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    Le Daim
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    3,1
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    410 critiques spectateurs

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    Iloonoyeil
    Iloonoyeil

    26 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2024
    Bonjour tout le monde,

    Meilleure loufoquerie de cette année ! Quentin Dupieux est imaginatif .

    Amicalement.


    Gérard Michel
    Ola Nessy
    Ola Nessy

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 août 2024
    Très bien ! (4 sur 5)
    À ceci près qu'il ne s'agit absolument pas d'une "comédie" (je ne sais pas comment AlloCiné peut qualifier ce film de comédie). Au mieux une "comédie noire", car ce film est d'une grande noirceur. La dérive psychologique d'un homme dont on ne sait rien du passé, si ce n'est qu'il vient de se faire "jeter dehors" par sa femme... (en raison de ses problèmes psychologiques justement, peut-on supposer)
    Enfin un film où Jean Dujardin ne joue pas le rôle d'un idiot, ça fait du bien ! Ici dans le rôle d'un paumé, parfaitement interprété.
    Le rythme du film est lent, et colle merveilleusement au cadre d'une vallée béarnaise assez reclue du monde trépidant des métropoles.
    La seule incohérence que j'ai pu trouver dans ce film est l'absence totale de police / gendarmerie, alors que des meurtres sont commis, et les corps laissés gisants en pleine rue... Pour le reste, je me suis laissé porter par cette lente descente aux enfers, jusqu'à la scène finale, inattendue, libératrice... qui fait cependant s'interroger sur l'équilibre mental du deuxième protagoniste (Adèle Haenel). Bien vu, Quentin Dupieux :-)
    Étant personnellement dans une phase de découverte des films passés de ce réalisateur (que j'aime beaucoup), je place Le Daim parmi ses meilleurs, aux côtés de Réalité et de Yannick. Je précise qu'il m'en reste beaucoup à découvrir (Le Deuxième Acte, Daaaaaalí !, Wrong Cops, Wrong - et d'autres a priori de moindre intérêt, comme Fumer fait tousser, Mandibules, Steak).
    Nitnelav
    Nitnelav

    7 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 août 2024
    Le Daim nous plonge une fois de plus dans un univers décalé et dérangeant, où l'absurde côtoie le quotidien. Oubliez les charmants cervidés, car ici, l'animal principal est un blouson en daim, et son propriétaire, Georges, est bien loin de la stabilité. Interprété par un Jean Dujardin exceptionnel, Georges est un homme d'une quarantaine d'années, en pleine rupture avec tous les aspects de sa vie : conjugale, sociale et professionnelle.

    C'est dans ce contexte qu'il décide de dilapider ses économies pour acheter un blouson en daim, démodé et bien trop petit pour lui, mais qui devient rapidement l'objet de toutes ses obsessions. Le vendeur, conscient de l'escroquerie, lui offre même un caméscope en guise de "geste commercial", scellant ainsi le sort de Georges.

    La force du film réside dans la manière dont Dupieux utilise cet objet apparemment anodin pour explorer la psychose grandissante de son personnage. À travers des scènes de plus en plus surréalistes, Georges, équipé de son blouson et de son caméscope, se met en tête de devenir le seul homme à posséder un blouson en daim, quitte à éliminer la concurrence. Jean Dujardin excelle dans ce rôle, incarnant avec brio un homme glissant inexorablement vers la folie.

    Le Daim s'inscrit parfaitement dans l'univers unique de Quentin Dupieux : un mélange de comédie noire, d'absurde, et de critique sociale. Le film est inclassable, oscillant entre le grotesque et le sublime, et ne laissera personne indifférent. Il risque de diviser : certains adoreront cet hommage à la folie douce, d'autres resteront perplexes devant tant de bizarrerie. Mais une chose est sûre : avec Le Daim, Dupieux continue d'affirmer son style, toujours aussi imprévisible et délectable.
    Estonius
    Estonius

    3 315 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 août 2024
    L'absurde pourquoi pas, mais n'est pas Bertrand Blier qui veut et le genre est difficile. Ici nous avons un début intrigant et qui fonctionne assez bien, puis spoiler: quand l'obsession devient folie, le film part en sucette. Soit on fait dans la psycho et il fallait prendre le temps de nous expliquer ce comportement, soit on fait dans le grand guignol et là il faut assumer
    . Dupîeux ne fait ni l'un ni l'autre, il brouillonne, laissant au spectateur une immense sensation de bâclé. Quant à Jean Dujardin, acteur formidable, ce film ne lui aura pas laissé beaucoup l'occasion de nous montrer son talent.
    Lujsharkzz
    Lujsharkzz

    7 abonnés 472 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2024
    Bon oui ça passe. Je dirais que ce dupieux est un peu moins énigmatique que les autres, peut être pas assez. Je dirais que ya potentiellement plusieurs pistes d'analyse mais elle ne vont pas très loin. Il y a quelques thèmes explorés de manière plus ou moins efficace, mais j'avoue avoir bien aimé la fin. George est détestable au possible et c'est tant mieux. Il n'existe même plus vraiment, je dirais même qu'il s'occupe comme il veut, sa veste ne l'as pas rendu heureux assez longtemps, alors il en veut toujours plus. Ya de l'idée, c'est pas l'exécution la plus agréable que j'ai vu mais c'est pas mal.
    louisa l.
    louisa l.

    13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juin 2024
    C’est du Quentin Dupieux, on ne comprend pas puis on pense comprendre, pour enfin être à côté de la plaque. Dans tous les cas on est pris dedans si tant est qu’on se laisse porter sans sur-analyser. Au final c’est de l’art, c’est un film où l’on se pose tous des questions, on a tous une interprétation différente, un ressenti différent. Les images parlent d’elles même et ce grâce au génie d’interprétation de Jean Dujardin.
    Hugo Poisson
    Hugo Poisson

    2 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2024
    La réalisation est réussie avec de beaux plan qui se télescopent entre vieux caméscope et caméra. La folie des personnages et l’acting légitimisent le scénario correctement.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    155 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2024
    Un Dupieux plus sobre mais heureusement porté par un excellent Jean Dujardin. De belles références aux films d'horreur amateurs notamment et une trame scénaristique bien maîtrisée, même si Le Daim suscite assez peu d'émotions et ne surprendra pas les assidus du cinéaste.
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    6 abonnés 542 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 avril 2024
    spoiler: Quentin Dupieux a composé pour une fois une histoire linéaire, prévisible, mais avec son lot de points distinctifs. La passion et la folie de Jean Dujardin pour le Daim, qui semble basculer suite à une rupture (peu nous en est dit, et c'est très bien). Il croise une caméra. Il croise Adèle Haenel qui rentre dans son jeu. Pour aller au bout de sa folie, qui sera stoppée nette le moment venue. Le réalisateur questionne encore une fois son travail d'artiste, son travail de réalisateur à travers ce pauvre personnage paumé qui imagine filmer quelque chose tout en ne sachant rien du processus de création d'un film. Il ne s'agit pas bien sûr d'une métaphore du réalisateur lui-même qui est un spécialiste de la construction de film dans tout ses composantes mise en scène scénario prise de vue photographie montage production. Mais ce qui est intéressant chez ce réalisateur c'est que sa matière est le spectacle, le film, le narratif, le drame. Quentin Dupieux ne sait que parler des films. Et c'est tant mieux. Ici il parle du film d'horreur comme genre, et d'un film d'horreur, qui se construit sous nos yeux, même si la musique de Quentin Dupieux appuie fortement dès le début du film, à la limite du ridicule, mais le spectateur n'est pas trompé sur la marchandise lorsque les images tournées par Jean Dujardin sont montrées au spectateur.
    Nicolas Métrich
    Nicolas Métrich

    20 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 avril 2024
    ce film est aussi nul que les deux autres films du même réalisateur que j' ai vu : " Yannick " et Fumer fait tousser " !

    Je met la même note pour les trois films d' une demi étoile , on ne peut pas mettre 0 étoile , on pourrait le faire , je l' aurais fait !

    Ayant vu trois films de Quentin Dupieux , et ayant été déçu trois fois , je ne regarderai plus ses films , ces trois films font parti des films , les plus nul , de tout les temps !

    Le film " Le daim " est d' un ennui ! Mou !
    Il y a des longueurs et des lenteurs , pendant tout le film ( comme ses deux autres films ) et en plus , est morbide ( comme " Fumer fait tousser ) .
    Et en plus , le scénario est nul ! ( comme ses deux autres films ) , l' histoire , pratiquement inexistante !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 177 abonnés 7 496 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2024
    Georges, la quarantaine, quitte du jour au lendemain, sa femme et son job, pour s’offrir la veste de ses rêves. Il trouve refuge dans un hôtel miteux au fin fond des Pyrénées et s’invente une nouvelle vie, celle de réalisateur de film…

    Quentin Dupieux quitte le registre du non-sens et du burlesque pour un univers bien plus réaliste (du moins, à sa façon), en traitant de la folie. Il dresse le portrait d’un homme tout ce qu’il y a de plus classique en apparence et qui va vriller du jour au lendemain lorsqu’il aura en sa possession, cette fameuse veste en daim à franges, totalement désuète et pour laquelle il aura dépensé sans compter. Dès lors, il va partir dans ses délires, réaliser un film sans queue ni tête et entretenir une étrange relation avec sa veste (cette dernière devient un personnage à part entière).

    Après avoir donné vie à un pneu serial-killer à travers Rubber (2010), quoi de plus normal que de retrouver le réalisateur dans cette énième bizarrerie qui oscille brillamment entre la comédie et l’horreur avec la descente aux enfers de cet anti-héro qui semble être possédée par sa veste. Le Daim (2019) parvient à mettre en lumière l’obsession maladive d’un homme qui ne fait plus qu’un avec son blouson, quitte à atteindre le point de non retour. C’est parfaitement inattendu et savoureux, en très grande partie grâce à son tandem formé par Jean Dujardin & Adèle Haenel.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Roro le cinéphile
    Roro le cinéphile

    13 abonnés 159 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2024
    Ouahhhhhhhhhhh !!!!!! Une film entre comédie et horreur qui est vraiment bon. Merci Quentin Dupieux pour ces super films.
    Cinémax
    Cinémax

    2 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2024
    La première fois que j’ai vu un film de Quentin Dupieux, c’était il y a bientôt un an avec « Le Daim ». Depuis, je suis devenu fan de sa réalisation et de son univers et, bien qu’il me reste encore bon nombre de ses films à voir, ma liste de visionnage commence à s’épaissir. J’ai ainsi décidé, comme un retour aux sources, de revoir « Le Daim ».
    Alors qu’il vit une rude période de rupture, Georges s’épanouit dans l’achat d’une veste en daim. Il devient passionné par son vêtement et n’a plus qu’une idée en tête : être la seule personne sur Terre à porter un blouson. Dans le même temps, il s’improvise réalisateur de film dans un village perdu aux côtés d’une jeune monteuse.
    Malgré ce synopsis absurde, le film n’est pas une comédie (alors qu’il est étiqueté en tant que tel comme la plupart des réalisations de Dupieux qui n’en sont que très rarement). On est davantage dans un drame souvent effrayant que dans une pantalonnade légère. Une fois encore, le réalisateur bouleverse les codes avec son image désaturée, son scénario original et ses plans surprenants qui se parent de silences et d'un accompagnement musical angoissant (« The Long Wait » de Mort Stevens) qui ne fait que renforcer la sensation d’incertitude qui met mal à l’aise tout au long du film. On découvre peu à peu la manière dont Georges se laisse emporter par la folie, devenant obsessionnel, mythomane, égocentrique et entretenant la peur que tout dérape à n’importe quel moment. Il se parle par l'intermédiaire de son blouson et se rapproche du daim et de sa sauvagerie en devenant un prédateur qui achèvera finalement sa mission comme un daim, emportant sa complice dans sa folie. J’ai moins apprécié ce deuxième visionnage puisque l’effet de surprise n’était plus là mais je me souviens avoir adoré l’ambiance pesante, si atypique au cinéma, et le jeu de Jean Dujardin, toujours excellent, dont le personnage rappelle souvent Quentin Dupieux lui-même.
    Matthieu B.
    Matthieu B.

    12 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2024
    Film visionné au cinéma.

    Nous aurons tous une interprétation de ce film. Certains s'attacheront à celle de Denise. D'autres verront dans chaque vêtement en Daim, une part de l'animal donné à Jean Dujardin, lequel cède de moins en moins au compromis et de plus en plus à la folie. La folie est un autre aspect très présent durant tout le film.

    Au final, nous avons un rendu unique et court (habitude de Dupieux), avec quelques lourdeurs et moments malaisant inutile. La prestation de Dujardin est exceptionnelle et sa ressemblance physique avec le réalisateur sur ce film intéressante, car peut-être représentait-il aussi le portrait du réalisateur.
    Acide Noir
    Acide Noir

    1 abonné 66 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2024
    Avec "Le Daim", Quentin Dupieux exerce une nouvelle fois sa fantaisie et son humour décalé, pour le coup très noir, dans un dispositif plus sobre qu'à l'habitude. Il n'y avait que lui pour réaliser un film sur un homme tellement épris de son blouson en daim (à franges!) qu'il décide d'éradiquer tous les blousons du monde. Tout dégénère, et Jean Dujardin, en anti-héros impassible mais passionné, est parfait.
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