Mon compte
    Empire Of Light
    Note moyenne
    4,0
    4027 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Empire Of Light ?

    281 critiques spectateurs

    5
    28 critiques
    4
    121 critiques
    3
    89 critiques
    2
    31 critiques
    1
    10 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 octobre 2024
    Le film reprend grosso modo de thème de « loin du paradis ».
    Il y a une ambiance très réussie qui piétine à la façon des héros sur leur propre sort.
    Le film décrit une rencontre en fait banale mais s’avère pudique et jolie.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 avril 2024
    Pour son neuvième film depuis 1999 et le succès aussi inattendu que fulgurant d’ « American Beauty » raflant cinq Oscars en 2000 dont quatre majeurs, Sam Mendes revient avec « Empire of Light » à sa première vocation qui le vouait à un cinéma intimiste. Après « Away we go » en 2009, il avait réalisé deux James Bond (« Skyfall » en 2012 et « 007 Spectre » en 2015) avant de s’attaquer à « 1917 » film sur le Premier Conflit Mondial inspiré des souvenirs personnels de son grand-père paternel Alfred Mendes. Ce dernier film fut jugé par certains comme un exercice de style truffé d’effets spéciaux mais sans réelle direction narrative. En trois films, le réalisateur anglais a véritablement assis sa réputation de réalisateur « bankable » avec 1375 millions de dollars de recettes pour un total de budget avoisinant les 600 millions de dollars. Il est vrai que les deux épisodes de la saga James Bond ne présentaient pas de risques financiers majeurs. Il convient de souligner peut-être davantage que Sam Mendes y compris pour ses films les plus personnels n’a jamais fait perdre d’argent à ses producteurs. Il décide donc en 2022 soit 14 ans après « Away we go », film sur le couple comme l’étaient avant lui « American Beauty » et « Les noces rebelles » de revenir à ses premières amours. En regardant « Empire of light » principalement soutenu par la prestation admirable de la toujours étonnante et désormais oscarisée Olivia Colman (« La Favorite » de Yorgos Lanthimos en 2018), on sent très rapidement un réalisateur qui a mûrement réfléchi à ce qu’il allait poser sur l’écran comme si ce long intermède commercial lui avait fait perdre une spontanéité qui s’est un peu enfuie alors que Mendes a désormais 57 ans. Se sentant aussi peut-être attendu au tournant il doit songer à la rentabilité d'un retour aux sources qui pourrait n’être que provisoire, un peu comme Faust devant payer le prix de son éternelle jeunesse, sa célébrité dans le cas d’un Sam Mendes marchant sur des œufs. Le réalisateur qui écrit seul pour la première fois le scénario d’un de ses films n’ignore évidemment pas que le climat sociétal a considérablement évolué tant en Europe qu’aux États-Unis, exigeant certains passages obligés pour que le film soit validé dans l’air du temps. Ainsi dans l’Angleterre thatchérienne qui sert d’écrin à cet hommage au cinéma, il lui faudra évoquer le racisme des skinheads pour cocher la case « oppression des minorités », faire de l’habituellement consensuel Colin Firth un gérant de salles « me too » imposant des rapports sexuels à une de ses salariées. Une chef d’équipe interprétée par Olivia Colman qui aura elle aussi son quart d’heure de revanche, occupant sans y être invitée la scène lors d’une avant-première des « Chariots de feu » où elle réglera définitivement son compte à son violeur. Quand il filmait « American Beauty » et « Les noces rebelles » le jeune Sam Mendes n’avait pas sa caméra si lourdement lestée. Il doit se dire après cette expérience qu’il a sans doute raté quelques bons films à réaliser dans les quinze dernières années. Un choix de carrière que n’ont pas fait des cinéastes de sa génération et de sa trempe au sein desquels se trouvent les trois Anderson (Brad, Paul-Thomas et Wes). Il faut donc se contenter d’un film certes un peu en dedans mais offrant tout de même de très beaux moments comme cette entame où Hillary (Olivia Colman) arrivée avant tout le monde déambule dans ce cinéma d’un autre temps pour prendre ses repères, humer l’atmosphère tout en veillant à ce que les choses soient en ordre pour le cérémonial de l’ouverture des portes du temple. Ce joli ballet du labeur quotidien est formidablement accompagné par la musique de Trent Reznor et Atticus Ross. La relation entre Hillary et le jeune Stephen (Micheal Ward) quoiqu’un peu artificielle en raison des règles à suivre évoquées plus haut est joliment rendue tout comme l’ambiance au sein de l’équipe et la passion du projectionniste (Toby Jones comme toujours convaincant) pour son énorme machinerie magique. Manque on l’a dit la spontanéité que Sam Mendes devra retrouver si on lui en laisse le temps. Mais un film de Sam Mendes reste toujours au-dessus de la moyenne. Vu le peu de succès rencontré par « Empire of Light », il ne serait pas étonnant que lui soit fortement conseillé une adaptation Marvel ou DC Comics pour sa prochaine réalisation. La gloire et la fortune ont parfois leurs revers.
    Redzing
    Redzing

    1 145 abonnés 4 494 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2023
    "Empire of Light" est à ranger auprès des nombreuses déclarations d'amours au cinéma sorties en 2022/2023... et qui se sont royalement plantées au box office. J'ignore combien le film de Sam Mende a coûté, mais avec à peine plus de 10 millions de dollars récolté, je doute qu'il ait fait recettes en salles.
    Ce n'est pas si étonnant, tant il est loin de ce que le grand public attend. Un film lent, posé, qui vante les mérites du cinéma (l'Art mais surtout le lieu). La mise en scène nous plonge en plein dans le début des années 80, sur la côte anglaise (tournage à Margate, dans le Kent). Un paysage de station balnéaire (enfin station balnéaire anglaise !) mis à profit par une très belle photographie. Normal, c'est Roger Deakins le chef opérateur !
    C'est bien fait, et surtout très bien joué. Face aux vétérans Olivia Colman, Toby Jones ou Colin Firth (en patron lubrique !), l'inconnu Micheal Ward défend bien son affaire.
    En revanche, je serai moins dithyrambique sur l'intrigue. Sam Mendes s'intéresse à une histoire d'amour vouée à échouer. Elle est vieille, il est jeune. Elle est blanche, il est noir. Elle est psychologiquement instable, il a la vie devant lui. Elle fait partie de la société, il subit du racisme fréquemment.
    Mais cette histoire est finalement classique, et sur le papier ne semble jamais s'élever au-delà d'un certain académisme. Sam Mendes cherche aussi à traiter plusieurs sujets (racisme, émergence des skinhead, puissance du cinéma, gouvernement Thatcher, bipolarisation...), mais ne fait que les chatouiller.
    "Empire of Light" laisse donc un peu sur sa faim, surtout au vu de sa très jolie forme.
    Roub E.
    Roub E.

    983 abonnés 5 015 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2024
    Comme toujours chez Sam Mendes le film est beau (forcément avec Roger Deakins à la photo), sa direction d acteur est une fois de plus remarquable avec dans le premier rôle Olivia Colman toujours formidable. Il instille dans cette reconstitution d une station balnéaire anglaise qui traverse les tumultes des années 80 une véritable émotion. On peut reprocher au film d être trop lisse et sans surprise mais il est très soigné.
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2024
    Un drame élégant, mélancolique et délicat sur la solitude dans l’Angleterre des années Thatcher, traversé de scènes lumineuses mais manquant dans l’ensemble d’intensité, et porté par l’interprétation bouleversante d’Olivia Colman. 3,25
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mars 2023
    Le réalisateur de « American Beauty » n'a pas perdu le sel qui fait son cinéma, pas même après avoir laissé une forte impression sur le dernier segment en date de James Bond (Skyfall et Spectre). Si on peut prendre « 1917 » pour une performance technique et une immersion singulière dans les tranchées des poilus, il faut reconnaître là le début d'un grand geste mélancolique pour le cinéaste, qui souhaite faire renaître l'esprit de ses proches par-delà sa caméra. Après avoir cristallisé les récits de son grand-père, ce dernier revient sur son Angleterre natale pour évoquer son enfance fait d'amour, de musique et de cinéma.

    Quand Hilary nous fait découvrir sa routine, ainsi que les coulisses d'un temple lumineux, il ne nous faudra pas bien longtemps pour comprendre ce qu'il souhaite capter dans ces lieux. Le hall d'accueil, la moquette rouge, les rideaux cachant la grande toile ou les petites pépites dorées de maïs soufflés, tout est magnifié par la photographie de Roger Deakins. Dans le même mouvement, il est également possible d'apercevoir une détresse et une errance en cette cheffe d'équipe, qui veille à préserver l'expérience de la salle intacte. Lorsqu'elle n'avale pas ses pilules de lithium ou qu'elle ne se soumet pas aux abus charnels de son patron marié (Colin Firth), Hilary cherche à tromper sa solitude avec des tâches ménagères, sans oser franchir la porte qui la sépare d’un monde de rêves. À ce titre, on comprend la présence d'Olivia Colman, toujours impériale dans un registre bipolaire, renforçant au passage son jeu du non-dit et sa force de persuasion.

    Hélas, pour cette première excursion en terre scénaristique, Sam Mendes en veut trop pour son héroïne, constituant le décalque de sa propre mère, mais également le contrechamp d'une époque Thatchérienne. La venue du jeune et curieux Stephen (Micheal Ward) semble confirmer cette tendance, en brouillant les pistes d'une guérison par le cinéma et s'enferme dans un mélodrame, où l'émotion s'égare à chaque étape d'une relation sentimentale impossible. La première heure ne laisse pourtant planer aucun doute sur la lettre d'amour du cinéaste pour les métiers invisibles des exploitants, qu'il filme, telle une sucrerie nostalgique pour ses personnages et tel un musée pour nous autres spectateurs, de ce côté-ci de l'écran. Au-delà de ce confort, c’est au tour d’Hilary de combattre sa dépression, aux côtés de Stephen, à qui on a également refusé de rebondir dans les études universitaires. Ces deux fantômes de la société vont pourtant trouver une autre lumière à leur portée, d’abord sur leur lieu de travail, puis sous un ciel enchanté pour enfin se rapprocher d’une plage qui leur appartient pleinement.

    Cette escapade se révèle malgré tout éphémère, car les enjeux sociaux en bruit de fond les rattrapent, sans pour autant devenir un sujet d’étude. Elle se trouve donc là cette limite qui ampute le cinéaste britannique de la ferveur qu’avait pu générer « Les Noces Rebelles ». Difficile de ne pas y voir un certain lâcher-prise, à l’image de l’établissement balnéaire, qui a dû abandonner certaines ailes à la poussière, aux pigeons et au passé. La sincérité du cinéaste souffre ici d’une confusion, quant à ses nombreux axes scénaristiques, qui ont du mal à communiquer entre eux.

    Avec « Empire of light », Sam Mendes évoque un cinéma en perdition, une relation qui n’avance pas et un portrait bancal de l’an 1980. Force est de constater que ce pas de côté est nécessaire pour un auteur, qui a autant besoin de se ressourcer dans la cabine du projectionniste que de redécouvrir ces petits plaisirs intimistes qui lui permettent d'exister à nouveau et de se redonner foi en lui-même, à l'instar d'Hilary, qui va découvrir les délices d'un rêve lumineux et coloré. La salle de cinéma apparaît donc autant comme un moyen qu'une issue providentielle, où la lumière du projecteur panse les plaies de l'esprit et vient également l'alimenter d’une tout autre dimension, avec amour et sans cynisme. Dommage que sa démarche prenne le risque de nous laisser indifférent.
    Cinévore24
    Cinévore24

    349 abonnés 717 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2023
    "Découvrez la lumière au milieu des ténèbres."

    Au début des années 80 dans le Sud de l'Angleterre, le quotidien d'Hilary, responsable d'un cinéma fragile et solitaire, va changer au contact de Stephen, un nouvel employé.

    En nous déclarant à son tour (après Chazelle et Spielberg) son amour pour le 7e Art et les salles obscures, Sam Mendes nous propose un film formellement très réussi, accompagné de la superbe photographie de Roger Deakins et de la musique hypnotique du duo Trent Reznor-Atticus Ross.
    L'ensemble confère au film un aspect des plus poétiques et sublime encore un peu plus ce lieu magique et intemporel qu'est le cinéma, dont Mendes parle ici avec passion et le décrit comme une sorte de cocon consolateur des âmes blessées à la recherche de lumière.

    C'est beau, c'est propre. Un peu trop propre justement, si bien qu'il n'y a jamais vraiment de place pour l'imprévu, pour l'audace, pour l'émotion viscérale et authentique qui pourrait s'emparer de nous durant le visionnage du film, à l'image d'Hilary découvrant pour la première fois «Bienvenue Mister Chance».

    D'autant plus que c'est pour nous dérouler un récit d'amour/amitié très classique, manquant de nuances dans les thématiques qu'il aborde (fragilité psychologique, racisme) et trop souvent appuyé et artificiel dans son articulation, et ce malgré la belle alchimie entre Olivia Colman et Micheal Ward.

    "Vivre est un état d'esprit.". Encore aurait-il fallu insuffler un peu plus de vie dans tout cela justement. 6,5/10.
    cinono1
    cinono1

    309 abonnés 2 064 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2023
    Le film est brillamment mis en images. Cette salle de cinéma tournée sur la mer, en impose et a du caractère, et la jolie photo sépia du film pour reconstituer les années 80 fonctionne. Sam Mendes a filmé un lieu de vie sur lequel hommes et femmes, salariés et patrons se croisent, et montre le pouvoir magique du cinéma dans ces existences. Olivia Coleman est émouvante dans le rôle de cette femme en difficulté. La romance ne fonctionne cependant pas complètement, trop rapide, Mendes aurait sûrement mieux fait de rester sur son sujet, qui avait un côté Rose Pourpre du Caire mais cela reste brilliant
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    135 abonnés 2 235 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2024
    CHACUN SON CINEMA. L'illusion du mouvement dans un rêve nostalgique ponctué de quelques sommes. Mendes dans des êtres et des choses, entaille ses souvenirs derrière sa camera et devant sa séance. Vivre est un état d'esprit. Damien Chazelle et Steven Spielberg ont aimé.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    135 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2023
    Ce film est un retour aux sources pour Sam Mendes, au cinéma intimiste qui l’a fait connaitre et dont il s’était éloigné. A l’instar de ces comparses (Damien Chazelle, Paul Thomas Anderson et Steven Spielberg), lui aussi, décide de mettre à l’honneur le 7ème art à travers ce film. « Empire of light », le bien nommé, est un cinéma Art Déco tout autant désuet qu’il est magnifique et magique, au sein duquel se déroulera l’intrigue. Ce cinéma sent la fin de règne du cinéma, et à travers ce film, Sam Mendes tient à montrer au combien le 7ème art est porteur de valeurs morales, de partage, d’amour et d’humanité. Au moment où les plateformes individualisent la consommation de fiction filmées, il met en avant la dimension collective de la salle. Comme Spielberg, il met aussi un peu de lui-même dans ce récit avec un personnage principal proche de sa propre mère, une femme bipolaire.
    Sam Mendes est toujours aussi habile pour mettre en image une histoire, l’atmosphère ouatée des salles et le romantisme fou des relations humaines sont transcendées par un talent énorme de la mise en scène. C’est un film d’ambiance formidable, on aurait envie de connaitre les personnages du film et fréquenter ces lieux.
    De fait, on aurait aimé voir un chef d’œuvre, mais l’inexpérience à l’écriture de Sam Mendes qui écrit ici son premier scénario se ressent bien malheureusement. Son thème central serait la magie du cinéma, ou une romance, ou le racisme ambiant, ou la précarité mentale, ou le sort fait aux femmes par les hommes ; et bien tous ces thèmes à la fois, et au bout du compte, aucun. Son scénario ne parvient pas à faire cohabiter tous ces thèmes, et prenant du recul, le film ressemble à un très élégant fourre-tout artificiel.
    Cependant l’émotion affleure tout le long du film grâce à un beau duo formé par Olivia Colman et Michael Ward.
    Trop dommage d’avoir presque réussi le pendant de « American beauty ».

    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    tupper
    tupper

    135 abonnés 1 386 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2023
    Le film de Sam Mendes est avant tout un hommage au cinéma dans toutes ses compostantes : les films, le lieu, la technique, … C’est aussi une histoire d’amour entre des personnages en marge d’une société raciste et incompréhensive face à la maladie mentale. Beau, touchant et remarquablement interprété.
    JeremGar
    JeremGar

    96 abonnés 1 569 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2024
    Ce qui se caractérisait, par le synopsis, comme une ode au cinéma des années 80 se conclut finalement en romance. Mais ce n'est pas pour nous déplaire. Cette période britannique tumultueuse est bien dépeinte et se ressent dans les émotions des personnages. Hilary gère cet Empire, magnifique bâtisse servant de cinéma local. Seule et dépressive, elle fait alors la rencontre de Stephen, nouvel employé. Très rapidement complices, une romance s'installe entre ces deux personnages qui, au départ, n'ont pas grand-chose en commun. Victime de racisme « banalisé », Stephen n'a d'autre choix que de continuer son chemin et d'accepter cette fatalité (« C'est arrivé à ma mère, cela m'arrive à moi, ça arrivera aussi à mes enfants »). Hilary, elle, réapprend à vivre et à sourire grâce à ce jeune garçon débordant de gentillesse. Tout ceci au sein d'un décor somptueux de cinéma des années 80 et d'une musique dominante. Mention parfaite à Olivia Colman qui, après The Father, les séries Broadchurch et The Crown, nous offre une prestation sur mesure.
    Michael R
    Michael R

    107 abonnés 1 270 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mars 2024
    Après les Noces Rebelles, Skyfall et 1917, Sam Mendes éblouit encore les pupilles du spectateur avec cette mise en abyme (un film sur un cinéma) qui pourrait n'être qu'un film mineur à la photographie soignée, mais se révèle au fil de la bobine, un grand film. Grand, tant par l'interprétation (et Olivia Coleman est encore grandiose), que les images (tout le film est beau et certains plans sont même iconiques), le fond (le cinéma, le racisme, la résilience, la maladie, l'amour). À la fin, les yeux sont embués et le cœur serré, preuve que Sam Mendes a encore marqué l'esprit, et de la plus douce des manières.
    floramon
    floramon

    86 abonnés 1 430 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 décembre 2023
    j'ai passé un bon moment, le film est agréable à regarder et beaucoup esthétiquement. il se laisse regarder tranquillement.
    Arthus27
    Arthus27

    97 abonnés 568 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2023
    Malgré quelques séquences belles et inspirées, Empire of light est un film plutôt anecdotique. Beaucoup de thèmes sont abordés mais de façon très superficielle, les personnages ne sont absolument pas caractérisés et la réalisation est très classique. Seule Olivia Colman sort du lot
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top