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    Empire Of Light
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    273 critiques spectateurs

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    traversay1
    traversay1

    3 127 abonnés 4 631 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2023
    Avec Empire of Light, le changement de registre de Sam Mendes, après 1917, peut sembler surprenant mais il n'en témoigne pas moins d'une certain ambition formelle, sa photographie superbe en représentant, à l'évidence, son meilleur, atout. Dans ce film, écrit seul par le cinéaste, comme un hommage à sa mère bipolaire, le choix de situer l'action dans un cinéma Art déco de la côte anglaise, au tout début des années 80, installe un cadre nostalgique qui semble s'inscrire dans une tendance récente à célébrer le cinéma comme art collectif (menacé aujourd'hui par les plateformes) et consolation magique à la rudesse de la vie réelle. Si Empire of Light n'est pas comparable à The Fabelmans de Spielberg, ce n'est pas seulement parce qu'il ne s'agit pas d'une autobiographie mais c'est également à cause de la difficulté qu'a Mendes à choisir entre plusieurs de ses thématiques : la romance centrale, un peu artificielle, le racisme ambiant (clin d’œil évident au monde d'aujourd'hui) ou encore la précarité mentale de son héroïne. A vrai dire, si le film séduit par son élégance, il a plus de mal à convaincre par un scénario qui aborde donc plusieurs sujets, en tentant de les faire cohabiter, quitte à les édulcorer en forçant sur les soubresauts narratifs, sans réussir à sortir d'une certaine torpeur, sauf le temps de quelques scènes saillantes. Pour autant, le long-métrage reste plaisant et confortable, animé par le jeu tout en nuances de l'excellente Olivia Colman et la belle prestation du prometteur Michael Ward.
    vidalger
    vidalger

    296 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 février 2023
    Tout y est ou presque pour faire de ce film une grande réussite : Sam Mendes ajoute un quasi chef d'œuvre à sa filmographie aussi remarquable par sa qualité que par son éclectisme. La sélection des acteurs participe en grande partie à l'empathie et l'émotion qui saisissent le spectateur quasiment à chaque scène. Remarquables - notamment - Olivia Colman en presque vieille employée d'un cinéma miteux et Michael Ward en jeune étudiant noir victime du racisme endémique d'une société anglaise qui perd ses repères ancestraux.
    La rencontre de ces deux personnages dans un monde qui reflète la chute de l'Empire britannique dans le métaphorique microcosme d'un cinéma de la côte sud de l'Angleterre, leur permettra de réorienter leur existence.
    Quelques scènes d'anthologie, de très belles images, on sort heureux du cinéma qui nous a permis de voir ce film ! Merci au Balzac...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 182 abonnés 3 988 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 février 2023
    Après "Babylon" et "The Fabelmans", l'année 2023 offre une nouvelle surprise aux cinéphiles : "Empire of Light". La très grande actrice Olivia Colman est employée d'un cinéma et forme un nouveau venu pour qui elle s'éprend. Son quotidien morose prend alors une autre tournure. Le brillant Sam Mendès aborde le racisme et la différence dans une mélancolique histoire d'amour tout en rendant hommage à ceux qui, dans l'ombre, œuvrent à nous offrir les plus belles séances de cinéma.
    Jorik V
    Jorik V

    1 204 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2022
    D’aucuns diront que ce film manque de spontanéité. Qu’il semble calibré du début à la fin et du scénario à la musique en passant par ces thématiques et son contexte pour être un bulldozer à récompenses. Ils n’auront pas totalement tort mais cela n’enlève absolument rien à sa réussite et sa beauté plastique. Et peut-être qu’en effet, le script manque d’aspérités et d’un véritable fil conducteur. Cependant, à l’image de son précédent film, le tout aussi visuellement somptueux et techniquement impressionnant « 1917 », Sam Mendes se pose définitivement comme un esthète du cinéma. Et s’il soigne plus la forme que le fond, la première est clairement sublime et le second n'est pas non plus aux abonnés absents. « Empire of light » est donc, en dépit de ses velléités de reconnaissance par les institutions cinématographiques, un très beau film.

    Quand on regarde dans le rétroviseur, à la vue de la filmographie du cinéaste, on se rend compte que, peu importe le genre abordé, ses images vont le magnifier. Et cela même si le film est moyen ou décevant, ce qui demeure un fait rare chez le réalisateur qui peut tout de même se targuer d’un palmarès composé de « American Beauty », « Skyfall », « Les Noces rebelles » ou « Les Sentiers de la perdition »; on ne voit donc que « Away we go » comme une œuvre plus mineure. Et bien aidé par Roger Deakins, le directeur de la photographie de, entre autres, « Blade Runner 2049 » ou « Sicario » et déjà à l’œuvre sur « 1917 ». Il nous peaufine des images qui enchantent notre rétine. De l’ouverture du film, apaisée et enchainant les superbes plans sur ce vieux cinéma des années 80 en passe d’ouvrir pour sa première séance, à un magnifique feu d’artifice de Nouvel An ou à la découverte des zones secrètes de l’endroit, le spectacle visuel est complet. C’est comme si « Empire of Light » était une succession de clichés photographiques d’artistes avec pour thème le cinéma de cette époque. Rien que pour cela, le film vaut le détour. Mais ce n’est pas tout : Olivia Colman livre encore une fois une prestation d’une force et d’une finesse incontestable. Ce portrait de femme fragile et un peu schizophrène qui va s’éprendre d’un jeune homme de couleur lui doit beaucoup au niveau des émotions.

    Le décor de ce cinéma qui a pignon sur le front de mer est parfaitement optimisé et le récit nous tient malgré sa minceur et son manque de développements. Il est vrai que le discours sur le racisme est quelque peu forcé et que la morale qui va avec est prodiguée de manière un peu trop démonstrative. Pareillement, les scènes voulant rendre hommage au cinéma sont tellement marquées qu’elles s’apparentent à des passages obligés, manquant de naturel. Et de ce fait, la magie souhaitée n’opère pas forcément. En tout cas dans ces moments-là. Mais elle fonctionne à d’autres moins attendus comme lors de ce baiser volé sur le toit ou quand Hilary regarde pour la première fois un film dans le cinéma où elle travaille. Et l’émotion n’est pas en reste, notamment sur la fin à travers quelques séquences poignantes (celles à l’hôpital). « Empire of light » n’est peut-être pas le chef-d’œuvre voulu et/ou annoncé mais il c’est une œuvre de haute couture formelle et qui nous fait cependant passer un beau moment de cinéma dans un cinéma et sur le cinéma.

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    Cinemadourg
    Cinemadourg

    688 abonnés 1 428 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2023
    Après avoir réalisé quelques films d'action ("Skyfall" en 2012, "007 Spectre" en 2015, "1917" en 2019), Sam Mendes revient avec une histoire plus intimiste se déroulant dans un cinéma anglais des années 1980.
    Hilary, qui travaille dans ce complexe cinématographique depuis longtemps, est une femme seule, morose et fragile.
    Lorsque Stephen, qui rêve aussi d'autre chose dans la vie, est embauché dans ce temple du grand écran, le quotidien de ces deux protagonistes va peu à peu s'éclairer...
    Ce drame nous dépeint une romance amoureuse assez touchante semée d'embûches, à la fois porteuse d'espoir et de tristesse.
    J'ai beaucoup aimé la prestation d'Olivia Colman, seul rayon de soleil de ce film hyper nostalgique tournant légèrement en rond, et restant un peu trop dans la retenue à mon goût.
    Mais qu'est allé faire Colin Firth dans ce rôle minimaliste d'un type assez détestable ??
    Assez soigné et particulièrement mélancolique.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    335 abonnés 520 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    Ce nouveau film de Sam MENDES qui a pour cadre une salle de cinéma sur la côte ouest de l’Angleterre dans les années 80 est très bien réussi. L’histoire de cette gérante de cette salle de cinéma est très attachante et racontée par le réalisateur avec beaucoup d’humanité et de justesse. L’interprétation de ce personnage par Olivia COLMAN est tout simplement remarquable. La salle de cinéma qui sert de toile de fond dans ce film revêt même une grande importance dans le déroulé de ce beau film.

    Bernard CORIC
    Julien C.
    Julien C.

    23 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 février 2023
    Ce film est tout simplement merveilleux. Sam Mendès confirme son statut de très grand metteur en scène avec ce film très personnel, dont on ne sait pas du tout où il va nous emmener (et c'est tant mieux). Il faut redire aussi à quel point Olivia Coleman est exceptionnelle. Du beau, du bon, du grand cinéma comme celui auquel on rêve d'assister dans ce cinéma Empire, qui sert de fabuleux décor à ce film profondément humaniste.
    eldarkstone
    eldarkstone

    187 abonnés 1 959 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2023
    Sam Mendes nous livre une œuvre intimiste et dramatique assez belle, avec de très belles images, de bons personnages, et une histoire, qui peu à peu, s'immisce en nous.
    Napoléon
    Napoléon

    118 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mars 2023
    Une magnifique mise en scène doublée d'une superbe photographie. Un film visuellement très beau. L'interprétation est d'une grande justesse spécialement les deux acteurs principaux qui sont impressionnants. Néanmoins, le film aurait mérité que les sujets abordés soit beaucoup plus approfondies parce que au final on se demande où était l'intérêt scénaristique du film. Sans oublier le sujet du racisme qui était dispensable. Dommage il y avait un gros potentiel.
    FaRem
    FaRem

    7 475 abonnés 8 850 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2023
    « Nul ne te donnera la vie que tu désires. Tu dois la saisir toi-même ». Hilary fait partie de ces gens qui donnent des conseils qu'ils n'appliquent pas eux-mêmes. Cette dame ne semble pas épanouie dans la vie. Elle fait un métier dont elle ne profite pas des avantages et elle cède sans rechigner aux avances de son patron malgré qu'il soit marié. De rares et tristes moments où elle reçoit de l'attention et de l'affection si l'on peut qualifier ça ainsi. Après une période difficile, l'arrivée de Stephen, un nouvel employé, va égayer son quotidien. "Empire of Light" est une lettre d'amour au cinéma, que ce soit ce lieu de rencontre et de partage ou cet art qui sert d'échappatoire. Hilary a d'ailleurs bien besoin de s'évader et c'est grâce à Stephen qu'elle va pouvoir penser à autre chose et s'épanouir en tant que femme même si ses démons ne sont jamais très loin. Stephen aussi en a bien besoin puisque la situation du pays est tendue, y compris dans cette ville côtière anglaise. À travers ces deux personnages dont l'alchimie est évidente, Sam Mendes aborde différents thèmes. Tout n'est pas équilibré et certaines choses semblent sous-exploitées. Cependant, la superbe photographie, la solide performance des acteurs notamment l'excellente Olivia Colman et le magnifique cadre font de ce "Empire of Light" un drame attachant et attendrissant.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    587 abonnés 2 764 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 février 2023
    Après Babylon et The Fabelmans, Empire of Light confirme la tendance récente d’un cinéma soucieux de réfléchir le/au cinéma. Sam Mendes renonce ici au spectaculaire qui définissait son geste dans 1917 ou Skyfall pour lui préférer la simplicité apparente, fruit d’une nouvelle et belle collaboration avec son directeur de la photographie Roger Deakins : les plans refusent la sophistication, les mouvements de caméra la grandiloquence, les séquences une longueur épatante ; le rythme est lent, perturbé par des assauts de détresse psychologique ou sociale.
    Mendes fait le choix d’une mise en abyme du cinéma ni par une histoire du septième art – prisme adopté par Damien Chazelle – ni par la naissance d’un cinéaste – prisme adopté par Steven Spielberg – mais par le biais du lieu qui porte métonymiquement son nom. Aussi légitime-t-il l’attention qu’il porte à ses personnages, issus pour l’essentiel d’un milieu social modeste ; ce sont les petites mains, les invisibles, celles et ceux qui s’activent dans la lumière de l’entrée ou dans l’obscurité de la projection ; ce sont de petites gens qui pourtant portent en elles une complexité synonyme de grandeur lorsqu’elle se partage. Le film surprend ainsi par des protagonistes opaques et peu aimables, authentiques en somme : les troubles bipolaires dont souffre Hilary la rendent parfois antipathique et agressive, le cœur amoureux de Stephen fait des jalouses tout comme la couleur de sa peau lui attire des ennuis, Norman a abandonné sa famille sans se souvenir des raisons exactes, M. Ellis abuse de son employée pour combler l’insatisfaction que lui procure sa vie conjugale.
    Le pigeon blessé apparaît dès lors telle une métaphore : le cinéma offre asile aux personnes meurtries, soucieuses de se reconstruire par ces rayons lumineux qui traversent le néant pour advenir enfin sur la toile vierge. Chaque long métrage diffusé constitue un nouveau départ en perspective, un voyage dont s’empare à terme Hilary. Nous retrouvons d’ailleurs en clausule l’image du chemin linéaire bordé d’arbres, symbole cher à l’univers de Mendes qui indique le tracé d’une liberté dûment gagnée après moult épreuves.
    Pourtant, l’émotion vient à manquer. Les relations se font, se défont et se refont sans nous embarquer, la faute à une certaine froideur d’écriture ainsi qu’à une partition musicale sans âme – exit Thomas Newman ! sa poésie aurait été un atout précieux. De plus, le récit tend à se disperser dans la peinture de solitudes prises dans des enjeux politiques qui tout à la fois les concernent et les dépassent ; Sam Mendes ne laisse pas assez vivre ses séquences, souvent courtes, trop courtes. Nous sommes loin, par exemple, de la puissance de The Heart is a Lonely Hunter (1940), roman de Carson McCullers articulant avec brio trajectoires individuelles et destinées collectives en consacrant, dans la première partie, un chapitre à un personnage en particulier. Celles-ci demeurent, dans Empire of Light, assez évanescentes : elles ne marqueront ni le spectateur ni l’histoire du cinéma. Mais peut-être faut-il voir dans cette fugacité générale une qualité, la preuve que Sam Mendes peut et sait faire un petit film sans magnitude, à simple hauteur d’homme ?
    Hervé L
    Hervé L

    63 abonnés 603 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 mars 2023
    Un film lent et ennuyeux sur une histoire bien peu crédible entre une femme âgée et un peu zinzin et un bel ephebe noir venu des îles sur fond de racisme typiquement anglais. Les décors sont beaux et la photographie soignée mais cela ne sauvé pas le film
    Francoise H.
    Francoise H.

    22 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2023
    Franchement déçue. J'attendais un film sur le cinéma... j'ai attendu, je n'ai rien vu... à part une vieille salle de cinéma et l'époque des "bobines"... une femme schizophrène et l'ébauche du sujet racisme... sinon de bons acteurs mais le scénario part sur des pistes variées, finalement on ne sait pas quel est le sujet du film.
    Benevaaucine
    Benevaaucine

    23 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mars 2023
    Un film qui n’est malheureusement pas parvenu à susciter mon intérêt, malgré une Olivia Colman absolument géniale et sublime. Sans m’ennuyer vraiment, j’ai juste l’impression d’être complétement passée à côté de ce film parce que je n’ai pas saisi quel était son propos : un film sur la mère de l’auteur ? sur le cinéma ? sur le racisme en Angleterre dans les années 80 ? sur la bipolarité ? Sur une relation entre une quinquagénaire et un jeune étudiant ?

    Tout cela est injecté dans ce long métrage intimiste de Sam Mendes sans tellement de liant à part le lieu de l’intrigue : un cinéma au bord de mer qui nous offre quand même de très belles scènes . La scène où l’on visite les salles abandonnées, poétique. La scène de destruction par les skin head, choquante. La scène de l’avant-première des chariots de feu, perturbante et libératrice.

    Ce film qui part dans tous les sens m’a entrainé hors de lui. Dommage.

    Mon Instagram : @benevaaucine
    aldelannoy
    aldelannoy

    32 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 février 2023
    Il y a les bons, Hillary (! on est dans un film marqué gauche anglosaxonne) et Stephen. Ils sont bons et quelque part malheureux, forcément. Parce que quand on a bon cœur, vous savez bien, les gens sont si méchants. La première est une femme déjà âgée, seule (sans son chat) et dont le patron, vieux et marié, abuse, forcément. Le second est noir mais c'est surtout un "bon", un genre de christ descendu de nulle part. Il est juste beau, et bon. Lui non plus n'a pas d'amis, ni de famille (il est de loin, des îles, c'est pratique). C'est merveilleux car du coup c'est un pur esprit sans attache et sans pression culturelle qui s'exerce sur lui. Le principal problème de ce film est que ce personnage censé être montré comme vraisemblable ne l'est "scientifiquement" pas tant il correspond à un type anthropologique qui n'existe pas, le pur esprit sans amis, beau et cependant généreux et bon. Cela fait que quand lui désire une femme, mettons Hillary, c'est pur, ce n'est pas comme le patron. Vous savez bien ! Il y a le bon chasseur, il tire, mais c'est un bon chasseur. Et puis il y a le mauvais chasseur, il tire aussi, comme le patron d'Hillary, mais lui, c'est un mauvais chasseur, forcément. Ben oui.
    En dehors de ce qui fait de ce film un film anglais de la famille cinématographique (sans faire pas de politique, en ne parlant que de cinéma) des films de la gauche hollywoodienne la plus caricaturale et insupportable dans sa manière de faire la morale (avec les pires rôles de Robert de Niro et Meryl Streep), c'est bien réalisé. Il faut cependant supporter l'incohérence d'un scénario qui se veut réaliste.
    Bon courage.
    Les meilleurs films de tous les temps
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