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GiletMC
6 abonnés
82 critiques
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2,0
Publiée le 18 octobre 2023
Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'univers un peu confus de ce jeune homme pourtant sympathique. La scène du chef d'orchestre m'a fait sourire, mais c'est tout.
Film quasi-autobiographie de Michel Gondry, qui nous entraine une fois de plus dans ces délires.
- J'ai aimé :
Le jeu plein de fougue de Pierre Niney, qui porte le film de son talent ;
- Je n'ai pas aimé :
La fin du film, je n'ai pas compris la signification.
J'ai trouvé le film un peu brouillon, je n'ai pas retrouvé le génie du film "eternal sunshine in spotless mind "qui est mon film préféré, ni la folie d'un "soyez sympa rembobinez" mais plus l'ennui comme "l'écume des jours". Je n'ai pas réussi a apprécié ce film
Je suis bipolaire. C'est la première fois que j'ose me reconnaitre dans un film dont ça n'est pas ouvertement le sujet. C'est juste, tendre et drôle. Merci Gondry 🌱
Le personnage principale délirant, irritable, bipolaire , limite violent incarné par Ninay et qui ses collègues suivent malgré tout, j’ai trouvé too much.
j'ai vraiment passé un bon moment, j'ai beaucoup aimé la personnalité dérangée de Marc ( Niney) qui me rappelle ..moi ! Je ne comprends pas les mauvais avis mais chacun son style de film.
"D’abord, il n’y a rien, ensuite il y a un rien profond, puis une profondeur" de rien ! Je partage la juste critique de Splagada du 29/09, qui tente charitablement de sauver le peu d'intérêt que présente ce film, entre son scénario ennuyeux et sans intérêt, la platitude des dialogues, la banalité du jeu des acteurs, que seul rehausse celui de Niney, le flop des "effets comiques" qui n'amusent en réalité que la cervelle parait-il bipolaire de Gondry. Pas même la scène de l'orchestre que certains taxent ici "d'inoubliable" ou ces "phrases cultes" qu'on ressortira dans les soirées bobo ! C'est à peine si j'ai souri 3 fois, plus par dérision qu'autre chose (à l'ouverture de la porte des chiottes du taudis, ou à celle de la chambre de la tantine échappant finalement à sa "récompense"). Les 20 premières minutes on entend des ricanements forcés..., sans doute de quelques cinéphiles accompagnés, floués par les critiques dithyrambiques sur cette soi-disant "comédie" ("Hilarant ! Un triomphe à Cannes !), celles postées surtout du 10 au 20/09, par on ne sait qui !, car je me suis astreint à les lire, mais qui ensuite virent vite au vinaigre, lorsque le bon peuple s'y met à son tour ! S'il en est un qui a dû bien rire de la "splendeur du cinéma d'auteur français", c'est Sting, si tant est qu'il ait pris la peine de dépenser un malheureux quart d'heure de son temps pour visionner un extrait du second plus mauvais film qu'il m'ait jamais été donné (14,50 € quand même) de voir !
Que Michel Gondry ait réalisé ce film pour témoigner de ce qu'il a pu vivre, de ce qu'il est, je peux le recevoir. En revanche, en quoi nous faire partager, en tant qu'histoire, son incapacité permanente à stabiliser sa pensée, sa maladive recherche d'une porte de sortie aux impasses vers lesquelles le conduit sa bipolarité, alors là, je suis encore dans l'interrogation. Hormis Pierre Niney qui semble s'être parfaitement fondu dans son personnage (jeu très subtil en retenue lorsqu'il reprend ses cachets), les autres acteurs-actrices (dont Blanche Gardin) semblent être dans une partition décalée, contraints d'observer et de temporiser les tribulations du réalisateur. Quant à ce "livre des solutions", dont je veux bien qu'il ait été une thérapie personnelle utile à Michel Gondry, oserais-je dire que je l'ai trouvé bien pauvre en vraies "solutions" (son expérience perso a apparemment nourri "son" scénario : grand bien lui fasse, mais la matière est insuffisante pour tenir la distance ... je me suis assez vite sérieusement ennuyé vite tant le ressort est toujours le même) ! .. J'ai en revanche apprécié la scène finale : belle trouvaille visuelle pour rendre à l'image la peur du réalisateur,
Le film “ Le livre des solutions” est un film du réalisateur Michel Gondry. Les acteurs principaux sont: Pierre Niney comme Marc Becker, Blanche Garden comme Charlotte, Frankie Wallach come Sylvia, Camille Rutherford comme Gabrielle, Francoise Lebrun comme Denise, Vincent Elba comme Max Laporte et Mourad Boudadoud comme Carlos. Le film a un duration du 1 heure 42 minutes. Le genre est comédie et drame. Pour commencer, mes premières impressions sont que le film serait comique, intéressant, pas comme autres et captivant, par contre il a été bizarre, stupide, médiocre, insipide et insolent. C’est dommage parce que les lieux, les décors, la musique, l’esthétique, les images et les schémas de couleurs je les ai trouvés incroyables et admirables. Pour moi, la meilleure scène du film a été celle où Marc a rencontré l’orchestre et, m{eme s’il n’avait pas de partition il a réussi à exprimer avec son corps tous les sons et musiques qu’il voulait inclure dans son film. Pour finaliser, il y avait beaucoup de bons aspects, mais je n’ai pas vu l’intérêt du film et j’ai eu l’impression d’être une perte de temps.
Inventif et original, absurde et amusant, le dernier Michel Gondry dépeint avec beaucoup de créativité toujours, un auto portrait tourné en auto dérision. Pierre Niney est une pépite; dommage que Blanche n'ait pas une plus grande place dans ce film. A voir !
De l'effet très spécial nommé autodérision... Un film sur le doute, qui devrait étreindre tout vrai créateur. Et comme toujours, s'agissant de Gondry, un point de vue très original : il s'agit ici de suivre les méandres d'un réalisateur, dont le premier montage du film n'a pas suscité l'enthousiasme de ses producteurs. Comment retrouver la force de recommencer un nouveau montage? et même de finir le film? Comment garder son indépendance d'un côté, et la confiance de son équipe de l'autre? Un très beau portrait de femme au passage, à travers celui de la tante.
n'étant qu'un français moyen et pas non plus un cinéphile des plus aguerri avec ma conjointe nous avons décidé au hasard. Quelle déception, vide, rien, nous avons faillit quitter la salle avant la fin. À postériori je me suis interrogé si le réalisateur n'a pas souhaité moquer le "parisiannisme mondain" qui s extasie même de la médiocrité pourvu que cela émane d'un nom reconnu du milieu.