très belle expérience un de mes plus beaux tournage ,un vrai régal d'avoir pu incarner l'ami de votre tante cher Michel,André le maire du village...merci...Christian Prat

Le Livre des Solutions est un film qui raconte la vie d'un cinéaste raté car très différent des autres. Pendant le film, ils nous montrent quelle est sa personnalité et combien il est difficile de s'occuper de lui, mais aussi il est très persévérant et cela l'aide beaucoup.

À mon avis, ce que j'ai aimé dans le film plus que tout, c'est parce que je l'ai trouvé très amusant, l'intrigue en elle-même j'ai l'impression qu'elle aurait pu être mieux racontée, mais de toute façon pour moi ce serait un 7.5/10.

Personnellement, ce qui m'a fait aimer ce film, c'est qu'il y a eu des moments qui m'ont fait rire, comme lorsque Marc a jeté l'assiette de spaghettis dans les escaliers ou comment il s'est mis à danser devant le groupe. Par contre, il m'a fallu un peu de temps pour comprendre le film jusqu'au bout. Je me suis ennuyé lorsqu'il a commencé à parler à sa tante Denise même si elle m'a semblé très douce. J'ai particulièrement apprécié les scènes qu'il a écrites dans son livre. Bref, j'ai apprécié le film, je l'ai trouvé divertissant et je trouve que c'est un film très original.

Le film n'est pas mauvais, personnellement je l'ai trouvé un peu fatigué et un peu ennuyeux, en résumé il nous raconte la vie d'un garçon qui veut faire un film mais quand il le propose à plusieurs directeurs de cinéma, ils lui disent que c'est un projet nul, alors il va chez sa tante pour continuer à le filmer tout seul. Pendant ce temps, il commence à écrire un livre sur "tous les problèmes" et leurs solutions.
Je considère que le film a un peu de drame mais il est plus biographique, le film est à mon avis trop long et ils donnent beaucoup de tours et de détours. Malgré tout, les scènes sont de qualité et les acteurs font un excellent travail, je le recommanderais juste pour passer le temps.

Ce qui est intéressant à relever, c'est le décalage de lecture entre ceux qui voient dans ce film un chef-d'œuvre, ce qu'il n'est vraiment pas !, et ceux qui y voient là une daube, ce qui s'en rapproche...
J'ai trouvé ce film assez ennuyeux, pas drôle à part un ou deux rares moments. Le personnage de Blanche Gardin sans intérêt ( elle n'en est pas responsable, c'est le scénario ), Pierre Niney plutôt pas mal. La meilleure scène du film restant à mon avis, celle de l'orchestre sans partition. Très surfait par les critiques professionnels.

Film: Le livre des solutions

Cet un film très passioné qui semble montrer une personne schizophrène et avec les états d'émotion d'un être humain en commençant par sa capacité créatrive permanente qui passe d'une idée à une autre sans terminer la première mais dans un état continu d'imagination créatrice. Puis la confrontation et discusion entre les personnes, d'abord drôle puis conflictuel car en affichant de moins en moins de tolérance envers ses amis et collègues. Plus tard, lorsqu'il a recommencé à prendre des médicaments pour contrôler sa schizophrénie, il est devenu déprimé et, chose incroyable, dans l'histoire, il y a un personnage qui apparaît au début comme assistant, puis apparaît à la fin du film pour représenter l'amour dans le personnage. la vie, qui donne de l'ordre et une certaine direction à la vie.

Le film est du genre dramatique et avec une très belle touche française de romantisme simple mais authentique. Même une touche unique d'expression d'amour dans le film a été la rencontre entre le personnage principal et la fille de ses rêves sous un matelas où il embrasse sa cicatrice et lui fait savoir que leur vie sexuelle sera basée sur les morsures.

Concernant la photographie, il y a deux choses que j'ai beaucoup aimé, d'abord la scène initiale qui montre l'arrière d'un téléviseur avec des branchements électriques, montrant un modèle très ancien mais propre et agréable et ensuite montrant que la façade est un téléviseur moderne. Ce qui finit par être une métaphore du personnage principal incroyablement complexe et immense à l'intérieur, simple et ordinaire à l'extérieur. La deuxième image photographique que j'ai beaucoup aimée, ce sont les maisons où se déroule l'histoire car ce sont de vieilles maisons très réelles et propres, comme des maisons de campagne.

Les costumes et le maquillage sont magnifiques car dans le plus pur style français c'est tout à fait naturel avec des cheveux presque en désordre chez les femmes comme chez les hommes, tandis que les vêtements sont aussi naturellement simples.

Le réalisateur du film est Michel Gondry et la photographie est realizé par Laurent Brunet.

Le Livre des solutions est certainement le Michel Gondry le plus personnel, intime, et un bel exercice de style pour Pierre Niney, en surchauffe durant 1h45. Mais si l'on n'adhère pas à l'humour très particulier de cette comédie, alors le temps va passer très, très, très lentement, et ça, c'est un vrai problème (sans solution). Dans la salle vide (4 personnes) où on l'a vu, les silences après chaque vanne étaient pesants, écrasants, alourdissant encore nos paupières qui ont eu du mal à résister à la première heure très redondante (oui, on a compris qu'il est parano, obsessionnel, perfectionniste... L'ensemble des gags ne tournent qu'autour de ça, comme si Gondry n'avait pas autre chose à dire, passé la présentation de son personnage loufoque), bruyante, à la voix-off plus que pénible (si le personnage principal ne supporte pas cette voix envahissante, pourquoi la supporterions-nous mieux ? Au bout de cinq minutes, on en peut plus de cette narration qui répète tout ce que le jeu de Niney dit déjà) et aux délires où l'on se dit "d'accord...si tu veux." avec impatience (la voiture qui descend, remonte, descend, remonte... Le délire de Max Le Renard, au beau milieu du film, "pour faire comme dans l’œuvre que le réal créé... ouh mise en abyme !", le camiontage qui est un gag durant trois minutes et dont on ne se ressert jamais...). On n'a pas ri une seule fois, mais on a eu une certaine tendresse envers quelques punchlines salées bien écrites (on a aussi tiqué quand "le mec qui tousse" - oui, parce que c'est son seul trait de caractère, durant 1h45, il tousse, et c'est tout... - crache devant les fromages... Pas touche au frometon, non mais !), envers la mise en scène très typique de Gondry (lorsque Niney fait la chenille en stop-motion, les découpages papier, etc...), envers un portrait de réalisateur qu'on sent très personnel (on avait entamé ce portrait "presque autobio" de la vedette bipolaire et schizo dans sa série Kidding, et maintenant on s'attaque à la psycho du réal, pas si éloignée finalement des troubles de Jim Carrey... Ces deux-là se sont bien trouvés, et, n'aurait été la retraite de Jim, on aurait adoré l'avoir pour conclure leur relation filmique), et évidemment envers un Pierre Niney qui y croit à fond. On s'est vraiment ennuyé, presque endormi, on n'a pas ri, on a souvent pensé que le réal aimait beaucoup se regarder filmer, qu'on aurait aimé voir l’œuvre finale (tout ce foin pour ne pas voir le produit fini ?!) et on est ressorti en étant sûr de zapper ce film intime mais vain dans la liste des petits bijoux déjà signés par Gondry. N'en reste pas moins que la mise en scène est fidèle à l'esthétique décalée de son auteur, que quelques dialogues cyniques sont bien trouvés, que l'on n'arrive jamais à détester cet artiste (qui épuise pourtant son équipe) car le seul vrai problème qu'il a, au fond, c'est d'accepter ses parts d'ombres, et un livre n'y peut rien (la morale nous a quand même attendri). Gondry s'offre un divan de psy excessif en tous points, et ce n'est pas le livre qu'il nous aurait fallu, mais le mode d'emploi.

ça m'apprendra à choisir un film pour les actrices et acteurs. ce film est très décevant : ni drôle ni émouvant. je déconseille vivement.

Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'univers un peu confus de ce jeune homme pourtant sympathique.
La scène du chef d'orchestre m'a fait sourire, mais c'est tout.

1,5 étoile et c'est généreux ! Film sans finalité. Je ressors de cette séance avec un sentiment contrarié.

Film quasi-autobiographie de Michel Gondry, qui nous entraine une fois de plus dans ces délires.

- J'ai aimé :

Le jeu plein de fougue de Pierre Niney, qui porte le film de son talent ;

- Je n'ai pas aimé :

La fin du film, je n'ai pas compris la signification.

J'ai trouvé le film un peu brouillon, je n'ai pas retrouvé le génie du film "eternal sunshine in spotless mind "qui est mon film préféré, ni la folie d'un "soyez sympa rembobinez" mais plus l'ennui comme "l'écume des jours".
Je n'ai pas réussi a apprécié ce film

Je suis bipolaire. C'est la première fois que j'ose me reconnaitre dans un film dont ça n'est pas ouvertement le sujet. C'est juste, tendre et drôle. Merci Gondry 🌱

Le personnage principale délirant, irritable, bipolaire , limite violent incarné par Ninay et qui ses collègues suivent malgré tout, j’ai trouvé too much.