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Math719
191 abonnés
711 critiques
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3,0
Publiée le 18 juillet 2024
Un bon film sur les tornades qui finalement réserve une bonne surprise ! Les effets spéciaux sont plutôt bon et même l’histoire.. Parfois un peu simplet, malgré tout le temps passe plutôt vite, et on se prend dans le jeu entre les tornades.. Ce n’est pas un grand film qui marquera le genre, mais il se regarde quand même ! Les dialogues et le jeu d’acteurs restent très moyen également… Juste au dessus de la moyenne !
Un film d'action spectaculaire, sans chichis, ni trop de scénario d'ailleurs. Un pop corn movie distrayant et plutôt agréable à suivre. Contrat rempli.
Vu en avant première et agréablement surpris. Les acteurs sont bon, malgré quelques personnages clichés. On entre rapidement dans le film, même si c'est pas le film du siècle on passe un bon moment !
Scénario et acteurs impeccables... mais le plus spectaculaire, c'est les effets spéciaux, tellement réussis qu'on ne doute pas qu'ils ne soient pas des prises directes de la réalité : époustouflants, c'est le minimum qu'on puisse dire. De plus, la tension est telle qu'on ne voit pas le temps passer, et enfin, cela fait réfléchir (surtout les américains je pense) sur ce qui nous attend d'un point de vue bouleversements climatiques.
Twisters est un excellent film. Les décors sont sublimes et les acteurs au top! Une histoire triste au départ et joyeuse à la fin ! Les tornades ont retournés le cinéma ! J’ai adoré
Quoi de mieux qu'un bon coup de tornade pour rafraîchir les spectateurs rôtis par les U.V. estivaux ? Suite/revival contemporain du film de Jan de Bont d'il y a presque (déjà) trente ans, "Twisters" a le mérite de nous rappeler qu'il ne fait décidément pas bon pour l'Homme de se frotter à la puissance incontrôlable de mère Nature, surtout avec son ouverture très réussie dans cette optique, où un groupe de jeunes étudiants météorologues voit littéralement s'envoler ses espoirs de maîtriser ces vents dantesques en même que certains de leurs collègues. Encore toute retournée cinq ans plus tard, Kate Carter, une flaireuse surdouée de tornades, se voit rappeler par son ancien collègue Scott, également survivant de cette terrible épreuve, pour tester un moyen révolutionnaire d'appréhender le danger et la multiplication de ces vents meurtriers en Oklahoma...
Voilà pour ce pitch basique à travers lequel la belle va devoir évidemment surmonter son passé traumatique en vue d'aller se frotter à de la toujours plus méchante tornade, secondée en cours de route par un célèbre Youtuber local et son équipe adeptes de la chasse à ces monstres climatiques. Et, à vrai dire, comme vis-à-vis de son prédécesseur, on ne demandait pas plus à ce "Twisters", un film catastrophe fleurant parfois bon le blockbuster d'antan par son premier degré devenu presque anachronique dans ce type de production hollywoodienne, où la puissance cataclysmique de ses tornades, vues comme de véritables ogres balayant tout sur leur passage, engendre des séquences spectaculaires réussies (d'ailleurs plutôt maîtrisées par le réalisateur du bien plus calme "Minari") et menées par un groupe de personnages au capital sympathie que l'on ne peut nier, à commencer par son duo Daisy Edgar-Jones/Glen Powell, vecteur ensemble d'une brise d'amourette plutôt rafraîchissante à l'écran.
Pas si bête qu'il en a l'air en opposant le côté divertissement que peut représenter ces phénomènes pour une majorité du public (et nous les premiers, spectateurs du film) aux conséquences désastreuses sur une population désemparée (le décor de son final va même jusqu'à faire fracasser ces deux visions à l'image avec une certaine jubilation), un peu amnésique sur la vraie raison de la montée exponentielle de ces dérèglements météorologiques (oui, encore nous) ou encore maladroit sur son dernier acte trouvant une énième fois le moyen de faire sortir l'Homme vainqueur d'éléments là où ça ne devrait pas être le cas, "Twisters" fait son job de grand huit venteux de façon efficace, avec les sourires et un certain charme désuet, sans pour autant avoir une portée aussi forte qu'un mugissement de vache volante au coeur d'une tornade.
Un divertissement acceptable en tant qu'effets spéciaux mais au scénario assez limité. On vient pour y voir des tornades, on est servi sur l'aspect visuel, elles sont très bien faites et accentuent le côté catastrophe. Cependant, l'histoire reste à désirer : des personnages assez clichés et peu attachants, une ambiance cow-boy assez agaçante, une pseudo romance que l'on voit venir à deux kilomètres.... Bref, on y vient plus pour les tornades qu'autre chose, c'est divertissant mais ça reste assez moyen. Le genre de film qui passerait très bien à la télé un dimanche soir.
5 pour remonter la note générale de ce pure divertissement de film catastrophe, ce qui est rare. Baigné dans le folklore de l'Oklahoma au son de la country, on suit les aventures d'experts de tornades. Tout est intense et suspens. De la bravoure, du drame, et même un début de romance entre les deux protagonismes trés glamours. Un climax trés étonnant en hommage aux meilleurx films catastrophes au cinéma. Bref un trés bon moment pour le grand publique à voir surtout sur grand écran. Un remake à pop corn loin de nous alerter certe sur le réchauffement lui bien réel du climat.
Un méchant remake du très bon Twister original de 1996. C'est toujours triste de voir des reboot aussi nul. Cette obsession d'humour de bac à sable. Des répliques nullissimes. Un jeu d'acteur pathétique. Le scénario n'a rien de nouveau, clin d'oeil au Twister de 1996. Franchement, j'ai re-regardé celui de 1996 à la suite de ce nouveau Twister et clairement, évitez de regarder celui-ci et passez directement à celui de 1996.
Très bon film de catastrophe avec de bons effets spéciaux de bons acteurs. On peut faire un grand film, ça faisait longtemps que je n’ai plus vu un film de catastrophe aussi depuis 2012 et le jour d’après je vous conseille à vous.
Par où commencer...l'impression d'avoir vu un film copié collé de Twister 1996. L'héroïne qui vit un traumatisme (perte d'être cher)en début de film et par une EF5. Les méchants sont endimanchés et ont du matériel ultra hightech... Les tornades se déroulent comme dans le premier twister. Une EF5 à peine visible, une EF1, des tornades jumelles, poulets qui volent au lieu des vaches, une EF4 DE NUIT qui vient détruire un endroit plein de public, et enfin la fameuse EF5 finale. Un redit absolu du premier. Les dialogues pauvres, les acteurs qui ont l'air de lycéens, franchement quand je vois certains commentaires qui trouvent ce film excellent, je me dis que l'exigence cinéma est clairement à la baisse. Le seul point positif, ce sont les effets spéciaux qui sont très convaincants car les tornades sont plus réelles, moins "nettes" que dans le premier.
Twisters témoigne d’un indéniable savoir-faire en matière de divertissement : les effets visuels impressionnent, le rythme est soutenu – si l’on omet une séquence niaise dans le domaine agricole maternel –, la mise en scène plutôt soignée dans ses mouvements de caméra et dans ses cadres. La partition musicale de Benjamin Wallfisch, que l’on identifie dès les premières notes, apporte ampleur orchestrale et sensibilité au piano, c’est-à-dire un semblant d’âme dont le film demeure sinon dépourvu. Car Lee Isaac Chung, précédemment oscarisé pour Minari (2020), ne dispose d’aucune vision singulière, et se contente de réactualiser un classique du blockbuster des années 90 produit par Warner et Amblin : son scénario, signé par le surestimé Joseph Kosinski, prend le contrepied des chasseurs de tornade originaux en cherchant non plus à immortaliser les approches mais à déjouer ces phénomènes climatiques afin d’éviter qu’elles ne deviennent des catastrophes. Comme le rappelle Tyler Owens, la puissance d’une tornade ne saurait s’anticiper, et s’évalue à l’importance des pertes humaines et des dégâts matériels. Le long métrage se saisit de cette idée comme d’un prétexte à un rachat systématique de ses personnages, de sorte à respecter le cahier-décharge hollywoodien : il offre alors un spectacle prévisible et très facile, dans le sens où les actions entreprises par les protagonistes ne rencontrent aucun obstacle véritable apte à les invalider ; pire, que les tornades peuvent être domestiquées, ce qui n’est pas sans rappeler le dressage des raptors dans la médiocre trilogie Jurassic World. À trop vouloir exacerber le contrôle de l’homme sur son environnement, on en vient à perdre la puissance de ce dernier et la petitesse du premier, être fragile mais sympathique qu’une chaîne Youtube ou des produits dérivés gonflent artificiellement. Reste un blockbuster efficace qui, au milieu des prouesses visuelles et sonores, capte bien la capitalisation sur la misère exercée par des vautours dépourvus d’humanité. Vu en avant-première au cinéma Emeraude de Dinan
Pas hyper emballé par ce reboot de mon côté. Bon, y’a du budget et des grosses tornades, Daisy Edgar-Jones est très mignonne, puis son duo avec Glen Powell fonctionne plutôt bien on va dire, mais il manque au film un supplément d'âme. C’est juste un énième blockbuster ultra formaté dans son identité et son esthétique…
Une suite meilleur que l'original, un peu moins d'effets spéciaux mais on gagne plus de profondeur sur les personnages, un scénario qui tient la route, une belle partition musicale et une belle photographie. Bravo !!!
Un joli navet, bien mou, bien mièvre , avec des acteurs pas toujours bien charismatiques. Je me suis ennuyé . C'est un comble! A eviter, sauf si vous avez à perdre 8 euros.