Un Tourbillon d'inconséquences Loin des éloges et des effets spéciaux, Twisters s’enfonce dans les abysses du cliché. Les tornades, pourtant censées être le cœur du film, se révèlent aussi prévisibles que la météo d’un bulletin matinal. Les dialogues, quant à eux, sont aussi creux que le centre d’un vortex. Le casting, malgré son charme, ne parvient pas à sauver ce naufrage cinématographique. Les personnages semblent sortis d’un manuel de stéréotypes du beauf (pour ne pas dire redneck) américain : la chasseuse de tornades traumatisée, le téméraire chasseur de tempêtes au menton carré, et l’ami qui les entraîne dans l’œil du cyclone. On aurait aimé un peu plus d’originalité. En toute objectivité, Twisters est un film qui tourbillonne en rond, sans jamais décoller. Si vous cherchez un divertissement intelligent, mieux vaut chercher ailleurs. Si vous êtes un abonné des salles, allez vérifier par vous même, les images sont belles, et je n'irais pas jusqu'à dire y avoir perdu mon temps... À bon entendeur !
je suis très fière de voir twister 2 j'ai vue les 2 bande annonce est il très fait les décors son fantastique le film mérite la premier place au box office
J'ai beaucoup aimé, que ce soit les personnages, les musiques ou même l'histoire même si elle reste basique. On est donc sur un remake de celui de 1996 mais avec des éléments qui change quand même. Les effets sont vraiment réussis. C'est un très bon film de tornade.
Kate, ancienne chasseuse de tornades encore traumatisée par sa confrontation avec une tornade, a tiré un trait sur sa vie d’avant en allant s’installer à New York. Mais lorsque son ami d’enfance lui demande son aide pour tester un nouveau prototype de détecteur de tornade, elle accepte de retourner au coeur de l’action.
Près de 30 ans après le film culte de Jan de Bont (Twister - 1996) avec Helen Hunt & Bill Paxton, la Warner & Universal remettent le couvert et ce n’est ni une suite, un prequel ou encore moins un reboot, mais plutôt un nouveau chapitre. Était-ce nécessaire ? La réponse est non, alors certes, le film fait le job, mais il se regarde sans sourciller (et s’oubliera sans grande difficulté).
Si le film n’est pas un remake de l’original, il est plutôt surprenant d’y retrouver plusieurs éléments qui renvoient au premier film (l'héroïne a un trauma d’enfance, les protagonistes trouvent refuge sous un pont lors du passage d’une tornade, on retrouve la guéguerre puérile entre deux équipes de chasseurs de tornades (avec d’un côté, les professionnels et de l'autre, les “m’as-tu-vu”), sans oublier le détour chez la mère de l’héroïne (dans le premier film, c’était chez sa tante) et enfin, la séquence dans le cinéma ou le rodéo nocturne qui renvoient tous les deux à la séquence dite du drive-in). Bref, niveau originalité, on repassera.
Côté scénario, ça sent fortement le réchauffé, c’est terriblement prévisible et il n’est qu’accessoire puisqu’ici, ce qui prime ce sont les tornades (d’où le “s” au titre) et vous en mettre plein la vue pendant deux longues heures avec une avalanches de VFX alors que 30 ans plus tôt, l’original faisait la part belle aux effets pratiques. Au final, tout ça devient assez répétitif et long et ce n’est pas le casting qui sauvera les meubles, malgré la présence de la ravissante Daisy Edgar-Jones (Là où chantent les écrevisses - 2022) et du Playboy de service Glen Powell (Top Gun: Maverick - 2022).
Bon, si vous aimez les tornades, vous allez être servi, côté scénario par contre vous allez regretté Hitchcock, pas d'acteurs connus pour l'instant, et un film bien américain, c'est vrai que cela les concerne plus que nous, car les tornades font partie de leur quotidien dans le Middle West...Heureusement nous y échappons pour l'instant, donc ce sera du spectacle, et pas vraiment d'émotions, en tout cas s'il y a une tornade, ne vous réfugiez pas dans un cinéma, la fin, mieux que le début, mais sans plus. A vous de voir , un simple divertissement sans réflexion.... à réserver aux amateurs
Ce nouvel opus est sympathique mais n'apporte aucune plus-value à son aîné de 1996...à commencer par les effets spéciaux qui ne nous retournent pas plus que cela. Reste un moment plaisant mais très loin d'être indispensable.
Comme c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure soupe, les producteurs US (dont un certain S. Spielberg) ont décidé de « dépoussiérer » ce bon vieux « Twisters »... qui date déjà de 1996. (le temps passe si vite !) Si le réalisateur Lee Isaac Chung (dont je ne connaissais pas l'existence jusqu'à aujourd'hui) déclare que ce nouvel opus n'est ni une suite, ni un remake du premier... on y retrouve tout de même une histoire très approchante et des scènes de destructions quasi similaires. Ceci dit, les images sont vraiment spectaculaires et les effets spéciaux totalement irréprochables. Du coup, on se laisse embarquer de bon cœur dans une nouvelle traque aux tornades, sur fond de courses poursuites à cent à l'heure et de musique rock tonitruante. La nouvelle équipe de « chasseurs d'orages » est largement décérébrée, voire totalement « barjo », mais au moins leurs motivations sont saines puisqu'ils cherchent avant tout à aider leurs prochains. Au final, il s'agit évidemment d'un énième film catastrophe à la sauce Hollywoodienne, dont on connaît par cœur les ressorts scénaristiques et les « coups de théâtre »... mais les sensations fortes sont bien au rendez-vous et les acteurs sont vraiment sympathiques. Du coup, on s'attache... c'est fatal !
Je n’ai pas revu le « Twister » de 1996 mais ce Twisters, vu en 4DX, a été une très bonne expérience pour moi : les éclairs dans la salle, le vent et la pluie sur le visage, le siège qui bouge plus que de raison, vraiment on est pris dans la tornade. On retrouve le plaisir d’un film catastrophe assez basique côté scénario (les personnages sont tellement « lisibles » et les retournements de situation attendus) mais c’est tellement efficace qu’on en sort heureux de ne pas vivre dans ces régions des Etats-Unis.
Mon avis complet : https://mediashowbydk.com/2024/08/07/critique-film-twisters/
N’ayant pas eu l’occasion de regarder la version de 1996, je me suis rendu au cinéma sans véritable attente de Twisters classé dans le genre « film catastrophe« . Finalement, Lee Isaac Chung nous offre un bon divertissement, avec un scénario bien rythmé et captivant. Si le film n’évite pas quelques clichés sur le profil des personnages, à savoir un scientifique maniaque et coincé face à un chasseur de tornade amateur et star des réseaux sociaux, ce trio de protagonistes n’en demeure pas moins attachant et suffisamment développé, notamment Kate Carter et son passé tragique. La scène d’introduction est d’ailleurs assez bouleversante.