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floramon
80 abonnés
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2,5
Publiée le 11 novembre 2024
on passe à une première partie, absolument génial à ça ! on s'ennuie tout au long, on fait face à des facilité scenaristique et aussi au niveau de la mise en scène, tout simplement décevant.
De belles critiques élogieuses m’avait fait tomber dans le panneau avec le précédent, l’épisode « D’Artagnan ». Et bien j’ai encore perdu en insistant,car contrairement à Cyrano, à la fin de l’envoi, Bourboulon ne touche pas ! Certes, la mise en scène est dynamique, le scénario enlevé, bien que carrément inepte, François Civil et Vincent Cassel irréprochables, l’un pour son tonus, l’autre pour son intensité, mais ensuite ? Rien ! L’histoire est farfelue et sans intérêt, pleine de ficelles puériles, les duels sont piteux, les acteurs en cure thermale, à part les deux précités et Louis Garrel en Louis XIII exagérément nunuche. Les rôles féminins inexistants. On arrive même à oublier le réalisme réussi des décors tant l’action, courses, duels, dialogues, sont pitoyables. Un film raté qui me fait toujours regretter la version de Richard Lester. C’est triste que ce soit un Anglais qui ait réalisé la meilleure version contemporaine du chef-d’œuvre d’Alexandre Dumas.
Poussif, long, sans aucun rapport avec le livre. Les égos du réalisateur et des scénaristes qui se disent qu'ils vont faire mieux que Dumas ! Le melon des gars. Non, ils ont juste fait un mauvais film avec une histoire décousue, incohérente (le final avec Mme Bonatieux...). Risible, du grand guignol.
Le film aurait gagné à laisser respirer ses actions, à étaler leurs élans dans le temps. On ressent trop souvent l’impression que les scènes d’action, écourtées, ne saisissent pas pleinement l'ampleur qu'elles devraient. Le temps et l’espace, qui séparent et transforment, semblent ici s’échapper, mal rendus à l’écran.
Pourtant, ce second opus apprend de ses erreurs, corrige le tir, bien qu’il s’appuie encore sur quelques raccourcis scénaristiques. Malgré ses faiblesses, il progresse, cherchant un équilibre dans la tension et le rythme, sans encore parvenir à tout embrasser.
contrairement a l'idée reçu que les suites sont moins bonne que le premier , j'ai beaucoup plus aimé ce second volet . plus de scènes intéressantes , et une histoire plus captivante . même si on reste encore sur une fin , digne d'une série , a voir au prochain épisode ......
Cette seconde partie de l’adaptation du plus fameux des romans d’Alexandre Dumas ne fait pas mentir son sous-titre : c’est bien Milady de Winter qui s’impose comme la véritable (anti)héroïne de cet épisode ainsi que, dans une moindre mesure, Athos. Les autres, Porthos, Aramis, Constance Bonacieux, la Reine, le Cardinal…et même D’Artagnan n’effectuent que des apparitions périodiques : ils jouent leur partition au sein de l’intrigue mais n’ont pas vraiment le temps de développer des caractéristiques inédites et, dans le meilleur des cas, le script se contente de recycler rapidement les gimmicks établis par le film précédent. Cette partie de l’histoire se rassemble autour d’un lieu central de l’action (le siège de La Rochelle) flanqué de quelques scènes secondaires (l’abbaye de Béthune, le domaine de Buckingham, etc…), les sections intermédiaires servant à caser un maximum d’éléments informatifs (complots, coups de théâtre, révélations,...) en charge de faire progresser l’intrigue. Visuellement, je reste sur l’opinion que je nourrissais de l’épisode précédent : de l’action virevoltante mais lisible, qui a le bon goût de rester à échelle humaine, pour une maîtrise globale assez rare au sein du cinéma français patrimonial. J’en attendais peut-être un peu plus (sans pour autant que le résultat se sent obligé de verser dans la démesure ou l’hyper-stylisation “asiatisante” hollywoodienne) mais dans l’ensemble, il n’y a pas de quoi être déçu par quelque chose qui parvient à faire revivre, en le modernisant, le panache des films de cape et d’épée d’autrefois. Si la forme est convaincante, je serai un peu moins indulgent sur le fond. Je ne reproche pas les trahisons à la lettre du roman de Dumas, bien qu’on puisse parfois se demander ce qu’apporte vraiment la nouvelle idée, et pas davantage le curieux mélange de phrasé moderne et de langue classique, même s’il est parfois déstabilisant. En revanche, et contrairement au premier épisode, il me semble que le grand nombre d’éléments historiques explicatifs et d’intrigues secondaires nécessaires à une compréhension fluide n’ait pas été traitée de manière optimale : ça va très vite, parfois trop, les informations se télescopent dans une certaine confusion jusqu’au point où on a parfois un peu de mal à comprendre le pourquoi du comment de tel événement si on n’a pas les bouquins en tête. Moyennant l’acceptation de ce léger manque de maîtrise narrative, il serait idiot de bouder son plaisir devant ce blockbuster hexagonal qui dévoile un savoir-faire visuel tout à fait admirable, et recèle pas mal de promesses pour l’avenir.
Une bonne suite à "d'Artagnan" que ce "Milady" qui démontre en deux films que le film de cape et d'épée peut encore avoir de beaux jours devant lui quand il est traité avec sérieux et qu'on se donne les moyens. Il y a bien sûr quelques imperfections mais dans l'ensemble, ça reste un film de cinéma, un film qui remplit son cahier des charges et que j'ai bien apprécié malgré sa fin frustrante.
Eva Green , qui incarne le personnage de Milady de Winter , excelle et rend ce personnage mystérieux, complexe et humain.
La lumière de ce film dans les plans séquences extérieures est particulièrement réussie et parfois poétique.
Une épopée épique, pour le moment en deux parties, titille notre imaginaire satisfait de mirer , d ' admirer et de contempler une œuvre cinématographique spectaculaire et soignée quant aux récits et aux images marquantes et splendides.
J'avais bien aimé le premier volet, malgré de nombreux défauts ça restait un bon divertissement, mais alors là ce second volet c'est un sombre navet. Comme dans le premier les combats sont filmés très près très vite donc on ne voit presque rien de l'action, ça bouge dans tous les sens rien de plus. Les acteurs prennent manifestement leur rôle à la légère, ils s'en foutent ça se voit. L'histoire est confuse, ceux qui n'ont pas lu Alexandre Dumas auront du mal à comprendre l'histoire. Et ça se termine en eau de boudin. Au point où ils en sont les auteurs sont capables d'inventer une suite. J'ai le sentiment d'avoir perdu mon temps, de m'être ennuyé.
J’adore… le premier et le second… j’ai hâte de voir la suite! Les acteurs, les plans, l’atmosphère, tout nous embarque dans une œuvre magistrale… Bravo! Le casting est parfait… Un vrai cadeau pour les acteurs et pour les spectateurs. Merci.
Toujours épique, rempli de personnages, d’action, d’amour et d’humour, un léger moins que son prédécesseur mais ce nouveau 3 mousquetaires est plaisant. À la fin de celui-ci on en redemande. La réalisation est toujours dynamique avec une musique de Roussel tout aussi dynamique.
Dans la continuité du premier volet , haletant, rythme à merveille, bourboulon réussit son entreprise avec une direction d acteur très brillant. Dans cet épisode est axé, comme le titre l l'indique, sur le personnage troublant de milady, joué par la divine Eva Green, dont la beauté glaçante, sensuelle et hypnotique nous ravit. Nous allons apprendre qui est milady et quelle sont les spoiler: relations spoiler: passé avec les mousquetaires, nous allons aussi à la fin du film découvrir le traître à la couronne et instigateur du complot qui rajoute un suspens bien amené. Tres bon film.