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    Empire Of Light
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    4,0
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    274 critiques spectateurs

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    Frédéric M.
    Frédéric M.

    154 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2023
    Le cadre de l'histoire , un cinéma dans les années 80, est déjà en soi une idée très sympa. On y ajoute la présence d'acteurs fabuleux, qui developpent une belle histoire d'amitié puis d'amour. C'est touchant, magnifiquement mise en scène .. Bref un film très agréable à découvrir ... Nouveau petit coup de coeur 2023
    Marie Breton
    Marie Breton

    52 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mars 2023
    Je suis pour la première fois déçue d'un film écrit et réalisé par l'un de mes cinéastes préférés.

    J'ai du mal à comprendre comment Sam Mendes ne s'est pas endormi à chaque étape de la création.
    Le scénario à lui seul devrait pouvoir faire dormir n'importe quel lecteur à chaque page.

    Raté.
    capirex
    capirex

    73 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2023
    Magnifique film de Sam Mendes qui célèbre le cinéma à travers sa réalisation et rend hommage à sa mère, qui était atteinte d'une maladie mentale similaire à celle de l'Héroïne du film . Olivia Colman est une nouvelle fois grandiose dans sa prestation !
    Yahya D.
    Yahya D.

    48 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2023
    Un bon film dramatique qui souffre par moment de lenteur mais qui offres de très beaux moments sincères et juste.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    39 abonnés 1 099 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Loin des superproductions [« Skyfall » (2012), « 007 Spectre » (2015) et « 1917 » (2019)], Sam Mendes a réalisé un film intimiste, avec une part autobiographique (santé mentale de sa mère, en plus de son amour du cinéma). Il se déroule, à partir de Noël 1980, dans le cinéma Empire [dirigé par l’odieux Donald Ellis (Colin FIRTH)], à la façade Art Déco, d’une ville balnéaire (tournage à Margate dans le Kent). Il s’agit d’un film très beau [photographie de Roger DEAKINS, 73 ans, 5e collaboration sur 5 avec le réalisateur] et d’une grande richesse : hommage au cinéma [comme « Cinema Paradiso » (1988) de Giuseppe Tornatore], art de l’illusion, à travers le projectionniste Norman (Toby JONES) mais aussi film sur la solitude (excellente, comme toujours, Olivia COLMAN qui a obtenu, pour ce rôle, le Golden Globe de la meilleure actrice dans un film dramatique) et dénonçant le racisme [dont souffre Stephen Murray (Micheal WARD), originaire de Trinidad, ancienne colonie britannique, indépendante depuis 1962] au Royaume-Uni pendant les années Thatcher (Première Ministre de 1979 à 1990) où le réalisateur avait entre 14 et 25 ans (d’où le choix de la musique de l’époque.
    Stéphane R
    Stéphane R

    19 abonnés 325 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 décembre 2023
    Film assez mineur dans son propos. Mais d'une fluidité et procurant un plaisir indéniable.
    Olivia Colman est absolument merveilleuse. L'Angleterre 80's en proie à ses skinheads faisant régner la terreur dans les rues pour tout ce qui peut être d'une manière ou d'une autre étranger ou différent est bien rendu.
    Très belle chronique
    AZZZO
    AZZZO

    275 abonnés 739 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2023
    Sam Mendes aime les contrepieds. A mille lieues de "1917", il s'attaque cette fois aux années 80 pour raconter la petite histoire d'un cinéma anglais. C'est un film totalement intersectionnel où sont traités en bloc la condition des femmes et celle des noirs. Le film ne s'arrête cependant pas à cela, il parle aussi de la solitude et rend un bel hommage au cinéma, montré comme un absolu capable de combler la vie des âmes seules et des grands rêveurs. Ce n'est pas "Cinema Paradiso" et la réalisation est très classique mais on prend un grand plaisir à voir Olivia Colman interpréter son personnage complexe.
    Cool_92
    Cool_92

    248 abonnés 418 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mars 2023
    Un élégant film beau et émouvant sur la magie du cinéma. Le film brasse de nombreuses thématique, ce qui en fait sa force mais dans un sens aussi sa faiblesse (ça part parfois dans tous les sens). Olivia Colman est fabuleuse dedans. Ce film va diviser car il est assez lent et il peut-être aussi vu comme désuet.
    James Ford
    James Ford

    169 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mars 2023
    Empire Of Light reste un film mineur dans la carrière de Sam Mendes, mais non dénuer de qualité. A commencé par son duo principal. Olivia Colman comme toujours fantastique, et Michael Ward qui est une belle découverte.
    Malheureusement le film empile BIEN trop de choses.

    Amour du ciné, racisme, schizophrénie... Pas des plus subtils. Quel dommage tant je sens la passion derrière (merci aux acteurs). Toby Jones excellent, mais délaissé lui aussi (alors qu'il a un gros potentiel). A force d'en faire trop, Mendes se perd en route.

    ps : Le thème de l'amour du cinéma avec Mendes, Spielberg ou James Gray.
    Je choisi tonton Steven (même si Gray ne démérite pas). Plus personnel, plus juste dans son récit ou ce qu'il choisis d'aborder.
    Mais je tiens a rappeler la merveille "The Majestic" de Darabont..
    Damien
    Damien

    148 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2023
    Empire of Light de Sam Mendes s'intéresse à la maladie mentale, le racisme et la solitude avec un rythme lent, une photographie superbe et une interprétation émouvante surtout d'Olivia Colman. Quelques moments d'espoir viennent illuminer ces deux heures de mélancolie anglaise.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    153 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mars 2023
    Dans une ville côtière anglaise un cinéma de la Belle Epoque est le témoin d'une romance entre une femme mature schizophrène et un jeune pré-étudiant noir, alors que le pays sombre dans le Tatcherisme qui engendre les tensions raciales. Une douce mélancolie, sublimée par la musique toujours impeccable de Trent Reznor et Atticus Ross, nimbe ce jolie film de Mendes qui rend conjointement hommage au cinéma et à sa mère. Malheureusement le nombre trop important de thèmes abordés étouffe un peu trop l'émotion portée par une Olivia Colman en majesté.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    69 abonnés 227 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2023
              A vrai dire, j'ai du mal à retrouver le metteur en scène enthousiasmant, presque à la limite du sulfureux, des Sentiers de la Perdition et d'American Beauty. Il y a quelque chose de mou et de préchi précha dans Empire of Light, qui empêche de se passionner pour ce qui se passe sur l'écran.
            Mais il y a en fait plusieurs films dans le film, plusieurs thèmes dont l'un auquel on adhère complètement: une déclaration d'amour au cinéma. Au cinéma de Papa. Au cinéma Paradiso. A ces salles solennelles peluchées de rouge, où on se rendait comma à une fête (et, pour que la fête soit complète, avec une confiserie ou un sachet de pop-corn), pour voir la sortie de la semaine sur grand écran -pas un mouchoir de poche, pas un écran d'ordinateur ou, pire, de smartphone!
              Ca se passe dans une de ces villes balnéaires anglaises où il faut être anglais pour avoir envie de se baigner. Le cinéma donne sur la plage, majestueux, énorme -toute une  partie est désaffectée d'ailleurs-, sous un grand toit terrasse. Hilary (Olivia Colman) en est la gérante. On sait dès le départ qu'elle est bipolaire puisqu'on la voit chez son médecin traitant qui lui prescrit du lithium. Mais elle semble très bien, souriante et attachée à ce cinéma qui est son univers. A part ça, elle pratique la danse de salon et sa vie sentimentale se résume à des étreintes brèves, particulièrement peu romantiques, avec le patron du cinéma (Colin Firth, oh comme il a vieilli lui qui était si séduisant...)
              Arrive un nouvel employé, Stephen (Micheal Ward), qui est jeune, beau et noir. Qui a été reculé à l'université d'architecture et est harcelé par les skinheads, du genre racistes, néonazis et amateurs de battes de base-ball. Hilary se charge de le former et ces deux marginaux se soutiennent mutuellement. Malheureusement Sam Mendès fait dégénérer cette histoire d'amitié, de solidarité, en liaison et là, franchement, ce n'est plus trop crédible. A noter un très joli second rôle, Norman (Toby Jones), le projectionniste fou de son métier et du cinéma, tellement heureux d'initier le nouveau à la technique de projection (ouais, ça se faisait pas tout seul dans ce temps là..)

    Isabel I.
    Isabel I.

    31 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2023
    Parfois je reproche la multitude de thèmes à certains films, ici c'est au contraire sa qualité. C'est un film très abouti qui aborde plusieurs facettes d'une angleterre des années 80. Chronique d'une peinture sociale, d'une époque , il y a 40 ans, dans le Kent, tout en suivant l'intime de deux personnages et ce qu'on pourrait appeler leur histoire d'amour.
    Hilary femme blanche , la cinquantaine, seule fragile, parfois en déséquilibre psychologique, ancrée dans un triste quotidien. Stephen jeune homme noir ,isolé parfois victime d'un racisme violent (apogée  et divisons des skinheads*) qui veut s' échapper vers d'autres vies . Si différents   mais  si semblables à travers leurs blessures , parcequ'ils sont malmenés par la vie ;  malgré ce qui les séparent ils se réparent ensemble, presque en secret . Belle métaphore du pigeon blessé qui reprend son envol grâce à l'attention commune de ce couple en souffrance.
    Joli moment de transmission entre le projectionniste Norman et Stephen dans la cabine où  le monde des possibles commence, fictions chimériques.
    Parce que Oui, c'est aussi un hommage vibrant  au cinéma   qui devient thérapie au spleen , résurrection pour donner l'envie de vivre.  Après Babylon, The Fabelmans,  Empire  of light est de nouveau dédié au 7ième art. Le cinéma refuge pour se cacher , se réfugier, s'aimer, s'évader, se soigner ... lieu de rêve où l'on peut s'imaginer une autre existence.
    Cinémonde
    Cinémonde

    135 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mars 2023
    Sam Mendes est un réalisateur qui m'a séduit en tout point sur son précédent film. Et il faut l'avouer que ce film m'avait l'air très beau. Et après visionnage, je trouve que le nouveau film de Mendes est franchement bien ; la mise en scène est très belle et le scénario est vraiment touchant.

    Si on prend le sujet de base, le film est déjà très intéressant ensuite, l'histoire en elle-même est prenante mais il y a quand même des petits moments de mous au cours de la seconde moitié. Le récit m'a capté très rapidement, d'autant plus que les personnages sont vraiment attachants et très chouettes. Ils ne sont pas sans défaut ; je trouve que le personnage d’Hilary a des traits de caractères qui surviennent et disparaissent un peu trop aléatoirement et d’autres personnages partent du scénario soudainement. Sinon, le développement et l'évolution des personnages sont crédibles et cohérents vis-à-vis des événements du film. D’ailleurs, les péripéties sont très sympathiques ; le récit est bouleversant. Mais il est vrai qu’il y a beaucoup de thèmes abordés qui peuvent parfois paraître un peu bâclés parfois, malgré des dialogues de qualités.

    Là où le scénario a quand même quelques failles ; je trouve que la réalisation est impeccable. La direction photographique est vraiment magnifique et il y a beaucoup de plans qui sont de réels tableaux ; d’autant plus que le travail sur la lumière est remarquable. Effectivement, le chef opérateur a bien géré le travail sur les couleurs, notamment la séquence du nouvel an et les séquences dans le cinéma. Sinon, les mouvements de caméra et le cadrage sont très juste mais un peu trop basiques. Sans compter que les décors sont vraiment magnifiques et il y a un vrai aspect grandiose et onirique lorsqu’on rentre dans la salle de cinéma. Pour finir, la musique est très belle et le thème passe toujours avec ce que l’image montre ; par contre, elle n’est clairement pas assez présente et se laisse un peu trop oublier par le visuel.

    Pour la réalisation, le concept ; malgré le trop-plein de thèmes ; je conseille clairement ce film car c’est une déclaration au cinéma et à la salle de cinéma. De l’image au scénario, Sam Mendes a su raconter une magnifique histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 février 2023
    VUE EN AVANT-PREMIERE : Après l’énorme prouesse de 1917 : le réalisateur britannique SAM MENDES reviens à des choses plus simples avec «EMPIRE OF LIGHT» histoire d’amour entre une directrice de salle de cinéma bipolaire et un de ses jeunes employés. D’un clacissime absolu, «EMPIRE OF LIGHT» est un film profondément émouvant qui traite certes du cinéma sur la forme mais qui au fond parle surtout de l’âgisme, des rapports de pouvoir et de domination et de violence sociale. Si les critiques US rapportent plus «EMPIRE OF LIGHT» à l’excellent «THE FABELMANS», je trouve au contraire que Mendes lorgne plus du côté d’ «ARMAGEDDON TIME». Ce qui n’est en aucun cas un reproche.

    Dans «EMPIRE OF LIGHT», Sam Mendes ne montre rien des travers de l’ère Thatcher mais parviens tout de même à restituer toute l’atmosphère tendue de l’Angleterre des 70’s. Ce que je trouve assez génial dans l’écriture. Les personnages principaux ont des développements très intéressant et complexes en comparaison des «secondaires» qui sont un peu surfait mais ou ça passe. C’est peut-être d’ailleurs là qu’est la force du film.

    La photographie du film est magnifique, et la bande son signée du désormais mithyque duo Trent Reznor et Atticus Ross (The Social Network, Mank) souligne avec précision et finesse la partition parfois oppresante qu’instaure le réalisateur. Globalement, j’ai beaucoup aimé ce film. Malgré des défauts certains, c’est un film malgré son intrigue et ses textes, plutôt léger. Agréable à suivre. Un très bon moment de cinéma. Qui plus est sublimé par le duo principal. D’un côté, nous avons la nouvelle reine du cinéma britannique : Olivia Colman qui est au sommet de son art et qui tiens véritablement un de ses meilleurs rôles. De l’autre un Michael Ward, révélation du film, absolument génial et qui n’as pas à rougir face à sa partenaire. Le film doit beaucoup à l’alchimie aussi inattendue qu’attachante entre Michael Ward et Olivia Colman.

    En conclusion, je suis de ceux qui ont beaucoup aimé «EMPIRE OF LIGHT». C’est une véritable proposition en comparaison des derniers navets que nous as proposer Searchlight Pictures (désormais filiale de Disney) comme «AMSTERDAM». C’est un film beau, puissant, et onirique que je vous encourage vivement à découvrir car il vaut véritablement le coup d’oeil. Le «MANCHESTER BY THE SEA» made Disney. En tout cas bien meilleur que le décevant "NOCES REBELLES" de Mendes.
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